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Avec un escort boy

Chapitre 1

Gay
Avec un escort boy (1)
J’ai 71 ans et suis veuf depuis 3 ans. Hétérosexuel, père de 4 enfants et 9 petits enfants, j’ai cependant toujours été attiré par les hommes, sans cependant jamais oser passer à l’acte. Maintenant que je vis seul, cela me travaille beaucoup et je meurs d’envie de connaître enfin l’amour gay dont on parle tant aujourd’hui. J’ai commencé il y a 1 an à me connecter à des sites gay. Cette liberté de ton, ces photos, ces annonces souvent très crues, m’ont souvent fait bander et j’ai dû, comme lors de mon adolescence, me soulager manuellement en regardant des photos de nus ou des vidéos. J’ai fini, obsédé par le sexe, par passer toutes mes soirées, nu, devant mon ordinateur. J’ai essayé de draguer des mecs, mais régulièrement mon âge annoncé, a fait obstacle à toute rencontre. C’est parfois dur à vivre. Pourtant je suis bien conservé car j’ai toujours été sportif. Grand, droit, musclé sec, le ventre à peine bedonnant, le poil gris et fourni, le sexe avantageux, je peux encore plaire. En désespoir de cause, je me suis mis à examiner des offres d’escort boy’s. En général ils ne font pas la fine bouche et indiquent que l’âge est sans importance. L’un d’eux a plus spécialement attiré mon attention. C’était un allemand vivant à Montpellier, nommé Klaus, blond aux yeux bleus, 32 ans, 184 cm pour 78 kilos, monté 18/4, non circoncis, actif et passif. Ses photos étaient superbes et j’ai joui au moins deux fois en me masturbant devant elles. Un soir, n’y tenant plus, je me suis jeté à l’eau et lui ai envoyé un message pour lui demander ses conditions. Par retour il m’indiquait demander 150 € de l’heure et 800 pour la nuit. Nous avons pris rendez-vous pour un soir de la semaine suivante et il m’a confié son numéro de téléphone. Le sort en était jeté. J’ai retenu une chambre d’hôtel à Montpellier, dans une chaîne de gamme moyenne, située à la périphérie, pour plus de discrétion. Le jour dit je rejoignais cette ville en voiture, me garait sur le parking de l’hôtel et prenait possession de ma chambre. Après une bonne douche et une friction à l’eau de Cologne, j’enfilais un slip blanc propre, un pantalon de toile et une chemise, puis j’appelais Klaus pour lui donner l’adresse de l’hôtel et le numéro de ma chambre. Il m’annonçait son arrivée vers 21h, ce qui me laissait le temps d’aller dîner. Dès 20h 30, j’étais dans ma chambre à l’attendre, le cœur battant, la crainte au ventre et la bite en semi érection, tant j’étais partagé entre l’attrait de la découverte, le désir de serrer enfin un corps d’homme dans mes bras et la peur d’une mésaventure. A 21 h 10 on frappe à ma porte et je me précipite pour l’ouvrir, la gorge sèche et le rouge au visage. C’est bien Klaus, souriant, détendu, élégant dans son costume d’été beige, la chemise bleue ouverte au col, qui me tend une main ferme et me salut d’une voix fraîche et grave : « Bonsoir Jacques, je suis Klaus ». Je le remercie à voix basse d’être venu et le fais entrer, puis referme la porte et la verrouille. Je l’examine. Il est un peu plus grand que moi, mince et musclé, les épaules larges, les hanches étroites, de belles mains fines et un visage imberbe, aux traits virils, avec menton volontaire, éclairé d’un beau sourire chaleureux. Paralysé, ne sachant que faire, je le contemplais longuement, mes regards allant de son visage à son entre jambe, la respiration saccadée, la sueur au front. Comprenant ma gêne, Klaus retira doucement sa veste, toujours souriant et me dit : - Il fait chaud ce soir, si vous le permettez je vais me mettre à l’aise. Reprenant mes esprits, j’opinais et lui proposais une bière. . Tandis qu’il déboutonnait sa chemise, je pris deux bouteilles de bière dans le frigo, les décapsulais et lui en offrais une. Pendant qu’il buvait, j’admirais son torse à moitié découvert, sa fine toison blonde entre les seins et ses tétons bruns saillants. Je sentais mon sexe gonfler dans mon slip et une sourde chaleur m’envahir. C’est alors que Klaus, posant sa bouteille sur la table, s’approcha de moi et les bras posés sur mes épaules m’embrassa sur les lèvres. Après une brève hésitation, j’ouvris la bouche et sentis sa langue y pénétrer. Je me laissais aller et ma langue vint se mêler à la sienne. Ses mains glissaient sur mon dos et son corps se collait au mien. Je sentis alors son sexe durci pressé contre le mien. Soudain ses mains se portèrent sur mes fesses, les caressant et je sentis la jouissance monter en moi brutalement. Pour éviter d’éjaculer précocement dans mon slip, je m’écartais brusquement en lui disant dans un souffle : - Doucement, je suis très excité. C’est ma première expérience avec un homme. En bon professionnel, Klaus recula et