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Avec des amies comme ça…

Chapitre 28

Mon suicide

Trash
Il faisait froid, le vent soufflait fort entre les branches des arbres, et mon corps sans vie se balançait au bout d’une corde grinçante. Je m’étais pendu pas loin de l’orée des bois où j’avais servi de gibier pour mes amies. Hélène me trouva facilement, j’étais suspendu à un des arbres où nous avions commencé la partie de chasse. Si elle était au courant de mon suicide, c’est que j’avais annoncé mon intention à Jeanne et Victoria, celles-ci l’avaient communiquée à Hélène. Elle venait maintenant photographier mon dépouille pour gagner son sixième point sur Bully&kill.org
Elle arriva, contempla mon cadavre, et ricana sinistrement. En m’examinant de plus près, elle se rendit compte que ma mort était récente, je ne portais pas encore les stigmates post-mortem. Elle fit attention de ne pas me toucher, elle ne voulait pas laisser d’empreintes.
Alors qu’elle choisissait le meilleur angle pour me photographier, elle reçut un appel téléphonique de Jeanne. Elle décrocha. Troubler la tranquillité de mon âme ne la gênait pas.
« Allo ?
—…
— Oui, je suis devant son cadavre. Elle est toujours aussi bonne. C’est dommage qu’une fois morte elle ne puisse plus rapporter de points supplémentaires. Sinon j’aurais pu trouver des nécrophiles intéressées.
—…
— Humm… Non, elle n’a pas laissé de mot. Tu sais bien qu’elles ont toujours trop honte pour ça. Qu’est ce que tu voudrais qu’elles disent ? "Désolée papa maman, je me suis comportée comme une grosse conne, et je faisais la pute alors il vaut mieux que je disparaisse ?"
—…
— Je suis pas sûr. Je pense que l’élément déclencheur, c’est quand je lui ai dit que j’allais la marquée au fer rouge, je l’ai vu frissonner d’horreur. C’était une petite trouillarde, j’aurais dû lui faire plus peur, je l’aurais tué plus vite comme ça.
—…
— Oui six points, ça me fait six victimes. Je reprends mon avance. J’hésite pour la prochaine… Au départ je pensais à Victoria, mais vu que Lisa nous fait faux bond, elle me serait plus utile pour mater les prochaines proies.
—…

— Pourquoi ne pas fêter ça ? Le coin est tranquille, personne ne viendra se balader ici avant le week-end prochain. On déboucherait une bonne bouteille de champagne devant elle. Ce serait chouette, non ? Je suis sûr que si elle nous regarde de là-haut, elle doit se dire qu’elle était la plus grosse des connes, et qu’on a raison de fêter sa mort de merde…
—…
— À tout de suite alors. »
Hélène mit fin à l’appel téléphonique et se tourna vers moi :
« Tu as entendu, grosse salope ? Je t’ai buté, et je vais fêter ça… C’est pas top ? »
Elle me parlait comme si je pouvais lui répondre d’outre-tombe. Il lui manquait vraiment une case. Mais ça ne l’empêcha d’être surprise quand je lui rétorquais :
« Je sais pas si c’est top. Mais on va bien te faire la fête, conasse. »
Ça lui coupa le sifflet. Des cinq précédentes victimes qu’elle avait au compteur, aucune ne lui avait répondu après leur mort.
« Que…
— Un problème, enflure ? »
— Qu’est-ce que ça veut dire ?! Pourquoi t’es pas morte ! »
Je sortis un petit couteau de ma poche et sciais la corde. Si on faisait plus attention, on remarquait que la corde ne m’enserrait pas le cou, mais était accroché à un cintre fixé dans mon dos. Je tombais d’un mètre et m’époussetais les manches avant de lui déclarer :
« Ce que ça veut dire, c’est que tu n’auras jamais ton sixième point.
— Je… des points ? de quoi vous parler ?
— Tu sais quoi ? Je ne t’en veux pas de me prendre pour une conne, je le mérite. Mais tu devrais saisir que tout est fini pour toi. Ça, même moi je peux le comprendre.
— Comment… ? Je n’ai rien fait ! C’est toi qui as voulu te suicider.
— Oui, comme les cinq filles précédentes. Je crois que tu vas avoir du mal à te justifier devant la police.
— Quelles filles ? De quoi tu parles ?
