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Avec des amies comme ça…

Chapitre 23

Victoria : un plan réussi ?

Trash
Si auparavant je me morfondais dans un désespoir noir, j’acceptais cependant ma situation. Je considérais mon asservissement comme naturel, comme une évidence. Mais maintenant, ce n’était plus le cas. Je savais qu’il était possible de m’en sortir, et je cherchais chaque occasion de rendre les coups. Et ce n’était pas évident, rien ne se présenta pendant une semaine, une longue semaine… Sept jours que je passais à lécher la chatte de mes amies. Je les voyais sourire et gémir pendant que j’avais le visage entre leurs cuisses, ma langue profondément enfoncée dans leur moule. Je savais depuis samedi dernier comme il était délicieux de se faire bouffer l’abricot, quel plaisir sensuel extraordinaire ça représentait et comme il était bon de se faire titiller le bouton d’amour. Je rageais en silence d’être celle qui devait leur faire ce bonheur. D’autant que jamais je ne recevais un mot de remerciement. Tout ce qu’elles pensaient à me dire était quelque chose du genre : « Lape-moi la mouille, salope, puis apporte-moi un café. »
Quant à Jeanne, elle ne demandait rien… elle avait bien trop peur de ce que je pouvais lui faire subir si elle me déplaisait. Elle avait raison, si je n’avais pas fait attention à me maîtriser, j’aurais pris un grand plaisir à chercher un coin tranquille pour passer ma rage sur elle et la fouetter jusqu’aux sangs. Mais, bien à contrecœur, j’évitais de lui infliger de nouveaux sévices qui auraient pu l’inciter à dévoiler mon chantage. Rien ne serait pire qu’Hélène apprenant que je me rebellais. Je me contentais donc de menaces pour la garder sous contrôle.
C’est mercredi que j’appris que Victoria allait organiser une fête chez elle. Elle comptait célébrer la victoire de Jeanne en grande pompe, elle avait fini première à son sprint samedi dernier. Ce fut une des rares fois où j’eus envie de rire : pour avoir voulu s’élever grâce à ses performances, elle devait maintenant s’abaisser à me servir de chienne.
En tout cas, pour Victoria cette fête était une bonne excuse pour s’éclater, d’autant plus que son père serait absent ce week-end. En entendant ça, je ne savais pas encore ce que j’allais faire, mais il me semblait que le destin m’offrait une chance de remettre les pendules à l’heure. Mon cerveau se mit à carburer toute la journée et toutes les nuits pour mettre un plan au point.
La journée ce n’était pas évident, le jeudi et le vendredi furent particulièrement durs pour moi. La rumeur s’était répandue qu’il suffisait qu’on me siffle pour que je propose une pipe, et depuis j’avais l’impression de me retrouver au milieu d’une volière. Quand je faisais semblant de ne pas entendre un des sifflements, une de mes amies ne manquait pas de me le signaler : « Dis, Fifi, je crois que ce garçon te siffle. C’est sans doute qu’il t’appelle, tu crois pas ? » Et je n’avais pas droit de donner d’autre réponse que "oui", je devais donc aller voir le type et demander : « Monsieur, vous m’avez appelé ? De quelle façon moi et ma bouche pouvons-nous vous faire plaisir ? »
Du coup j’étais trop occupée à accomplir mes activités de salope pour connaître les détails de l’organisation de la fête. Quand samedi arriva Victoria était plutôt joyeuse, elle me donna rapidement des ordres, déplacer des meubles pour faire de la place et créer un « dancefloor » préparer du punch, des toasts, mettre des décorations dans le jardin… Lisa arriva vers la fin de la matinée, elle sentait la marijuana, et semblait en avoir apporté tout un stock pour la fête. Quand Jeanne et Hélène se présentèrent, ce fut avec une belle quantité de vodka et d’autre spiritueux. Tout semblait en place, Victoria révéla alors qu’elle avait un nouvel accoutrement pour moi, elle en semblait très fière, elle l’avait emballé dans du papier cadeau.
