Le lendemain, en milieu d’après-midi, Julie et moi profitions de la piscine pour nous rafraîchir. Elle était seins nus. Après quelques minutes à nous baigner, nos voisins sont sortis dans leur jardin. Nous les avons salués et les avons invités à nous rejoindre. Ils ont tout de suite accepté.Je suis allé leur ouvrir la porte et nous sommes allés aussitôt dans la piscine. Marie portait un bikini noir, mais elle a rapidement enlevé le haut. Voir ses seins lourds m’a beaucoup excité. A tel point que je ne résistais pas à l’envie de les toucher. Je suis venu derrière elle et j’ai pris ses seins à pleines mains. Je l’embrassais dans le cou. Julie m’a lancé : — Ils te plaisent ses seins hein ? Je me suis alors détaché de Marie pour rejoindre ma femme. Face à elle, j’ai déposé mes mains sur sa poitrine et je lui ai répondu : — Pas autant que les tiens... Nous nous sommes embrassés tendrement. La sensation de ses seins contre mon torse me plaisait particulièrement. J’avais envie d’elle. Je caressais son dos puis ses fesses. J’ai glissé une main dans sa culotte et j’ai approché un doigt de sa chatte. Elle m’a demandé d’arrêter. Elle est allée vers Marie et, sans dire un mot, elles se sont embrassées. Elles étaient terriblement excitantes toutes les deux. Alors qu’elles s’embrassaient et se caressaient, Patrick et moi regardions ce fabuleux spectacle sans bouger. A un moment, les deux femmes se sont dit quelque chose à l’oreille, puis Julie a lancé : — Bon, vous venez les garçons ? Dès qu’elle a prononcé ces mots, elle a pris Marie par la main et elles sont sorties de l’eau. Nous avons suivi nos femmes. Sans même se sécher, ma chérie s’est allongée sur un transat et notre voisine est venue sur elle. Elles se sont embrassées, poitrine contre poitrine. Elles portaient encore leurs culottes. Patrick et moi étions debout à côté d’elles. J’ai enlevé mon maillot de bain. J’ai tout de suite été imité par notre voisin. Nous étions côte à côte, queues fièrement dressées, à regarder nos femmes s’amuser entre elles. Sans réfléchir, j’ai posé mes doigts autour du sexe de Patrick. Je guettais sa réaction, mais il n’en a eu aucune. J’ai pris ça comme une approbation de sa part et j’ai donc commencé à le branler doucement. Pendant ce temps, Julie avait glissé une main dans la culotte de Marie. C’était très excitant à regarder. Après quelques minutes, j’ai eu envie de plus. Je me suis mis à genoux pour sucer la belle queue que je branlais. Patrick continuait à regarder nos femmes prendre du plaisir. Ça faisait longtemps que je n’avais pas sucé. Au moment où j’ai mis son gland dans ma bouche, je me suis rendu compte à quel point ça m’avait manqué. Ma langue est passée sur chaque recoin, y compris sur les couilles. J’ai pris beaucoup de plaisir à faire cette pipe. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais au bout d’un moment, Patrick m’a regardé et m’a dit : — Arrête, ça vient... Mais j’étais bien décidé à aller jusqu’au bout. J’accélérais le rythme. J’ai senti un premier jet de sperme sur ma langue. Je gardais alors mes lèvres autour du gland gonflé pour ne pas perdre une seule goutte. Après avoir tout avalé, j’ai passé ma langue une dernière fois sur le frein et le gland de la queue de Patrick. Je me suis ensuite relevé. Julie m’a lancé : — Bin dis donc mon cœur !
J’en avais presque oublié la présence de Marie et de ma femme. Elles étaient assises sur le transat en train, totalement nues. Elle a rajouté : — Ça t’a plu ?— Oui, c’était bon ! Je me suis penché pour l’embrasser, puis elle a demandé : — Et toi Patrick ?— Oui, ça va, c’était pas mal...— Tu ne veux pas essayer toi aussi ?— Non non... Elle n’a pas insisté. Nous nous sommes ensuite installés sur la terrasse pour boire une bière et discuter. Très vite, nous en sommes venus à parler de nos aventures passées au sauna. Marie posait beaucoup de questions, on sentait qu’elle était très intéressée par le sujet. D’ailleurs, à un moment, ma femme lui a demandé : — Tu ne voudrais pas qu’on y aille tous les quatre ? Au moins, tu pourrais te faire une idée par toi-même.— Je sais pas trop...