Je m’appelle Eric, j’ai 33 ans. Je vais vous raconter ma troisième histoire, totalement réelle encore une fois.Une petite présentation avant de commencer. Je mesure 1m78, je pèse 74 kilos. Je suis brun aux cheveux courts. Je suis marié à Julie, 33 ans elle aussi. Brune aux yeux bleus, elle mesure 1m62. Elle a des formes généreuses qui me plaisent toujours autant. Nous sommes ensemble depuis plus de 15 ans et, malgré les années, je l’aime de plus en plus. Nous n’avons aucun tabou l’un pour l’autre. Si l’un de nous a un fantasme ou une envie particulière, nous en discutons et faisons en sorte de contenter l’autre. Nous sommes allés plusieurs fois dans un sauna libertin. C’est ainsi que j’ai découvert mon côté candauliste. J’aime voir ma femme prendre du plaisir avec un autre homme devant moi. Nous avons aussi réalisé quelques fantasmes et nous nous sommes tous les deux découvert des penchants bisexuels. Alors bien sûr ma femme ne s’est pas transformée du jour au lendemain. C’est à l’occasion d’une soirée chez des amis que nous avons découvert un autre aspect de notre sexualité. Nous avons ensuite énormément discuté et il s’est avéré que nous avons toujours eu ça en nous. Depuis quelques années maintenant, nous nous assumons tels que nous sommes (même si nos amis et notre famille ne sont pas au courant). Place à mon histoire maintenant. Elle s’est déroulée il y a presque trois ans maintenant. Nous venions d’acheter une maison dans un petit village d’environ 500 habitants. Nous étions en bout de rue et il n’y avait donc qu’une seule maison à côté de la nôtre. Nous avions un assez grand jardin et une piscine. Nos voisins étaient un couple de la cinquantaine. Petit à petit, nous avons sympathisé et nous avons pris l’apéro plusieurs fois ensemble. Ils s’appellent Marie et Patrick. Marie mesure environ 1m65, brune avec des mèches blondes aux cheveux mi-longs. Elle avait des formes sans être grosse et semblait avoir de gros seins, assez lourds. Elle avait l’air d’être assez timide. Patrick quant à lui faisait à peu près ma taille et avait un peu de ventre. Il avait les cheveux poivre et sel. Nous avons passé plusieurs soirées ensemble, mais sans jamais envisager autre chose que de simples rapports de voisinage. Assez souvent, lorsque ma femme et moi étions au lit, nous reparlions de nos aventures passées pour nous exciter encore davantage. Sentant que nous avions tous les deux envie de pimenter nos ébats, je lui ai dit un soir : — Chérie, tu n’as pas envie d’un peu plus ?— Comment ça ?— Au lieu de parler de ce qu’on a fait, tu ne voudrais pas plutôt le refaire en vrai ?— Je sais pas... Et avec qui tu veux faire ça ?— On pourrait s’inscrire sur un site de rencontre. Je la sentais un peu dubitative. Elle m’a simplement répondu : — On verra. Nous avons continué à en parler les jours suivants, jusqu’au jour où elle a fini par accepter. Nous nous sommes donc inscrits sur un site de rencontre bien connu dans le but de rencontrer un couple dont la femme est bisexuelle. Nous avons eu immédiatement beaucoup de réponses, mais surtout d’hommes seuls. Malheureusement, personne n’a retenu notre attention. Entre les photos de bites accompagnées d’un "tu suces ?" et les faux profils, notre recherche est restée vaine pendant plusieurs semaines. Et puis un soir, je me suis connecté sur le site. Je regardais les profils de notre département et je suis tombé sur un couple de notre village. Leur profil disait qu’ils cherchaient une femme bisexuelle pour l’anniversaire de Monsieur. J’en parlais à Julie. Nous décidions de les contacter. Nous avons échangé avec eux pendant plusieurs jours. Ils disaient être un peu plus vieux que nous et n’avoir jamais fait de plan à trois. Madame voulait offrir ce fantasme à son mari. Ils recherchaient donc une femme bisexuelle. Nous expliquions dans les grandes lignes notre passé et notre recherche. Nous avons échangé quelques photos à visage masqué. La femme avait des seins imposants et un peu pendants, ainsi qu’une petite toison brune. Julie et moi n’étions pas insensibles à ses charmes. Nous nous sommes mis d’accord : seule ma femme participerait aux ébats, je ne ferai que regarder. Ils nous ont proposé de nous rencontrer, d’abord dans un lieu public. Julie et moi étions partants, donc on a accepté. Rendez-vous était pris le samedi suivant dans un parc à 500 mètres de chez nous à 18 heures. Nous avons demandé "comment vous reconnaitre ?". Le couple nous a envoyé une photo de leurs visages. C’était nos voisins, Marie et Patrick !
