Cette histoire m’est arrivée lorsque j’avais 21 ou 22 ans. Il y a donc une vingtaine d’années.Célibataire depuis quelques mois, je décide de m’inscrire sur un site de rencontre afin de tenter ma chance. Etant attiré par les femmes mûres et surtout rondes, déçu par la gente féminine de mon âge, j’entreprends de trouver un site qui me donnera satisfaction. La suite me réservera bien des surprises…J’ai eu beaucoup de mal à accrocher une femme sur ce site mais lorsque je réussis à en « capturer » une et qui plus est, correspondait à tous mes critères, nous conversons pendant plusieurs semaines et je lui fais part de mes moindres fantasmes et désires, sans aucune retenue. Les vacances arrivent, je suis obligé de travailler pendant toutes celles-ci. Ma mère avec qui je vis et qui s’est récemment séparée de mon père, ne partira pas elle non plus.Je bosse beaucoup à cette époque, mais je constate un petit changement d’attitude « vestimentaire » chez elle. Je ne la vois que très peu mais elle se balade souvent en petite culotte et soutient gorges à la maison, ou petit maillot de bain très « découvert », petite mule à talon. Des choses assez sexy en fait dont elle n’est pas coutumière… J’avoue qu’à cette époque-là, je n’avais jamais regardé ma mère de très près mais là, je me surpris à la reluquer plusieurs fois non sans une certaine excitation. « T’es fou mon gars, c’est ta mère… ». Mais ces visions m’excitent de plus en plus et mes conversations sur le net ne font qu’accentuer mon désir de me taper une bonne couguar bien ronde. Ma mère est une femme de 45 ans bien en chaire mais très bien proportionnée selon mes critères et mes goûtsLes jours se passent, après une courte journée (pour une fois), je passe un coup de fil à ma mère pour lui dire que je rentrerais plus tôt que d’habitude, 10h du soir environ. J’arrive chez nous, j’ouvre la porte et en pénétrant dans le salon, quelle ne fut pas ma surprise de trouver ma mère en tenue légère et plus que provocatrice, sirotant tranquillement une coupe de champagne. Heu… ais-je fais une connerie ? Devait-elle recevoir quelqu’un et je ne me souviens pas qu’elle me l’ait dit ? Quoiqu’il en soit, je reste scotché il m’est difficile de détourner mon regard de sa tenue très excitante. Assise dans son fauteuil, elle m’accueille avec un grand sourire. Elle porte un corset mi cuir mi résille moulant sa paire de seins énormes, une minuscule jupe en cuir tellement serrée qu’elle fait ressortir son petit ventre bien dodu et qui la boudine, des bas en résilles fines gainant et galbant ses cuisses et ses mollets voluptueux et très généreux, des mules en cuir noires à talons aiguilles, très sexy avec des ongles de pieds maquillés rouges sang et une paire de mitaines mi résille mi cuir. Elle a maquillé ses yeux magnifiques en se mettant un rouge bien gras, ce que j’appelle un rouge à pipe, et sur ses paupières, elle a mis une ombre blanche nacrée.Je dois bien avouer qu’après une journée courte mais éreintante, je suis certes interloqué mais agréablement surpris. Je ne sais plus qu’elle était mon expression de visage mais une chose est sûre, c’est que dans mon caleçon, ma queue durcit très vite.Ma mère me sourit gentiment, me verse une coupe de champagne et m’invite à m’asseoir dans le canapé. Elle s’assoit à côté de moi dans un fauteuil les jambes croisées.Sentant ma gêne, elle entame la conversation, me parlant de tout de et de rien, de la pluie et du beau temps, de ma journée, de la sienne, avec une aisance déconcertante mais aussi rassurante ; elle est particulièrement détendue et visiblement contente d’elle, sa tenue fait son petit effet. Pendant notre conversation, elle croise et décroise lascivement ses jambes, ce qui a pour effet de faire « crisser » le cuir de sa mini-jupe toujours en sirotant sa coupe, ne me laissant qu’entrevoir le haut de ses grosses cuisses très sexy moulées dans cette petite jupe. J’essaye d’avoir l’air décontracté et cool mais ce qui se passe dans ma tête est indescriptible ! Le champagne aidant, je finis par me détendre, laissant place à une certaine désinhibition, et la conversation dévie sur LE fameux site de rencontre. «…Alors comme ça tu dragues ta mère sur internet ?! » Ah putain ! Comment a-t-elle deviné que je me cachais derrière la personne