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Avec des amies comme ça…

Chapitre 25

Les petits trafics de Lisa

Trash
« J’ai rendez-vous pour acheter du chichon. Tu viens avec moi.
— Quoi ?
— Tu m’as pas entendu, salope ?
— Si. »
J’aurais dû être heureuse de cette proposition qui pourrait peut-être m’offrir un moyen de pression sur Lisa. Mais... cela signifiait que j’allais encore devoir me plier aux exigences d’une de mes amies alors que je me réjouissais à l’idée de rentrer au domicile de Victoria et de me comporter comme une Maîtresse sado-maso avec cette petite pute. Au lieu de ça Lisa allait visiblement me gâcher la journée.
« J’ai tout vendu lors de la fête de Jeanne. Il faut que je refasse mes stocks de came. Et cette fois, je passe dans la cour des grands. Mon dealer va me filer de la coke et de l’exta. Avec ça, on peut se faire beaucoup plus de thunes.
— Mais… C’est pas un peu de la saloperie ce genre de drogue ?
— Dis, je t’ai pas déjà donné une leçon la dernière fois que tu as voulu me faire la morale ?
— Si… désolée… »
Un souvenir des plus douloureux, sa leçon avait consisté à m’enfoncer un balais-brosse de chiotte dans le cul. Rien que d’y repenser, je grimaçais. Cette fois, si elle voulait devenir un caïd, je n’allais pas m’en mêler. Ou en tout cas juste me contenter de faire ce qu’elle m’ordonnerait.
« Et puis tu es toute désignée pour être ma complice, une salope, ça fait des saloperies. Alors ne fait pas tant d’histoire. »
Les cours étaient finis, et l’on quitta le lycée pour aller vers la gare. Elle regarda sa montre, et m’indiqua que son rendez-vous était à dix-huit heures. À 18 h 15 il n’y avait toujours personne, et je vis qu’elle commençait à s’inquiéter. Je me rendais compte que si elle se la jouait Scarface dans la cour de récré du lycée, elle faisait bien moins la fière quand elle devait rencontrer de vrais passeurs de drogue. Ce n’est qu’à la demie qu’elle arrêta de se mordre les lèvres de nervosité et fit un grand geste de la main à trois Arabes qui sortaient du train. Elle me dit d’attendre, d’être sage et sexy.
Je ne savais pas trop comment être sexy, mais je souriais et me mettais les mains sur les hanches. Ça faisait plus pute que sexy, mais avec les vêtements que je portais, je me serais appelée Meghan Markle, on m’aurait quand même pris pour une pute. En tout cas, j’étais un peu angoissée à l’idée que Lisa échange la drogue dans la gare, ça me semblait vraiment imprudent, il y avait des militaires de l’opération sentinelle, et c’était sans compter sur toutes les caméras de vidéo-surveillance.

Elle discuta un moment avec les dealers, et me montra du doigt à plusieurs reprises. Je faisais un effort supplémentaire pour sourire à ces moments-là. Si elle trouvait que ma manière de me comporter n’était pas conforme à ce qu’elle m’avait demandé, elle était capable de le faire payer cher. Au bout d’un quart d’heure, elle finit par me faire signe de la rejoindre.
Je me serais bien passé de devoir m’approcher de dealers, mais si c’est ce que voulait Lisa, je n’avais pas mon mot à dire. Quand je fus à côté d’elle, elle me présenta :
« C’est Cécile… est-elle pas jolie ? Regardez ses seins, c’est du bonnet D au moins ! Et son cul, c’est pas une superbe croupe ? ça donne pas envie de lui donner des fessées ? d’y enfoncer vos engins ? Et sa chatte… tout le monde est d’accord pour dire que c’est du velours. »
J’avais vraiment l’impression qu’elle me vendait comme un morceau de viande. Mais je continuais à sourire comme une bimbo idiote, plus vite elle aurait fini son marché, plus vite je pourrais rentrer chez Victoria et me mettre à jouer avec elle. Je m’imaginais déjà devant elle, je la ferais mettre à genoux puis je demanderais à cette pute de se raser la chatte, ou peut-être que je lui ordonnerais de se la teindre en blonde. Peut-être que pour me décider je lui demanderais de faire un sondage auprès de tous les types que je lui faisais baiser, ce serait amusant… Je rêvassais ainsi quand Lisa finit par m’adresser quelques mots :
« On a conclu un deal, ils sont d’accord pour une réduction.
— Chouette. » Puis, me disant que lui faire un compliment ne ferait pas de mal je rajoutais : « T’as un sacré sens des affaires.
— Je suis contente que tu le prennes comme ça.
