Durant l’année qui a suivi, nous avons passé plusieurs après-midi et soirées avec nos voisins. Nous nous amusions tous les quatre une ou deux fois par mois.L’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y a un peu plus de deux ans. C’était donc durant l’été 2017. Nos voisins et nous étions en congé pour deux semaines et ni eux ni nous ne partions en vacances.Le premier jour, en début d’après-midi, comme il faisait beau et chaud, Julie est allée bronzer dans le jardin. Au début, elle était en bikini, mais elle l’a rapidement enlevé. C’est donc entièrement nue qu’elle profitait du soleil.J’avais une course à faire. Je me suis absenté environ deux heures. Je suis revenu vers 17 heures. Ma femme était toujours nue dehors. Sauf qu’elle n’était pas seule ! Marie était allongée sur un transat, nue elle aussi. Cette superbe vision de deux femmes nues aux formes généreuses m’a immédiatement fait bander. Julie m’a dit : — Tu en as mis du temps ! J’ai invité Marie, elle était toute seule. J’espère que ça ne te dérange pas ?— Bien sûr que non ! Je saluais notre invité en l’embrassant sur la bouche. Je me suis allongé à côté d’elles, torse nu et en short. Je lui demandais : — Il n’est pas là Patrick ?— Non, il avait un truc à faire au boulot, il devrait bientôt rentrer. Nous avons continué à discuter une petite demi-heure. Je les regardais toutes les deux avec envie. Et puis Patrick est rentré. Il a appelé sa femme pour savoir où elle était. Julie a proposé qu’il vienne. Cinq minutes plus tard, il sonnait à la porte. Je suis allé lui ouvrir et l’ai invité à me suivre dans le jardin. Après avoir embrassé ma femme, il a dit à Marie : — Alors comme ça, tu viens ici sans moi ? Patrick a dit ça sur le ton de la plaisanterie, mais on sentait qu’il était un peu agacé. Julie, pour détendre un peu l’atmosphère, a dit : — Ne t’inquiète pas, on n’a rien fait. On a juste passé l’après-midi à bronzer toutes les deux. Marie s’est levée et a rajouté : — Excuse-moi chéri, j’aurais dû te prévenir...
Pour seule réponse, Patrick a pris sa femme dans ses bras et l’a embrassée, signe de son pardon.J’ai proposé qu’on prenne l’apéritif sur la terrasse. Tout le monde a accepté. Avant que l’on s’asseye, Julie a lancé : — Bah les garçons, vous allez peut-être vous déshabiller ? Il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que vous qui vous rinciez l’œil ! Aussitôt dit, aussitôt fait ! C’est donc tous dans le plus simple appareil que nous avons pris l’apéro. La discussion s’est rapidement portée sur le sexe et plus précisément nos fantasmes. Ma femme a demandé à Marie quels étaient les siens. Elle semblait gênée et a répondu : — Je sais pas trop... et toi ?— Tu sais nous, on a déjà fait pas mal de trucs ! Mais ce que j’ai préféré, c’est la fois où on était allé au sauna et où je me suis fait prendre par plusieurs mecs à la suite. Tu t’en souviens mon cœur ?— Comment oublier ça ? Tu t’étais vraiment lâchée ce jour-là ! Tu avais du sperme partout... Patrick a demandé : — Quand tu dis plusieurs, c’est combien ?— Je sais plus trop, une dizaine je dirais.— Ah oui quand même !— Oui, mais c’était pas prévu. On coquinait à trois dans une pièce et puis Eric a ouvert la porte. Et là, plusieurs mecs sont entrés.— Ça n’avait pas l’air de te déplaire ! dis-je.— J’avoue que j’étais plus tout à fait moi-même... Marie, jusque-là silencieuse, a dit : — Qu’est-ce qui t’a plu ?— Bah, je sais pas trop comment t’expliquer... Je me sentais offerte et ça m’excitait de voir tous ces hommes avoir envie de moi. C’est ça que j’ai le plus aimé, me sentir désirée. Je rajoutais : — C’est aussi pour ça que tu te baladais toujours seins nus, non ? Patrick semblait intrigué : — Comment ça ?— Normalement, les femmes portent une serviette autour du corps dans les couloirs. Mais Julie, elle, elle la portait autour de la taille, comme ça, tout le monde pouvait voir ses seins ! Elle se faisait souvent tripoter !— Oui bon ça va... Je te signale qu’à toi aussi ça te plaisait !— Ohhh oui ! Nos voisins étaient bouche bée. Julie a dit : — Bon, voilà pour moi ! Toi Patrick, c’est quoi tes fantasmes ?— Euh... J’en ai déjà réalisé pas mal avec vous !— Il ne t’en reste pas ?— Si, mais Marie ne veut pas...— Elle ne veut pas quoi ?— Je voudrais essayer la sodomie...— Pourquoi tu veux pas Marie ?— Je sais pas... Sentant la gêne de notre voisine, ma femme n’a pas insisté. Mais elle m’a surpris en disant : — Si tu veux, tu pourras le faire avec moi ! Je précise que moi seul avais sodomisé ma femme. C’était l’une de nos règles lorsque nous allions au sauna, c’est pourquoi sa réponse m’a étonné. Mais ça ne me gênait pas, au contraire même.Le visage de Patrick s’est illuminé. Il a balbutié : — Vraiment ?