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Avec des amies comme ça…

Chapitre 20

Nouveau nom, nouveaux habits.

Trash
Alors que je mettais la table, je me mis à ressasser les derniers évènements, comment finissais-je par me retrouver dans ces situations absurdes comme celle de faire la brouette avec un homme que je venais tout juste de rencontrer ? Je ne pouvais plus prétendre que c’était un cas isolé, il y avait eu le clochard, les chasseurs, mon père et maintenant le père de mon amie. Depuis quelques jours, il n’y avait pas un homme qui ne me voyait sans qu’il ne finisse par me baiser. Je m’étais transformée en salope. Ou peut-être l’avais-je toujours été, comme un caractère dormant attendant le bon moment pour se révéler. Certes, je me trouvais toujours dans une situation inextricable quand je me faisais baiser, contrainte à obéir pour quelques raisons. Mais ne cherchais-je pas plutôt des prétextes pour me faire sauter ? Au bout d’un moment, quand il y a trop de coïncidences, c’est que je devais volontairement me mettre dans de telles situations… ou alors c’était un complot ! Et je n’étais pas complotiste. Non, il fallait se rendre à l’évidence, si mes amies me traitaient de salope, elles devaient avoir raison, elles m’avaient percée à jour en voyant en moi quelque chose que je n’avais pas su découvrir par moi-même. Une fois encore, je leur étais redevable.
Lorsque Victoria arriva à table, elle fut d’abord surprise de me voir vêtue uniquement du tablier de cuisine. Son père expliqua que j’avais eu : « une crise de désinhibition ». Elle dut sans doute croire que j’avais simulé cette crise pour conforter sa stratégie de me faire passer pour une dingo, car elle me sourit et leva le pouce.
Elle ne fit qu’un seul commentaire sur mes plats pourtant tout juste comestible, et à ma grande surprise ce fut un encouragement :
« Tu t’appliqueras un peu plus la prochaine fois.
— Bien sûr ! m’exclamais-je, heureuse de m’en tirer à si bon compte. C’est juste que j’ai été un peu débordé ce soir… »
Le repas se passa calmement, son père passa plus de temps à me dévorer des yeux qu’à s’occuper de son assiette, mais ça ne me dérangeait pas outre mesure. Je servais, me montrais dévouée envers cette famille qui m’accueillait. André posa quelques questions sur le lycée, Victoria répondait souvent à ma place :
« Comment ça va à l’école avec ta maladie ?
— Euh…
— Papa, c’est pas poli.
— C’est vrai, désolé.
— Tu imagines bien que ce n’est pas simple pour elle. Comment les garçons ne la prendraient pas pour une pétasse ? Avec les copines, quand elle revient en cours après la pause on doit lui dire de se passer un coup sur le visage, pour qu’elle se retire le sperme qui lui coule des lèvres. »
Je vis André rougir... il devait m’imaginer en train de fournir des fellations à tous mes camarades de classe. Victoria insista :
« C’est pas vraie Cécile ?

— Si, Victoria, avec ma maladie je me sens obligée de sucer toutes les bites qui passent à ma portée, c’est très gênant.
— Tu sais, intervint le père, je suis toujours disposé à te remplir la bouche si tu es en manque ou que tu as une crise.
— Merci Monsieur… »
J’étais assez gênée qu’elle me fasse passer pour une salope… Mais je suppose que c’est le prix à payer pour être hébergée gratuitement… Quoi qu’il en soit, après le repas mon amie retourna dans sa chambre me laissant débarrasser la table, elle me laissa aussi le soin de repasser ses vêtements, cirer ses chaussures, préparer son cartable. Peut-être se vengeait-elle de ce que je lui avais servi à dîner… Ou peut-être pensait-elle qu’il était normal que je lui serve d’esclave domestique puisqu’elle m’hébergeait.
La seconde solution se révéla être la bonne. Ainsi, après avoir fini toutes les tâches ménagères, et alors que je venais tout juste de commencer à trouver le sommeil, j’entendis la porte de ma chambre grincer, c’était Victoria qui entrait.
« Tu t’es foutu de moi ? C’est quoi cette merde que j’ai dû manger ?!
— Je suis désolée ! Mais vraiment, c’était pas ma faute, c’est ton père... Pendant que je faisais la cuisine, j’ai dû…
— Pas d’excuse salope,
— Maiiiissss !
— T’as GUEULE ! je m’en fous ! Moi, je veux manger de la bouffe qui ressemble à quelque chose, pas de la MERDE carbonisée. Tu veux que je chope un cancer, c’est ça ?
— Pas du tout, je… »
Je ne pus finir ma phrase qu’elle me sortit du lit manu-militari. J’étais nue, puisqu’on ne m’avait prêté aucun pyjama.
« J’ai fait un effort pour toi, salope. Pour que tu comprennes pourquoi il faut savoir cuisiner, je vais te montrer ce que manger de la merde veut dire… » Alors que j’étais à terre, elle fit un aller-retour rapide jusqu’à la porte de la chambre pour rapporter une assiette à soupe. Ce qu’il y avait dedans… Je ne pourrais pas le décrire précisément, c’était un mélange répugnant. Comme elle me le mettait sous le nez, je pus repérer quelques aliments encore définissables, des fruits pourris, des épluchures de patates, de la peau de poisson.