— Marie la pute, Justine la chienne… Tu vas continuer longtemps ce petit jeu ? Jeanne a tout avoué, et j’ai consulté ton compte sur Bully&kill…
— Je… Non. D’accord tu m’as eu. Tant mieux pour toi. Tu vas appeler la police ? Et tu vas leur montrer quelles preuves ? Tu t’es toi-même transformée en salope. Moi j’ai juste vu que t’en étais une. Les autres filles c’étaient pareil. Je les ai simplement mises sur la voie. Je suis pas responsable de leur mort.
— La police va…
— La police… me fait pas rire. Ces types sont des ploucs, dès qu’ils essayeront d’accéder au serveur, toutes les données seront effacées et rapatriées sur un autre site. Tout est archicrypté, ils ne trouveront rien.
— Il n’y pas besoin du site. Tu étais amie avec les cinq autres et…
— Et qui va le confirmer ? Elles étaient seules, abandonnées, des épaves comme toi. Personne ne les connaissait, personne ne savait qui était leur amie. Ce sera ta parole contre la mienne. Et ta parole de salope ne vaut pas grand-chose…
— Ce sera ma parole… et la tienne. Quand Jeanne t’a appelé, je lui ai demandé d’enregistrer la conversation. Rappelle-toi ce que tu as dit… Ça ne prêtait pas à confusion, tu me traites de conne, mais se vanter d’avoir six victimes à son actif… c’était sacrément débile.
Hélène se tue, essayant de se souvenir ce qu’elle avait dit, je vis à la pâleur de son visage qu’elle s’en souvenait suffisamment bien.
« Alors c’est ça que tu veux faire ? Me dénoncer à la police ?
— Je pourrais… mais j’ai contacté les familles et les amis de tes autres victimes. Et elles sont toutes d’accord pour bien vouloir te pardonner.
— Vraiment ? Ah… Je sais pas pourquoi, mais je suis pas tellement surprise. Ces filles étaient des connes, c’est comme si elles demandaient à ce qu’on les dégrade et qu’on les humilie… C’était des victimes, et leur famille le savait. Elles doivent même être contentes que je me sois débarrassée d’elles à leur place. Il y a des bourreaux et des victimes dans le monde... toi, t’es une victime. Si tu ne veux pas te suicider, alors je vais faire le boulot moi-même. Je suis sûre que ta famille me pardonnera aussi. Elle finira peut-être même par me remercier, une grosse tâche comme toi, tu devais leur faire honte...
— Qu’est-ce que tu racontes… Ne fais pas l’idiote… »
Hélène s’approcha de moi avec une lueur meurtrière dans les yeux.
« Tu crois que j’ai peur de me salir les mains ? Personne ne viendra pleurer à ton enterrement, et moi je pisserais sur ta tombe. »
Elle était vraiment barge, elle n’avait plus conscience de ces actes, elle était prête à me tuer ! Je reculais effrayée, mais trébuchais sur une des racines de l’arbre où je m’étais pendue. Elle saisit l’occasion et se précipita sur moi. Elle passa ses mains autour de mon cou, et commença à serrer :
« Arrrr…
— Crève salope ! Crève ! »
Je commençais à suffoquer sous ses bras. J’avais passé presque une heure suspendue à un cintre à essayer de me faire passer pour un cadavre, j’avais les muscles ankylosés. Je me débattis, essayant de la repousser loin de moi, mais je manquais de force. Mes bras répondaient à peine à mes ordres... je ne pouvais pas mourir là… c’était trop bête ! Si proche du but... mais malgré toute ma volonté, je n’arrivais pas à me défendre. Je commençais à voir flou, j’apercevais encore le visage souriant d’Hélène, heureuse de presser les mains sur mon cou... tout s’obscurcissait autour de moi.
Puis Hélène perdit prise, l’air s’engouffra dans mes poumons.
Car contrairement à ce qu’elle prétendait, je n’étais pas tout à fait sans allié. Pendant qu’elle m’étranglait, un jeune homme basané était sorti de sa cachette derrière un arbre et s’était précipité sur Hélène. Il l’empoigna à bras le corps et lui fit relâcher prise. Je toussais âprement après sa tentative de suffocation, mais je pus reprendre ma respiration.
« Merci, Abdil. Cette pute allait vraiment me tuer.
— Vous êtes qui, bâtard !? demanda Hélène
— C’est Abdil. Un des frères de Jasmina.
— Jasmina ? Ah oui, la serpillière… Cette grosse conne. Mais il m’a pardonné, tu m’as dit. »
Elle reçut deux grosses claques. Traiter Jasmina de serpillière devant son frère, ce n’était pas très malin.