« Est-ce qu’on n’est pas au petit soin avec toi ? appuya Hélène. Qui reçoit d’aussi jolies choses à se mettre de la part de ses amies ? t’es vraiment trop chanceuse d’être avec nous.
— Merci à vous… J’ai vraiment trop de chance de vous avoir ! »
Mon enthousiasme était forcé, mais j’essayais de le faire paraître le plus naturel du monde. Je ne voulais pas qu’elles puissent deviner mon envie de les traîner dans la boue.
Je déchirais le paquet cadeau et saisissais le vêtement qu’il contenait : une robe rouge, il était facile de voir qu’elle serait très très très moulante, et très très très courte.
« Je suis trop impatiente de la mettre sur moi ! Je suis sûre que j’aurais l’air encore plus salope que d’habitude ! C’est trop génial !
— N’est-ce pas ! s’exaltait Victoria. Et il reste encore une chose, une coiffe de bonne ! Tu seras la petite soubrette sexy et pute pour la fête. Avec les chaussures à talons hauts, tu feras un effet d’enfer. Ce sera vraiment top ! Tu seras tellement bandante que tu ne vas pas arrêter de pomper !
— Oh merci Victoria ! Vraiment, je ne mérite pas ça. T’es trop gentille.

— Non, non, y a pas de quoi… Ça me fait vraiment plaisir de savoir qu’on te prenne pour une pétasse. Allez, va vite mettre tout ça, ou il faudra qu’on te fouette les fesses ! »
Je partis vite, je fis attention que mes amies ne voient pas que j’étais sur le point de pleurer. Elles étaient toutes superbement habillées, de belles robes élégantes et bien coupées. Je n’arrivais pas à croire qu’elles puissent penser que j’étais vraiment ravie de passer pour une traînée… C’étaient vraiment des ordures, de sales filles. Mais je devais encore jouer le jeu et je passais la tenue. Bien sûr, depuis le temps que je traînais avec elles, je savais que je ne devais mettre ni soutien-gorge ni culotte pour de telles occasions.
Je revins en courant dans le séjour, Victoria en avait profité pour s’habiller elle-aussi. Elle portait une robe blanche lui tombant juste au-dessus des seins et laissant une partie du dos nu, des sandales à talons améliorait encore sa tenue. Elle était sexy et stylée, en comparaison j’avais l’air d’une pute au rabais. Mais elle sembla cependant ravie de me voir accoutrée comme une salope, elle ne put s’empêcher de me peloter les seins et les fesses comme si j’étais une poupée gonflable qu’elle évaluait pour un achat, puis elle trouva une nouvelle idée : « Je crois qu’on peut encore rajouter une touche de vulgarité ! »
Elle m’amena dans la salle de bain et commença à me maquiller. Elle mit d’épaisses couches de rouge à lèvres vif sur les lèvres, du gros mascara pour me rendre les cils bien noirs et un peu de fond de teint pour me rougir les joues. Elle me tira vers le salon ou les filles applaudirent à mon apparition. Victoria s’exclamant : « Ne dirait-on pas qu’elle crève d’envie de sucer une bite ? »
Quelques minutes plus tard, on sonna à la porte d’entrée. Victoria expliqua que je devais servir de domestique pour la fête et accueillir chaque nouvel arrivant.
Le premier à venir était un garçon de notre classe. Je le reconnus facilement, il m’avait déjà baisé dans les toilettes. Comme presque tous les garçons à vrai dire.
« Entre ! C’est la fête de Jeanne ! On est ravi de vous recevoir, m’exclamais-je masquant ma honte sous un faux enthousiasme.