« Régale-toi donc, pétasse. J’ai farfouillé dans la poubelle une demi-heure pour t’offrir ces morceaux de choix. Et tu peux me remercier pour la présentation, c’est impeccable un vrai mélange de goûts et de couleurs. »
C’était on ne peut plus vrai, toute cette nourriture semblait des plus variées, mais de là à la remercier… le mélange des couleurs tendait vers un jaune brunâtre. Quelque chose comme une couleur de vomi et de légume pourrit. Et elle aurait aussi pu mettre l’accent sur l’odeur, je devais faire un effort pour ne pas me boucher le nez. Le mélange faisait ressortir des effluves puissants, aussi nauséabonds que dégoûtants. Le fumet entrait dans mes narines pour prévenir mon cerveau que le plat devant moi était plus toxique que du fromage moisi. En fait, il devait aussi y avoir aussi du fromage moisi dedans…
« Eh oui, contrairement à toi, tu vois, j’ai fait un effort pour te cuisiner un repas. Je t’ai mitonné quelque chose dont j’attends des nouvelles. Tu vas repenser à ce plat dans les jours qui viennent, te demander à chaque fois que tu retourneras dans la cuisine si je ne reviendrais pas t‘offrir un dessert aussi succulent dans la nuit. Je ne veux pas me montrer arrogante, je ne suis peut-être pas encore une spécialiste de la Grande Cuisine. Et je ne suis pas sûre que les inspecteurs du Michelin y mettent beaucoup d’étoiles, mais j’ai quand même pensé à un nom de plat : "Purée d’ordure printanière accompagnée de sa sauce spéciale." Je ne veux pas t’en révéler la composition précise, je veux te laisser la surprise à mesure que tu dégustes. Mais je crois que tu peux voir surnager sur le dessus quelques patates moisis, accompagner de reste d’œufs puants vieux de plusieurs jours.
Pour ne pas manquer au cérémoniel, je vais te filmer manger ça. Pas pour faire du porno… Quoique... va savoir si des esprits malades ne s’exciteraient pas à voir une grosse salope manger mon délicieux plat... Oui, voir une jolie fille manger les pires déchets putréfiés, y en a que ça ferait bander. Tiens, toi, une perverse accomplie, tu en penses quoi ?
— Je préférais pas…
— Est-ce que je t’ai demandé ce que tu préférais ? Alors ta gueule ! Ce que je t’ai demandé, c’est si ça t’excitait. Mais tu me fatigues, alors prends juste ce gode, et fourre-le dans ta chatte. Commence à te masturber, je sais que t’adores ça, ptite pute...
— Mais… si j’ai les mains dans ma foufoune, je vais pas pouvoir manger…
— Parce que tu croyais que j’allais t’apporter couteau et fourchette ?! Tu sais que tu serais vraiment drôle si tu n’étais pas si conne ? Non, tu vas enfoncer ton groin dans la mélasse et te mettre à bouffer. Ne me dis pas que tu as pas peur de te salir, une grosse cochonne comme toi… »
Victoria plaça une webcam à côté de l’assiette et à son ordre je fourrais le gros gode noir dans ma chatoune et commençais à m’en pistonner.
« Bon, la webcam est bien installée, je vais montrer ça aux copines, elles verront que je m’occupe bien de toi. Souris donc ! Voilà… C’est bien, lâche le gode deux secondes et faire leur coucou. Allez, montres que ça te fait plaisir, qu’elles voient comme tu es ravi que je t’offre ce repas. Fais "Miam ! Miam ! " je veux que l’on voie comme tu es impatiente de te régaler ! »
Comme je m’approchais de l’assiette. Je frémissais, tous mes sens me criaient de m’enfuir à toutes jambes. L’ensemble avait la forme de purée, et il y en avait une sacrée quantité. Un repas gargantuesque, l’assiette semblait débordée. La forme était compacte et les aliments globalement indistincts les uns des autres. Je léchais le dessus… Grave erreur ! Ma langue sentit toute une rangée de saveurs, variant du putréfié au plâtreux, du gluant au friable.
« Goûte donc ! Dis-moi ce que tu en penses… »
Bien obligée je baisais la tête et gobais un morceau qui dépassait. Je grimaçais. J’avais cru mettre dans ma bouche une boulette de grains de riz agglutinés... mais l’intérieur se révéla autrement moins comestible. Des épluchures de carottes et de patates terreuses frottèrent contre mes dents. Je dus manger ça sous les ordres de Victoria :
« Mâche petit cochon, t’es une truie, mon vide-ordure… Mâche bien, repais-toi de mes restes ! »
J’avalais ce que je pouvais.
« Alors tu aimes ?
— C’est dégoûtant, ne puis-je m’empêcher de répondre.
— Oh ! c’est comme ça que tu traites mes plats ? »
Victoria saisit une grande règle en plastique sur le bureau et commença à m’en asséner des coups sur les fesses. Je criais « Je suis désolée c’est très bon ! Je me régale ! » Les coups cinglaient mon derrière relevé et faisaient vraiment mal.
