Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 340 J'aime
  • 11 Commentaires

Avec mon fils chez ma sœur

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Bonjour, je suis Séverine. Si vous avez lu “Les aventures de Caro”, vous me connaissez sous le diminutif de Sève: je suis la sœur d’Anna, alias Caro. Sinon lisez-les avant, j’ai eu l’occasion de le faire suite à l’aventure que je vous raconte ici (je ne savais pas qu’ils avaient publié leurs aventures avant ça), et c’est vraiment tout ça qui s’est passé!
J’ai maintenant 41 ans, je suis mariée et j’habite dans le Jura. Mariée, mais mon époux me délaisse depuis au moins dix ans, déjà qu’il était très peu porté sur le sexe avant. N’ayant plus à plaire à mon mari, j’ai malheureusement repris un peu de poids, et le fait de reprendre du poids donnant encore moins d’envie à mon mari, le parfait cercle vicieux, n’est-ce pas ? J’ai donc fait une croix depuis sur ma vie sexuelle.
J’ai un fils Thibault que vous ne connaissez pas encore et qui a 3 mois de moins que Lola, la fille de Ber et Anna (lire “Je retrouve mon amie d’enfance”, qui se déroule à peine deux semaines plus tard, mais qu’ils ont publiée avant moi).

Vendredi 5 juillet 2013
Je dois partir une semaine en stage à Toulouse pour le travail. Il se trouve que mon mari avait déjà programmé une visite à ses parents ce week-end, et comme ils sont encore moins amusants que lui, j’ai demandé à Ber et Anna s’ils veulent bien garder Thibault pendant cette première semaine des vacances.
Vu le profil de mon mari, je me dis maintenant que l’amour est vraiment aveugle, car suite à ce que je vous raconte ici, je me demande vraiment ce que je lui ai trouvé pour me mettre avec lui. D’ailleurs, il n’a jamais apprécié ni ma sœur, ni Ber, ni ma famille en général, les trouvant certainement trop libres par rapport à sa vision étriquée du monde. 9a plus l’éloignement géographique, on ne se voit plus trop avec ma sœur. La dernière fois, c’était pour Noël il y a deux ans chez mes parents, ce qui fait un peu loin.
L’essentiel c’est qu’il est d’accord pour que Thibault aille chez eux, certainement parce que ça lui fait une charge en moins, et ils sont OK pour l’héberger. Etant donné qu’ils sont maintenant installés à Luynes dans l’ancienne villa de nos parents, ce sera encore mieux pour Thibault, et c’est sur mon itinéraire.
Quand nous arrivons avec mon fils, je ne m’attendais pas à ce que ma sœur nous accueille d’entrée en ne portant rien d’autre qu’un bas de maillot rouge. Bien évidemment, je dois admettre que je la connaissais comme ça, et si vous avez lu les précédentes histoires, vous savez que c’est plutôt sa tenue maximale. Et j’ai même été comme elle. Mais c’était dans une vie antérieure, avant mon mariage et la naissance de Thibault. Je n’y suis plus habituée depuis des lustres à cause de mon mari qui est très “classique” question mode vestimentaire. Je me retiens donc et lui en fais gentiment la remarque:
— Oh, dis donc, Anna, tu pourrais au moins enfiler quelque chose pour ouvrir la porte !— Et pour quoi faire ? Y a jamais personne qui passe dans ce coin du lotissement, et vous m’avez déjà vue topless, non ? Tu sais que d’habitude on est plutôt à poil en cette saison.
Mon fils est tout éberlué de voir sa tante dans cette tenue très légère. La dernière fois qu’il l’a vue ainsi, c’était à la plage et il était plus jeune de quatre ou cinq ans. Je me doute qu’à son âge actuel, les hormones le travaillent beaucoup plus.
Elle nous fait la bise de bienvenue comme si de rien n’était, et mettant ses petits seins pommés juste sous le nez de mon fils. C’est certain que là, ça lui fait un choc et il ne peut s’empêcher de lorgner directement sur les tétons de ma sœur quand elle s’écarte de lui.
Un autre choc pour lui, c’est quand elle se retourne pour nous devancer dans la maison. Au vu de la mince ficelle qui se perd entre les fesses et qui ne laisse plus aucun doute sur le fait que le bas de maillot de sa tante est un string, il a l’air hypnotisé par la découverte de ces deux globes charnus. Je suis tout de même un peu gênée qu’il se rince l’œil aussi ouvertement, mais je n’ose rien dire pour ne pas souligner la situation.

