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Avec des amies comme ça…

Chapitre 22

Jeanne

Trash
Au point où j’en étais, ma déchéance était totale. Que ce soit vis-à-vis de ma famille, du lycée, et même de toutes les personnes que je connaissais en ville... pour tous, j’étais connu comme une salope, une nympho. J’étais une paria à qui on ne parlait que si l’on cherchait à tirer son coup. Quand à mes amies, elles m’utilisaient comme jouet sexuel, j’étais leur esclave condamnée à les servir de toutes les façons possibles… toute tentative de rébellion était sanctionnée. Mes fesses avaient beau être tatouées de leurs empreintes, ça ne les empêchait pas de se servir d’un fouet ou de règles sur mon derrière quand elles en avaient envie. Si les choses continuaient ainsi, je me demandais ce que j’allais devenir… Mes amies allaient-elles encore longtemps s’amuser à m’humilier, à se servir de moi comme d’une chienne sans cervelle, ou allaient-elles finir par se lasser de moi ? Et qu’elle serait mon sort dans ce cas ? M’obligeraient-elles à ce que je fasse le trottoir pour que je leur rapporte des sous ? Ou me renverraient-elles chez mes parents, m’obligeant à sucer mon père jusqu’à ce qu’il me pardonne ? Ou me laisseraient-elles tomber comme une merde dans le caniveau, m’abandonnant sans abris, sans soutiens, avec juste ma réputation de plus grosse salope ?
Les nuits je pleurais, j’étais désespérée. Mon avenir m’apparaissait bien sombre, tout allait de mal en pis. Jusqu’au jour où…
C’était un samedi, comme d’habitude je résidais chez Victoria quand Jeanne sonna à la porte. Elle expliqua rapidement ce qu’elle voulait :
« Tu as besoin de la salope ?
— Fifi ? Pas tant que ça, répondit Victoria. Cette conne m’a déjà bien bouffé la chatte au réveil… Je crois que je pourrais m’en passer quelque temps.
— Tant mieux, cette pute peut me servir…
— Tu veux que je lui passe la langue au savon ? J’aime bien que sa bouche soit propre avant qu’elle ne se mette à travailler sur moi.
— Ah non. J’en ai pas besoin pour ça… enfin... pas que pour ça. J’ai une compétition dans trois heures, et j’ai besoin d’avoir un sac d’urine sain avec moi.
— Ah, ça, pisser elle sait faire. Bon, je vais te la chercher. »
Je n’étais en fait qu’à quelques mètres d’elles. À genoux en train de passer le chiffon dans le séjour. Victoria m’indiqua de passer ma tenue « sportive » et de suivre Jeanne dehors. Ce que je fis avec joie. Entre le père pervers et la fille qui adorait trouver de nouvelles méthodes pour me torturer, je me sentais comme une prisonnière à qui on venait de donner une permission de sortie.
Mais bien sûr, Jeanne n’était pas beaucoup plus commode que mes autres amies. Elle était peut-être moins perverse, mais elle compensait par sa brutalité. À peine Victoria avait-elle fermé la porte que Jeanne me donnait une double claque pour avoir trop traînée. Elle ne prit même pas la peine de m’expliquer ce qu’elle attendait de moi, se contentant de me dire :
« Suis-moi, pétasse. »
Ce que je fis, bien sûr. Elle me donna à porter son sac de sport, il devait contenir sa tenue de course. Je restais quelques mètres derrière, et l’on marcha une bonne demi-heure sans qu’elle me dise un mot. Je crois qu’elle ne me considérait à peine mieux qu’un chien. J’avais en tout cas l’occasion de l’observer et me comparer à elle ; elle portait un jean neuf qui contrastait avec mon mini-short découpé vulgairement ; un polo blanc Lacoste tandis que moi j’étais vêtu d’une brassière qui me comprimait les seins et me donnait l’air salope. On finit par arriver au centre athlétique de la ville. Il incluait un stade, un grand terrain de foot, un gymnase, une piscine ainsi que quelques cours de tennis. Et il y avait pas mal de monde pour un samedi, apparemment il y avait une compétition auquel participait Jeanne. J’avais compris qu’elle était une sprinteuse, mais je me doutais que ce n’était pas pour que je l’encourage des gradins qu’elle avait besoin de moi. À peine entrée dans le centre, elle me fit aller aux toilettes. Je pensais qu’elle allait me demander à ce que je lui lèche la chatte avant qu’elle ne débute l’épreuve, mais à la place elle sortit une grande bouteille d’eau :

« Bois ça, poufiasse ! »
Je portais la bouteille à ma bouche et me désaltérais. Après avoir fini de boire je lui rendis, mais elle insista :
« Bois la bouteille en entier, débile ! »
Avant que je ne puisse esquisser la moindre tentative de refus, je reçus une méchante mandale au visage.