— Bah oui ! Après un court silence, Julie a lancé : — Et toi Marie, tu ne m’as toujours pas répondu ! Il n’y a pas un truc que tu voudrais faire ?— Je... J’aimerais bien aller dans un club libertin... Mais juste pour voir comment c’est... Notre voisine semblait très gênée de cette révélation. Elle n’osait pas regarder son mari. Pour la détendre un peu, ma femme a pris sa main et lui a dit : — Ne t’inquiète pas, c’est normal d’avoir des fantasmes. Et puis, je suis sûre que Patrick aussi aimerait ça, pas vrai Patrick ?— Euh... Je sais pas... Julie n’a pas insisté. Elle m’a lancé : — Et toi mon cœur, je ne t’ai même pas demandé, tu as des fantasmes ?— Grâce à toi, j’ai pu quasiment tous les réaliser ! Tu sais bien que j’adore te voir jouir avec un autre homme. Et j’aimais bien aussi sucer tes amants avant qu’ils te prennent.— Ça te manque ?— Un peu...— Bon Patrick, il va falloir que tu te dévoues ! Alors que jusque-là, il y était totalement fermé, il a répondu à ma grande surprise : — Pourquoi pas ! Après tout, ça ne doit pas être si terrible. J’étais bien sûr ravi de sa réponse.Nous avons continué à parler très ouvertement de sexe un bon moment, notamment de nos expériences au sauna. La conversation commençait à sérieusement m’exciter, et d’ailleurs, je bandais. Je posais ma main sur la cuisse de ma femme, et petit à petit, je me rapprochais de son intimité. Elle aussi devait être excitée, vu comme son sexe était trempé. J’ai alors commencé à la doigter et elle à me branler. Nos voisins nous regardaient en se caressant mutuellement. Je me suis mis à genoux devant ma femme pour lécher sa chatte que j’aime tant. Elle a joui au bout de quelques minutes. Je me suis relevé et j’ai demandé à Julie de se mettre à quatre pattes sur la banquette. Mon sexe est entré facilement en elle. Je l’ai prise en levrette en douceur pour ne pas jouir trop vite. Marie et Patrick nous ont imités. Les gros seins de Marie gigotaient sous les coups de reins de son mari. J’étais fasciné par ce spectacle. Patrick regardait lui aussi ma femme avec envie. C’est presque naturellement que je lui ai proposé d’échanger nos places. Julie m’a regardé avec un sourire coquin. Je me suis donc placé derrière Marie. Je lui ai d’abord caressé les seins et les fesses. J’ai ensuite placé ma queue à l’entrée de son vagin pour la pénétrer lentement. Je regardais également ma femme qui se faisait prendre par Patrick. Ce spectacle m’excitait au plus haut point. Après quelques minutes, j’ai entendu Julie dire à son amant : — Attends, je vais chercher du lubrifiant. C’est alors que je me suis aperçu que Patrick avait un doigt dans le cul de ma femme. Celle-ci est allée dans la maison pour revenir deux minutes plus tard avec un petit tube de lubrifiant que nous utilisions souvent. Elle l’a donné à notre voisin avant de se remettre en levrette. Patrick a mis un peu de lubrifiant sur le petit trou de Julie avant d’y faire rentrer un doigt, puis un deuxième. Il a ensuite pénétré très lentement ma femme. Elle a poussé de petits cris à mesure que la queue de son amant entrait en elle. Patrick a fait peut-être cinq ou six va-et-vient dans le cul de ma chérie avant de jouir en elle. Il s’est excusé de sa rapidité et a fait sortir son sexe.Julie s’est levée pour aller se laver, mais quand elle est passée à côté de moi, je l’ai prise par le bras et lui ai dit : — Chérie, attends...— Qu’est-ce qu’il y a ? Je l’ai prise par la taille pour la retourner. J’ai écarté ses fesses pour voir son petit trou. Du sperme commençait à sortir. Je ne résistais pas à l’envie d’y faire entrer un doigt, qui est ressorti couvert de sperme. Ça m’a tellement excité que j’ai joui aussitôt dans la chatte de Marie. Ma femme m’a regardé, amusée, puis elle est partie dans la salle de bain avec Patrick. En attendant qu’ils reviennent, Marie et moi nous câlinions et nous embrassions tendrement. Quand nos conjoints sont revenus, peut-être un quart d’heure plus tard, nous sommes partis à notre tour sous la douche. J’ai savonné chaque centimètre du corps de Marie, particulièrement ses seins. Elle me plaisait de plus en plus. Elle aussi m’a savonné un peu partout. On s’est embrassé langoureusement alors que l’eau coulait sur nos corps nus. Nous sortions finalement de la douche pour aller rejoindre Julie et Patrick. Ils étaient dehors, assis dans le salon de jardin, en train de discuter.Nous avons bu un verre tous les quatre. J’ai un peu chambré Patrick sur sa rapidité quand il a sodomisé ma femme. Nous avons à nouveau parlé de nos expériences au sauna, puis nos voisins sont rentrés chez eux.