« Il est d’accord pour te pardonner, c’est vrai. Mais pour ça il faut que tu le mérites.
— Que je le mérite ? C’est elle qui a eu ce qu’elle méritait. Comme les autres... c’était des putes, des connes, des grosses merdes. Je les ai mis sur la voie qui leur correspondait, leur famille devrait me remercier d’avoir… »
Elle reçut une nouvelle baffe. Amplement mérité.
« Le deuxième frère de Jasmina est derrière cet arbre. Je pensais qu’il pourrait te surprendre en train de me photographier, mais maintenant, il t’a filmée en train de m’étrangler. C’était vraiment stupide de ta part ; non seulement tu peux être accusé de pousser des jeunes filles au suicide, mais aussi de tentative d’homicide. Ça commence à faire lourd, tu trouves pas ?
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Je pourrais te demander de sucer la queue de ces deux types pour commencer. Mais je ne crois pas qu’ils aient envie de se faire sucer par la bouche dégueulasse de la meurtrière de leur sœur.
— Alors quoi ?
— Tu veux vraiment savoir ?
— Mais oui merde !
— C’est dommage. Moi, je préfère que ce soit une surprise… ça rend le choix plus amusant. Soit on appelle la police pour que tu ailles en prison, soit tu respires le chiffon qu’a sorti Abdil. Il est rempli de chloroforme. Tu vas t’endormir, et on te préparera une chouette surprise à ton réveil. On est cool, on te laisse le choix.
— Le choix ? La prison c’est un choix pour toi ?
— Je suppose que tu préfères faire de beaux rêves… »
Elle hocha la tête. Abdil s’approcha d’elle et lui plaça le mouchoir sous le nez, et quelques secondes plus tard elle s’endormit. Il ne restait plus qu’à porter Hélène jusqu’à la voiture et à la conduire chez le père de Florence.
***************
Trente-six heures plus tard, Hélène était presque nue dans un lit d’hôpital. Je la regardais anticipant son réveil et essayant de prévoir ses réactions. Je voulais à tout prix être là quand elle prendrait conscience de ce qu’on lui avait fait. Justement, elle ouvrait les yeux...
« Bonjour Hélène, tu as fait de beaux rêves ?
— Je… ouch je chuis ?
— Tu es chez le papa de Florence. Tu te souviens d’elle ? C’était une vraie beauté... avant que tu te mettes en tête d’en faire un tas de graisse obèse. Il faut dire qu’elle avait une bonne raison pour être belle. Quand ton daron est chirurgien esthétique, tu n’as pas envie d’être moche, ça te file des complexes.
— Qu’esche que…. Pouquoiche je parle comcha ?
— Ne t’inquiète pas, ça va passer dans quelques jours, c’est une séquelle de l’opération.
— Une opérachion ?
— Oui, tu trouves pas ça généreux ? Tu tues sa fille, et en retour tu as le droit à des actes chirurgicaux gratuits. T’es vraiment une petite pourrie gâtée, toi.
— De la chirurchie ? Qu’esche que tu m’as chait !
— Je crois que le mieux, c’est que tu lèves et que tu le découvres par toi-même, il y a un miroir juste là. »
Hélène, tout juste sortie du sommeil et un peu affaiblie, prit appui sur la barre métallique du lit médical et posa timidement les pieds au sol. Elle fit quelques pas hésitants jusqu’à se retrouver devant le miroir sur pied où elle se regarda. Son cerveau prit quelques secondes à lui faire comprendre ce qu’elle voyait : son reflet.
Si ce n’était le collier de Fifi qu’elle portait autour du cou, elle était nue. Mais on ne pouvait pas dire qu’elle était comme dieu l’avait faite... Elle avait subi des changements massifs, le plus spectaculaire était sa poitrine. Ses seins qui avaient auparavant la forme de grosses oranges juteuses avaient pris la taille de pastèques hypertrophiées. Ses lèvres banales étaient devenues gonflées, pulpeuses, prenant une place considérable sur son visage. Elle ouvrit la bouche pour crier, mais elle resta coite en découvrant un piercing sur la langue.
« Qu’esche-che que vouch m’avez faiche ?
— Des implants mammaires. Tu as vu comme ils sont réussis ? Énormes… Monsieur Perchaud m’a dit que c’est les plus gros qu’il ait jamais faits. Je sais même pas s’il existe une taille de bonnet pour ça… Ça pourrait être embêtant d’ailleurs... comment faire pour trouver des vêtements qui puissent contenir cette formidable paire de nichons ? Faudrait prendre la taille maximale, et recoudre... Bah, on va pas s’embêter, tu prendras la même taille qu’avant et tu t’habitueras à avoir ces énormes pastèques comprimées. Et pour tes lèvres, on t’a fait du lipo… euh… du lipofiffing ou lipofiling. Plus quelques piercings, un sur la langue, trois sur ta chatte, et deux gros anneaux sur des tétons.