« J’espère que tu as compris, si je te vois faire la plus petite grimace, tu auras droit à cinq nouvelles frappes sur ton cucul. »
Je redonnais une bouchée dans la mixture d’où émergeaient des pâtes et de la salade. Mon nez à quelques centimètres du plat éprouva de plein fouet une odeur rance de moutarde, de vinaigre et d’huile qui en émanait. Je broyais cette mélasse dans ma bouche ; le goût était aussi horrible que son apparence, bien pire en fait. C’était infect, ma langue n’avait jamais été en contact avec une horreur pareille. Mes papilles se révoltaient, j’étais tenté de recraché immédiatement, mais Victoria me mis la main sur la bouche, je déglutis. Quand la masse putride descendit dans ma trachée, je me sentis prise d’un haut-le-cœur. Je criais :
« De l’eau ! De l’eau ! »
Pour faire passer le goût. Victoria me tendit gentiment un verre que j’allais l’avaler d’un trait... mais en le portant à ma bouche mes narines me prévinrent que quelque chose de louche se tramait. Une odeur bizarre et caractéristique se dégageait du verre.
« C’est de la pisse ?!
— C’est de l’eau que j’ai bue et que j’ai "distillée" tu as quelque chose à y redire ? Tu préfères ne pas boire ? »
Je savais que si je refusais ce verre, je n’aurais pas pour autant droit à de l’eau, et j’avais absolument besoin d’un liquide pour faire descendre ce que j’avais en bouche.
« S-s-si... Merci de me laisser boire ce verre.
— Et souris non d’un chien ! Ou tu veux que je transforme tes fesses en champ de bataille ? »
Je souriais en portant le verre à mes lèvres et en buvant la pisse de mon amie. J’avais tellement soif. Ça apaisa ma bouche, je n’aurais jamais pensé qu’un jour je boirais du pipi avec soulagement… Mais je n’avais fait qu’entamer le repas. Si je me repaissais de chaque bouché à ce rythme, ce serait un enfer. Mieux valait en manger le plus que je pouvais d’un coup, et espérer qu’il n’y avait rien de toxique dedans. Je penchais la tête et gobais ; essayant de faire abstraction de qui entrait dans ma bouche.
Mais c’était un vain espoir. Je me rendais par exemple compte qu’un cendrier avait été vidé dedans lorsque je mâchais des mégots de cigarette et que je me retrouvais la langue pleine de cendre. Je réalisais que ce que contenait la poubelle n’était pas simplement de la bouffe avariée, il y avait toutes sortes de déchets ménagers. Du presque-inoffensif comme le papier que je mâchais en bonne quantité parfois mariée à de la confiture aux pommes pourries. Mais aussi du plus cradingue comme des poils et des rognures d’ongles... C’était vraiment un plateau mystère, quand je prenais une bouchée, je ne savais jamais sur quoi j’allais tomber, du visqueux comme de la peau de poisson, ou de l’épais comme des pâtes agglutinées accompagnées d’une tomate infecte. Un moment Victoria se pencha sur l’assiette, je crus un instant qu’elle allait m’aider à finir le "plat", mais non ; ce fut pour régurgiter des biscuits qu’elle avait commencé à manger :
« Est-ce que je ne suis pas gentille ! T’as même droit à un supplément. »
Pour être honnête, manger des biscuits déjà passés par la bouche d’une autre me semblait loin de l’horreur du reste de ce que contenait l’assiette, et je m’empressais de me baisser pour avaler ce qu’elle venait de laisser tomber.
« Je me sens comme une mère oiseau qui donne la béqueter à son petit, » dit-elle en souriant.
Je dus finir tout ce qui était présenté devant moi. Une fois toute la pile de détritus ingurgitée elle me prit par les cheveux pour me faire lécher les restes qui de sauce nauséabonde qui recouvrait l’assiette. Heureusement, je ne sentais déjà plus ma langue, tout juste parvenais-je à deviner l’immondice que ce jus de détritus représentait quand il coula dans ma gorge. Elle me demanda de la féliciter, ce que je tentais de faire. Comme elle n’était pas assez satisfaite, elle me frappa les fesses jusqu’à ce que je parvienne à une phrase qui lui plaise :
« Merci Victoria pour ce merveilleux repas, j’adore tes poubelles et me régale à mâcher tes régurgitations. Manger tes déchets, c’est un honneur qu’une salope comme moi ne mérite pas. C’est tellement bon ! Merci Victoria ! »
Une fois cela fini, elle me demanda de prendre des poses pour être photographiée. Elle m’expliqua qu’après m’avoir mis le nez dans l’assiette j’avais une figure « rigolote ». Quand elle me montra une des photos, je compris ce qu’elle voulait dire par là : j’avais des restes d’aliment autour des joues et de la graisse partout. J’avais vraiment une figure de sale pouilleuse.
Elle ne m’autorisa ni à boire ni à me débarbouiller la figure. J’aurais bien voulu faire passer le goût de déjection que j’avais en bouche, mais elle se montra implacable :
« Si tu t’étais montrée plus enthousiaste à manger mes détritus, je t’aurais laissée boire. Que ça te serve de leçon ! »
Là-dessus elle quitta ma chambre. Je m’en voulais de ne pas avoir été plus enthousiaste… Je voulais tellement boire… Sur cette pensée, je passais le reste de la nuit à digérer les restes puants qu’elle m’avait fait manger.
Le lendemain les filles demandèrent si je m’acclimatais bien. J’aurais pu répondre que ma vie devenait un enfer, mais ça ne leur aurait pas plu. Alors je choisis de ne pas tarir d’éloges sur l’hospitalité de Victoria, de sa ruse pour me faire accepter par son père. Et je fis mon mea culpa quant au dîner que j’avais servi : « Je me suis vraiment montrée nulle, c’était atroce je m’excuse vraiment que Victoria ait dû supporter ça. »
Hélène sembla malgré tout surprise que le père de Victoria m’accueille aussi bien :
« Quand même, ça fait une bouche de plus à nourrir.