— Hein ?
— Ils n’ont pas fait une réduction pour mes beaux yeux. Mais plutôt pour les tiens. »
Je vis les trois Arabes s’approcher de moi et Lisa commencer à partir. Mais avant de s’éloigner définitivement elle conclut :
« On se retrouve dans trois heures, disons place Bellefond… Amuse-toi bien, et amuse-les bien surtout… je compte sur toi. »
La garce… elle m’avait vendu. Enfin vendu, c’était exagérer, mais en tout cas elle s’était servie de moi et de mon cul pour ses affaires. Les trois Arabes m’entouraient, me palpaient, ils parlaient entre eux dans leur langue. Si je ne comprenais pas ce qu’ils disaient, je saisissais tout de même que j’étais le sujet de leur causerie. Ils souriaient et semblaient plutôt contents d’avoir accorder une remise.
« Euh… commençais-je à balbutier…
— Tu viens chez nous, la gazelle. Tu vas kiffer.
— Ah, ben, c’est comme vous voulez les gars. »
Je ne songeais même pas à refuser. Pas parce que’ils m’impressionnaient, j’avais bien moins peur d’eux que de Lisa et Hélène. Ces mecs pouvaient peut-être me coller une claque, mais ils n’avaient sans doute pas envie de se faire remarquer. C’était de vulgaires trafiquants, des petits cons pas capables de faire grand-chose en dehors de quelques coups. Mais Hélène... si elle apprenait que j’avais refusé de baiser les mecs auxquels Lisa m’avait offerte, elle me ferait subir des tortures atroces. Dernièrement elle avait proposé de me faire un piercing des seins avec de gros anneaux. Je n’y avais échappé qu’en imitant une chienne en train de se faire baiser pour l’amuser et lui montrer que je lui étais déjà soumise comme une bête ou une esclave…
Les trois types me conduisirent dans leur quartier assez éloigné du centre-ville. Leur immeuble était moche et l’entretien laissait à désirer. Par contre l’intérieur de leur appartement était vraiment chouette. De beaux tapis persans, des meubles qui devaient valoir un sacré paquet, une télé géante. Visiblement leur trafic devait rapporter gros. Mais ce n’était pas pour une visite d’appartement que j’étais là, et je fus vite emmener dans la chambre à coucher.
J’avais beau savoir ce qui m’attendait, la demi-heure suivante fut quand même assez désagréable. Je me déshabillais et me mettais rapidement à genoux pour leur sucer le zgeg. Je tenais à prendre l’initiative et à imposer mon propre rythme plutôt que de les laisser se servir de moi et de me faire traiter comme un trou à foutre. Mais ma tentative de prendre le dessus fut de courte durée. En effet, je n’avais pas encore eu l’occasion de me faire prendre en gangbang ; mais je m’aperçus bien vite que quand on se fait prendre par plusieurs bites en même temps, on n’a plus trop la liberté de mouvement. Autre chose que je remarquais, c’est que de se faire baiser par un type est une chose, mais par plusieurs, cela donne vraiment la sensation d’être une salope dégénérée. Quand on a une bite dans le cul, et une autre dans la bouche, il n’y a vraiment pas de quoi faire la fière. D’autant que si j’ignorais ce qu’ils disaient la plupart du temps puisqu’ils parlaient en arabe, quand ils utilisaient quelques rares mots de français c’était pour me traiter de pute, de salope et d’autres amabilités.
Mon seul motif de plaisir était que j’avais rendez-vous avec Lisa dans deux heures et demie, et je me rendis vite compte qu’ils ne pourraient tenir ce rythme aussi longtemps. Après qu’ils aient fini par me jouir dessus, il restait encore deux heures où je pensais être tranquille et pouvoir me reposer. Mais j’étais bien naïve de croire que la fortune allait m’épargner quelques dégradations que ce soit ; cinq minutes après qu’ils se soient vidé les couilles en moi, on sonna à la porte, et d’autres jeunes « cousins » arrivèrent. Mes espoirs de passer quelque temps au calme s’évaporèrent amèrement. J’étais parti pour encore deux heures de baise marathon. Ma chatte se faisait enfiler par un nombre de bites que je préférais ne pas compter. Je sentais le sperme me maculer sur toute la peau, les cheveux… Et c’était sans compter tous ceux que je finissais à la bouche et qui me donnaient leur foutre à avaler.
Je savais aussi qu’ils m’enregistraient en vidéo, ça faisait longtemps que je n’avais plus de fierté propre et que ce genre d’humiliation m’était égal, mais tout de même... je me rendais compte que j’étais quasiment devenue une de ces vraies traînées qui se font prendre dans les caves d’immeuble de banlieue. Enfin, n’exagérons rien, j’étais dans un bel appartement et pas dans une cave.
