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Avec des amies comme ça…

Chapitre 19

Trash
Ma situation ne pouvait être pire, je m’étais fait jeter dehors, avec juste les vêtements que je portais sur moi. J’étais devenu ce qu’on appelle une sans-abri, entièrement dépendante du bon vouloir de mes amies. Pour l’instant, ce bon vouloir reposait surtout sur Victoria. Hélène était repartie me laissant seul avec mon ancienne rivale et je ne savais pas trop ce qu’elle pensait de devoir partager sa maison avec moi. Heureusement, ce n’était pas la place qui lui manquait, son appartement n’étant plus peuplé que d’elle et de son père depuis que son frère était parti pour Paris.
Mais devoir habiter avec quelqu’un qui n’était qu’une salope cela pouvait la contrarier. En tout cas elle ne souriait pas. Me faisant presque la gueule tout le trajet jusqu’à chez elle. Alors que l’on arrivait en vue de son pavillon, elle se décida finalement à me parler :
« Je vais poser quelques règles, salope. Premièrement, on a une cave en sous-sol, et si tu te comportes mal dans la maison, c’est là que tu iras dormir. Je descendrais un vieux matelas et tu tiendras compagnie aux bestioles qui doivent grouiller en bas.
Je frissonnais.
« Si je me comporte mal ?
— C’est-à-dire si tu ne m’obéis pas au doigt et à l’œil. Compris ?
— Oui. J’obéirais… pas de problème. »
Je ne tenais vraiment pas à la contrariée.
« Bon. Et il y a mon père… Il est sympa, et il m’aime beaucoup... – elle me jeta un regard suspicieux- et quand je dis ça, ce n’est pas à la façon du tien… »
Après qu’elle m’ait vu me faire baiser par mon propre père il n’y avait pas grand-chose à dire pour ma défense.
« Oui bien sûr.
— Je baise pas avec les membres de ma famille moi. Faut vraiment être la dernière des garces pour faire... T’as pas honte ?
— Si...

— Et ça t’empêche pas de baiser... T’as vraiment le vice dans la peau, je me demande comment je fais pour supporter ta présence... Tu devrais être là à me lécher les pieds, à quatre pattes comme une chienne... »
Fallait-il que je me mette à quatre pattes ? Comme elle semblait attendre quelque chose, c’est ce que je fis. Je posais mes mains au sol, et commençais à tirer la langue prête à lui nettoyer ses chaussures si c’était ce qu’elle désirait.
Mais je sentis une main me tirer par les cheveux, je réprimais un cri de douleur.
« Pas maintenant sale conne ! Tu ne comprends rien de rien… Je me demande s’il t’arrive de penser à autre chose qu’à la prochaine fois que tu te feras fourrer… Elle secoua la tête avec mépris puis repris, donc je disais : Mon père ; il va falloir qu’il accepte de recevoir une squatteuse chez lui et au débotté. Alors même s’il veut me faire plaisir il faudra lui donner une raison valable.
— Oh ! Euh… disons... que ma maison a brûlé ?
— T’es vraiment conne, hein ? Il vérifiera et puis pourquoi tu ne resteras pas avec ta famille dans un hôtel ou chez des cousins ? Non, moi j’ai réfléchi et j’ai trouvé l’excuse idéale. Ça ne sert à rien que je t’explique, tu ne comprendrais pas avec ta cervelle de piaf… Dis-toi que tout ce que tu as à faire c’est d’être d’accord avec moi.
— Merci Victoria. Je ferais comme tu dis.
— Cela dit, même avec la meilleure des raisons il pourrait trouver ta présence pénible... Qui ne trouverait pas ta présence pénible de toute façon ? Alors, pour éviter qu’il ne cherche trop à creuser sur les motifs qui te font squatter chez nous, tu vas te rendre un peu sexy. Fait du gringue… Parce que, tant qu’à louer gratuitement une chambre, il préférera que ce soit à une bombasse sexy qu’à une grande nouille.
— Je vais faire de mon mieux.