— C’est qu’il s’attend à ce que ma bouche lui serve à astiquer son manche, précisais-je ne voulant pas qu’elles pensent que j’étais complètement inutile.
— Ah, ça ne me surprend pas. T’as une bouche à pipe. Rien de tel pour se faire aspirer le poireau. Mais il n’a pas voulu profiter de toi le premier jour… c’est décevant, je pensais qu’une salope comme toi, avec ton physique… Il doit y avoir quelque chose qui ne va pas… Tu ne t’es pas montré assez aimable peut-être...
— Mais non ! Il m’a fourré tout le temps où j’ai fait la cuisine ! J’ai été une bonne salope !
— Quoi ! s’exclama Victoria. »
Elle semblait outrée que je baise avec son père. Elle avait dû croire que je m’étais contentée de me mettre à poil. Cela dit, j’étais moi-même surprise de me vanter de m’être fait tringler par un vieux… Mais les copines prirent ça avec philosophie.
« Il a bien droit de vouloir décharger dans une grosse bimbo, réagit Lisa
— Mais ce n’est jamais agréable de savoir que son père fréquente des salopes et des putes, affirma Jeanne.
— Mais bon… C’est sous son toit, alors c’est moins grave, répondit Lisa »
Victoria bouda un peu dans la journée. Mais l’humeur de toute la bande retrouva des couleurs quand Hélène nous montra où l’on pourrait répéter notre pièce de théâtre amateur.
À la fin de la journée Lisa finit par remarquer :
« Tu ne te changes jamais, dis donc ? T’es une sale pouilleuse ou quoi ?
— C’est que tous mes vêtements sont chez moi, je ne sais pas comment les récupérer.
Hélène ricana devant mes difficultés
« Ça ne me surprend pas du tout ! Quelle idiote quand même... tu aurais pu penser à récupérer tes vêtements avant de baiser ton papa ! Quelle dinde ! vraiment…
— Je suis désolée.
— Enfin comme ça tu t’es trouvé une bonne excuse pour venir au lycée sans culotte et soutien-gorge, t’as beau être la reine des salopes, ça reste d’une vulgarité…
— C’est vrai que tu manques de décence, ajouta Jeanne.
— Bon, qu’est-ce qu’on fait ? On peut pas traîner avec une pétasse vulgaire comme elle.
— On a qu’à lui prêter nos affaires. J’ai toujours voulu donner aux pauvres, mais j’ai toujours eu peur qu’ils trouvent mes vieux vêtements trop loqueteux pour eux.
— Clair, quand un pauvre te dit que tes vêtements sont à chier c’est méga la honte.
— Tandis qu’avec la salope, j’aimerais voir ça qu’elle critique. »
Les filles se mirent à rire… Puis elles se donnèrent rendez-vous dans une heure chez Victoria. Son père était absent.
Victoria me fit la morale tout le long du chemin jusqu’à chez elle. Comme quoi je n’étais pas assez prévoyante, trop conne, et vraiment salope. Je lui répondais à chaque fois qu’elle avait raison. Je fus enfermée dans ma chambre quand, l’une après l’autre, j’entendis les filles entrées dans la maison. Je mettais l’oreille contre la porte pour entendre ce qu’elles disaient. Elles discutaient chiffons, se disputaient pour savoir qu’elle jupe irait avec quel haut, elles semblaient se donner beaucoup de peine pour trouver quelque chose qui m’aille. Comme elles prenaient leur temps, je m’installais sur le lit et attendis plus d’une heure encore avant que Victoria ne vienne m’ouvrir.
« Debout pétasse. Ça va être Noël pour toi, on a plein de beaux vêtements. »
Je sortis de la chambre et descendis dans le salon. Toutes sortes de vêtements étaient par terre.
« Dézappe toi ! »
Je retirais ma jupe et mon haut et me retrouvais nue devant mes amies. J’avais un peu honte, pas tellement d’être à poil, mais d’être à ce point à leur merci, à leur botte.
« Elle est pas mal foutu.
— C’est génétique, toutes les salopes sont bien foutues. Ça permet d’attirer les mâles tout en étant complètement conne. »
Quatre panoplies étaient sorties que j’essayais l’une après l’autre
1) le vêtement de sport, préparé par Jeanne
Je mettais d’abord un string jaune riquiqui, les fils qui le tenaient n’étaient pas plus larges que le tissu devant ma chatoune. Par-dessus je portais un short en jean. Enfin short… Certains diraient que ce jean aurait plutôt l’air d’une grande culotte. Il ne couvrait pas grand-chose rien des mollets et était taille très basse, je sentais qu’il était déchiré par endroit, ça aurait pu être à de la mode, si ça ne me donnait pas un air aussi salope. Les trois gros boutons qui servaient de braguette attiraient les regards sur mon entrejambe. Les cordes du string jaune dépassaient et me donnait un air de pétasse.
« Tu sais que Jeanne s’est donnée du mal pour tailler ce jean et qu’il t’aille ? Avant il allait jusqu’aux genoux… T’aurais eu l’air ridicule.