Nous entrons donc, posons nos sacs dans le hall et traversons le séjour en suivant Anna qui n’a pas du tout de scrupules à précéder son neveu qui ne peut s’empêcher de mater ouvertement ses fesses bronzées que la ficelle rouge aurait du mal à essayer de masquer.
Ça ne m’étonne nullement que Ber soit lui aussi en string, je m’y attendais après l’accueil de ma sœur. Et c’est le cas, même si le sien est bien plus sage que celui d’Anna.
Mais c’est Lola qui m’étonne le plus, car elle ne porte plus le bas de maillot que je lui connaissais encore la fameuse dernière fois où nous étions tous ensemble à la plage. Elle l’a troqué pour un string bleu presque aussi petit que celui de ma sœur. Elle ne porte toujours pas de haut comme je l’ai toujours connue, sauf qu’elle arbore maintenant une poitrine plus importante que celle de sa mère, et qui tient bien droite tout de même, avec de petits tétons foncés qui rebiquent vers le haut. Ses fesses sont petites, mais bien rondes et fermes et son ventre bien plat.
Cela met son cousin dans un état encore plus fébrile et il n’ose même pas bouger quand sa cousine se lève et vient se coller à lui pour lui faire la bise. Contrairement à sa mère, il y a un contact franc et massif entre les tétons de ma nièce et le T-shirt de mon fils.
Anna commence par nous installer. Ber et Anna ont évidemment choisi l’ancienne chambre des parents et Lola l’ancienne chambre d’Anna au bout du couloir. Donc il est naturellement décidé que j’occuperai mon ancienne chambre entre eux et Lola, et Thibault la chambre qui était celle de Bruno en face de la leur.
Comme il n’est pas trop tard, Anna nous propose :
— Mettez-vous en tenue de bain pour profiter de la piscine, il fait encore chaud. Ensuite on fera l’apéro sur la terrasse.
Quand je les rejoins, mon fils est déjà là et porte un boxer de bain très sage, surtout comparé aux confettis à ficelles que portent ma sœur, mon beau-frère et ma nièce. Pour ma part, j’ai emporté un deux-pièces dont je mesure soudain le classicisme en contraste avec les autres protagonistes. D’ailleurs, ma sœur ne manque pas de m’épingler:
— Ouah, Sève ! Même maman n’oserait pas porter ça à son âge !
Evidemment, mon mari trouvant ça trop vulgaire dès le début de notre relation, ça fait bien longtemps que je n’ai plus de strings dans ma collection de maillots, ni d’ailleurs dans mes sous-vêtements. Je ne fais pas cas du sarcasme de ma sœur et plonge dans la piscine.

Quand je ressors et que j’ai fini de m’essuyer, Anna profite du fait que je pose la serviette au sol et m’allonge à plat ventre dessus pour me proposer de m’étaler de la crème protectrice. Ma méfiance étant en berne, je me laisse faire quand elle dégrafe mon haut de maillot pour bien m’étaler la lotion sur le dos. Je ne réalise toujours pas lorsqu’elle dénoue aussi le lien autour du cou, et il est trop tard pour réagir lorsqu’elle tire sur mon soutif qui glisse entre le sol et moi, me laissant topless. Je reste sur le ventre et protestant :
— Allez, Anna, rends-moi ça !— Pas question, tu vas t’en passer tout le week-end, c’est comme ça !
Finalement, j’accepte malgré moi le fait de ne plus avoir le haut et je finis forcément par devoir me retourner. Je dévoile ainsi pour la première fois mes seins à mon fils, si l’on excepte le temps où je lui donnais la tétée. Ils ont certes cédé un peu aux lois de la pesanteur avec le temps, mais ils ont tout de même l’air de lui faire un effet que je me surprends à trouver flatteur.
Bon, après ce plouf, ce déshabillage et un apéro (light pour les deux jeunes tout de même), comme Ber avait prévu des grillades sur le barbecue, nous restons dehors pour profiter de la température idéale. Du coup, personne ne songe à se rhabiller du côté de ma sœur, et j’en fais de même sans trop me poser de questions. Profitons de l’instant !
Au moment d’aller se coucher, Anna prend la première la direction du couloir des chambres, suivie de près par mon fils qui a l’air toujours très intéressé par la ficelle qui se perd entre les fesses de sa tante, vu l’inclinaison de sa tête.
Au moment où ma sœur s’arrête dans le dégagement où se trouvent le w.c. et la salle de bains, je sens une main, celle de Ber forcément, venir se poser au bas de mon maillot et frotter ses doigts dans mon entrejambe. Je les sens passer de mon clito à mon anus plusieurs fois. Je me retourne pour le fusiller du regard, sans toutefois oser faire un esclandre, étant donné que je suis en plein milieu du groupe familial. Ber s’arrête aussitôt et me fait un clin d’œil. Je réalise alors que Lola est juste derrière lui. Est-ce qu’elle a vu ce qui s’est passé?
Arrivés devant les chambres, Lola me dépasse et va au fond du couloir, Thibault entrant dans la chambre située en face de celle des parents après un dernier regard sur les fesses de sa cousine jusqu’à ce qu’elle ait franchi sa porte. Ber a noté que je suis focalisée sur ça et profite de l’effet de surprise pour me pincer légèrement les mamelons entre deux doigts de chacune de ses mains. Je me recule un peu et il n’insiste pas, me souhaitant une bonne nuit avant de rentrer dans leur chambre à la suite d’Anna. Je rentre enfin dans la mienne à côté de la leur.
Mine de rien, ce petit évènement m’a un peu réveillé les sens, et dès que je suis seule dans ma chambre, j’enlève le bas de maillot pour me coucher à poil. C’est quelque chose que je n’avais plus fait depuis très longtemps, mais là, je retrouve ce plaisir naturel. A côté, j’entends Ber et Anna qui commencent à s’activer sans se gêner de faire du bruit. Je résiste un moment, puis je commence à me masturber doucement en imaginant leurs ébats en fonction des bruits qui me parviennent, d’autant plus que je les connais bien, et pour cause ! Je sens revenir des sensations enfouies au plus profond de mon cerveau et j’accélère le mouvement sans plus aucune retenue. Ils ont enfin un orgasme bruyant qui me déclenche ma première jouissance depuis trop longtemps.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live