— Ça, je suis sûr que t’auras pas à te forcer, salope. »
On se déchaussa, puis l’on pénétra dans le salon. Un vieux monsieur était affalé dans un canapé crème. Il avait quelques rares mèches de cheveux filandreux sur la tête, un embonpoint bien visible. Si Victoria était sa fille, elle devait plus tenir de sa mère. Il était absorbé par un jeu télévisé et avait une cannette de bière à la main, il ne semblait même pas avoir remarqué notre arrivée. Je me tenais juste à côté de Victoria et bombait la poitrine, présentant mes appâts le plus visiblement possible. J’étais sûr que dès qu’il lèverait les yeux sur nous, le père de mon amie allait rester captivé par mes généreuses mamelles.
« Salut papa. J’te présente Cécile. Cécile c’est mon père adoré André.
— Bonjour Monsieur.
— Euh bonjour. »
Comme je m’y attendais, il regarda à peine mon visage, portant son regard plus bas. Victoria continua :
« Euh… Comme le frérot est parti, j’me suis dit que Victoria pourrait passer quelque temps à la maison.
— Ah... mais ses parents ? C’est l’année du bac et…
— Ouais, ouais… mais en fait ses parents sont un peu barge. Un truc psychotique, du coup elle peut pas rester chez elle.
— Ah vraiment ?
— Oui Monsieur. Me sentis-je obligée de confirmer, comme me l’avait demandé Victoria.
— Elle n’aime pas trop en parler, c’est un truc rare… Assez honteux. Faut qu’ils reçoivent des soins. Le pire c’est que c’est héréditaire, alors la pauvre à la trouille d’en être victime aussi ; je peux pas la laisser seule.
— Oh… Mais c’est que…. Excuse ma franchise, mais tu vois… euh…
— Cécile.
— Oui tu vois Cécile, je n’ai pas envie de me prendre mon petit-déjeuner avec une psychopathe prête à me planter un couteau dans le dos.
— Pas du tout ! répondit Victoria à ma place. Sa maladie n’a rien à voir avec ça ! Au contraire, elle est dépourvue de tout atome de violence. Non, son problème est que, des fois, elle perd ses inhibitions. Genre... elle se met à se désaper, ou à se prendre pour une chienne ce genre de chose.
Je vis André s’étrangler avec sa bière, et moi-même me sentir rougir jusqu’aux oreilles.
« C’est… euh… curieux. Mais, en effet, ça ne sembla pas bien dangereux, constata André.
— C’est clair ! C’est une inoffensive, une bichette ! Elle a même bien du mal à refuser quoi que ce soit, un autre déplorable effet secondaire… Elle manque complètement d’estime de soi et fait entièrement confiance aux autres, c’est pas vrai ?
— Euh oui, c’est vrai, j’ai tendance à faire tout ce qu’on me dit. »
Peut-être étions-nous allées trop loin dans les justifications, car André se montra sceptique.
« Allez, vous me faites une blague, je vous crois pas. On ne peut pas être naïve comme ça, sinon...
— Cécile ! Fais le chien !
— Que je… ? Euh… Ouaf ! Ouaf ! »
Je mettais de l’enthousiasme dans mes aboiements, après tout je ne voulais pas me retrouver à la rue. Je craignais qu’aboyer ne sois pas suffisant. Je me mis à quatre pattes, tournant et me frottant autour des jambes de Victoria, puis je commençais à faire la belle. Victoria me gratifia de quelques caresses sur les cheveux, je couinais comme une chienne le ferait.
« Alors on peut la garder quelque temps ?
— Eh bien, je suppose que oui. Elle n’a pas l’air dangereuse. Et puis, après tout il faut bien s’aider les uns les autres.
— Super ! T’es trop cool papa. Allez, je te fais visiter la maison Cécile. »
Comme je ne savais pas trop si je devais continuer mon rôle de chienne, je la suivis à quatre pattes. Mais avant de quitter le salon, Victoria me rabroua :
« Allons, arrête de faire la chienne ! Tu devrais faire moins confiance aux gens. Et excuse-toi auprès de papa. Ce n’est pas un comportement normal de faire l’animal dans la maison des autres.
— Excusez-moi Monsieur ! Je ne sais pas ce qui m’a pris, je pensais que c’était une bonne idée. Je suis navrée…
— Eh bien, ça ira pour cette fois. Et puis je préfère les chattes aux chiennes, ha ha ha !
— ah ah… »
Sur cette blague un peu bizarre, je quittais le salon. Victoria me fit un tour de la propriété rapide, après m’avoir montré la cuisine et les W.C. elle m’éjecta dans l’ancienne chambre de son frère.
