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Avec ma jeune belle-soeur

Chapitre 2

Hétéro
Deux semaines s’étaient écoulées depuis que j’avais maté Maeva dans la douche et aucune crise n’avait éclaté, je supposai donc qu’elle n’avait pas mis Juliette au courant, et c’était tant mieux !Le samedi suivant, Maeva devait venir chez nous pour le déjeuner. Je devais passer la chercher à onze heures après avoir déposé Juliette chez le coiffeur.
J’appréhendai un peu le trajet seul avec Maeva, mais elle était naturelle comme d’habitude et à aucun moment elle ne fit allusion à l’épisode de la douche. Je me sentais rassuré !
Mais en arrivant chez moi, je ne pus m’empêcher de la mater à nouveau. Lorsqu’elle retira sa veste, mes yeux descendirent instinctivement vers son fessier parfaitement moulé dans son jean taille haute. Elle se baissa pour ôter ses chaussures, ce qui eut pour effet de mettre sa croupe encore plus en valeur et de déclencher un frisson d’excitation dans mon slip.A ma grande surprise, sans même se retourner, elle me dit « Si tu aimes tant mater, pourquoi tu ne viens pas toucher ? »Comme je restais silencieux, ne sachant que répondre, elle s’approcha de moi en me regardant d’un air interrogateur. Je me mis à bafouiller « Je ne peux pas faire ça à Juliette, en plus tu es sa demi-sœur ».
— Si toi tu ne peux pas, alors laisse-moi faire.
Et comme elle prononçait ses mots, elle posa la main sur mon entrejambe.Je me retrouvais à nouveau figé. Elle me regardait droit dans les yeux et elle se mit à malaxer mon paquet, que je sentais grossir sous ses caresses et son regard lubrique.
Je sentais l’excitation monter et je fermais les yeux pour essayer de me détendre. Tâchant de ne pas réfléchir à ce qui était en train d’arriver. Je la vis à peine s’agenouiller devant moi. Elle défit les boutons de mon jean et le fit tomber à mes pieds, laissant apparaître mon slip gonflé. Elle caressa un peu mon paquet avant d’enlever le slip pour libérer ma queue déjà à trois quarts dure.Je la vis se mordre les lèvres en regardant mon engin, elle prit alors mes couilles en main. J’ai des couilles de belle taille et les sentir rouler entre ses petites mains finit de faire durcir mon manche.Sa main droite le prit alors en main et elle commença à me branler doucement. Elle leva les yeux vers moi et se lécha les lèvres. C’était une vision magique.
Elle passa alors sa langue sur mon gland, une main toujours sur mes couilles, l’autre branlant mon membre. Elle s’amusa comme ça quelques secondes avec ma queue avant de la prendre en bouche.J’avais très peu d’expérience de la pipe, Juliette n’aimant pas ça. Maeva, elle, semblait plutôt experte en la matière... Je prenais un plaisir fou à la regarder s’activer sur ma bite qui lui remplissait bien la bouche.Elle me branlait en même temps, sa langue tournait autour de mon gland, descendait sur mes couilles pour remonter tout le long de la verge et la reprendre en bouche. Je n’avais toujours pas bougé, mon cerveau en pause, dans le hall de l’appartement, mon corps profitant de l’instant.Après quelques minutes, sentant le plaisir monter, je retins sa tête pour lui faire comprendre de ralentir, la touchant pour la première fois.
Elle me sourit, me poussa contre le mur et se contenant de lécher mes couilles gonflées et palpitantes de plaisir. C’était très bon, mais ça avait suffi à me calmer.Elle s’en rendit compte et reprit ma bite en bouche. Je la sentais de plus en plus excitée elle aussi. Elle poussait quelques gémissements de plaisir pendant ses va-et-vient sur mon manche.Mon excitation exacerbée par ces bruits, je vis ma main attraper malgré moi ses cheveux et la pousser un peu plus loin pour prendre ma queue en fond de gorge. Comme un instinct primitif qui me poussait à la soumettre à ma virilité. Elle sembla apprécier, elle se libéra de mon emprise, recula légèrement et s’assit à mes pieds.
Elle tira sur ma bite pour me faire approcher et je pliai légèrement les genoux pour pouvoir m’enfoncer à nouveau en elle. Elle avalait les centimètres, se laissant faire. Lorsqu’elle eut la totalité de mes 18 centimètres bien en bouche, elle agrippa mes fesses pour m’inciter à rester dans cette position. Après plusieurs secondes, elle relâcha la pression, je ressortis un peu et elle s’accrocha à mes cuisses, les tirant vers elle pour que je revienne.
Je compris alors ce qu’elle attendait... et j’allais le lui donner.
Prenant sa tête entre mes deux mains, je commençai alors des allers-retours dans sa bouche. Mon plaisir fut décuplé, non seulement par cette domination virile dont je faisais preuve, mais aussi et surtout par le plaisir qu’elle semblait prendre. Elle gémissait toujours plus fort, assise devant moi. Je sentais le jus monter, il fallait que je ralentisse...Je la libérai de mon emprise et retirai ma queue sur le point d’exploser. Je la vis à nouveau se mordre les lèvres. Elle prit mon engin dans sa main droite et sa main gauche retourna malaxer mes couilles. Elle me branla rapidement, c’était à nouveau elle qui dirigeait... Ma respiration s’accéléra, elle approcha son visage de ma queue et tira la langue. A la voir se comporter comme une vraie salope, je sentis le plaisir exploser.
Je crachais alors 5 longs jets de sperme, lui arrosant le visage et la langue, elle souriait, continuant de m’astiquer. Quelques gouttes partirent encore, moins puissantes, et elle reprit mon gland en bouche pour le nettoyer. Son visage dégoulinait de foutre.Elle se releva et me dit « Tu t’es bien débrouillé pour quelqu’un qui ne voulait rien faire ».Puis elle disparut dans la salle de bains pour se nettoyer pendant que j’allais vite à la cuisine pour m’essuyer également. C’est à ce moment que mon téléphone sonna. C’était Juliette, il fallait que j’aille la chercher.
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