« Et plus vite que ça pauvre conne ! »
La bouteille était d’un litre et demi. Je sentis mon estomac se plaindre à la perspective de que j’allais faire. Je portais à nouveau la bouteille à la bouche versant cette fois l’eau directement dans ma gorge. Je pris quand même cinq minutes pour tout boire. Je me sentais l’estomac rempli à sa capacité maximale, prêt à craquer.
« Écoute, j’ai un sprint qui commence dans un quart d’heure. Pendant que je serais absente, tu as l’interdiction de pisser. On m’a prévenu qu’il y aura un contrôle antidopage, alors quand je reviendrais, il y aura un surveillant avec moi. Il ne faut surtout pas que tu fasses de bruit, j’entrerais dans la cabine voisine de gauche et je te ferais passer un gobelet sous la cloison. Tu pisseras dedans. Avec toute l’eau que tu as bue ça ne devrait pas te poser de problème, mais ne le remplit pas trop non plus. Je ne veux pas que ta pisse dégueulasse me déborde sur les doigts. Ensuite, tu restes silencieuse juste à ce que je sorte des toilettes, ce n’est qu’à ce moment que tu pourras pisser comme tu veux. Puis tu attends que je revienne te chercher. Tu as compris ?
— Oui, Jeanne.
— J’espère pour toi, parce que s’il y a le moindre problème, tu n’imagines même pas ce que je te ferais subir. »
Jeanne partit sur ces menaces, et il ne me restait plus qu’à attendre. Au moins, je n’avais rien d’humiliant à faire. Je me demandais combien de personnes sur terre pouvaient trouver qu’être enfermée dans des chiottes s’apparentait à une sinécure.
Une heure plus tard j’entendis Jeanne entrer. Les bruits de pas indiquaient que quelqu’un était avec elle ; mais c’est elle que j’entendis parler :
« Bon, vous n’avez pas besoin de me voir pisser quand même ?! »
Il y eut un faible "non" en réponse, et elle s’enferma dans un cabinet. Elle fit passer le gobelet sous la cloison et immédiatement je le prenais et pissais dedans. Avec tout ce que j’avais bu, ça ne me prit que quelques secondes. M’arrêter fut par contre plus compliqué, je fis un effort pour couper les vannes et espérais que je ne l’avais pas trop rempli.
Je repassais le gobelet sous la cloison et quelques secondes plus tard Jeanne sortait en disant :
« Tenez voilà votre fichue pisse. J’espère que vous êtes content ! »
Elle repartit et ne revint qu’une demi-heure plus tard pour me faire sortir des toilettes. Pendant ce temps, des idées étranges rodaient dans ma tête, je n’arrivais pas bien à mettre le doigt sur ce qu’elles signifiaient. Mais c’est comme si un coin de mon cerveau s’était allumé pour me dire de me réveiller.
De retour elle tambourina sur la porte pour me faire sortir. Bien entendu, elle n’eut aucun mot de remerciement à mon égard pour l’avoir aidé à tricher à son test antidopage. Mais, pour honnête, je m’y attendais, tout comme je ne fus pas surprise quand à peine sortie du centre, elle me tira par les épaules jusque dans un coin isolé. Là, elle fit pression sur mes épaules pour que je m’agenouille et s’exclama :
« Putain, ça m’a excité, lèche-moi ! »
Elle retira son short et sa culotte, puis comme à l’accoutumer j’enfonçais ma langue dans son intimité. J’étais maintenant complètement habitué à fourrer ma langue dans le trou visqueux de mes amies, à tel point que je ne savais pas si j’étais lesbienne ou non. Je veux dire, je ne peux pas dire que je fantasme sur le fait de lécher des chattes, mais rien ne me semble plus naturel que de le faire. Mais dans ce cas-là, elle puait la sueur et la transpiration, je la sentis mettre les mains sur ma tête pour que je ne puisse pas me dégager pendant que je lui lèchais l’abricot.