« Tu restes là, sans bouger et sans faire de bêtises, compris ?
— Oui ! »
Et voilà. Je me retrouvais dans une maison inconnue, affublée d’une drôle de maladie et sans savoir quoi faire. L’effet de la drogue que Lisa m’avait donnée avait complètement cessé d’agir et je me rendais d’autant mieux compte de la situation inextricable où je me trouvais. Mon père me voyait comme une salope et m’avait... je préférais ne pas penser à ça. Et je devenais un fardeau pour mes amies qui devaient prendre sur elle pour me faire vivre. À cela s’ajoutait le manque d’habits à ma disposition. J’avais mon chemisier et une jupette, mais même pas une culotte ou un soutien-gorge. Toutes mes affaires étaient restées chez moi… enfin « chez moi » il fallait que je me mette dans le crâne que je n’avais plus de « chez moi ». Dorénavant je n’étais plus qu’un parasite qui ne dépendait que de la gentillesse de mes amies.
Je fouillais un peu la chambre, non qu’il y ait grand-chose à voir. Le frère de Victoria avait tout emporté avec lui pour ses études à la capitale. Il ne restait qu’un lit, quelques livres dans une bibliothèque et un bureau. On aurait pu me mettre en prison, ça n’aurait pas changé chose, et au moins, j’aurais eu de la compagnie. Peu avant vingt heures, Victoria ouvrit la porte de ma chambre sans même prendre la peine de frapper.
« Bouge ton cul, salope ! Normalement c’est moi qui fais la cuisine. Quand papa s’y met, c’est immangeable. Mais vu que t’es là à glander, c’est toi qui t’occuperas de la popote dorénavant. »
Son ton ne souffrait pas la contradiction.
« Bien sûr ! Normal. »
J’allais donc en cuisine et commençais à faire l’inventaire du frigidaire. Pour un premier jour, je préparais quelque chose de simple, même si ce n’était pas de la grande gastronomie au moins j’éviterais de faire de trop grosses bourdes. Je passais quelques fois dans le salon pour demander à André où étaient les couverts et les condiments.
J’étais complètement absorbée par mes poêles et casseroles et sursautais quand une main se posa sur l’épaule.
« Salut euh… C’est Cécile, c’est ça ?
— Oui Monsieur.
— Alors il paraît que tu es malade ?
— Oui… Mais ne vous inquiéter pas ce n’est rien de grave. »
Il y eut un petit silence gêné, puis le père de Victoria reprit sur un autre sujet :
« Tu sais, j’ai été marié.
— Ah… Non… je l’ignorais.
— Mais ça fait longtemps que ma femme m’a quitté. Tu te demandes pourquoi Victoria est restée avec moi. Normalement c’est avec leur mère que les enfants restent.
— Euh… je sais pas…
— Eh bien, c’est que sa mère, ma femme, était une vraie garce. Même le juge l’a dit. Enfin, il ne l’a dit comme ça, mais c’était l’idée. J’ai souffert à cause de cette pute, je peux te dire…
— Je suis désolée… mais euh…
— Oui, depuis j’ai évité de me remarier, tu peux me croire, je n’avais aucune envie de revivre le même calvaire... Et la vérité c’est que depuis mon divorce j’ai peur des femmes, de leur méchanceté, de leur sadisme… Il n’y a vraiment que Victoria, ma fille adorée qui est un ange.
Je me rappelais quelques actions de sa fille qui s’il est vrai qu’elle m’hébergeait avec générosité, n’empêchait pas qu’elle fût capable de de quelques tours pendables, voire de faire preuve de sadisme.
« J’en suis sûr.
— Alors tu vois, c’était pour te dire que je ne veux pas de cruauté ici.
— Bien sûr ! Je ne poserais aucun problème.
— Oui. Victoria m’a dit que tu étais une gentille fille. Tu avais que de simples problèmes d’inhibition c’est ça ?
— Euh oui.
— Je vois ce que c’est… Tu préfères être à poil. Entre nous, ça ne me pose aucun problème.
— Euh… Comment ça ?
— Ben, mets-toi à poil, ça ne me choquera pas. Vraiment.