avec qui elle converse depuis des semaines ? Nous n’avions à cette époque pas de photos ? Qu’est-ce qui m’a trahi ? Soit ma façon de m’exprimer ou j’ai tout simplement oublié un soir de supprimer l’historique de l’ordinateur que nous nous partagions à cette époque ! Elle semble avoir planifié cette mise en scène depuis des jours et s’est appliquée à porter une des tenues décrites dans mes échanges sur le site de rencontre, la tenue de mes rêves. Le puzzle se reconstitue, les petites tenues sympas depuis un ou deux mois à la maison, c’est donc ça… Putain, je drague ma mère sur internet depuis des semaines et je ne m’en suis pas rendu compte ! Je lui ai raconté et confié beaucoup de choses inavouables; mes désirs, mes envies, baiser une grosse mature avec des bourrelets, et surtout mon fantasme d’être sodomisé, d’être pris par le cul par une femme en talons hauts… j’ai un gros côté fétichiste, talon matière etc…Je suis très gêné et déconcerté, je ne sais plus où me mettre mais ma mère fait tout pour me mettre à l’aise.Au fur et à mesure de la soirée, l’ambiance, sa tenue… je commence vraiment à bander très dur. Surpris par cet accueil, je n’ai pas pris le temps de me déshabiller et du coup ma queue est heureusement comprimée dans mon jean et caleçon. Pendant ces 1 ou 2 heures, ma mère ne tente aucun contact aucune approche, se contentant juste de prendre quelques poses suggestives et aguichantes mais sans vulgarité, un regard « coquin », un sourire… Elle veut certainement y aller en douceur et me ménager un peu. La situation est tout de même particulière, une mère qui attend son fils dans une tenue, certes élégante, mais à se faire prendre comme une chienne…
Son verre de champagne terminé, nous avions vidé la bouteille, elle me dit « bonsoir mon chéri, je vais me coucher ». Curieux... Elle s’approche de moi, se penche, je me retrouve avec ses mamelles à peine contenues sous le nez, que je n’ai pas d’autre choix que de mater, et elle m’embrasse sur le front.Elle disparait, en prenant soin de bien tortiller son gros cul bien gras avec ses hauts talons et je me retrouve seul dans le salon, mon verre de champagne à la main. Je suis dans un état entre incrédulité, irréalité, excitation… et une bite dure comme du béton. J’avais retrouvé ma mère habillée comme une pute, sirotant un verre de champagne et qui attendait que je rentre… Hallucinant ! Quelques minutes plus tard, j’entends la porte de sa chambre s’ouvrir, et ma mère réapparait dans le salon, toujours habillée de sa tenue de salope, me dit qu’elle a oublié quelque chose, se penche pour ramasser cet objet « soit disant oublié », son gros cul tourné vers moi, ce qui me permet cette fois ci malgré ses grosses cuisses serrées, d’entrevoir les lèvres juteuses de sa grosse chatte parfaitement épilée. Ma bite double de volume en 2 secondes et j’ai beaucoup de mal à me contenir, je bande comme un âne. Ma queue mouille et inonde littéralement mon caleçon.Elle me regarde et me sourit, ressort du salon en se dandinant de plus belle dans une jupe bien trop petite pour contenir un cul aussi énorme et regagne sa chambre. La vue de ses cuisses charnues gainées et libidineuses me rend dingue. Je tente de reprendre mes esprits, seul pendant quelques minutes, et décide d’aller prendre une bonne douche histoire de me calmer un peu. Je retire mon jean et direction la salle de bain.En passant devant sa chambre, j’entends tout de suite quelques couinements pas vraiment discrets provenant de la télé. La salope est en train de se mater un porno. Les cris sont vivaces…. Ça doit baiser dur là-dedans !Ne pouvant m’en empêcher, je jette un coup d’œil par le trou de la serrure de la porte de sa chambre fermée, et là je vois ma mère allongée, ses grosses cuisses bien ouvertes, en train de se caresser la chatte et les seins qu’elle a fait ressortir de son corset, faisant des mous de salopes en rut, prenant un gode, le passant sur son pubis, sa chatte mouillée et le portant à sa bouche pour lui faire une pipe plus que profonde. Le chibre est tellement gros qu’elle est en bave. Quelle chienne !Je la mate pendant environ 5mn tout en m’astiquant la bite au travers de mon caleçon et je pars prendre ma douche. En sortant de la salle de bain, je fais semblant de retourner dans ma chambre