À ce moment, tout changea pour moi. Je n’avais pas envie de lécher une moule puante, je n’avais pas envie d’être le jouet sexuel de mes amies. Et pour la première fois, je sentis confusément que j’avais l’opportunité de commencer à me dégager du mauvais pas ou je m’étais fourrée. D’un geste, je me projetais en arrière pour éviter qu’elle ne me saisisse les cheveux et criais bien fort : « NON ! »
— Hey salope, tu crois que je te demande ton avis.
— Non, alors tu sais quoi ? Je retourne au stade, et je leur dis que l’urine c’est la mienne, que tu es dopée comme une mule. Et là, tu seras interdite de compétition. Qu’est-ce que tu en dis ?
— Tu feras pas ça, salope.
— Non ?
— Non, sinon… et bien je le dis à Hélène.
— Et alors ?
— Et alors ? et bien… elle va trouver quelque chose qui te fera regretter de m’avoir menacée.
— Sans doute que tu as raison… ça, je le sentirais passer. Mais en attendant, toi, tu seras exclu des compétitions pour les dix prochaines années au moins. Alors pendant qu’Hélène me fera souffrir, faudra que tu penses à changer des vœux sur Parcoursup… je ne crois pas qu’ils acceptent les sales tricheuses en école de sport.
— Tu vas pas faire ça…
— Non ? Regarde-moi bien alors… »
Là-dessus, je m’éloignais d’elle pour me diriger vers le centre athlétique, bien décidée à dévoiler toute la vérité sur les mensonges et le dopage de mon amie. J’étais en train d’ouvrir la porte d’entrée quand je sentis une main se poser sur mon épaule... Jeanne avait remis son short et avait couru pour me stopper ; elle se mit à m’implorer :
« Non, attends… je t’en prie, ne fais pas ça… répéta-t-elle.
— Bon d’accord, je vais pas faire ça. Et tu sais pourquoi ?
— Euh… non…
— Parce que tu vas te mettre à genoux et que tu vas me lécher la chatte, pouffiasse. »
Un moment passa, peut-être dix ou vingt secondes qui me parurent durer des minutes entières. J’avais l’impression que les mots que je venais de prononcer ne pouvaient pas vraiment sortir de ma bouche... Jamais je n’aurais dû avoir le droit de dire ça, et pourtant je l’avais dit… Jeanne était estomaquée par mon audace :
« Tu rêves ! »
Mais je voyais à son air angoissé que c’était plus un souhait qu’un refus. Il y avait d’un côté son avenir en jeu, et de l’autre simplement moi. Il était évident qu’il suffisait que j’aille au bout de ma menace pour qu’elle rende les armes.
« Ok, je retourne au centre alors.
— Non ! Ne fais pas ça ! Merde ! Qu’est ce que tu veux !?
— Rien de compliqué... que tu fasses absolument tout ce que je dis, et sans rechigner.
— Ok… d’accord ! Si ça te fait plaisir, mais tu me jures de ne rien dire sur le dopage.
— Tout ce que je jure, c’est que je te foutrais dans une merde noire si tu me fais chier… Et d’abord, mets-toi à genoux. »
Et à ce moment, je faillis défaillir. Pendant des mois j’avais été soumise à toutes les humiliations, toutes les vexations ; et là, aujourd’hui, j’avais une des filles qui n’avait cessé de me faire souffrir physiquement et mentalement à genoux devant moi. C’était trop beau pour être vrai. Je voulais conserver ce souvenir en moi pour toujours, même si les choses finissaient par mal tourner. À moitié pour confirmer que ce n’était pas une illusion, et à moitié pour mettre les choses au clair je dis :
« Déclare que tu es ma salope. Que tu vas me servir comme une esclave et satisfaire à toutes mes volontés.
— je suis déjà à genoux, merde ! Ça te suffit pas ?
— Oh que non… Si j’étais satisfaite, je te le ferais savoir. Maintenant, supplie-moi !
— Ah merde… bon, je suis ta salope, ton esclave, je ferais tout ce que tu veux… Voilà… tu es contente, je peux me relever maintenant ?
— Hum… attends un peu… »
En fait, je venais de voir quelqu’un arriver, et je tenais à ce qu’une personne soit témoin que j’étais la maîtresse de cette chienne. Juste pour le plaisir que ce ne soit pas moi, cette fois, qui soit humiliée. Ça ne manqua pas, un jeune homme ouvrit la porte pour sortir, je fixais des yeux le visage de Jeanne et je jouissais presque de la voir si déconfite. Se trouver dans cette situation d’abaissement lui faisait baisser les yeux de honte. La pensée de ce que ce type pouvait supposer d’elle lui faisait rougir les joues. La crainte qu’elle ne se fasse rapidement une réputation de sa salope lui faisait plisser le front. Je ne résistais pas à en rajouter. Je parlais bien fort pour qu’elle sache que l’homme m’entendait :
« Très bien Jeanne, tu obéis comme une bonne salope. C’est un bon début. Mais on va voir si tu es prête à m’obéir comme une vraie chienne. »
J’attendais une réponse, mais je compris vite qu’elle n’osait pas parler. La honte lui avait cloué le bec. Ce n’était pas plus mal.