— Merci Jeanne. »
Comme haut il y avait une simple brassière jaune. Ça se voyait qu’elle avait déjà été portée, sans doute par Jeanne plus jeune quand sa poitrine était plus menue. Je tentais de le mettre et après m’être bien débattue, je réussis à fourrer mes seins dedans. Enfin dedans… toute la moitié supérieure de mes seins était bien visible et dépassait. La brassière me compressait les nichons jusqu’à ce qu’ils se touchent, ils semblaient prêts à faire exploser le tissu. Mais ça semblait d’être de la bonne qualité, il faudrait sans doute plusieurs semaines avant que ça n’arrive.
Sur la tête, une casquette toute blanche avec « Chaudasse » écrit dessus au feutre noir... Sans doute un ajout de dernière minute...
« Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ? demanda Jeanne. »
J’en pensais que si je faisais du jogging en portant ces habits, je me ferais courser par des joggeurs voulant me mettre la main au cul. Mais je fis semblant de me montrer ravi :
« Ce sera parfait pour faire du sport ! Tu as vraiment pensé à tout Jeanne. Ça me correspond tout à fait, j’ai vraiment l’air d’une grosse salope avec ça ! »
2) Les vêtements de cours préparés par Victoria
D’abord la culotte. Une toute petite culotte avec un cœur dessus. « Comme on sait que t’adores te faire démonter le nénuphar, c’est approprié, précisa Lisa. » Puis des collants en résille, les chaussures étaient des escarpins noirs avec des talons relativement élevés. Venait ensuite un kilt rouge et noir me tombant juste sous les fesses. Si je me penchais un tout petit peu on pouvait voir ma culotte ridicule.
Le haut était constitué d’une blouse blanche et rose à carreau, parfait pour une petite fille… et guère plus large. J’étais bien serrée, et mes seins bien visibles. Le côté innocent me donnait surtout un air d’attardée mentale, ce que mes amies confirmèrent en me jugeant :
« Regardez là, on croirait une petite écolière, alors que c’est une lycéenne à gros nichons.
— Habillez comme ça, on sait qu’elle ne sait pas compter autrement que sur ses doigts.
— C’est clair, mais elle doit savoir sucer une bite comme une pro ! »
Enfin un serre-tête complétait le tableau me donnant un air de jeune fille bien salope passant plus de temps sous le bureau du prof qu’à étudier. En gros on aurait cru à une fille échappée d’un porno prête à se faire mettre une bite au cul pour une bonne note.
3) Les vêtements de ville préparés par Hélène.
Il manquait la culotte. Quand je le fis remarquer, Hélène sembla contrariée :
« Tu as déjà de la chance d’avoir un dessous avec tes autres vêtements. En vrai, une salope doit avoir la chatte prête à se faire défoncer à tout moment ! »
Je mettais donc directement une jupette en coton rouge vif, de la même couleur que les cuissardes en vinyle qui montaient le long des jambes ; elles étaient à talons hauts, bien plus hauts que ceux de mes « vêtements de cours ». Je n’avais jamais porté ce genre de chose que je pensais – sans doute avec raison- réservée uniquement aux prostituées. J’avais honte de porter ce genre d’accessoire, ce n’était pas vraiment la vie que je pensais mener il y a quelque temps. J’essayais de marcher maladroitement avec, les copines me rassurèrent :
« T’en fais pas, dans quelques jours tu marcheras dedans avec l’assurance d’une PUTE !! »
Elles se mirent à rire… Le haut était constitué d’un court top jaune et noir avec de longues manches, mais avec pas grand-chose sur le devant. Toute la région autour du nombril était dénudée. Un pin’s était attaché au niveau du téton gauche, c’était une bouche avec une langue sortie disant « J’avale !!! »
On aurait pu croire que c’était une tenue de pute. Enfin une pute qui aurait fait dans les vêtements de récupération. Je me demandais comment j’allais marcher en ville dans cette tenue sans que des hommes ne m’accostent pour me demander combien je prenais.
4) Les vêtements décontractés par Lisa
Des leggings jaunes très fins presque transparent et ultra-moulant, mettant en valeur mes fesses « Tu trouves pas que ça donne envie de les peloter, dit-elle. »
Pas de culotte, pour qu’on puisse me toucher la chatte et le cul sans encombre, et des chaussettes Snoopy. Comme haut, un T-shirt ultra-serré avec un motif Petit Poney. « Tu as l’air trop mignonne. Et en même temps, je suis sûr que Monsieur le papa de Victoria bandera bien fort en te voyant ! »
Toutes ces tenues avaient un point commun, quiconque les portait ressemblait à la dernière des putes.
« Alors ça te plaît ? demanda Hélène.
— Oui, répondis-je faiblement.
— Tu as enfin droit à tes tenues qui correspondent à ton caractère. Tu ne penses pas ?
— Euh oui, j’ai vraiment l’air d’une grosse salope, je suis sûr que les gens ne peuvent pas se tromper.
— Et bien sûr, n’oublions pas les accessoires. Déjà, ce magnifique plug à te fourrer dans le cul. Il te manquait je suis sûr... Et il y a ce collier. C’était celui de ma chienne, Fifi. Je suis sûre qu’il va t’aller parfaitement, ça te plaît comme nom « Fifi » ? On dirait pas… C’est vrai que c’est un peu sophistiqué pour toi, ma chienne savait faire des tours, elle était maline. Toi t’es même pas capable de rattraper des batons, t’arrive tout juste à les sucer…
— Je serais honorée de m’appeler comme ta chienne, affirmais-je pour montrer que je valais quand même autant qu’une chienne.