« Banche de chalaud ! che vaiche…
— Avant de râler, tu n’as même pas encore vu ton plus beau bijou. Regarda la bague à ton doigt… Eh oui ! tu es mariée. À Hippolyte. C’est un charmant garçon, il a vingt-deux ans, mais l’âge mental de quatre. Ça ne l’empêche pas d’avoir une grosse frénésie sexuelle, il n’arrête pas de peloter le personnel dans son centre de trisomique. Ça va leur faire du bien que tu lui vides les couilles, il sera plus calme comme ça. C’est le père de Marie qui s’occupe du centre, il est très dans la charité. Il travaille dans plein d’associations, dont une pour les mongols. Il t’a choisi un spécimen exceptionnel, même si c’est pas le plus brillant, il faut reconnaître... il a encore du mal à comprendre comment se torcher le cul, alors faudra que tu passes après qu’il ait fait popo. Et puis il est un peu méchant, il tape les filles, rien de grave, mais ne sois par surprise quand tu te prendras des fessées quand il sera de mauvaise humeur. Par contre, quand tu vas voir son physique, tu ne vas pas en croire tes yeux: il est unique… Tiens, j’ai justement une photo de lui... »
Je sortis le cliché de ma poche, dessus on y voyait Hippolyte. Son visage était particulier, il avait des yeux particulièrement globuleux qui semblaient presque sortir de leur orbite. Il n’était pas chauve puisqu’il lui restait deux mèches de cheveux sur le crâne. Il lui manquait une dizaine de dents. Il était assez grand, dans les un mètre quatre-vingt, et heureusement, car il pesait cent soixante kilos… Son ventre était vraiment impressionnant. Mais moins que ce qu’il avait dessous, une énorme queue, digne d’un cheval. Et d’après Monsieur Perchaud il n’arrêtait pas de passer ses journées à se branler… Il faut dire qu’avec son maigre QI, sa petite cervelle n’avait pas la capacité à penser à autre chose.
Hélène grimaça en regardant la photo. Mais je pouvais voir à son visage qu’elle ne comprenait pas encore que ce monstre était son mari et qu’elle allait devoir le satisfaire sexuellement chaque fois qu’il en aurait envie. Elle refusait d’accepter que cette montagne de graisse et de laideur allait enfoncer sa grosse queue dans sa chatte bien entretenue deux ou trois fois par jour minimum… C’est pour ça qu’elle commença par le déni :
« Je chuis pach mariéch…
— Mais si, tu es marié. Grâce à la bonne volonté de Monsieur Lorti. C’est le père de Sophie et le maire d’une petite commune des environs. Il a bien voulu bénir ce mariage… Il est charmant. Évidemment Hippolyte n’a pas bien compris de quoi il était question, et toi, tu étais inconsciente. Mais des témoins, dont moi, étaient là pour certifier que tout s’est déroulé dans les règles. Alors félicitation ! Vive les mariés !
— Ch’ais pas pochible ch…
Calme-toi, avec ton opération des lèvres tu n’arrêtes pas de postillonner, c’est pitoyable et disgracieux. Cela dit, ne crois pas que ton opération a été faite juste pour plaire à ton mari... Non, lui il bourrerait une chèvre si on lui en donnait une. Ton amélioration physique va surtout jouer à un rôle de premier plan pour ton nouveau travail. Car il va falloir que tu travailles pour entretenir ton nouveau mari, lui, il est tout juste bon à te fourrer la chatte et à te faire bouffer son jus. Alors comme cadeau de mariage, on a trouvé une boîte qui se fera un plaisir de t’embaucher. « Gangbang productions » ils ne sont pas tout à fait leader du marché. Mais ils sont en net progrès. Il faut dire qu’il manquait un créneau sur les tournantes avec vraiment beaucoup beaucoup de monde. Et souvent ce sont des actrices en fin de carrière qui joue dedans, toi tu vas faire sensation. Et puis ils ont aussi un petit marché sur la zoophilie. Tu sais, je m’étais dit que ç’avait dû être compliqué pour toi de dénicher plein de nouveaux clebs pour que Justine se fasse saillir. Mais tes nouveaux patrons, je peux t’assurer qu’ils n’auront aucun mal à trouver de gros labradors, des ânes, des chevaux, ou même des cochons… Ils ont de tout. Et ils t’ont déjà trouvé un nom de pornstar : Joui Danmonqu. Ça sonne bien, non ? C’est peut-être pas du nom de pornstar superclasse, mais ça décrira très bien tes activités.