— Tu en dis quoi Patrick ?— Pourquoi pas, si elle en a envie. Notre voisine marqua un temps d’hésitation avant de dire : — D’accord, mais juste pour voir. Nous avons continué à en discuter assez longtemps. Nous avons finalement convenu d’aller dans un sauna libertin, mais pas trop près de chez nous. Après quelques recherches sur internet, nous en avons trouvé un à une heure et demie de route. Les installations avaient l’air agréables. C’était décidé, nous irions tous les quatre le lendemain. Marie avait l’air ravie. Le reste de la journée a été plutôt sage. Les femmes ont bronzé un peu, nous sommes retournés tous les quatre dans la piscine, et nous avons pris un dernier verre. Nos voisins sont rentrés chez eux en début de soirée. Le soir, Julie et moi avons fait l’amour très tendrement. Le lendemain, un mercredi ensoleillé, ma femme et moi nous sommes préparés en début d’après-midi. Pour l’occasion, elle ne portait qu’une robe légère et un string. On voyait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa tenue m’excitait déjà. Vers 14 heures, nos voisins ont sonné à notre porte. Marie portait une robe jaune un peu décolletée, mais relativement sage. Nous avons discuté cinq minutes avant de monter dans la voiture. Durant le trajet, nos voisins parlaient peu. On sentait qu’ils étaient un peu stressés. Une fois arrivés devant le sauna, nos voisins se sont embrassés comme pour se rassurer avant d’entrer. L’endroit était assez discret, ce qui est toujours un bon point. Nous sommes entrés tous les quatre. Une femme d’une quarantaine d’années nous a accueillis. Elle avait un décolleté vertigineux. Elle était très sympathique. Après nous avoir expliqué brièvement le fonctionnement de l’établissement, elle nous a donné à chacun une serviette, une paire de tongs et la clé de notre casier. Nous sommes entrés dans le vestiaire. Il n’y avait personne. Nous nous sommes déshabillés et nous avons mis nos serviettes (autour de la taille pour Patrick et moi et autour du corps pour les femmes). Après un passage sous les douches communes (où nous étions seuls), nous avons décidé de faire un tour de l’établissement pour commencer. Au rez-de-chaussée, il y avait un sauna bien sûr, un hammam, une salle fumeurs, une salle où un film était projeté et un bar. Nous avons croisé au total cinq ou six hommes seuls, de 35 à 60 ans, et un couple dans la cinquantaine. Nous avons décidé de prendre un verre au bar avant d’aller voir ce qu’il se passe à l’étage. Nous avons bu un verre assez rapidement. Patrick et Marie nous ont dit être surpris par la qualité des installations et par le respect des hommes. Une fois nos verres finis, nous sommes montés à l’étage. Il y avait six cabines de différentes tailles. Certaines étaient vitrées, d’autres non. La plus grande n’avait même pas de porte. Dans chaque cabine, il y avait un matelas (plus ou moins grand) au sol. Nous avons vu un couple de quadragénaires s’amuser avec un autre homme dans une cabine vitrée. En poursuivant notre visite de l’étage, nous avons vu une pièce avec deux tables de massage, ainsi qu’une petite pièce totalement vide. En tout, il y avait dans l’établissement deux couples et une douzaine d’hommes. Nous sommes retournés au bar pour échanger nos impressions. Ma femme a demandé à Marie : — Alors, tu en penses quoi ?— Je ne m’attendais pas à ça. C’est plutôt classe en fait.— Oui, c’est sympa.— Par contre, il n’y a presque que des hommes...— Les couples viennent plutôt le soir. C’est pour ça que nous, quand on y allait avant, on venait l’après-midi. Comme ça, j’avais tous les hommes rien que pour moi ! Julie semblait être totalement dans son élément. Patrick et Marie se détendaient petit à petit. Nous avons bavardé quelques minutes, jusqu’à ce que ma femme lance : — Bon, vous voulez faire quoi ? Moi je commencerais bien par un petit sauna, pas vous ? Tout le monde a accepté. Nous sommes allés dans le sauna. Il y avait déjà un homme de 40-45 ans. Il était entièrement nu. Julie a enlevé sa serviette le plus naturellement du monde. Patrick et moi l’avons imitée. Marie quant à elle semblait plus