J’étais étendu sur lit, quand on me fit lever. L’un des Arabes me tendit un gros sac et ordonna :
« Tu rapportes ça à Lisa. Compris, grosse pute ?
— Oui Monsieur. »
J’hésitais à demander à prendre une douche. Pas tant parce que j’avais peur de ces types. C’était des dealers, et je n’avais aucun respect pour eux. Mais je ne voulais surtout pas arriver en retard au rendez-vous de Lisa. Elle, elle me faisait peur.
Je remettais mes vêtements de traînée. Je sentais le sperme de tous ces mâles me coller contre la peau. Je franchis la porte et repartis seule. Je sentais des regards lubriques et méprisants se porter sur moi quand je quittais l’immeuble. Tous devaient savoir que je venais de me faire baiser en gang-bang pour une simple ristourne.
J’arrivais au rendez-vous fixé par Lisa. Elle était assise sur un banc du square à m’attendre. Je ne devais pas être des plus souriante, car elle me dit :
« Allez, fais pas la tête, tu t’es fait prendre par de bonnes grosses queues tu devrais être contente, une salope comme toi ! En plus que des Arabes ; ça a dû d’offrir des horizons nouveaux, non ? L’impression de voyager... comme si tu étais au zouk.
— Oui Lisa, merci de m’avoir offert ce genre d’exotisme… »
Je me doutais que Lisa n’était pas complètement dupe de ma soumission ; mais elle était trop heureuse de récupérer toute sa dope pour y prêter vraiment attention. Elle commença à sortir la "marchandise" du sac pour voir s’il y avait bien tout ce qu’elle avait commandé. Je n’étais pas experte en matière de stupéfiants, mais il semblait y avoir de quoi transformer tout le lycée en repaire de camés.
Lisa était tellement absorbée par son comptage, et c’est moi qui remarquais une voiture de police qui s’approchait.
« Lisa, je crois qu’on a de la compagnie… »
Je la vis paniquer comme jamais. En un instant, elle remit toute la drogue dans le sac puis elle se leva, épouvantée. Je la regardais amusée. Si les flics la coffraient, ça me ferait un problème de moins. Sauf que, juste avant de prendre les jambes à son cou, elle me jeta le sac entre les bras en en me criant :
« Prends ça et barre-toi ! On se retrouve au lycée ! »
Mon sourire s’effaça aussitôt. Mon bon sens aurait voulu que je proteste de cette injustice, mais Lisa s’en contrefichait et en plus de ça j’avais un souci plus urgent : un sac bourré à craquer de dope et une voiture de flics qui se rapprochait. Tout espoir que les keufs puissent penser que nous n’avions rien à nous reproché s’était évanoui quand Lisa s’était mise à sprinter. À ce moment, ils ne devaient plus avoir le moindre doute quant à ce que nous trafiquions, deux des policiers sortirent de la voiture et se mirent à nous courir après. Je m’enfuis hors du square, passant par une ruelle latérale à la route principale. Je vis la voiture s’arrêter derrière moi. Je cachais, ou plutôt jetais le sac de drogue dans une poubelle et continuait à cavaler comme une folle.
Je n’aurais jamais cru ça possible, mais je ne sais par quel miracle, un quart d’heure plus tard, j’avais semé la police. Je crois que vu la façon dont j’étais habillée, ils avaient dû penser que j’étais une pute, et que je ne valais pas l’effort de me faire attraper. En tout cas, quand je fus bien sûr que plus aucun uniforme bleu n’était en vue, je revins précautionneusement vers la poubelle où j’avais jeté la drogue. Le sac était toujours là ! Ma première réaction fut que d’essayer de me débarrasser de cette merde. Je revenais sur mes pas vers une plaque d’égout grillagé avec l’intention d’y verser la came quand je reçus un appel de Lisa :
« Allô, Cécile ? »
Tiens, elle ne m’appelait pas "salope."
« Oui ?
— Tu es où ?
— Dehors, j’ai réussi à me carapater.
— Tu as toujours le sac ? Sinon je suis trop dans la merde ! »
Voilà des paroles qui me plaisaient. Lisa dans la merde, rien que l’image avait quelque chose de savoureux. Surtout après le sale tour qu’elle m’avait joué. Je mentis sans honte :
« Non, un des flics se rapprochait trop, et j’ai tout jeté dans les égouts.
— Quoi !?
— J’avais pas le choix.
— Mais... tu te rends pas compte ! C’est avec l’argent de la vente que j’aurais remboursé la came !