— Eh bien, tu peux commencer par nous remercier pour les beaux cadeaux qu’on t’a faits. Allez "Fifi", viens lécher tes maîtresses.
Je remerciais donc chacune des filles par un cunnilingus. Je passais ainsi une bonne heure la tête fourrer entre des cuisses de mes amies à leur lécher la chatte pendant qu’elles discutaient des cours ou du dernier film qu’elles avaient vu. La seule fois où je fus mentionnée dans la conversation fut pour décider qu’elles m’amèneraient au cinéma la prochaine fois, elles étaient très excitées à la perspective que je les gnougnoute en public dans le noir.
Mais d’abord, elles voulaient que j’étrenne mes habits "neufs". Je m’habillais pour sortir en vêtements "de ville". Me montrer dans les rues de la ville, habillée comme -il faut bien le dire- une pute me fit un drôle d’effet. J’avais l’impression d’être au centre de tous les regards, ce n’était d’ailleurs pas qu’une impression. Je voyais les hommes me mater ouvertement. Les plus jeunes avec envie, les plus vieux avec consternation. J’entendais les commentaires qu’ils faisaient sur moi : « Les jeunes filles d’aujourd’hui, toutes des salopes. » Et j’aurais été bien en mal de les contredire.
Après s’être amusées à me voir me faire insulter par les habitants, mes amies décidèrent qu’il fallait corser un peu les choses. Que je ne devais pas simplement avoir le look, mais le comportement d’une salope. Pour cela, elles me demandèrent où était ma boulangerie habituelle et l’on s’y rendit. Le boulanger et son commis me regardèrent entrer, éberlués.
Mes amies avaient été très spécifiques sur ce que je devais demander :
« Je voudrais une bonne grosse baguette… Bien chaude. »
Le commis rougit et choisit une baguette.
« Oh… Il n’y en a pas des plus épaisses et plus longues… ? »
Je le vis en choisir une autre et précisais :
« Et il faut qu’elle soit bien dure. »
« Et la mie ? Comment elle est ? J’adore m’en mettre plein le bas-ventre, jusqu’à ce que j’en sois complètement remplie ! C’est si blanc, si mou... »
Finalement le boulanger que je connaissais depuis que j’étais toute petite finit par dire :
« Sors d’ici ! Si t’es en chaleur, va te faire mettre ailleurs !! »
Après cette expérience humiliante on continua à se balader en ville. Mes amies discutaient des prochaines vacances lorsque, tout d’un coup, Lisa pointa du doigt quelqu’un dans la rue :
« Regardez, une pute !
— Tu sais il suffit de regarder Cécile pour en voir une, signala Victoria. Mais c’est vrai que la nôtre se fait baiser gratuitement. Et elle aime ça.
— Moi, j’aime pas les putes. C’est sale ce qu’elles font, fit savoir Jeanne.
— Et faut voir comme elles s’habillent, c’est pas décent… rajouta Lisa.
— Ouais, se faire payer pour ça, c’est dégradant pour les femmes… Tu en penses quoi Fifi ? me demanda Hélène.
La vérité est que je trouvais mes amies assez mal placées pour faire la morale et parler de décence. Vu les vêtements qu’elles m’avaient choisis, il n’y avait pas de raison de critiquer ceux de la prostituée. Quant à sa profession, mes amies se faisaient bouffer le berlingot toute la journée à mes dépens alors... Mais je ne voulais pas les contrarier et j’abondais dans leur sens :
« C’est un métier infâme, elle devrait avoir honte.
— Alors, si c’est ce que tu penses, pourquoi tu vas lui dire en face ?
— E-euh… »
Aussitôt les trois s’enthousiasmèrent à cette idée. Surtout Lisa :
« Je veux trop voir la salope se fighter contre la pute ! Ce sera trop drôle.
— En tout cas, Fifi pourra facilement lui faire honte à cette pute. Ses vêtements sont encore plus bandants que ceux de la tapineuse.
— En plus elle n’a même pas besoin de ça…
— C’est clair, niveau physique, la salope est mieux aussi.
— C’est vrai… Tu as compris Fifi ? Tu vas aller voir la pute, et tu vas lui faire honte. Son métier est naze, et en plus tu le ferais vachement mieux qu’elle ! »
Je les regardais assez désarçonnée. Je n’avais jamais parlé à une pute, et en plus il fallait que je m’insulte ? Je ne me sentais pas bien…
« Qu’est-ce que tu attends ? Tu veux prendre des coups de fouet, ou t’es déjà en manque de chatte à lécher ? »
Je savais que mes amies pouvaient se montrer impatientes, alors plutôt que de susciter leur ire je me dirigeais vers la prostituée. Elle me remarqua quand j’étais à dix mètres.
« Hey là, c’est mon trottoir ! Va promener ton cul ailleurs. »
La voilà qu’elle me prenait pour une professionnelle… Vu mes habits, ça pouvait se comprendre, mais tout de même... ça faisait mal.
Mais je n’étais pas là pour me faire offenser, mais pour l’insulter. Je m’y mettais donc de bon cœur :
« Ton trottoir je te laisse, pouffiasse ! Vu comme t’es sale, je veux même pas m’en approcher de toute façon.