— J’aurais voulu manquer ça pour rien au monde…» puis il chuchota à mon oreille tout en posant la main sur mon cul, « j’adore les fêtes ou je défonce des culs. »
Je rougis violemment, j’avais beau m’être déjà faite baiser par des types que je ne connaissais presque pas, je n’arrivais pas encore bien à assimiler que je n’étais considérée par les mecs que comme un trou à fourrer. Mais son entrée ne fut pas la plus malpolie. Certains entraient dans la maison avec les doigts plongés dans ma chatte. D’autres disaient des cochonneries infâmes : « Quand j’t’aurais enculée, tu suceras la bite jusqu’à ce qu’elle soit propre. »
L’un des garçons ne prit même pas le temps de saluer les filles. Il m’entraîna dans une des chambres, me renversa sur le lit et me tringla comme une brute, giclant sa purée au fond de ma chatte au bout de dix minutes, puis il repartit dehors comme si de rien n’était… Suite à quoi Hélène me gifla publiquement pour avoir été une mauvaise hôtesse, et avoir laissé partir à un des invités aussi rapidement.
Au final il y eut une vingtaine de garçons et une dizaine de filles. La plupart venaient du lycée, mais certains types étaient des « relations d’affaire » de Lisa. Hélène avait invité son frère, Jeanne certaines de ses amies sportives… Il y avait un peu de tout.
Je me déplaçais entre les groupes portant un plateau de hors-d’œuvre ou des verres d’alcool. Il était rare que je me déplace longtemps sans qu’on me flatte les fesses, ou qu’on me pelote les nichons. À chaque fois, je me faisais un devoir de sourire et de montrer que j’étais vraiment allumée et excitée de me faire tripoter comme ça. J’agissais comme une vraie salope. Au départ, les garçons hésitaient un peu à demander à me baiser, ils étaient un peu nerveux de se retrouver chez quelqu’un d’autre. Mais entre les verres de vodka que les mecs s’envoyaient, et les joints que Lisa partageait, je sentais que les inhibitions de ceux qui hésitaient encore à me fourrer allaient bientôt s’envoler en fumer. Plusieurs heures passèrent, j’en passais une bonne partie sur un lit à me faire troncher ou sur un banc dans le jardin à sucer des pines.
Quand à mes amies, elles s’amusaient bien, elles avaient mis de la musique rock et se dandinaient sur le dancefloor. Les garçons les rejoignirent très vite. J’en étais plutôt soulagée, au moins pendant ce temps ils étaient occupés à essayer de mettre la main sur d’autres fesses que les miennes. Et puis surtout, quand les filles s’arrêteraient de danser, elles auraient soif…
J’allais rapidement dans la salle de bain récupérer un petit flacon où j’avais réduit des somnifères en poudre. Je rentrais au salon, et chaque fois qu’une de mes amies s’arrêtait de danser je lui proposais un verre où j’avais placé une bonne quantité de poudre. Pas de quoi risquer leur vie, mais ça suffirait pour qu’elles se sentent mal… Comme je m’y attendais une demi-heure après avoir bu leur verre, elles prirent leur congé les unes à la suite des autres se sentant fatiguées. J’avais hésité à inclure Jeanne dans mon plan, mais c’était rajouté un facteur dont je n’étais pas sûr ; je préférais agir seule.
Restait à savoir si la deuxième partie du plan allait fonctionner, c’était la plus aléatoire et je n’avais pas eu beaucoup de temps pour le préparer. Heureusement, avec tout ce que Victoria avait picolé et la beuh qu’elle avait fumée elle devait être dans de bonnes dispositions pour mon stratagème face effet. Je me dirigeais vers la sono pour mettre une musique plus lounge, puis je m’approchais de Victoria.
« Qu’est-ce que tu veux ? demanda-t-elle.
— C’est que j’ai remarqué quelque chose d’un peu bizarre, répondis-je, alors j’ai préféré l’enregistrer sur mon téléphone… »
Je sortis mon téléphone et attendis que Victoria ait les yeux fixés dessus avant d’enclencher une vidéo de flash lumineux. Pour fréquenter son cabinet à pharmacie, je savais que Victoria était sujette à l’épilepsie, plus précisément une épilepsie photosensible. J’avais fait des recherches sur cette maladie et découvert que les crises se déclenchaient presque systématiquement en observant des séquences de 15 à 25 flashs lumineux par secondes.