« Viens, chienne. »
J’ouvrais la porte du centre et entrait, Jeanne me suivit. Elle s’était remise debout, mais n’avait l’air beaucoup plus fière que quand elle était à genoux. Je ne connaissais pour ainsi dire rien du centre sportif, à part les toilettes… C’est justement là que je l’emmenais. En entrant dans les W.C., je sentis Jeanne hésiter derrière moi je lui lançais d’un ton méchant :
« Suis-moi, sale conne. »
Elle me suivit, j’entrais dans une cabine et refermais quand nous y fûmes toutes les deux.
« Tu sais ce que j’attends de toi je crois. »
Jeanne me regarda un moment, vingt bonnes secondes... Espérant voir dans mes yeux que je plaisantais ou que je n’avais pas le courage d’aller jusqu’au bout. Mais non, mon regard était dur, sans pitié et surtout libidineux. Elle se mit donc d’elle-même à genoux pendant que je retirais mon ridicule short et mon string jaune. Je la vis grimacer en s’approchant de ma chatte, hésiter à tirer la langue… Je me régalais de sa honte, puis je sentis enfin sa langue me toucher la chatte. C’était la première fois. Je sentis sa douce petite langue commencer à s’enfoncer dans mon abricot. Je compris vite pourquoi je passais autant de temps entre les jambes de mes amies, c’était délicieux ! Je me sentais frissonner en sentant l’intrusion tendre dans ma chatte, les léchouilles contre mes parois sensibles. Quelle salope ! Sans même y réfléchir, je pris sa tête entre mes mains pour la coller contre ma fente ; comme elles me le faisaient souvent. Je détestais ça quand on me le faisait à moi. J’avais l’impression d’être prisonnière, d’être forcée de lécher pour acquérir ma liberté.
Comme c’était autre chose quand on était aux commandes. Comme c’était jouissif de tenir la tête de cette pute entre mes doigts. Je serrais fort, elle ne devait plus avoir le moindre espace de liberté, elle ne pouvait rien faire d’autre que de me lécher. Ses mouvements de langue se faisaient plus rapides, plus pénétrants, plus jouissifs…
Je ne pus m’empêcher de gémir :
« Gmnnnnn… »
J’aurais peut-être dû vérifier s’il y avait quelqu’un dans les cabines voisines... Mais au fond, je m’en foutais. Qu’est-ce que ça pouvait bien faire ? Ce n’est pas comme si je n’avais pas été humilié des centaines de fois en train de faire la salope. Et cette fois, c’est moi qui recevais des gâteries et c’est Jeanne qui devait se sentir honteuse.
Je sentais ma fente s’humidifier peu à peu. Le cunnilingus était rudement efficace sur moi, ce qui fit me demander si mes amies n’auraient pas eu raison par hasard ; si je n’étais pas une salope, pour de vrai. Mais peu importait que j’en sois une ou non, d’ailleurs je me rendais compte que ça n’avait aucun sens, nous étions toutes des salopes, la question était de savoir qui avait le contrôle. Et pour le moment, c’était moi !
« Lèche-moi, salope ! Mieux que ça ! »
En disant ces mots, je sentis mes jambes fléchir et je dus m’asseoir sur la cuvette des toilettes, ce qui força Jeanne à se mettre à quatre pattes sur le sol des chiottes pour continuer à me bouffer le con. Je pris une photo d’elle sur mon téléphone, c’était trop beau, j’avais ma propre chienne. J’imaginais que j’allais me masturber souvent sur cette image.
Je ne tins pas plus longtemps, je me sentis jouir dans sa bouche. Mais je ne laissais pas faiblir mon emprise et la forçais à boire toute ma mouille. Quand je finis par la laisser relever la tête, je pus voir qu’elle avait encore les bords de la bouche brillants de ma cyprine. Je me sentais fière et victorieuse.
Pendant que je finissais de reprendre mon souffle et mes esprits, Jeanne semblait elle aussi reprendre peu à peu sa contenance. Elle grimaçait, lécher la chatte de celle qu’elle avait toujours considérée comme une esclave devait lui laisser un arrière-goût bien amer.