hésitante. Elle a finalement enlevé sa serviette elle aussi. Les bancs étaient en forme de U. Nous nous sommes assis tous les quatre en face de l’homme qui était déjà là. Celui-ci ne se gênait pas pour regarder le corps des deux femmes.Quelques instants plus tard, deux autres hommes sont entrés. Ils se sont assis à notre droite. J’étais déjà excité rien qu’en voyant le regard de ces trois hommes sur le corps de ma femme. A un moment, elle m’a glissé à l’oreille : — Mon cœur, tu veux bien... ? J’ai posé une main sur sa cuisse et je l’ai remonté jusqu’à sa chatte toute lisse, qui était déjà bien humide. Je l’ai embrassée et je lui ai fait un petit signe de la tête pour lui faire comprendre que j’étais d’accord. Ma chérie s’est levée pour aller s’asseoir à côté de l’homme en face de nous. Il était plutôt bien entretenu et assez peu poilu. Il bandait déjà. Ma femme a commencé par passer ses mains sur son torse, puis son ventre. Elle a ensuite saisi sa queue pour le branler lentement. L’homme s’est alors mis à la caresser partout, surtout les seins. Elle me lançait parfois des regards. Je pouvais voir dans ses yeux à quel point elle était excitée. Tout à coup, ma femme s’est penchée pour sucer ce sexe inconnu. Je la trouvais vraiment magnifique. Je regardais alors autour de moi. Les deux hommes à ma droite se branlaient, tandis que Patrick et Marie se caressaient mutuellement en regardant le spectacle. Après quelques minutes, l’homme l’a prévenue qu’il était proche de jouir. Julie s’est redressée, mais elle a continué à le branler. Son partenaire du moment n’a pas pu résister plus longtemps. Son sperme a jailli dans plusieurs jets. Certains ont atterri sur la cuisse et la main de ma femme. Ils ont échangé quelques mots, mais ils ne parlaient pas assez fort pour que j’entende ce qu’ils se sont dit. L’homme est ensuite parti et Julie est revenue s’asseoir à côté de moi après s’être essuyée sommairement avec une lingette. Assez rapidement, elle a voulu sortir, car elle avait trop chaud. Nous sommes sortis tous les quatre et nous sommes allés sous les douches. Les deux hommes du sauna nous ont suivis, mais nous ont laissés tranquilles. Nous sommes ensuite allés dans l’espace fumeurs pour fumer une clope. Julie a demandé à Marie : — Alors, ça te plaît ?— Ça va...— Ça te fait quoi de t’exhiber devant tous ces mecs ?— Je... je sais pas...— Ça t’excite ?— Oui, un peu.— Et toi Patrick, ça te fait quoi de voir ta femme toute nue devant d’autres hommes ?— Ecoute, franchement, ça me plaît ! Après, de là à aller plus loin, je suis pas sûr... Nous avons continué à discuter, puis nous avons décidé d’aller faire un tour à l’étage. Avant de quitter la salle fumeurs, ma femme a lancé : — Attendez ! Elle a enlevé sa serviette pour la nouer à sa taille, exhibant ainsi sa magnifique poitrine. — Voilà ! On est mieux comme ça ! Et là, à ma grande surprise, Patrick a dit à sa femme : — Tu veux faire pareil, chérie ?— Tu veux toi ?— Si je te le demande... Marie a mis sa serviette autour de sa taille elle aussi. Julie lui a dit : — Ah bah voilà, tu te lâches ! Nous sommes sortis de la salle fumeurs. Dans les couloirs, tout le monde regardait les deux femmes. Enfin, surtout leurs superbes seins...Arrivés à l’étage, nous avons vu un attroupement devant une cabine vitrée. Plusieurs hommes se branlaient en regardant un couple se donner en spectacle. Nous nous sommes arrêtés nous aussi pour regarder un peu. C’était le premier couple que nous avions croisé, tous les deux environ cinquante ans. La femme était en train de se faire prendre en levrette.Nous avons finalement continué notre petit tour. Arrivés devant la pièce avec les tables de massage, Julie a lancé : — Vous nous faites un petit massage les garçons ? Nous sommes entrés dans la pièce. Une petite précision : il n’y avait pas de porte, mais un rideau de lanières de bambou à la place. Les femmes ont enlevé leurs serviettes et se sont allongées sur le ventre sur les tables. Patrick et moi avons commencé à masser nos femmes (chacun la sienne). Après quelques minutes, j’ai entendu quelqu’un entrer dans la pièce. C’était