Il fallait alors agir très vite, avant que la crise musculaire ne se déclenche, j’avais quelques secondes où elle était en état de choc et particulièrement réceptive. J’avais passé ces trois derniers jours à apprendre tout ce que je pouvais sur le sujet, il ne fallait pas que je me rate.
Quand je vis ses yeux s’agrandir suite aux flashs lumineux, je plaçais mes doigts joints à vingt centimètres de ses pupilles pour qu’elle se concentre dessus. Puis je les avançais jusqu’à presque toucher ses globes oculaires. L’effet qui en résultat devait -selon la documentation scientifique- la plonger dans le noir et, plutôt que de la faire entrer en convulsion, cela devait la mettre en état de catatonie avancé. Mais tout comme une épileptique en crise, elle perdait conscience d’elle-même. Classiquement une épileptique en convulsion est incontrôlable et ingérable, mais son cerveau est au même moment complètement ouvert et n’a aucune conscience propre, ce qui se traduit par une courte amnésie. Hors quand l’épileptique est au contraire en phase de catatonie, il devient possible de commander au cerveau.
Je retirais mes doigts… elle ne bougea pas, c’était bon signe. Je me penchais à son oreille et déclarais : « Victoria, tu n’entends que ma voix. Rien d’autre n’a d’importance. Tout ce que ma voix dira, tu le considéras comme vrai, tout ce que ma voix demandera tu devras l’accomplir. Comprends-tu ce que je dis Victoria ?
— Oui.
— Lève les deux bras en l’air. »
Aussitôt je la vis lever les bras.
« Baisse les bras. »
Elle baissa les bras.
Ça marchait ! Ma putain d’hypnose marchait ! Je faisais un autre test :
« Victoria, tu es une grosse conne.
— Oui.
— Qu’est-ce que tu es Victoria ?
— Je suis une grosse conne. »
C’était incroyable. C’était réel ! J’avais cette conne sous mon contrôle. Bien sûr, l’état de catatonie ne durerait pas éternellement, pas très longtemps même. Généralement un épileptique même après avoir convulsé reste sous le coup de sa crise entre vingt minutes à quelques heures… c’était sur ce grossier laps de temps que je pouvais compter.
Je tirais Victoria par la main vers sa chambre, écartant vivement tous ceux qui se mettaient sur mon chemin. Une fois isolée, je m’empressais de lui expliquer ce que j’attendais d’elle. J’avais largement eu le temps d’y réfléchir :
« Écoute-moi bien, tu es super jalouse de moi. Tu trouves que c’est injuste que ce soit moi qui me tape tous les garçons. Tu vas demander à chaque garçon s’ils préférèrent baiser avec toi ou avec moi. S’ils répondent avec toi, tu leur dis qu’ils ont bien raison et tu leur donnes un rendez-vous pour demain. S’ils répondent qu’ils préfèrent me baiser, tu leur dis qu’ils ont tort, et que tu es prête à tout pour leur prouver que tu es une plus grosse salope et un meilleur coup que moi. Pour ça tu proposes de leur donner un rendez-vous demain. Assure-toi de ne pas donner deux rendez-vous simultanément, disons prends le premier rendez-vous à dix heure et laisse une demi-heure d’intervalle entre chaque rencontre, ça devrait suffire. »
Évidemment, j’aurais largement préféré qu’elle se mette directement à se faire tringler, mais dans l’état second où elle était, je ne suis pas sûr qu’elle aurait été capable de vraiment baiser. Certes ça n’aurait pas dérangé la plupart des garçons, eux, dès qu’ils voient un trou où fourrer leur queue ils sont contents même si la fille reste immobile, mais cela risquait tout de même de les déconcerter. Il valait mieux qu’ils pensent qu’elle était juste ivre et désinhibée. Et puis après la crise, elle aurait tout oublié, et je tenais à ce qu’elle soit consciente de son humiliation.