« C’est bon, on est quitte maintenant ? »
Je ne pus m’empêcher de rire
« AH AH AHA ! Quitte ? Non mais tu crois quoi ? Après tout ce que toi et les copines m’avez fait subir, je vais me contenter de me faire juste lécher la chatte ? Tu rêves.
— Mais… de toute façon, c’est toi qui n’as pas le choix. Elles ne voudront jamais que tu sois autre chose que leur salope. Si tu fais quoi que ce soit contre moi, elles te le feront payer. Et crois-moi, je participerais aussi, même si je dois me faire exclure de toutes les écoles de sport.
— Je sais, je sais… Lorsque tu seras avec elles, tu agiras comme d’habitude… Enfin, ne prends pas d’initiatives stupides parce que tu le regretterais quand on sera seules. Si je reste leur salope pour l’instant, toi tu es mon esclave cachée. Quand à nos "amies" je trouverais bien le moyen de leur faire payer. Elles sont trop sûres d’elles, elles me sous-estiment… Grâce à elles, je sais maintenant ce que c’est que la cruauté, et je vais leur en faire goûter à ma sauce. »
Jeanne sembla gênée. Je me demandais si c’était parce qu’elle regrettait de m’avoir infligé des sévices ou si c’était parce qu’elle craignait ce que je pourrais lui faire subir.
Si c’était le dernier cas, elle avait raison de trembler :
« Jeanne, je crois qu’avant que l’on reparte, il faut que tu me montres que tu regrettes de m’avoir obligé à participer à ta combine de fraude.
— Oh… ça, je regrette maintenant. Crois-moi...
— Je me fiche de ce que peut bien dire une salope, une esclave… Je veux des actes. »
Jeanne sembla hésiter, puis elle se remit à genoux et déclara :
« Je t’en pris maîtresse, pardonne-moi d’avoir abusé de toi. Je m’en veux terriblement.
— Tu ne comprends rien de ce que je dis ? Fais quelque chose pour te faire pardonner… »
Jeanne me regardait sans comprendre. J’aimais assez cet air perdu ; elle devait se demander ce que j’avais derrière la tête. Comme elle ne réagissait pas, je décidais d’enfoncer le clou.
« Puisque tu ne veux pas prendre d’initiative pour montrer ta contrition, c’est moi qui vais t’en imposer. Allons plus loin… »
Je sortais des W.C., Jeanne me suivait de près. Je ne savais pas vraiment comment était organisé le centre athlétique, mais je trouvais malgré tout rapidement ce que je cherchais : une salle de stockage. J’entrais dedans et commençais à farfouiller… Je repérais vite tout ce dont j’avais besoin pour mettre en œuvre mon plan. D’abord je dis à Jeanne de se mettre à genoux, ce qu’elle fit. Je pris un filet de tennis et m’en servais pour l’en entourer, puis je coinçais les poteaux de telle façon qu’elle se trouvait incapable de se mouvoir. Je n’étais pas sûre qu’elle apprécie ce que je comptais lui faire, et je préférais prendre des précautions pour qu’elle ne s’échappe pas. Ceci fait, j’examinais les plots jusqu’à en trouver un de trente centimètres au bout percé.
Pendant ce temps Jeanne n’arrêtait pas de m’interroger, de plus en plus paniquée :
« Qu’est-ce que tu fais ? »
« Pourquoi tu m’attaches ? C’est pas la peine vraiment… »
« Allez, s’il te plaît… C’est pas drôle, si tu veux que je fasse quelque chose dis-le simplement. »
« Allez… Arrête… »
« S’il te plait ! Ne fais pas ça… »
Je revins vers elle avec mon plot percé, et un grand sourire sur les lèvres. Sans lui expliquer encore mon idée, j’enfonçais le cône dans sa bouche. Et pas qu’un peu, je m’assurais qu’il lui arrive jusqu’au fond de la gorge.
« Et surtout, ne recrache pas ! »
Je me demandais si elle avait déjà fait une pipe. En tout cas, même si ce n’était pas le cas, elle serait capable de faire une gorge profonde dès son premier essai.
Puis je retournais vers le fond de la pièce, il y avait entreposé toute une palette de bouteille d’eau minérale. J’en rapportais un pack de huit avec moi...