Quand la photo s’est affichée sur l’écran, ma femme et moi nous sommes regardés, tous les deux surpris. Je lui ai demandé : — Qu’est-ce qu’on fait ?—...— Tu veux quand même le faire ?— Pas toi ?— Je sais pas, c’est nos voisins. Si ça se passe mal... Julie et moi avons continué à en discuter un petit moment. Finalement, on a décidé de se rendre au rendez-vous, mais sans dire que nous étions leurs voisins.Les jours suivants, nous avons croisé nos voisins plusieurs fois, mais nous faisions comme si de rien. Je regardais souvent les photos qu’ils nous avaient envoyées. J’avais hâte d’être à ce fameux samedi soir.
Ca y est, c’est le grand jour. La journée se passe normalement, même si on était tous les deux assez impatients. Vers 16 heures 30, ma femme va prendre une douche. Elle ressort de la salle de bain une heure plus tard, plus sexy que jamais. Elle portait une robe noire très décolletée sans soutien-gorge, un string noir et des hauts talons qui faisaient ressortir ses formes. Elle s’était maquillée légèrement. Julie était très féminine. Je suis allé me préparer à mon tour puis nous voilà partis au lieu de rendez-vous. Quand nous sommes arrivés, nos voisins étaient déjà là. Nous nous sommes dirigés vers eux et nous les avons salués. Ils n’ont pas réalisé tout de suite que c’est nous le couple qu’ils attendaient. Je leur ai expliqué alors la situation. Ils avaient l’air surpris, mais ils ont décidé de poursuivre malgré tout. Nous les avons suivis chez eux. Ils semblaient assez stressés et intimidés (surtout Marie). Arrivés chez eux, nous nous sommes installés dans le salon sur un grand canapé d’angle. Je regardais Marie avec envie, repensant aux photos d’elle nue. Elle portait une robe assez sage et des talons. Patrick est allé chercher une bouteille de champagne. Nous avons bu une coupe en discutant de tout et de rien. Après la deuxième coupe, l’ambiance commençait à se détendre. Julie, qui était assise à côté de Marie, a commencé à se montrer plus tactile. Elle a posé sa main sur la cuisse de notre voisine, sans réaction de sa part. Ma femme lui a dit : — Tu peux me toucher si tu veux. Marie a alors posé sa main sur la cuisse de ma chérie. Puis, en regardant Patrick, Julie a lancé : — Toi aussi tu peux me toucher...— Euh... oui ! Visiblement à l’aise, elle s’est assise entre nos voisins. Elle s’est mise à caresser les cuisses de nos hôtes qui lui ont rendu cette caresse. Elle a tourné la tête en direction de Marie et lui a murmuré "embrasse-moi". Notre voisine semblait un peu gênée alors ma femme est venue poser ses lèvres contre les siennes. Leur baiser est devenu de moins en moins sage à mesure que Marie se libérait. Voir les langues des deux femmes se mêler m’a fait bander. Après un petit moment, elles ont cessé leur baiser. Julie s’est tournée en direction de Patrick pour l’embrasser à son tour. Ma femme a ainsi alterné entre ses deux nouveaux amants plusieurs fois. Les mains se faisaient de plus en plus baladeuses par-dessus les vêtements. Ma chérie m’a lancé un regard coquin. J’ai compris qu’elle avait envie d’aller plus loin et je ne me suis pas trompé. Elle s’est levée pour enlever sa robe, dévoilant son corps presque nu. Elle ne portait plus que son string et ses talons. Avant de se rasseoir, elle a tendu la main à notre voisine pour l’inviter à se lever à son tour. Julie lui a enlevé sa robe. Marie portait un ensemble soutien-gorge/culotte rouge très sexy. Les deux femmes se sont embrassées. Ma femme a dégrafé le soutien-gorge de Marie, libérant ses gros seins lourds. Je me sentais très à l’étroit dans mon pantalon... Elles se sont assises et les caresses ont repris de plus belle, mais cette fois