« Va donc faire ça. Et n’hésite pas à leur toucher les couilles quand tu leur parles, ça va me rendre très jalouse... »
Mes suggestions ayant été imprimées dans le cerveau de Victoria, elle sortit de la pièce. Je ne la suivis pas immédiatement, j’avais quelque chose d’autre à préparer avant ça. Cela me prit environ dix minutes puis je revins dans le salon-dancefloor. Je remarquais immédiatement que l’atmosphère avait quelque peu changé. Si l’ambiance était auparavant festive et chahuteuse, maintenant les types chuchotaient entre eux, et les filles commençaient à partir. Et surtout, tous les regards semblaient braquer sur l’hôtesse de la soirée : Victoria.
Celle-ci était en pleine discussion avec l’un des noirs de la classe, elle se collait presque à lui, elle avait sa main qui pressait ses nichons pour les mettre en valeur. Je m’approchais du couple et je pus entendre « Alors on se voit demain à treize heures ? Tu vas voir, tu vas passer du bon temps, pas comme avec l’autre grognasse de Cécile. »
Mes ordres avaient bien marché, j’allais à côté d’elle et murmurais : « tu as parlé à combien des types ?
— Six, répondit-elle en me les désignant du doigt.
— Et tu leur as donné rendez-vous à tous ? m’assurais-je
— Oui.
— C’est bien, continue comme ça. »
Pendant qu’elle se dirigeait vers le septième type, j’allais vers l’un de ceux qu’elle avait pointé du doigt. Il s’agissait de Nicolas, un de nos camarades de classe. Quand il me vit arriver, il sembla gêné.
« Salut, Nicolas. Tu as parlé avec Victoria ?
— Euh... oui.
— Et laisse-moi deviner, tu lui as dit que tu préférais la baiser elle, plutôt que moi.
— Ben... euh… oui… C’est-à-dire, que c’est pas une pute elle… Du moins je croyais.
— Oh non, t’inquiètes pas, ç’en est pas une. Au contraire, elle est franchement coincée d’ordinaire, là, elle doit juste être pompette.
— Ah d’accord… Ça me rassure, j’en ai un peu marre de me taper des putes… je dis pas pour toi Cécile. »
Bien sûr qu’il disait ça pour moi. Mais s’il savait à quel point moi, j’en avais marre de me taper des cons... En tout cas je voulais m’assurer que les tête-à-tête se passent "bien", et que Victoria finisse avec de la bonne grosse purée au fond de sa chatte. J’ajoutais : « Pour ton rendez-vous, elle risque de faire sa mijaurée, mais je la connais bien... Elle peut avoir l’air d’une fille propre sur elle, mais au fond ce qu’elle veut c’est qu’on la baise brutalement, comme une chienne en chaleur.
— Tu crois ?
— Évidemment, elle veut faire croire que le sexe c’est pas son truc. Mais il n’y a que ça qui l’intéresse en vrai. Elle n’arrête pas de m’en parler. Elle dit toujours que j’ai trop de la chance de sortir avec des mecs, elle fantasme à fond qu’on lui fiche une queue dans la chatte, dans le cul, dans la bouche… C’est une refoulée. Faut pas hésiter avec elle. Il n’y a rien qui ne lui plaise pas ou qui lui fasse peur. »
— Sérieux ? C’est une salope, elle ?
—  Une salope complexée, regarde là comme elle allume tous les types… » à ce moment précis, elle était en train de masser les couilles de George. « Là, elle fait croire qu’elle est saoule, mais en vrai elle est complètement sobre... Ce qu’elle a, c’est le feu au cul et elle a vraiment besoin qu’on l’asperge de foutre pour la calmer… »
Je continuais à parler à Nicolas, puis à tous les autres types à qui elle venait de donner rendez-vous. Si après avoir discuté avec Victoria ils pouvaient encore avoir des doutes, en entendant mon laïus, ils avaient du mal à se retenir de prendre Victoria dans le jardin pour la baiser comme des sagouins.
Je finis par faire le tour de tous les garçons avec qui Victoria s’était entretenue, et je la ramenais dans sa chambre.