« Tu te rappelles quand tu m’as fait boire pour que je puisse pisser ? Eh bien, ça va être à ton tour maintenant. »
Je pus voir ses yeux s’écarquiller à mesure qu’elle saisissait mes intentions et comprenais ce que je comptais lui infliger. Aussitôt elle tenta d’éjecter le plot de sa bouche, mais elle n’y arrivait pas bien ; il était trop enfoncé. Et puis, il me suffisait d’un geste pour le lui enfoncer encore plus profondément dans la gorge.
Je débouchais la première bouteille, et comme toutes ces émotions m’avaient donné soif, j’en bus une gorgée. Ça me fit du bien, mais je doutais que Jeanne apprécie pareillement de se faire réhydrater. Je regardais la contenance de la bouteille : "1.5 l" pas de quoi fouetter un chat. J’en versais la moitié dans le cône. Je pouvais voir l’eau descendre directement dans la gorge de Jeanne. Ses yeux restaient grands ouverts.
« Il m’a semblé que tu avais soif, j’avais tort ? »
Elle me lança un regard méchant.
« Oh, je vois, tu n’en as pas eu assez. »
Et je versais le reste de la bouteille. J’étais surprise. Quand j’étais la cible des attaques de mes amies, il m’arrivait de me demander comment elles pouvaient m’infliger de tels actes de cruautés sans avoir de remords. Mais maintenant que j’étais de l’autre côté, ça me semblait si facile…
« Alors tu veux encore boire ? » Dis-je en ouvrant une deuxième bouteille. Cette fois-ci, ses yeux n’avaient plus du tout cet éclat méchant. Ils semblaient pleins de contritions, prêts à me demander pitié. Elle secouait aussi la tête de façon frénétique… Mais pour l’instant la pitié, je n’en avais pas. Je n’avais que de la rage. Et Jeanne était là pour que je déverse cette fureur en elle, comme je versais l’eau dans sa bouche.
« Pourtant c’était ce que tu m’as fait boire… Et toi, avec tout le sport que tu fais, tu as besoin de boire beaucoup plus, pas la peine de me remercier… »
Je versais la moitié de la seconde bouteille. Elle devait s’attendre à ce que je lui laisse du temps pour « digérer » tout ça. Mais au bout de dix secondes, je reversais le reste de la bouteille dans le plot.
Trois litres déjà.
Je retirais le plot de sa bouche. Aussitôt elle se mit à rugir :
« Salope ! Je vais te tuer ! comment ose… »
Elle ne finit pas sa phrase. J’avais renfourné le bout en plastique dans sa bouche.
« Il paraît que boire de l’eau, ça rend aimable et ça calme les nerfs. On va voir si c’est vrai. »
J’ouvrais une troisième bouteille et en versais de nouveau la moitié. Je lui laissais le temps de tout avaler, un peu près trois minutes. Et recommençait, jusqu’à vider la bouteille. Comme je n’avais vraiment, mais alors vraiment pas apprécié le ton qu’elle avait pris avec moi, je n’attendais pas longtemps avant de passer à la quatrième. Ses yeux étaient grands ouverts et je pouvais lire de la terreur en eux. Elle agitait la tête comme une folle pour échapper à son châtiment. Elle pouvait bien faire ce qu’elle voulait, je m’assurais juste que le plot reste bien en place et je versais l’eau dedans, la moitié de la bouteille. Puis quatre minutes plus tard, l’autre moitié.
Je calculais rapidement où j’en étais, deux fois trois litres, ça faisait six litres. Pas mal déjà. Je me demandais comment son estomac allait supporter tout ça. Et à ce moment, j’eus un début de réponse, je vis de l’eau se répandre sous elle… Sauf que ce n’était pas de l’eau, mais de la pisse ! Je me mis à me marrer :
« Ah ah ah ! ah ! Regarde-toi pauvre conne, t’es même pas capable de boire sans te pisser dessus ! T’es vraiment pathétique, tu trouves pas ? »
Je la vis hocher la tête. Visiblement, elle n’avait plus envie de me contrarier.
« T’es un vrai petit bébé. Il te faudrait des couches… mais les bébés, tu sais ce qu’ils font aussi ? »
Là, elle secoua négativement la tête.
« On leur donne le biberon à boire ! Ah ah ah ah ! »
Je la vis se mettre à pleurer, elle n’avait pas tort, ça lui permettait d’évacuer de l’eau. En tout cas, j’ouvrais la cinquième bouteille et versais à nouveau, avec une petite pause au milieu avant qu’elle ne finisse par tout boire. Je décidais de lui donner une nouvelle chance ; je retirais le plot de sa bouche. Je la vis d’abord chercher à respirer de l’air, puis à supplier :
« Pitié ! J’en peux plus ! Je vais crever !