un homme de 35-40 ans, plutôt pas mal. Patrick n’y a pas prêté attention. Je ne pense pas que nos femmes l’aient entendu. Pendant que je massais Julie, elle me caressait la cuisse. L’homme, lui, se contentait de regarder. L’envie de voir les mains d’un autre homme sur le corps nu de ma femme s’intensifiait en moi. J’ai fait signe au voyeur de venir, ce qu’il a bien sûr fait. Il a posé ses mains sur le dos de ma chérie, sans que je ne retire les miennes. Elle a tourné la tête pour voir, d’abord en direction de notre invité, puis vers moi. Elle m’a souri avant de reprendre sa position. Nous lui avons massé le dos, les jambes et les fesses. J’ai dit : — Tu te retournes chérie ? Elle s’est alors allongée sur le dos, dévoilant son côté pile. Patrick aussi a demandé à sa femme de se retourner. Marie s’est rendu compte que nous n’étions plus seuls. J’ai vu dans son regard qu’elle était surprise. L’homme malaxait les seins de ma femme sous mes yeux, pendant que je lui massais les cuisses. J’ai approché ma main de sa chatte et j’y ai fait entrer un doigt. Elle était trempée. Je lui massais ensuite les mollets et les pieds. Je me suis alors rendu compte que Julie avait glissé sa main sous la serviette de notre partenaire de jeu. J’ai croisé le regard de ma femme. J’ai senti qu’elle était très excitée et qu’elle avait envie de plus. Je lui ai fait un signe pour lui faire comprendre qu’elle pouvait aller plus loin. Ma chérie a alors dénoué la serviette de l’homme qui la caressait, libérant ainsi son sexe dur. Elle l’a d’abord branlé avant de le sucer. Pendant ce temps, l’homme a fait entrer un doigt, puis un deuxième dans la chatte de ma femme. La situation me plaisait beaucoup, je bandais moi aussi. J’ai enlevé moi aussi ma serviette pour être plus à l’aise. J’ai porté un de ses pieds vers mon visage pour lui sucer les orteils. J’étais dans un état presque second à regarder ma femme s’appliquer à sucer la bite d’un inconnu. L’homme a tenu assez longtemps. Il a prévenu Julie de sa jouissance prochaine. Elle a alors retiré son sexe de sa bouche et l’a branlé énergiquement. Il a lâché une bonne quantité de sperme sur les seins de ma femme. Il nous a remerciés et il est parti. Quand il est sorti de la pièce, je me suis rendu compte que deux autres hommes nous regardaient en se branlant. De leur côté, nos voisins étaient restés assez sages. Patrick continuait à masser sa femme (ou plutôt la caressait) sous les yeux des voyeurs. Nous sommes sortis pour aller sous les douches. Marie et Julie ont noué leurs serviettes autour de leur taille. Dans les couloirs, ma femme qui avait les seins couverts de sperme a fait tourner pas mal de têtes. Nous n’étions pas seuls dans les douches, trois hommes étaient là. Ils sont restés à leur place même s’ils ne se sont pas gênés pour mater. Nous sommes ensuite allés prendre un rafraîchissement au bar. Julie a demandé : — Vous vous amusez bien ?— Oui, c’est vraiment sympa comme endroit, répondit Patrick.— Et toi Marie ?— Oui !— Ça te plaît d’être comme ça, seins nus ?— Oui, je m’y habitue.— Tu n’avais pas envie d’un massage à quatre mains ? Ça fait beaucoup de bien, tu sais ! Marie a un peu rougi et a balbutié "si, mais...". Elle semblait gênée vis-à-vis de son mari. Ma femme a dit : — Ne t’inquiète pas, personne ne va te juger, surtout pas moi. Patrick, ça ne t’aurait pas plu ?— Je sais pas, difficile à dire... Même si Patrick et Marie étaient de plus en plus à l’aise et ouverts, il leur restait une dernière barrière à franchir pour se libérer totalement. Nous avons continué à bavarder, jusqu’à ce que ma chérie dise, en s’adressant à Marie : — Tu veux faire quoi maintenant ? A toi de choisir !