— T’as qu’à prendre sur tes économies…
— Mais j’ai pas la thune, et c’est toi qui as jeté le sac ! C’est à toi de rembourser.
— C’est combien ?
— Cinquante mille euros.
— Je n’ai pas un rond, j’ai même plus ma carte bleue. Et tu sais bien que je peux pas compter sur mes parents…
— Merde ! ils vont me buter... »
J’avais vu le gang de dealers ; je m’étais même fait baiser par eux, et je savais que ce n’était pas des tueurs. Juste de gros enfoirés. Mais plus Lisa se faisait du mouron, plus je pourrais la manipuler facilement. D’abord je devais faire en sorte qu’elle m’accorde sa confiance, c’est pourquoi je lui dis :
« Écoute, tu as sans doute raison. Je ne pense pas que ce soit une bonne idée que tu ailles les voir. C’est toi qui as acheté la drogue, si tu reviens sans rien, ils vont… eh bien, tu risques de repartir en plusieurs morceaux.
— Tu crois vraiment ? Peut-être que…
— J’en suis sûr, ce sont de vrais sadiques… En public ils font peut-être illusion, mais en privé ce sont des bêtes sauvages. Ils sont camés, brutaux, ce sont de grands malades. Chez eux, j’ai vu une tronçonneuse à côté de leur baignoire, et des bouteilles d’acides… Et quand j’ai cherché à éviter qu’ils m’enculent, ils ont sorti des katanas. Ils m’ont dit que soit ils enfonçaient leur bite dans mon cul, soit c’était la lame. »
C’était un grand ramassis de n’importe quoi, des trucs que je me rappelais avoir vu dans "Scarface" ou "Pulp fiction"… mais j’étais sûr de faire impression sur Lisa.
« Mais si tu y vas, ils vont sans doute te tuer !
— Non, vu que c’est toi qui étais responsable. Au pire, ils me baiseront pour me faire payer la mauvaise nouvelle. Je vais essayer d’arranger les choses.
— Tu vas faire ça pour moi………. merci. »
J’imaginais ce qui lui en coûtait de dire "merci" à une fille qu’elle considérait comme tout juste bonne à lui lécher les pompes. Elle devait vraiment penser que j’étais sa dernière chance. Je mis fin à la conversation et repartis avec le sac jusqu’à l’appartement des Arabes. Je sonnais à l’interphone et ils me firent entrer. Au départ, ils semblèrent croire que je venais pour me faire baiser à nouveau. Ils firent des gestes obscènes, mais je ne me laissais pas impressionner. Je sortis le sac, et le vidais par terre. Ils étaient interloqués.
« Lisa ne veut plus rien avoir à faire avec cette merde. »
Je les entendis s’écrier en arabe. Mais je n’allais pas les laisser m’entuber à nouveau…
« Et maintenant vous parlez français, où ça va mal se passer. Lisa en a marre d’être votre dealeuse.
— On avait conclu un accord.
— Rien à foutre de votre deal ! Si jamais elle vous voit, si elle vous entend qu’une seule fois la menacer ou si vous lui téléphonez, elle appelle les keufs, et elle vous balance tous !
— Wesh ! d’où tu nous menaces ! tu sais pas qui on est ! On est des guedins nous !
— Rien à foutre de qui vous êtes, si vous me faites chier, moi ou ma copine, ne serait-ce qu’une seule fois, vous servirez de pedzouille à Fleury-Mérogis.
— Mais…
— Ça n’est pas ouvert à discussion… Vous reprenez votre dope, et Lisa reprend sa vie, fin. »
Je repartis en claquant violemment la porte derrière moi. Je n’étais pas inquiète ; ils n’auraient pas de mal à trouver une autre conne pour fourguer leur dope et ils éviteraient Lisa comme la peste. Il était encore sept heures du soir, si je voulais vraiment niquer Lisa, je devais d’abord m’occuper de quelques préparatifs. Ce que je fis avant de rentrer chez moi (enfin chez cette gourde de Victoria) et je passais la nuit d’un sommeil réparateur. Au réveil, je regardais mon téléphone que j’avais mis sur silencieux. Lisa m’avait appelée toute la nuit, elle devait être morte de trouille. Je souris et pianotais un simple SMS "Viens au lycée, sois discrète et attends-moi aux W.C." Je signais "Très grosse salope" pour qu’elle sache que ce n’était pas un guet-apens, seules moi et les copines connaissions ce surnom. Je restais au lit quelques minutes, Victoria me léchait la chatte sous les couvertures. C’était agréable, mais sachant ce que je me préparais à faire à Lisa, cela me semblait presque fade.
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