en faisant claquer la porte, mais je retourne discrètement vers la chambre de ma mère. Des petits cris nouveaux se mêlent à ceux de la TV. Je m’approche le plus discrètement possible et remets l’œil dans le trou de la serrure. L’atmosphère dans sa chambre est encore montée d’un cran.Ma mère est en train de lubrifier un gros gode. Elle le masturbe délicatement de bas en haut et tente de se le fourrer dans l’anus en se mettant debout et à califourchon dessus tout en se tenant à la tête de lit. Quelle vision, ma pute de mère habillée en cochonne, en talons hauts, debout sur le lit en train de se travailler le cul. Ma bite est prête à exploser sans que je la touche. Je tremble de partout tant mon excitation est grande.Je la regarde faire, ce monstre très veineux a du mal à entrer. Elle insiste, sautille dessus, tout en haletant. Soudain, un talon s’échappe, elle bascule légèrement en arrière et s’empale littéralement sur le gode. Il s’enfonce d’un coup sec dans son anus d’au moins 10 à 15 cm, l’électrisant et lui arrachant un cri. Elle ne bouge plus afin que ce gros membre face sa place dans son gros cul flasque. Sa tête est en arrière, elle grimace de douleur mêlé de plaisir et laisse très vite place un sourire de satisfaction avec un « Oh Oui heummmmm, oui…. », et des râlements de grosse pute en chaleur. Elle replace sa chaussure et commence lentement à aller et venir sur ce gros pieux.Elle y met du sien la salope, elle monte et elle descend de plus en plus fort en essayant d’aller toujours plus au fond de son gros cul graisseux. Elle gueule de plus en plus fort, secouant sa tête dans tous les sens en faisant onduler son bassin. Ses grosses mamelles de vache sautillent au rythme de ses vas et viens.C’en est trop, je n’en peux plus. Il faut que je gicle, il faut que je branle ma queue en voyant ce spectacle.Je retourne dans ma chambre, et ne sait plus où donner de la tête, je ne réfléchis plus qu’avec ma bite, je tourne en rond comme un chien en chaleur dans son enclos…… Après quelques minutes je récupère une bouteille de poppers (et oui ça m’amusais à l’époque) et quelques kleenex, et je retourne devant ce trou du paradis.Lorsque je reviens, j’entends des râlements de chienne en chaleur, plus de télé, le comble de la perversité s’offre à mes yeux, ma mère est en levrette, en train de se travailler la chatte et le cul avec 2 godes ventouses qu’elle a plaqués sur une grande glace à côté de son lit et face à la porte. De mon petit trou je vois tout ! La salope s’engode comme une acharnée, elle s’empale, elle se fait une double en donnant des coups de reins violents, elle gueule, grimace et sourit, son plaisir est indescriptible, ses orifices sont écartés, ses deux grosses mamelles claquent et ballotes dans tous les sens. Son gros cul flasque est perforé. Qu’est-ce qu’elle se met la chienne !!En même temps, elle regarde avec insistance la porte espérant que je sois là, à observer ce spectacle, et je sais qu’à ce moment-là, malgré la porte, nos regards se sont croisés ; cette pute sait que je la mate par la serrure, elle fait tout pour que je puisse l’entendre et la voir. Je sniffe du poppers et me branle comme un âne. Je perds tout contrôle et toute inhibition !!!Sous la violence de ses coups de reins et des vas et viens, un gode s’échappe, elle esquisse un sourire et d’une façon lascive elle se retourne toujours à 4 pattes, réajuste sa jupe pour qu’elle encadre bien son gros cul, lubrifie le gode du haut, celui qui est dans son cul et le suce avidement en même temps. Elle fait en sorte que je vois son anus et sa chatte complètement éclatés, lubrifiés et mêlés de ses sécrétions. Elle prend son temps pour lubrifier et masturber les godes, écarte en même temps sa chatte et son gros cul pour que je vois à quel point ses orifices sont ouverts et épanouis au travers de mon trou de souris. Je n’ai qu’une envie, c’est de prendre leur place, ouvrir, monter sur le lit et lui violer l’anus sauvagement. Je continue à m’astiquer et à sniffer comme un porc, à tel point que je cogne la porte qui s’entrouvre légèrement. Je me retrouve en face d’elle à genoux devant le pas de sa porte, ma bite tendue comme jamais à la main.Ma mère se retourne doucement, me fixe et regarde ma queue avec un regard de chienne soumise. Elle