— Je... Je retournerais bien au sauna. Nous sommes donc allés dans le sauna. Il y avait un nouveau couple, que nous n’avions pas vu jusque-là, et quelques hommes seuls. Nous nous sommes installés. Le couple est parti peu après, suivi de deux ou trois hommes. Il n’y avait plus que deux hommes et nous. Les deux avaient entre quarante et cinquante ans. L’un était plutôt svelte, tandis que l’autre avait un peu de ventre. Les deux femmes étaient assises entre Patrick et moi, qui les encadrions. A un moment, Julie a dit quelque chose à l’oreille de Marie. Elles ont échangé quelques mots, sans que l’on puisse entendre, puis notre voisine a dit quelque chose à son mari. J’ai entendu Patrick dire "d’accord, vas-y". Et là, les deux femmes se sont levées pour aller s’asseoir à côté des autres hommes, ma chérie à côté du plus rond. Rapidement, les mains se sont faites baladeuses. Julie branlait son nouveau partenaire, qui lui caressait le dos, le ventre et les seins. Marie se montrait plus timide. Elle touchait le torse de son nouvel ami. Ce dernier lui malaxait ses seins si généreux. Elle regardait souvent son mari pour guetter sa réaction. Vu comme Patrick bandait, il avait l’air d’aimer voir ce spectacle (et moi aussi d’ailleurs). Marie a posé timidement ses doigts autour de la queue bandée. Ça se voyait qu’elle n’attendait que ça. Après quelques minutes, l’homme que Marie branlait a proposé de poursuivre en cabine. Patrick a lancé un "oui" franc et massif. Plus de doute, la situation lui plaisait à lui aussi. Nous sommes montés à l’étage. Ma femme n’a même pas pris la peine de remettre sa serviette. Elle déambulait totalement nue dans les couloirs. J’aime beaucoup ce côté exhib, et même un peu salope chez elle. Arrivés en haut, nous avons choisi une cabine totalement fermée. Après avoir fermé la porte, Julie s’est collée à son nouvel amant pour lui rouler une pelle. Marie, elle, s’est contentée d’échanger des caresses avec son partenaire. Quand ma chérie s’est mise à genoux pour sucer la queue de son nouveau partenaire, notre voisine l’a imitée. Patrick est venu à côté de sa femme pour qu’elle le suce aussi. Quant à moi, je suis resté en retrait pour admirer la scène. Les femmes se sont ensuite allongées sur le matelas. Leurs nouveaux amants ont mis leurs visages entre leurs cuisses pour lécher leurs belles chattes. Patrick s’est mis près de sa femme pour lui toucher les seins et se faire sucer. Julie gémissait sous les coups de langue. Après quelques minutes, les deux hommes ont mis une capote et ont pénétré nos femmes. Elles gémissaient toutes les deux. Je me branlais lentement en regardant ce superbe spectacle. J’adore voir ma femme se faire prendre par un autre, voir ses seins gigoter et la voir prendre du plaisir devant moi. Soudain, l’amant de Marie s’est mis à respirer plus fort. Il a joui en elle (enfin, dans la capote). Ça a eu pour effet de faire jouir Patrick à son tour dans la bouche de sa femme. Elle a tout avalé.L’amant de ma femme, lui, commençait à gémir de plus en plus. Elle lui a dit plusieurs fois "sur moi, sur moi". D’un coup, l’homme s’est retiré, il a enlevé sa capote et il a aspergé les seins et le ventre de Julie avec son sperme. Les deux hommes nous ont remerciés et sont partis. Nous avons décidé d’aller prendre une douche et de rentrer chez nous. Mais avant de quitter la pièce, j’ai caressé les seins de ma femme. Toucher le sperme qui coulait sur elle m’a énormément excité. Nous sommes finalement sortis pour aller nous laver. Julie portait sa serviette à la main dans les couloirs. Beaucoup d’hommes l’ont regardée avec envie, ça me plaisait. Nous nous sommes douchés tous les quatre sagement puis nous sommes allés en direction des vestiaires. Après nous être rhabillés, nous sommes sortis de l’établissement. Dans la voiture, nous avons échangé nos impressions. Julie a demandé à notre voisine : — Alors, ça t’a plu ?— Oui, beaucoup !— Tu t’es lâchée, c’est bien. Et toi Patrick ?— C’était bien oui.— Finalement, ça ne t’a pas dérangé de voir ta femme s’amuser avec un autre !— En fait... Je sais pas comment te dire... Mais non, au contraire même.— Vous reviendrez ?— Oui peut-être, mais pas tous seuls, répondit Patrick. Nous avons continué à discuter tout le long du trajet. Ma femme avait l’air heureuse et presque déjà impatiente d’y retourner.Quand nous sommes arrivés devant chez nous, nous avons proposé à nos voisins de venir prendre un verre, mais ils ont préféré décliner. Ce soir-là, Julie et moi avons fait l’amour plusieurs fois.