— Qu’est que…
— Conasse. Je te dis que tu pues, t’as la moule qui est pourrie et t’as avalé tellement de sperme que tu refoules de la bouche. Je ne comprends même pas qu’on paye, c’est les clients qui devraient recevoir du fric pour s’approcher de toi. »
Si au départ, il n’était pas dans mes habitudes de dire du mal des gens, la permission donnée par mes amies ainsi que la possibilité de me venger de tous mes malheurs sur une autre faisait que j’y prenais peu à peu goût.
« T’es vraiment une sale chienne… À te faire baiser pour de l’argent, salope ! J’espère que t’as honte, t’es vraiment la dernière des traînées !
— HUM HUM ! »
J’entendis un bruyant toussotement derrière moi et me retournais. C’était un homme assez balèze, curieusement vêtu d’un grand chapeau. Sans doute un de ses clients ; il semblait en tout cas vouloir prendre sa défense :
« Pourquoi tu insultes cette pute ?
— C’est une traînée, une suceuse de queue. On devrait la mettre au pilori, que les gens lui pissent à la gueule et lui jette des tomates dessus. »
J’étais encore pris dans l’enthousiasme de pouvoir insulter cette traînée sans frein ; et ça ne me gênait pas qu’un micheton puisse s’en vexer.
« Ah oui ? Parce que c’est ma pute.
— Votre... o-ouais… vous êtes son client, je vais vous dire…
— Non, pétasse, je suis son mac. »
Je fus soudainement très inquiète… Les macs sont le genre d’individu qui traîne dans des affaires louches et bien souvent avec des gens affiliés à une mafia. Je jetais un œil à mes amies pour savoir quoi faire... Elles s’étaient carapatées ! Je fus carrément prise de sueurs froides, je me retrouvais toute seule et dans un sacré pétrin. Il fallait vite que je me sorte de cette situation :
« C’est à dire... qu-qu’elle fait son métier aussi, c’est très normal. Je suis sûr que… euh… e-elle est très pro, et hum…
— Oui, et encore ? » Le regard du mac était tranchant comme une lame de rasoir. Il n’en fallait pas de beaucoup pour que je défaille.
« Je me suis peut-être emportée… Je suis désolé… Après tout, il faut de tout pour faire un monde, et il n’y a pas de sot métier.
— Et toi, t’es quoi ?
— Moi ? Je suis qu’une lycéenne.
— Et t’as quel âge ?
— Ben, dix-huit ans.
— Intéressant, très intéressant… »
Je commençais à transpirer à grosses gouttes... Je détestais qu’il puisse trouver quoi que ce soit "intéressant" sur moi.
« Écoutez... vraiment, je suis navré de ce que j’ai pu dire...
— Ta façon de t’habiller est intéressante aussi, il n’y aurait pas grand-chose à changer pour que...
— D’accord c’était un pari ! Avec des amies ! Je devais m’habiller comme ça et insulter une put... enfin une prostituée.
— Tu fais des paris amusants dis-moi ; et si t’avais pariée de lui tabasser la gueule, tu l’aurais fait ?
— Quoi ? Non ! Je ne veux faire de mal à personne.
— Et en l’insultant, tu ne lui as pas fait de mal ?
— Je suis désolée. Je vous demande pardon.
— Ce n’est pas à moi qu’il faut t’excuser, mais à elle. »
Je me tournais vers la prostituée qui me regardait en souriant de toutes ses dents (et il lui en manquait plusieurs). Elle avait l’air ravi de me voir dans cette sale situation. Je m’approchais d’elle.
« Je suis désolé de vous avoir insulté Madame.
— Mieux que ça, ordonna derrière moi le mac.
— Je suis vraiment une salope ! Jamais je n’aurais dû dire du mal de vous. Je vous en prie, pardonnez-moi.
— Demande pardon à genoux ! » insista fortement le mac.
Je me mis à genoux, posant mes jambes sur le trottoir sale.
« Je ne suis qu’une conne ! Jamais je n’aurais dû vous critiquer. Je vous en supplie, pardonnez-moi !
— ça ira mon chou, répondit la pute.
— C’est bien, elle te pardonne. Maintenant il faut que moi aussi je t’excuse d’avoir insulté ma gagneuse. »
Alors que je m’étais relevée, je me mis à genoux devant lui aussi. Je voyais les passants dans la rue nous regarder se demandant ce qui se passait. Et s’interrogeant sans doute sur ce qui pouvait bien être cette jeune fille qui était si pathétique et qui se mettait à genoux pour supplier une pute et son mac.
« Monsieur, pardonnez à cette grosse abrutie. Je ne savais pas ce que je faisais, je m’en veux terriblement. Si vous voulez que je vous suce...
— Bien, t’as de bons réflexes de pute... Mais pour voir si tu es sincère, tu vas d’abord lécher la chatte de ma tapineuse.
— De cette pute ?!? » ne pus-je m’empêcher de m’exclamer horrifiée.
— Oui, et je te laisse dix minutes. Si dans dix minutes elle n’a pas joui, c’est que ta bouche ne sert qu’à sortir des saletés. Et dans ce cas, t’as un autre trou à saleté dont je me servirais, et après tu pourras utiliser ta bouche pour me nettoyer ma bite.
— Mais...!
— Top départ ! »
Je m’adressais à la pute et lui dit : « Madame, vous voulez bien que je vous lèche ?