passe sa main derrière son cul, récupère les godes et se ré empale d’abord la chatte et puis son trou du cul à 4 pattes comme une salope. Chaque pénétration lui tire des râlements de plus en plus sauvages. Surréaliste ! Moi dans le couloir, au pas de la porte, ma queue turgescente à la main, et, ma mère sur son lit, engodée comme une chienne.Nos regards se fixent, je vois du désir, de la douleur, de la soumission dans ses yeux. Elle s’active, ses yeux fixent ma queue, je suis au bord de l’explosion, elle vient aussi et me dit « viens, viens minou !!!! minou viens ! »Je ne me fais pas prier, je me lève saute sur le lit, m’agenouille devant elle, lui attrape la tête et lui enfourne ma grosse tige dans la gorge. Elle en a un haut le cœur, ce qui m’excite encore plus et je lui enfourne ma queue de plus belle tout en envoyant des coups de bassins pendant qu’elle s’empale les godes jusqu’à la garde : « bouffe salope, bouffe, je vais t’en donner du foutre, bouffe salope……. », ce qui décuple son excitation et accélère son rythme.Ses mamelles bougent dans tous les sens et tapotent mes couilles gonflées. Je me redresse légèrement, me met accroupi, attrape son gros cul et je l’aide à s’empaler contre les godes tout en regardant dans la glace les chibres glisser. J’en profite pour accentuer encore mes vas et vient dans sa bouche, lui provoquant des envies de vomir. En quelques secondes nous explosons tous les 2. Dans un dernier soubresaut elle s’enfile les godes le plus profond possible, je lui colle le cul contre la glace, ses 2 monstres lui déchirent littéralement les trous pendant que je lui lâche des kilos de foutre au fond de la gorge et sur sa gueule bien maquillée ; elle avale, déglutit, prend ma queue et la passe partout sur son visage, avec plaisir et excitation. Elle a du foutre partout, son beau maquillage dégouline, je lui refais bouffer ma bite en lui maintenant la tête jusqu’à étouffement. Elle râle et râle encore ma queue l’empêchant de crier. Elle s’agrippe à mon cul pour accentuer ma pression. Quel orgasme putain….Reprenant sa respiration, elle me regarde avec son regard de chienne, ses yeux exorbités, sa gueule poisseuse et me dit « ça t’a plu minou…. ». Je lui répondis avec un grand sourire « oui et ce n’est pas fini espèce de pute, tu vas encore manger ».Nous reprenons nos esprits pendant quelques minutes.Elle reste à 4 pattes à s’essuyer le visage et sa poitrine pleine de foutre. J’en profite pour passer derrière elle et inspecter ses orifices éclatés. La salope qu’est-ce qu’elle s’est mise….. Ses trous sont béants d’extases. Je les regarde, les ausculte, approche ma bouche pour en sentir l’odeur et en gouter les jus. Une fouille plus qu’agréable et nécessaire tant les effluves sont nombreux.Une fois débarbouillée, elle me propose de reprendre un verre de champagne ce que j’accepte avec plaisir. Je me lève et me dirige vers la salle de bain mais elle m’interdit de me laver. Elle va le faire elle-même…. Cochonne et…gourmande…….vraiment tout me plaire.Pas de problème, je m’allonge sur le lit, souillée de gel, de sperme et autres godes, et allume une cigarette qui est à ce moment-là Divine……Elle revient, quelques minutes après, toujours dans sa tenue putassière avec 2 coupes de champagnes. Elle a pris aussi le temps de se rafraichir un peu.Nous ne parlons pas. Nous buvons nos coupes et nos mains se baladent à la découverte de nos corps. Je prends l’initiative et me concentre sur ses mamelles, les malaxe, les suce, les tète, lui arrachant quelques mouvements de têtes et soupirs de contentement.A son tour, elle s’allonge à côté de moi et doucement commence à me travailler la queue et l’anus avec sa bouche et ses seins. Elle suce mes couilles, les malaxe, met ma queue entre ses gros seins et me branle, m’avale en gorge profonde, me lèche partout pour retirer toute trace de foutre, me fouille l’anus avec un doigt. Elle me fait ça lentement avec application et délectation tout en me regardant avec ses yeux provocants et toujours hyper maquillés. Humm ! Se faire sucer, branler et fouiller en même temps ! Le plaisir est à son comble ! J’ai du rouge à lèvre plein la queue….Elle ne tarde pas à me remettre en pleine possession de mes moyens la garce. Puis progressivement, ne voulant pas être en reste, elle