— Che vaich choir la cholice !
— Tu veux ? Choi… je comprends rien à ce que tu dis. Apprends à parler…
— Choir la poliche !
— Voir la police ! Oh, pourquoi pas… Tu préfères assumer tes meurtres et aller en prison. Ça te semble maintenant préférable, plus calme que ce qu’on t’a prévu comme activité… Je peux le comprendre. Le problème, c’est que tu devras convaincre les policiers, et que le père de Justine et celui de Jasmina ont discuté entre eux. L’un est flic, et l’autre psychiatre. Ils se sont fait une joie de te créer un joli casier judiciaire dû à tes troubles mentaux… particulièrement ta mythomanie. Dès qu’un flic consultera la base de données, il verra que tu es habituée à faire de fausses déclarations… Et que tu t’es déjà accusée plusieurs fois d’avoir causé des tentatives de suicide, et que c’était bidon, tu cherchais juste à te faire remarquer. Tu connais l’histoire de Pierre et le loup ? Plus personne ne te croira quand tu voudras dire la vérité…
— Che veuch choir mes parench !
— Tes parents ? il faudrait encore qu’ils te reconnaissent maintenant que tu es une bimbo… mais disons que tu arrives à les convaincre que c’est bien toi... Eh bien, ils te ficheraient dehors avec un coup de pied au cul. Figure-toi qu’on est déjà allé les voir, on leur a présenté les preuves que tu avais tué cinq filles... et ça ne les a pas tellement surpris. Tu te rappelles de Fifi ? La chienne qu’on t’a offerte pour tes dix ans... je ne pensais pas qu’elle avait réellement existé, mais si, la pauvre... tu t’amusais à la frapper et la torturer, comme les filles à qui tu as mis son collier… il faut reconnaître que tu es devenue plus experte dans l’air de camoufler tes atrocités. En tout cas, tes parents ont eu un choix comme toi. Soit on exposait tout en place publique, soit ils ne devraient plus jamais chercher à te revoir. Ils ont choisi cette dernière option. Il ne faut pas leur en vouloir, ils pensent à ton petit frère et ta petite sœur, ç’aurait été affreux pour leur psychisme de savoir que leur salope de sœur était une putain de psychopathe. Alors ils ont accepté de te considérer comme morte… Cela dit, on a été sympa avec eux, comme on ne pouvait pas les tenir responsables de ton comportement, on a décidé qu’ils ne sauraient rien de ce qui allait t’arriver. On leur a fait croire que tu étais parti rejoindre Lisa dans une mission humanitaire. Que c’était ta façon de te racheter… Pas sûr qu’ils nous aient crus, mais je crois qu’au fond, ils étaient contents que tu disparaisses de leur vie. »
On n’entendit toquer à la porte.
« Entrer ! »
La porte s’ouvrit. On amenait Hippolyte pour qu’il puisse enfin profiter de sa nouvelle épouse. Il devait avoir compris qu’il allait enfin pouvoir assouvir ses penchants pour le sexe en toute liberté car il arborait un sourire béat. Je ne pensais pas ça possible, mais ça lui donnait l’air encore plus bête qu’il ne l’était. Hélène, elle, ne souriait pas.
***********
Épilogue
Un mois plus tard.
Je me réveillais à 7 h 30 alors que je faisais un merveilleux rêve. Je sortais avec Ryan Gosling, on était sur la lune, et il s’était mis à genoux pour me lécher la chatte.
Bien sûr, en ouvrant les yeux, pas de Ryan Gosling sous les couvertures, j’étais un peu déçu. Il n’y avait que Victoria, mon réveille-matin, en train de me brouter le gazon. Je n’étais toujours pas rentrée chez mes parents, je préférais rester cher André où j’avais sa fille comme esclave à ma disposition.
Je claquais des doigts pour qu’elle apporte mon p’tit dej, avant qu’elle ne reparte sous les couvertures pour finir le travail. Je bus mon café tout en consultant mes derniers mails sur mon smartphone. Il y avait une nouvelle vidéo de Lisa, on la voyait passer la nuit avec plusieurs noirs.