sur les corps presque nus. Julie a déboutonné la chemise de Patrick et lui a demandé d’enlever son pantalon. La bosse de son boxer ne laissait aucun doute quant à son état d’excitation. Les voir se toucher et s’embrasser tous les trois avait quelque chose de très sensuel. J’aurais aimé les rejoindre, notamment pour toucher les seins de Marie, mais il était convenu que je resterais à distance. Petit à petit, les attouchements se faisaient plus précis. Alors que Patrick caressait la chatte de ma femme par-dessus son string, celle-ci a mis sa main dans le boxer de notre voisin pour le branler. Elle a finalement enlevé le dernier vêtement de Patrick. Sa queue, raide, devait mesurer 16 ou 17 centimètres. Après quelques minutes, Julie a lancé : — Vous voulez qu’on continue dans la chambre ?— Oui ! a répondu Marie, qui commençait à se lâcher. Nous nous sommes tous levés pour aller dans leur chambre. Je me suis assis sur un fauteuil à côté du lit. Patrick s’est allongé au milieu. Ma femme a enlevé son string et ses talons avant de s’allonger à son tour. Marie en a fait de même. Elle était enfin nue. Ses fesses généreuses et sa chatte à la pilosité entretenue m’ont donné encore plus envie d’elle. Patrick avait une femme de chaque côté dans son lit, un de ses fantasmes. Les trois amants s’embrassaient langoureusement et se touchaient partout. Je me suis déshabillé complètement et je me branlais lentement en les regardant.Julie s’est penchée pour sucer notre voisin. En à peine deux minutes, il a joui dans la bouche de ma femme. Elle a recraché le sperme sur sa queue. Elle a dit : — Déjà ?— Désolé, mais c’était trop bon...— Pas grave, je comprends. Bon Marie, tu veux...— Oui ! Elles se sont mises en 69 pendant que Patrick était parti se nettoyer. Quand il est revenu, il semblait assez surpris. Il s’est assis à côté d’elles pour les caresser. Ca a duré un petit moment, jusqu’à ce qu’elles aient joui toutes les deux. Voir ma femme avec une autre m’excitait terriblement.Marie et Julie ont sucé Patrick qui a vite repris de la vigueur. De mon côté, je ne me touchais presque plus pour ne pas éjaculer. Malheureusement, quand le quinquagénaire a mis une capote pour aller plus loin, ça l’a fait débander. Les femmes se sont contentées de le sucer et il a joui dans la bouche de sa femme qui a tout avalé.Ils se sont allongés quelques minutes tous les trois pour s’embrasser et se toucher. Marie regardait souvent dans ma direction. Je pense qu’elle n’aurait pas été contre que je les rejoigne. Puis Julie m’a demandé : — Ça t’a plu mon chéri ?— Oui, beaucoup. C’était magnifique ! Je t’aime.— Moi aussi mon cœur. Elle s’est levée pour m’embrasser. J’avais terriblement envie d’elle, elle qui venait de sucer un autre homme devant moi.Nos hôtes se sont levés à leur tour et nous ont proposé de boire un verre. Nous sommes donc retournés au salon. Alors que Marie allait remettre ses vêtements, ma femme lui a dit : — Tu ne veux pas rester comme ça ?— Euh... oui si tu veux. Nous avons bu une nouvelle coupe de champagne, nus tous les quatre. Nous discutions, mais mes yeux ne quittaient pas le corps de Marie. J’aurais tout donné pour pouvoir toucher ses seins... Patrick s’est excusé de ne pas avoir réussi à bander avec la capote. Julie et moi l’avons rassuré, lui disant que ça pouvait arriver.Vers 21 heures, nous nous sommes rhabillés pour rentrer chez nous. Nos voisins sont restés nus pour nous dire au revoir. J’ai d’abord serré la main à Patrick avant de faire la bise à Marie. Ses seins étaient contre moi. Ma femme, elle, a embrassé langoureusement ses nouveaux amants. Dès que nous sommes rentrés chez nous, nous avons fait l’amour comme rarement.