— Ben, ce ne serait pas une grosse perte…
— Je t’en supplie ! Arrête ! Je ferais tout ce que tu veux.
— Ça, j’y compte bien, après tout qu’est-ce que tu es ?
— C-ce que je s-s-suis ? J-j-je suis ta salope ! ta pute… je suis tout ce que tu veux.
— Tu es mon esclave, crâne de piaf, ma chose… Et avant ça, qu’est-ce que tu étais ?
— Je… j’étais méchante ?
— T’étais une connasse ! Une pouffiasse ! Salope ! Sale pute ! Et qu’est-ce que tu aurais fait si j’étais à ta place et que je te demandais d’arrêter ? Hein ? Qu’est-ce que tu aurais fait !
— J-j’aurais arrêté ! Pitié… je… »
Je lui remis le plot bien profondément dans sa gorge, et sans attendre je débouchais une nouvelle bouteille pour la lui verser dedans. J’étais en rage ! Cette salope... elle refusait encore de reconnaître comme elle avait été cruelle, comme elle s’était comportée en ignoble pute avec moi. J’allais lui montrer. Cette fois je versais la bouteille d’un coup, pas une seule pause, elle dut tout avaler. Et ce n’était pas fini. J’en ouvrais une autre et commençais à verser. Je voyais qu’elle pleurait, qu’elle se pissait dessus aussi. Quelle conne. Mais je me sentis me calmer. Cette fois, je fis trois bonnes pauses pour vider la bouteille. Je me sentais généreuse. Quand je jetais la bouteille derrière moi, je me rendis compte que du pack de huit bouteilles d’origine, il n’en restait plus qu’une.
Je réfléchis un instant, sept bouteilles d’un litre et demi, ça faisait… Dix litres et demi. Je regardais à nouveau Jeanne. J’entendis un « plouc ! » Le bouton de son jean avait cédé. Son ventre avait grossi de dix kilos. Elle qui était sportive et tonic, on aurait dit une baleine. Une baleine échouée dans sa pisse.
Je retirais le plot.
« Pitié… je t’en supplie ! J’étais une vraie connasse ! Je mérite tout ça… Mais j’en peux plus… Pitié, maîtresse… Je serais ton esclave, je ferais ce que tu veux… Mais plus d’eau. »
J’étais un peu mal à l’aise. J’étais peut-être allée trop loin. Elle avait quand même dix litres de flottes dans le ventre. Mais j’essayais de faire comme si je pensais encore à lui en rajouter.
« Bon, tant que tu te comportes comme une bonne esclave, je pourrais faire preuve d’indulgence, j’espère que tu as compris la leçon. Ne m’énerve pas, où tu le regretteras.
— Oui ! Oui ! Pitié… Je serais ta pute ! Tout ce que tu veux… Je n’aurais jamais dû me comporter comme une garce avec toi ! Je regrette ! »
Je retirais le filet de tennis autour d’elle. Elle commença à se lever. Le reste des boutons de son jean finirent par être éjectés, son ventre bombait hors de son pantalon de façon disproportionnée et dégoûtante. Puis au bout de deux pas, elle tomba au sol. Elle n’était pas habituée à avoir une telle masse dans l’estomac. Mon premier instinct aurait été de l’aider à se relever, mais je me repris vite. Il fallait que je lui montre qui était la patronne, je ne pouvais pas montrer de faiblesse ou elle risquait de penser qu’elle pouvait me trahir. Je lui donnais donc plutôt un coup de pied dans les fesses :
« Lève-toi ! Plus vite que ça, esclave ! »
Je l’entendis péter. Je n’en fus pas trop surprise, il était évident que mon coup de pied et son estomac rempli allaient produire cet effet-là. Dire que deux heures plus tôt j’étais la salope de cette pétomane... Elle finit par se remettre debout, mais évita de trop bouger. Elle prenait l’habitude de son nouveau centre de gravité. Pendant ce temps, je pris une serpillière et épongeais vite fait sa pisse. Puis je posais le tissu imbibé d’urine sur sa tête. Je lui demandais de se tourner et de me sourire en faisant un signe du pouce pendant que je la prenais en photo.
La pose était saisissante. Son ventre débordant de son polo donnait l’impression qu’elle était enceinte, mais l’allure générale qu’elle donnait était celle d’une abrutie : La pisse lui dégoulinant sur les cheveux, son sourire hésitant qui avait l’air d’être celui d’une débile, son jean ouvert et trempé d’urine qui la faisait passer pour une attardée mentale incontinente.