Elle était partie dans un camp pour migrant plus au nord. Je l’avais convaincu que c’était plus sûr pour elle de s’éloigner de la ville. Mais elle continuait son travail de bénévole comme vide-couille pour immigrant, je m’étais dit que ça lui ferait du bien de voyager un peu, de tenir chaud aux pauvres bougres dans les Hauts-de-France. J’eus un orgasme à la fin de la vidéo. Un final explosif où un Arabe et un Noir prenaient mon ancienne amie en double et lui jouirent en même temps dans son cul et sa chatte. J’allais immédiatement mettre la vidéo en ligne pour mon association : « Contre la misère sexuelle des migrants. »
À 8 h 10 je partis pour le lycée, Victoria portait mon cartable, elle avait aussi fait mes devoirs. Elle avait une petite mine, sans doute qu’elle n’avait pas beaucoup dormi. Mais elle n’avait pas protesté, ce qui n’était pas étonnant, la semaine dernière elle avait fait une scène après que je me sois servie de sa bouche comme urinoir...
Le résultat, c’est qu’elle s’était réveillée le soir, du sperme sur tout le corps et un énorme mal au cul. Je lui ai ensuite montré la vidéo que j’avais prise pendant qu’elle était sous hypnose. On la voyait se rendre dans le vestiaire des garçons du lycée, elle s’y déshabillait complètement pour révéler écrit au marqueur sur son corps : « Salope en libre-service. » Autant dire que ç’avait été pris au pied de la lettre par les garçons. Depuis, ma petite esclave se montrait très docile avec moi.
À 15 h j’allais au terrain de sport. Jeanne avait une compétition ce jour-là. Je lui avais interdit de tricher en se dopant. Cependant, elle avait tout de même un avantage par rapport aux autres, un plug télécommandé enfoncé dans le cul. Quand je voyais qu’elle commençait à se faire distancer, j’appuyais sur la télécommande et ça lui envoyait une décharge électrique dans le trou de balle, de quoi la faire courir plus vite. Malgré ça, elle n’arriva qu’en seconde position. J’allais devoir la punir, si elle n’arrivait pas première, je la confiais à Marcel et ses autres amis SDF à la sortie du lycée, c’était ma façon de faire l’aumône… Ils passaient alors un bon moment à tringler cette lycéenne bien propre sur elle, par contre ils avaient l’habitude de me la rendre bien sale et souvent couverte de pisse.
Mais je tenais aussi à ce que Jeanne arrive première à la fin de l’année. Je passais des week-ends à la faire courir et à exercer ses muscles. J’avais même installée un tapis de course chez Victoria, Jeanne y courrait et chaque fois qu’elle se mettait à ralentir, je lui donnais des coups de fouet. Les résultats étaient stupéfiants, elle devenait une vraie championne… j’espérais bien pouvoir trouver des sponsors pour me faire quelques sous sur son dos.
À 18 h j’avais rendez-vous avec « Gangbang productions » ils devaient me tenir au courant de leur dernière idée de mise en scène avec Hélène. Ils comptaient la faire jouer dans une production BDSM. Ils m’avaient expliqué que ce qu’on trouvait sur internet était souvent "fake" et que les "viewers" s’en rendaient compte. Alors ils allaient proposer de retransmettre toute la torture en live, on pourrait assister seconde par seconde à ce qui se passait. Elle se ferait fouetter, renverser de la cire chaude sur ses seins, on lui mettrait des piercings, on lui enfoncera d’énormes godes dans le cul. Et bien sûr, elle se ferait baiser à mort avant de finir par boire un gros bol de sperme.
« Ça me semble parfait, vous faites du bon boulot. Elle se conduit bien j’espère ?
— Elle ne fait aucune difficulté, c’est un bonheur de tourner avec elle. Vous l’avez bien dressée. Par contre elle pleure souvent quand elle doit rentrer rejoindre son mari.
— C’est vrai qu’Hippolithe est encore plus méchant que bête. Je ne pensais pas que leur couple serait aussi bien assorti, on dirait des âmes sœurs… »
Je les quittais pour rentrer chez André. Je m’assis à mon bureau pendant que Victoria me servait de repose-pied tout en faisant mes devoirs. Je me connectais à Bully& kill, j’avais trouvé une cible intéressante. Une certaine « Slenderwoman » elle avait pris une photo humiliante d’une des filles du lycée et avait écrit « Lol, je vais laisser tout le quartier baiser cette salope ! ». Elle allait bientôt se rendre compte que le vent tourne même pour les tournantes.
FIN.
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