amène son gros cul et sa grosse chatte au-dessus de ma bouche. Nous entamons un 69 endiablée. Je la broute, l’écarte, la dévore, fourre ma langue partout où c’est possible. Je lui dévore les orifices ! J’attrape son clitoris et ses grandes lèvres que je commence à les mâchouiller comme un chewing-gum. L’orgasme arrivant elle se redresse, et tout en continuant à me masturber avec ses 2 mains, se frotte et se déhanche comme une furieuse sur ma gueule. Je laisse ma langue dehors, je ne peux presque plus respirer avec tout cet amas de chaire sur mon visage. Elle gueule comme une truie tout en giclant sur ma gueule. Des jets de cyprines chauds sortent de sa chatte rasée, j’ai de la mouille et des sécrétions partout. C’est chaud, goûtu et enivrant.Puis sans rien dire elle se met debout sur le lit dos à moi, réajuste sa jupe, m’écarte son gros cul pour me laisser voir son anus, l’humecte avec sa salive et commence délicatement à s’empaler sur ma queue. Je lui agrippe les talons comme une brouette et la laisse faire. Elle monte et descend, ressort tout en écartant son cul pour que je puisse voir les dégâts. Elle me dit « Tu vois ce que tu me fais minou… » tout en gémissant. Puis se ré empale en ahanant comme une chienne. Je l’encourage : « Vas- y maman doucement, empale toi bien. Sens chaque centimètre de ma queue. Vas- y fais toi du bien. Fais du bien à ton gros cul de salope».J’agrippe ses talons, et lui envoie quelques coups de reins de temps à autres, pour l’obliger à s’empaler à fond. Lorsqu’elle ressort et me montre son oignon dilaté, j’y mets 1 doigt puis 2 puis 3….L’écarte le plus possible et crache dedans. Je l’entends soupirer pendant que je fouille son gros cul.Il est tellement ouvert que je décide de le remplir au maximum. Je prends un gode souillé sur le lit, je le colle contre ma queue. Je prends ma bouteille de poppers et la donne à me mère. : « Tiens salope, sniff ça, ça va te détendre ». Elle ne se fait pas prier et en prend une grande giclée et, par surprise, pendant qu’elle redescend sur ma bite, j’en profite pour lui enfiler le cul avec le gode puis ma queue, ce qui a pour effet immédiat de lui tirer des longs cris de chienne. Elle plane littéralement « oh mon salaud, oh mon salaud, tu me dilates le cul, vas-y, enfonce ta mère, enfonce ta pute, connard, connard….. ». Je l’agrippe par les hanches et bestialement je le lui assène des coups de godes et de bite à lui en faire péter le sphincter. Son cul flasque, claque et fait du bruit comme s’il était giflé. Ma salope de mère, se déchaine et accompagne mes vas et vient profondément…..Elle gueule, trémousse son cul en se plantant sur les pieux bien au fond, tout en décrivant des cercles pour sentir chaque recoin de son trou béant d’extase. Au bout de quelques minutes, ça lui déclenche un violent orgasme, elle s’assoit littéralement sur ma queue et le gode et jouis comme une folle. Je la plaque sur moi tout en essayant de l’envahir le plus profond possible…la cochonne est en âge et dégouline de jouissance…..Elle se dégage doucement toujours en écartant son anus dilaté. Elle s’approche de moi pour me le faire voire. J’y glisse quelques doigts encore puis une partie de ma main pour inspecter son fondement, je la travaille et finis par la fister délicatement. Debout sur le lit, elle s’appuie sur ma main et la fait disparaitre dans son antre suintante de mouille mélangée à ses sécrétions, à sa merde, je ne pensais pas qu’elle y arriverait la garce (en même temps j’ai les mains très fines pour un mec)…… elle fait quelques vas et viens… mais s’arrête n’en pouvant plus et tombe à plat ventre sur le lit.Je ne luis laisse malgré tout aucun répit, je l’agrippe et lui remonte le cul en levrette, lui agrippe les loches et décide de l’achever en lui travaillant le con et l’anus alternativement avec de violents coup de bite. Je prends ses hauts talons dans les mains, la met en brouette et la viande comme une chienne. Elle s’écroule quelques instants plus tard dans un dernier ahanement, essoufflée et apparemment rassasiée.Elle reste un petit moment comme cela, allongée sur le ventre, à reprendre sa respiration. J’en profite pour lui malaxer délicatement ses grosses cuisses et le gras du cul, en l’écartant pour voir sa chatte et surtout son oignon explosé. Je