« Victoria, tu vas lire un texte, et en même temps tu vas te masturber. Enfonce-toi les doigts dans ta chatte, puis quand tu seras bien chaude, tu prendras ce gode. Je veux que tu aies l’air vraiment excitée. Tu peux faire ça ?
— Oui.
— D’accord… et sois enthousiaste, lis le texte en mettant le ton. »
Je la vis retirer sa culotte comme un automate et regarder mon téléphone. De mon autre main, je tenais la feuille de papier où j’avais pris le soin d’écrire quelques lignes pendant qu’elle était au salon en train de « draguer » les garçons.
Le visage toujours inexpressif, elle mit sa main sous sa robe et commença à se doigter. Sans perdre de temps, elle se mit à lire :
« Oh… Ce que je peux avoir envie de toi. C’est tellement puissant, je suis obligée de me masturber tous les jours, toutes les nuits. »
Elle accélérait le rythme de ses mouvements à mesure qu’elle lisait, on pouvait entendre sa voix devenir de plus en plus fébrile.
« Mais je n’oserais jamais te le dire… j’enregistre ce message parce que ce que j’éprouve pour toi est juste trop puissant. J’ai tellement envie que tu me fourres, que tu enfonces ta grosse bite en moi jusqu’à tu exploses ta semence dans ma chatte. Je suis tellement humide quand je suis près de toi, personne d’autre ne me fait cet effet. Je ne peux pas m’empêcher de regarder au niveau de ta bite, d’espérer que tu la sortes et que tu me demandes de te la sucer. »
Elle retira sa main, elle était pleine de jus. Son cerveau avait enregistré que je voulais qu’elle soit excitée et donnait ample satisfaction. Elle suça ses doigts avant de prendre le gode pour s’envoyer en l’air.
« La nuit je rêve de toi. J’ai besoin de quelqu’un qui me défonce la chatte, et que ce soit toi. J’en peux plus de me doigter, c’est d’une bite comme la tienne que j’ai besoin, que tu me l’enfonces profondément et vigoureusement. Que tu me martèles comme si j’étais uniquement là pour te servir de bac-à-foutre, que tu me souilles, que tu m’encules après. Je te veux dans tous mes trous ! Oooooh ! Baise-moi à couilles rabattues, baise-moi comme une salope, mais baise-moi… Papa. Baise-moi et encule-moi ! »
C’était dans la boîte ! Tout était bien enregistré… Comme elle était encore sous l’effet catatonique, je lui faisais rapidement enregistrer un deuxième message, puis allait lui en demander un troisième quand elle articula…
« Mmmm ? »
Je regardais attentivement Victoria, ses yeux vides semblaient reprendre vie. J’étais à court de temps, tant pis… Je me rapprochais rapidement d’elle et lui dictais un dernier ordre en espérant que son cerveau soit encore réceptif :
« Victoria, endors-toi. »
Et pouf, elle s’effondra sur le lit. Très bien, encore quelques heures de gagner. Je retournais une nouvelle fois au salon. Plusieurs types s’étaient tirés, il faut dire que sans les filles l’ambiance n’était plus la même. Je sentis quelques mains me toucher, je ne les écartais pas, mais faisais comme si je ne les remarquais pas… Je coupais la musique et pris la parole :
« Messieurs, je suis désolé de vous apprendre que la fête est finie. Victoria est fatiguée, et certains d’entre vous savent que demain elle a quelques petites choses de prévues. » En disant cela, je lançais quelques œillades. « Alors si vous voulez bien récupérer vos affaires, je vous dirais au-revoir. »
Ce que je fis embrassant chaque garçon sur la bouche comme une bonne petite salope. Je me sentais de bonne humeur et prête à jouer mon rôle pour une fois. Quand tout le monde fut parti, je me dirigeais vers le buffet pour me siffler un verre ou deux et fêter ma nouvelle victoire sur une de mes amies. Certes, la victoire n’était pas encore complète, mais j’étais certaine de l’avoir ferrée. Maintenant si elle se débattait, ce ne serait que plus drôle.
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