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Avec Nathalie 1ère expérience

Chapitre 1

Divers
Cette histoire s’est déroulée, il y a déjà plusieurs années. J’étais encore jeune et ignorant de certains plaisirs de la vie. Je devais avoir 23 ou 24 ans, j’avais perdu mon innocence depuis belle lurette et j’expérimentais au gré de mes rencontres avec la gent féminine.
A cette époque, célibataire, gagnant ma vie correctement et sans attaches, les soirées, mais surtout les week-ends étaient propices à des rencontres se terminant de manière chaude, même très chaude.En ce temps béni, on n’entendait pas parler de MST, harcèlements et toutes les restrictions castratrices pour l’homme, les sorties en soirée ou boîtes de nuit permettaient de ne pas rentrer seul. J’ai donc rencontré Nathalie, blonde pulpeuse, genre croisement entre Samantha Fox et Sabrina, chevelure blonde en crinière, top noir et jeans moulant. Pour ceux qui ont connu cette époque, début 80, les sosies des starlettes se la pétaient sur le danceflor multicolore à damiers.
Nathalie dansait devant moi, plantée au bord de la piste. On aurait dit une parade nuptiale, elle m’avait choisi, sa danse était pour moi. Sourire, attitude suggestive, ses mains couraient sur son corps comme une caresse qu’elle attendait. Et puis le slow qui tombe à point nommé, je bondis sur la piste et entamons une danse langoureuse sur Europa de Santana.
Rien à perdre, on y va franco, ça passe ou ça casse. Bingo, ma langue est dans sa bouche et elle me rend mon baiser, c’en est même dégueulasse lorsque j’y repense. Le steak que je lui ai fourré dans la bouche, mais mon esprit tordu se dit que si ma langue entre aussi facilement, elle pourra bien se prendre autre chose encore plus profond. Mes mains se baladent ; une sur ses fesses et la seconde est déjà remontée sous le top et travaille un téton de la taille d’un petit pois. Elle gémit, souffle, râle dans mon oreille, je sais déjà que je ne me réveillerais pas seul au matin.
On ne va pas refaire l’histoire, mais la fin de nuit fût torride, elle a pris côté pile et face, par-devant et derrière, même le fisting était au rendez-vous. J’avais trouvé une folle du cul. Bref, Nathalie est devenue ma « petite amie », comme il était de bon ton de dire aux parents.
Alors petite amie, mais grosse salope, vide couilles. C’est avec elle que j’ai été en couple dans les cinémas pornos, nous avons visité les sex-shops de Maëstricht et Sluis. Nous avons testé divers objets dont je ne savais même pas que cela pouvait exister, ni comment il s’utilisait. D’accord, j’ai vite appris et compris.
Bref, nous avons eu des semaines de folies où nous avons découvert et expérimenté énormément de choses, diverses et variées. On baisait à chaque occasion et partout où c’était possible, en voiture sur un parking, toilette de restaurant ou café, en discothèque dans un coin sombre de celle-ci, au parc ou dans un bois, dans les buissons ou fourrés. Des bêtes se retrouvant et assouvissant leurs instincts les plus vils.
Et est arrivé ce jour où nous sommes allés au restaurant, près du château du marquis de La Molette. Tout le monde dans la région connaît le marquis et son château avec son parc, le jardin à la française, le labyrinthe de buis et les bois alentour. Bien sûr, les gens du coin disaient du marquis que c’était un vieil original vivant dans son château avec sa vieille gouvernante, et ses deux hommes à tout faire, un jardinier et un garde-chasse qui faisait également office de chauffeur de temps à autre.
Ce jour-là, en début d’après-midi, après un petit restaurant sympathique et bien arrosé, nous sommes allés nous promener dans les bois alentour, à la recherche d’un petit coin tranquille. Nous avons installé notre plaid en bordure d’une petite clairière, caché par de petits fourrés, l’idéal pour nous faire une petite sieste crapuleuse.
Nos vêtements étaient légers surtout pour Nathalie, ceux-ci laissaient deviner des courbes à faire se damner un saint. Comme d’habitude, le soutien était toujours son ennemi et sa poitrine ferme se dévoilait tout en rondeur avec ses deux tétons bien gonflés. Et le petit short en jeans reste d’un 501 moulait sa croupe de manière vraiment indécente.
Nathalie était couchée sur le ventre, j’étais entre ses jambes et lui caressais les cuisses et les fesses. Elle gémissait doucement et je sentais l’excitation monter. J’entrepris d’enlever le peu de fringues que j’avais sur moi tout en continuant à caresser Nathalie et maintenir son envie.
J’étais maintenant nu entre ses jambes, mon sexe en érection frottait sur les cuisses de Nathalie. En me penchant et en gardant un appui sur mes bras, mon sexe glissait sur ses cuisses, je le faisais aller d’avant en arrière, et l’amenant à la limite du short, tentais de le pousser sur ses fesses malgré la barrière du tissu du short.
J’étais maintenant couché sur elle, lui parlant doucement à l’oreille, mon sexe venait de trouver sa place juste en dessous de ses fesses, mon gland devait poser sur le plaid et ma tige était enserrée par une partie du jeans et les jambes de Nathalie. Je me frottais sur elle, faisant des va-et-vient très lents. Expliquant à cette petite garce combien elle m’excitait, et que j’allais lui enlever le peu de vêtements qu’elle avait sur elle avant de la posséder. Elle se tortillait, demandant de lui parler encore, car cela l’excitait au plus haut point.
Je vais te démonter comme la cochonne que tu es, te casser ton cul comme jamais. Mais pour commencer, je vais te bouffer la chatte et te lécher le fion afin d’y mettre ma bite.Etant dans mon trip avec Nathalie, je ne me suis pas rendu compte d’une présence à proximité. Je n’ai rien senti ni vu venir, mais nous étions bien en train de nous faire mater et il n’y en avait pas qu’un, mais un groupe d’hommes se tenait à quelques mètres de nous et je n’avais rien entendu, senti ou vu venir ceux-ci. A mon plus grand regret, car la suite n’était pas du tout celle espérée.
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