— À d’accord, mais ce n’est pas quelque chose de fréquent… Je peux me retenir, hein…
— Allons ! Pas de fausse pudeur, tu vas me vexer... Je vais même croire que tu ne me prends pas au sérieux, ha ha !
— Ha ! Ha ! »
Mais je riais jaune. Paul s’approcha de moi. Je comprenais que sa femme l’ait laissé tomber et soit allez voir ailleurs ; peut-être qu’il y a dix ans il avait meilleure mine, mais maintenant ce n’était qu’un buveur de bière gras du bide et au trois-quarts chauve. Et puis il était mal rasé, je me demandais s’il était au chômage. Je sentis qu’il tirait sur mes vêtements...
« Allez, retire tout ça. Ça ne te sert à rien.
— Non, s’il vous plaît…
— Je croyais que t’aimais pas dire non. »
Victoria avait bien insisté pour que je ne refuse rien. Je ne pouvais pas me permettre de foutre son plan en l’air. Je rectifiais vite le tir :
« C’est-à-dire que je dois m’occuper de ma cuisine alors… je ne peux pas en même temps…
— Eh bien, fais la cuisine toute nue. Allez, vas-y ! »
Mince, je me trouvais coincé, je ne pouvais pas désobéir, sinon il saurait que j’étais là sous un faux prétexte. Très gêné, je commençais à retirer mon chemiser.
Paul avait son verre de whisky à la main et ne ratait pas une miette de mon effeuillage. Fallait croire qu’il me trouvait plus intéressante que la télé. Vu mon absence de sous-vêtement, le strip-tease ne dura pas longtemps.
Le père fut subjugué de voir que je ne portais pas de culotte.
« Mais tu te balades quasiment à poil en fait.
— C’est que euh… j’ai trop chaud à la chatte. »
À peine prononcer je me demandais comment une telle réponse de salope m’était venue à l’esprit. Ma transformation en pétasse était spectaculaire même pour moi.
Bien sûr être nu devant un homme mûr était des plus perturbants. Mais dans un coin de ma tête, j’étais surtout gênée de cuisiner à poil, ça ne me semblait pas hygiénique. Si Victoria voyait ça, elle pourrait penser que je méritais une punition.
« Je ne peux pas rester comme ça…
— Ah oui ? C’est très joli ce que je vois pourtant.
— Oui, mais, votre fille... si elle me voit nue… »
Bien sûr Victoria était habituée à me voir à poil, et dans toute sorte de positions scabreuses. Mais je doutais que son père le sût. Il infléchit sa position. Il devait tout de même tenir à donner une éducation morale à sa fille chérie.
« Bon, prend ce tablier alors... »
Et il me tendit un tablier de cuisine à rayures multicolores que je m’empressais de mettre. Au moins j’étais moins exposé. Ne sachant que faire, je me retournais pour touiller les casseroles. Je savais que par la même occasion je lui présentais mon derrière nue, mais quel choix avais-je ?
Je me demandais s’il continuait de me regarder ou était retourné regarder sa télé. Je n’osais pas tourner la tête, j’avais honte.
Il ne fallut que quelques minutes pour que je sois fixé, je sentis une main se poser sur mes fesses.
« Mais, dis donc, on t’a donné des... euh. Des fessées... »
J’avais oublié, cette "particularité", mais mes amies pour blaguer m’avait fait tatouer des marques de mains rouges sur les fesses, trouvant cela très drôle.
« Oh, euh oui... C’est que... » je peinais à trouver une explication convaincante et c’est André qui trouva tout seul une bonne raison.
« C’est à cause de ta maladie c’est ça ? Les gens pensent que tu te moques d’eux et ils te donnent la fessée.
— Oui monsieur ! Tout fait !
— Ça doit te faire mal, je vais te masser les fesses.
— Ce n’est pas... » Je me rappelais que je ne devais pas objecter quoi que ce soit et repris « Merci Monsieur, vous êtes vraiment trop gentil.
— Ne t’inquiète pas, ça me fait plaisir de te rendre service. »
Je sentis alors ses mains se poser sur ma croupe et pétrir mes fesses comme s’il me massait. Ça ne l’empêchait pas de me parler :
« Alors comme ça t’aimes être nue, hein… t’es une exhibitionniste en fait.