Je la fis sortir du local, puis du centre, je l’autorisais alors seulement à retirer la serpillière de sa tête. On alla ensuite à l’arrêt de bus. Il ne fallut attendre que quelques minutes avant l’arrivée d’un car. Je lui dis qu’on allait monter dedans. Elle hésita :
« C’est que… j’aurais besoin de faire pipi…
— J’en ai rien à foutre. »
Je montais dans le bus, elle hésita un instant puis me suivit. Le car était à moitié plein, et je trouvais facilement une place. Jeanne voulut s’asseoir à côté de moi, mais je l’en empêchais :
« Tu ne t’assois que si je t’y autorise, esclave. »
Elle resta debout, dans l’allée centrale. Je la regardais attentivement et au bout de cinq minutes elle grimaçait méchamment, et sautait d’un pied sur l’autre. Elle se pencha vers moi :
« J’aurais vraiment besoin de descendre pour faire pipi.
— On descendra quand je le déciderai, maintenant, tais-toi. »
Deux minutes plus tard, j’entendis un bruit d’eau. Elle pissait dans sa culotte. Je ne fus pas la seule à le remarquer. Les conversations que j’entendais derrière moi étaient du genre :
« Quelle cochonne ! Elle n’a pas honte ? »
« Non, mais c’est dégueulasse ! Y a vraiment de ces souillons de nos jours. »
« Regarde cette pute ! Elle se pisse dessus la conne. »
« Oh bordel ! C’est qu’elle pue ! »
Bien sûr, beaucoup se mettaient à la prendre en photo ou en vidéo… Je pouvais la voir rougir de honte, elle pleurait même. Comme si moi je n’avais pas pleuré... cette conne n’avait que ce qu’elle méritait. J’attendis encore cinq arrêts avant de descendre, le temps que la honte qu’elle ressentait s’enfonce bien profondément dans ses entrailles, qu’elle n’oublie pas ce que je pouvais lui faire.
L’arrêt était proche d’un petit espace boisé pas très loin de chez Victoria. Je m’y dirigeais et dis à Jeanne :
« C’est bon esclave… Tu peux rentrer, je n’ai plus besoin de toi.
— M-m-merci… »
— Mais avant ça… tu ne peux pas rentrer chez toi avec cette… bedaine. Tes parents se demanderaient qui a bien pu te mettre en cloque…
— J-j-je…
— Ne t’inquiète pas, j’ai la solution. Allonge-toi sur le dos derrière ce buisson. Tu peux être tranquille, le parc est presque toujours désert.»
C’est ce qu’elle fit. Pendant ce temps, je retirais mes chaussures et m’approchais d’elle. Quand elle fut allongée, son gros ventre bien visible, je mis le pied dessus et poussais bien fort !
« Oooooh ! » cria-t-elle.
Pendant qu’elle expulsait de l’air par sa bouche, un énorme jet de pisse lui sortit par le bas. Je ne m’arrêtais pas, appuyant du pied avec plaisir, vidant cette outre trop pleine avec entrain. Son jean était trempé et puait la pisse comme c’était pas permis… Je me demandais comment elle expliquerait ça à ses parents, puis décidais que je m’en fichais bien. Moi, tout ce que je voulais c’était de jouer au trampoline avec son ventre. Je me mis debout sur elle, je sentis presque son ventre fondre et se vider alors que j’étais dessus. Au bout de dix minutes j’admirais le résultat. Elle était trempée, mais ne semblait plus être en cloque de huit mois.
« Alors tu me remercies de te rendre présentable devant tes vieux ?
— Merci Maîtresse… Je vous suis reconnaissante. »
Je l’avais vraiment domptée. Restait à savoir si elle finirait par cracher le morceau à nos amies. J’espérais vraiment que non, il fallait que je me venge d’elles aussi, et pour ça, il fallait les prendre par surprise…
Je laissais Jeanne dans son urine et retournais au domicile de Victoria… J’aurais dû me sentir plus que satisfaite, mais je brûlais surtout de désir de vengeance. Ce que j’avais fait subir à Jeanne avait été brutal et c’était approprié à son sadisme. Les autres aussi subiraient des humiliations à la hauteur de celles que j’avais subies. Si je voulais vraiment me sentir libre, il fallait que mes amies connaissent et ressentent vraiment l’horreur de ce qu’elles m’avaient infligé…
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