m’allonge sur le lit et reprend une cigarette, croyant qu’elle allait m’astiquer mon bout souillé pour me terminer. Mais elle se lève, va vers son placard et en sort un bon gode ceinture. Elle me sourit et me dit « c’est bien ça que tu veux minou ». Je la regarde et lui sourit aussi. Une forte chaleur s’empare de moi… je tire sur ma cigarette tout en regardant cet objet de désir. Je me remets à bander et mouiller du gland de plus belle. Elle a vraiment pensé à tout la salope. Elle remonte sur le lit, commence à s’arnacher de manière très sexy, prenant soin de la belle verge qu’elle a sur son pubis. Elle se branle, s’exhibe avec son braquemart pendant que je finis ma cigarette. Elle se met à genoux et me dit de venir la sucer. Je m’exécute. Je le prends en bouche, m’en délecte, le met au fond de ma gorge, le branle, le gobe littéralement.Pendant de ce temps, je sens un doigt lubrifié commencer à me pénétrer doucement, puis deux….Je pousse des petits soupirs de plaisir et commence à me dandiner. Ma mère me caresse le cul et me doigte de plus en plus profond prenant bien soin d’écarter ses doigts dans mon petit trou serré en décrivant des cercles.Elle me relève la tête, me roule une grosse pèle, me mets sur le dos et relevant mon cul avec un oreiller. Elle lubrifie le gode et mon anus doucement. Elle se baisse pour le lécher et y faire rentrer sa langue. Heummmm que c’est bon…..Puis elle se redresse, je prends une giclée de poppers et elle commence à me prendre doucement tout en me masturbant délicatement. Je lâche quelques petits gémissements de plaisir et prends ses mamelles en mains que je malaxe au gré des pénétrations. Dans l’élan, sentant mon plaisir monter et ma dilatation progressive, elle commence à s’allonger sur moi, me remonte les jambes, ses loches dans ma bouche et me lime de plus en plus fort. Je sens mon anus s’élargir sous la pénétration. Je m’agrippe à ses hanches, son cul et sa jupe, je me trémousse dans tous les sens tellement ses coups de reins sont puissants, précis et profonds. Elle me remplit bien la garce.Elle ressort, m’embrasse de nouveau, me place en levrette. Elle se met derrière moi commence à me fouiller et m’explorer délicatement avec ses doigts en m’arrachant des râles de douleurs et de plaisirs. « Heumm pas mal tout ça…. On va voir ce qu’on peut encore faire….». Puis elle se met debout avec ses talons sur le lit et s’agrippe à mes hanches. Je prends une grande giclée de poppers, elle me demande le breuvage et en prend aussi. Je m’agrippe à ses hauts talons, me soumettant totalement à sa volonté, et me voyant monter et montant elle aussi, cette salope prend son gode à deux mains et me l’enfourne violement et sans vergogne dans l’oignon. Elle commence à me limer avec force et sans ménagement. Cette fois je gueule, elle me cogne le fond, me saute comme une folle. Je sens toute sa queue en moi « alors mon minou, c’est ça que tu voulais…, hein c’est ça….. » « Vas y fait moi le trou, encule moi à fond ».. Je perds la tête sous ses coups répétés, j’ai l’anus en fleur, je sens que ça monte…« Arrête salope de me limer je vais jouir !! ».Elle ressort, se met sur le dos et me dit « viens t’empaler minou, vite, allez connard monte la dessus ».Je ne me fais pas prier, je monte à califourchon, elle s’axe dans mes fesses, m’empale et commence à me labourer avec de grands coups de reins pendant que je m’astique le gland comme un forcené.Elle accélère très fort tout en me regardant me branler, me tapant le fond « vient mon minou, vient mon grand, vient sur maman…. » et me déclenche un orgasme terrible. Je hurle à la mort. Elle m’agrippe les hanches pour m’obliger à rester empaler bien au fond pendant que mes giclés de foutre partent sur ses seins, son visage, ses cheveux…… elle continue à me donner des petits coups de reins en essayant d’être synchro avec mes jets des spermes. Je gueule de plaisir, et suis tétanisé par l’orgasme. Je tremble de partout. Je sens mon cul se contracté sur le gode toujours planté au fond de mon cul dilaté……… et m’écroule à côté d’elle. Epuisé, vidé et en transe.Tout en se masturbant la queue, fière d’elle, un grand sourire sur le visage, elle récupère le foutre sur ses doigts et le porte à sa bouche pour ne pas perdre une miette de notre bonheur partagé.