— Non… Enfin oui, mais c’est que... c’est une maladie comme Victoria l’a dit.
— Ouais… Et sentir ma main sur tes fesses t’aimes ça. »
Ses mains n’étaient plus que sur mes fesses, l’une commençait à descendre vers ma chatte, l’autre avait un doigt qui tournoyait autour de mon trou du cul. Lui-même s’était rapproché, je sentais son corps contre le mien. Je ne pouvais pas dire non, et n’étant pas douée pour jouer à "ni oui ni non", je choisis de me taire.
« Ouais t’aimes ça… »
Il continuait à jouer avec mon corps, à travers le tablier il se mit à me pincer les tétons avec tant d’insistances qu’il parvint à me faire gémir.
« J’en étais sûr... marmonna-t-il ».
Je sentis alors une tige se presser contre mes fesses, il avait sorti sa bite. Et il lui fallut peu de temps avant de la glisser dans ma chatte.
J’étais assez décontenancé. Je ne protestais ni ne l’encourageais. Je continuais à cuisiner, pendant qu’il me culbutait. Ce n’était pas facile, il me rentrait sa queue bien fort, me faisant bouger tout le corps. Je me tenais aux bords de la cuisinière. Mais ma position était des plus précaire et je tentais de soulever ce point :
« Monsieur, je ne peux pas cuisiner et… Victoria sera mécontente si on ne mange pas.
— Mais non, mais non… Tu vas y arriver. »
Sous ses bons encouragements, je dus continuer à m’assurer de la cuisson de la viande pendant que je sentais sa verge me défourailler la chatte. Et puis il me palpait le corps, prenant son temps pour me palper toutes les parties. Avec une préférence pour me peloter les nichons, mais d’autres fois il tirait sur mes hanches pour s’enfoncer plus fermement dans mon con. Et tout ce temps, il haletait contre ma nuque.
Son souffle sur ma nuque m’agaça, pour l’éloigner de moi je demandais
« Voulez-vous des herbes de Provence sur votre côte de porc ?
— Oui, vas-y ! Vas-y ! »
Je n’étais pas sûr que son esprit lubrique ait compris la question et je dus insister :
« Où sont-elles ? »
Il me désigna un placard, je voulus m’y rendre, mais il ne me lâchait pas. Je tentais de faire quelques pas, mais le père de Victoria me tenait les hanches si fermement que je ne bougeais pas d’un centimètre. Je pris une bonne inspiration et tentais de me libérer. Mais au lieu de lui faire lâcher prise, je faillis me casser la gueule. Il me tenait par mes cuisses tandis que j’évitais de me cogner tête la première contre le carrelage de la cuisine en me rattrapant sur les mains. J’étais dans une situation des plus ridicule, les jambes perpendiculaires aux siennes, sa bite fourrée bien profond dans ma foufoune, et mes mains servant uniquement à ce que je ne me vautre pas par terre. Et malgré ça, il ne faisait aucun effort pour m’aider à me relever ; ses seuls mouvements étaient encore et toujours pour me pistonner la chatte. C’est donc en faisant la brouette que je me déplaçais, lui me guidant à coup de queue dans l’abricot. On finit par arriver devant le placard.
« Euh Monsieur, je voudrais prendre le flacon d’herbes…
— Bien sûr ! Bien sûr ! »
Soit il ne comprenait pas que j’étais dans l’incapacité de saisir le condiment dans ma position, soit il n’en avait rien à foutre. Comme il n’avait pas tellement l’air de se soucier de la cuisine, mais seulement des cent et une façons de me marteler ma cramouille, je devais agir seule. Avec un effort herculéen, je poussais d’une main et m’agrippais à une étagère. Je gravis ainsi peu à peu les étagères pendant que mon trou à mouille recevait sa portion de bite. J’arrivais finalement à l’étagère où étaient stockées les herbes de Provence !
Hélas le rentre-dedans que je subissais me fit vibrer et je laissais tomber le flacon en plastique par terre. Je retombais, les mains au sol, me retrouvant par la même occasion à nouveau en position de brouette. Je penchais la tête pour saisir le flacon entre les dents.
Je retournais au fourneau me déplaçant sur les mains, une bite toujours profondément enfoncée en moi. André m’encourageait comme il le ferait pour un cheval ou une bête de somme.