repris sa bière, bu une rasade après avoir trinqué avec moi. Nous nous sommes assis sur le lit, cote à cote. Posant sa bouteille de bière sur le sol, Klaus commença à me caresser le genou, puis la cuisse, remontant tout doucement vers la bosse de l’entre jambes, pour enfin y poser la main et compresser délicatement mon sexe qui s’était encore durci durant cette action. - Voilà un beau membre, qui ne demande qu’à se déployer et qui me paraît bien à l’étroit dans ces vêtements. Nous allons le libérer. Ceci dit, mon partenaire se mit à desserrer ma ceinture, dégrafer mon pantalon et descendre ma fermeture éclair, laissant apparaître ma virilité au travers du mince coton blanc du slip. Légèrement penché vers moi, Klaus exposait sa poitrine en partie dénudée à mes regards et son odeur de jeune mâle soigné monta à mes narines. Alors qu’il me caressait couilles et verge à travers le tissu de mon sous-vêtement, je commençais à lui palper les seins, sa fine toison claire, ses tétons durcis, puis achevais de déboutonner sa chemise que je dégageais du pantalon, découvrant les muscles plats de son ventre. A ce moment, comme je palpais ce ventre enfin offert, Klaus pris à deux mains l’élastique de mon slip pour le faire glisser vers le bas et dégager ma verge tendue. Instinctivement je soulevais mes fesses et je sentis pantalon et slip ainsi dégagés, glisser le long de mes jambes, jusqu’à mes pieds. Pour la première fois de ma vie, mon intimité se trouvait exposée devant un homme. Je bandais au maximum, le gland dégagé du prépuce, les couilles gonflées. Fébrilement je m’attaquais à mon tour. à la ceinture de cet homme. Klaus se leva à cet instant, les yeux fixés sur mon sexe et se déshabilla rapidement. Chemise, pantalon et boxer se trouvèrent en un instant à terre et je me retrouvais avec ce corps jeune et viril devant moi, à portée de mains. N’y tenant plus, je saisis son zob d’une main et passais l’autre sur ses couilles duveteuses, béat d’admiration et fou de désir. C’était la première fois de ma vie que je pouvais toucher les organes sexuels d’un autre homme que moi, si chauds, si doux, si vivants, avec cette verge qui réagissait au contact de ma peaume et se dressait peu à peu, devenant rigide, légèrement recourbée vers le ventre de mon amant, le gland violacé touchant le nombril de celui-ci. Klaus se laissa faire un moment, puis s’assit sur mes genoux, me retira ma chemise et m’enlaça, pour entreprendre une nouvelle pelle bien baveuse. Tous deux nus comme à la naissance, nous nous pressions l’un contre l’autre, nous caressant sur toutes les zones érogènes et en particulier sur nos bites bandées et palpitantes. Nous nous sommes retrouvés étendus sur le lit, tête à queue et j’ai senti les lèvres de Klaus se poser sur ma bite, alors que la sienne s’offrait, bien ferme, devant ma bouche. M’abandonnant enfin à mes fantasmes si longtemps refoulés, j’ai livré ma verge à la bouche humide et à la langue agile de Klaus et commençais à sucer le gland de ce dernier. Bientôt, instinctivement, j’ai accompagné la fellation de mon partenaire de mouvements des hanches pour atteindre le fond de sa gorge. Il s’est aussitôt mis à faire de même et me baiser la bouche avec entrain, au point de m’étouffer parfois. Mais soucieux de mon plaisir, en professionnel accompli, Klaus savait se retirer à temps pour me laisser respirer, avant de revenir à la charge. Au comble de la jouissance, à peine 5 minutes après le début de ce 69, j’éjaculais dans la bouche de mon amant, lui faisant avaler trois jets de sperme successifs. Pendant que je continuais à le sucer, il gardait ma verge en bouche et la nettoyait soigneusement avec sa langue. Soudain je sentis son sexe se gonfler entre mes lèvres, se tendre encore un peu plus et son corps se raidir. Il essaya de se retirer de ma bouche, mais toujours en proie à mes démons, je le retenais fermement, resserrais mes lèvres sur sa bite er reçus dans la gorge de copieuses rasades de sperme chaud, gluant et salé que j’avalais de mon mieux. C’était un peu écœurant et en même temps si excitant. Toute cette semence d’homme, promesse de fécondité et de vie, ainsi répandue en moi, quel plaisir ! Apaisés, nous nous sommes étendus l’un près de l’autre, laissant nos verges s’amollir et se nicher sur nos couilles vidées, tout en échangeant des baisers tendres et des caresses lentes. Satisfait mais non repu j’ai demandé à Klaus s’il pouvait rester toute la nuit, car je voulais épuiser toutes les jouissances de l’amours entre mecs et j’étais prêt à en payer le prix. Sans faire de difficulté, très naturellement, il a accepté et se couchant sur moi de tout son long, a scellé son accord d’un baiser profond qui m’a fait aussitôt rebander.

Patrocle
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