— Hey, ça me plairait bien poufiasse…
— Alors si vous voulez bien me suivre… »
Je pensais d’abord lui demander où elle emmenait ses clients, sans doute dans son appartement ou une chambre d’hôtel. Mais si je n’avais que dix minutes pour lui donner un orgasme, rien que le temps d’y aller et j’en serais quitte pour me faire tringler mon trou à merde. Je m’engouffrais donc dans la première ruelle venue, je poussais la pute contre un mur avant de tirer sur sa culotte. J’avais déjà dû laisser passer au moins deux minutes. Je faisais jouir mes amies en général en un quart d’heure. Mais je ne me pressais pas, m’assurant surtout qu’elles prennent du bon temps. J’étais persuadée que je pouvais les faire jouir en cinq minutes si je voulais. Mais c’étaient de simples lycéennes, des pucelles ou presque… Une pute expérimentée, qui se faisait pistonner toute la journée, il faudrait lui faire chauffer la chatte comme une reine pour qu’elle prenne son pied.
J’utilisais toutes les techniques que je connaissais, je mordillais son berlingot tout en utilisant mes doigts, j’enfonçais ma langue loin dans sa chatte. Au bruit de plaisir qu’elle prenait, je savais que ma technique marchait. Puis lorsqu’elle me prit ma tête dans ses mains pour me pousser contre sa fente je me mis à dévorer sa chatte. Je me demandais combien de bites lui étaient passées dessus dans la journée, et si c’était plus "sale" d’être une pute et de servir de dépotoir à foutre, ou d’être la pauvre conne qui léchait la chatte qui avait servi de dépotoir à foutre.
Mais autrement j’évitais de trop penser... je ne pensais même pas aux passants qui pouvaient traverser la rue et me voir en train de servir une pute à genoux. Il fallait que je me concentre, que j’analyse où porter mes coups de langue, quelle zone me semblait la plus sensible selon que sa respiration s’accélérait ou non. Son emprise sur ma tête se faisait plus forte... j’étais tout contre sa chatte, mon nez respirait les effluves de toutes les queues qui l’avaient pénétrée dans la journée. C’était une odeur de sexe crasseuse, de saleté lubrique, la saloperie à l’état pur.
Je léchais, une vraie gouineuse... on aurait cru que j’avais fait toute ma vie. Soudain je sentis son humidité, et l’entendis crier alors qu’elle jouissait. J’avais fini et réussi. Du moins l’espérais-je...
Je revins immédiatement sur l’artère centrale où la tapineuse faisait son métier, je vis le mac en train de regarder sa montre, je criais : « Arrêter le chrono ! C’est bon ! j’ai fait jouir votre pute ! » Je rougis en voyant les passants se retourner pour voir quelle traînée pouvait être aussi fière d’avoir gouiné la chatte d’une pute.
Il regarda sa montre… et sembla impressionné, et peut-être aussi un peu déçu. « Étonnant, je ne pensais pas que des lycéennes pouvaient être assez salopes pour faire jouir aussi vite une de mes gagneuses. Il te restait encore trente secondes. » Bizarrement, je me sentis quand même flattée, mes amies avaient raison, j’étais une vraie salope. « T’as une bouche en or, ma fille. Donne-moi ton téléphone. »
Je le lui donnais, un peu inquiète. Je le vis noter mon numéro, et pianoter quelque chose dans le mien. Quand il me le rendit, je lus qu’il avait ajouté une adresse : "Ton MAC"
« Voilà, si j’ai une pute qu’il faut remplacer parce qu’elle la chatte malade d’avoir trop baisé, je t’appelle. Je suis sûr que tu feras du bon boulot. Et n’hésite pas à appeler, je peux te trouver un bout de trottoir où tu pourras te faire un peu d’argent de poche. Et maintenant casse-toi, pétasse, avant que je décide de te péter le cul quand même.
Je m’enfuis. J’avais une boule au ventre. Mais je me rassurais, je ne pouvais pas devenir sa pute ! il n’avait aucun moyen de m’y obliger. Et puis mes amies allaient me protéger, non ? C’est vrai qu’elles m’avaient lâché aujourd’hui… mais c’était l’exception qui confirme la règle, non ?
Le soir, je passais une partie de la soirée à nouveau à genoux. Ma "tenue décontracté" plaisait en effet à André qui ne se laissait pas de me peloter, ébahi par la transparence des vêtements, ce qui ne manquait pas de remettre son bâton d’aplomb. Je bus du jus de couille une bonne partie de la soirée. Il tenait à en profiter, car étant commercial il allait partir dans quelques jours sur les routes… Si je lui assurais que je regretterais son absence, je ne cache pas qu’en mon for intérieur je me réjouissais que ma langue puisse passer quelque temps sans avoir à lécher un gland.
Je m’appliquais pour le repas de façon à ce que Victoria n’ait pas à se plaindre, et je pus dormir d’un repos mérité. Même si je mettais le réveil assez tôt pour me réveiller la première et préparer le petit déjeuner. Petit déjeuner que je passais surtout sous la table à m’occuper du mandrin de Monsieur André pendant qu’il buvait son café.
Je fis ma toilette et m’habillais de mes vêtements d’actrice porno. Enfin ce qu’il était convenu d’appeler selon la dénomination officielle ma "tenue de cours". Je partais pour le lycée, sûrement que mes amies seraient d’autant plus sympa qu’elles avaient à se faire pardonner...
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