« Allez ! Allez ! On avance ! À gauche ! Là ! »
Me houspiller de cette façon ne l’empêchait pas de me fourrer copieusement de son dard. Je me sentais tellement morveuse... alors qu’il me dirigeait, je sentis que de ma chatte se mettait à couler une bonne quantité de mouille. Il fallait croire que de me faire diriger et commander me faisait jouir - est-ce que je me transformais en soumise idiote ? En tout cas, arrivée devant la cuisinière, il relâcha mes jambes pour je puisse finalement me redresser. Je versais une portion - bien trop grande - d’herbes car c’est à ce moment que je sentis ma chatte se contracter autour de sa bite. Cela fit aussi effet sur lui, car il finit son affaire en me déchargeant son foutre dans la chatte.
« Hu ha ha hu. »
Il haletait, avait du mal à reprendre sa respiration. Je m’inquiétais ! Victoria ne me pardonnerait jamais si son père avait une crise cardiaque juste après m’avoir baisée. Elle penserait tout de suite que j’étais la responsable, et elle me virerait.
« Monsieur ! Vous allez bien ? »
Il ne répondait pas, cherchant juste à reprendre son souffle.
J’allais chercher une chaise pour qu’il puisse s’asseoir, lui versais un grand verre d’eau et lui mettais le verre aux lèvres.
« Trop longtemps pas baisé… murmura-t-il
— Oui. Calmez-vous
— Mais ça fait du bien.
— J’en suis sûr.
— J’ai plus la forme pour faire ça. C’est trop physique, je veux pas avoir d’arrêt cardiaque. »
Moi non plus je ne voulais pas qu’il fasse un infarctus ! Si Victoria rapportait ça à Hélène et aux autres, ce serait la fin. Elles me chasseraient de leur groupe, me libelleraient comme meurtrière ! Mais... si ça pouvait le dissuader de me tringler pendant que je suis occupée à cuisiner, alors autant en profiter.
« C’est vrai ! C’est trop dangereux de me faire l’amour comme ça ! Il vous faut du repos.
— Je suis content que tu sois d’accord. Si je veux te baiser, promets-moi de refuser… Je sais que tu détestes t’opposer, mais...
— Comptez sur moi. Je vous repousserais s’il le faut. »
Je n’en étais que trop ravi. Je trouvais sa façon de me besogner, collé sur moi comme un lapin en rut, répugnante. Il n’avait vraiment que la taille de sa bite pour lui. Maintenant que je voyais son gros morceau sorti de ma foufoune, je me rendais compte qu’elle était bien plus longue que la fourchette dans ma main.
« C’est bien, t’es une gentille fille. Tu n’auras qu’à épeler "non" dire "N" "O" "N" si tu n’as pas la force de dire "non".
— Vous avez raison ! Bonne idée, je ferais ça avec plaisir.
— Tant mieux, tant mieux. Il faudra juste que tu passes plus de temps à me sucer la bite du coup.
— Pardon ?!
— Pas tout de suite. Je suis épuisé. Mais je ne peux pas te voir te balader à poil avec tes gros seins et rester sans rien faire. Ce serait tout aussi mauvais pour ma santé. Non, il faudra que je me vide les couilles, mais en faisant moins d’effort.
— Mais…
— Tu sais bien sucer ? Tu fais ça souvent.
— Euh… Ben… Pas très…
— C’est pas grave, t’apprendras vite. Je t’apprendrais, enfin je t’entraînerais... je suis sûr que d’ici quelques jours tu pourras même me faire une gorge profonde sans problème.
— Mais…
— Oui je te vois à genoux, ma queue entre tes lèvres, et ta tête aller et venir avec énergie. Et moi, confortablement installé dans mon canapé -tout en parlant, je voyais sa queue se redresser- tu t’appliqueras bien, tu me feras une bonne pipe baveuse pendant que je dégusterais une bière. Là je ne risquerais pas l’arrêt cardiaque... je me vois déjà décharger dans ton gosier tranquillement, ce sera parfait. Je crois qu’on a trouvé la solution idéale. T’es pas d’accord ?
— Si, Monsieur...
Je réprimais une grimace et assez énervée je revins devant la cuisinière, pour constater que les côtes de porc étaient trop brûlées. Victoria allait encore me faire la gueule... Tant pis.
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