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Avec nos nouveaux voisins

Chapitre 6

Orgie / Partouze
Les jours suivants se sont passés normalement, même si je n’ai pas arrêté de penser à notre sortie au sauna. Voir ma femme s’exhiber devant d’autres hommes m’a beaucoup plu. Mais ce qui m’a le plus excité, c’est de la voir recouverte de sperme.Le samedi soir, nos voisins nous ont invités au restaurant. Pour l’occasion, Julie avait mis une robe noire assez décolletée qui laissait deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Durant le repas, Patrick n’arrêtait pas de regarder les seins de ma femme. A un moment, pour le taquiner, je lui ai lancé :
— Dis donc Patrick, arrête de regarder ma femme comme ça !— Excuse-moi, mais elle est vraiment superbe dans cette robe.— Tu veux que je te la prête ?— Quoi, la robe ou ta femme ?— D’après toi ?
Là, Julie a dit :
— Ca va, je ne vous dérange pas ?— On parlait de ta robe...— Ouais c’est ça. Tu ferais moins le malin si je passais la nuit toute seule avec Patrick !
A ce moment-là, même si c’était toujours sur le ton de la plaisanterie, j’ai décidé de répondre à sa provocation :
— Qui sait, peut-être que ça me plairait ! Et puis, si moi je passe la nuit avec Marie...— Tu me laisserais seule avec Patrick, sans savoir ce que je fais ? Ca m’étonnerait !— Si tu me racontes tout après, pourquoi pas...
Une certaine tension s’est installée. Pour rompre le silence, et aussi pour voir jusqu’où Julie était prête à aller, m’adressant à nos voisins, j’ai dit :
— Et vous, vous en dites quoi ?
Ils étaient un peu surpris. Patrick a répondu :
— Vraiment ? Moi oui, ça me tente. Et toi chérie ?— Euh... Oui...
J’ai alors dit à ma femme :
— Tu vois, tout le monde est d’accord. Ce soir, tu passes la nuit avec Patrick !— Ah mais tu es vraiment sérieux en plus ?— Bien sûr !— OK, tu veux jouer...— Mais tu me racontes tout demain dans le moindre détail.
Elle s’est penchée vers moi pour me glisser à l’oreille "ne t’inquiète pas pour ça". Elle m’a ensuite embrassé.J’étais excité, rien qu’à l’imaginer seule avec un autre homme. Durant le reste du repas, nous parlions comme si de rien n’était. Dans la voiture, sur le chemin du retour, nous étions tous les quatre assez silencieux. Une fois arrivés devant chez nous, Julie a pris les devants (elle me dira plus tard que c’était pour éviter que nos voisins se défilent) :
— Bon, mon cœur, on se revoit demain ?
Sans attendre ma réponse, elle est venue m’embrasser. Elle m’a susurré "je t’aime". Elle s’est ensuite tournée vers Patrick et lui a dit :
— On y va ?
Nos voisins se sont embrassés avant de partir chacun de leur côté. Patrick est allé chez lui avec ma femme. Marie m’a donc suivi chez moi.Je la sentais étonnamment détendue. Je lui ai proposé d’aller prendre une douche, elle a accepté. Même si je l’avais déjà vue nue plusieurs fois, la voir se déshabiller et savoir qu’elle et moi serions seuls ce soir m’a légèrement troublé. Nous nous sommes lavés en nous caressant et nous embrassant. C’était terriblement sensuel.
Après cela, nous sommes allés directement dans la chambre sans nous rhabiller. Nous nous sommes allongés face à face pour nous embrasser langoureusement. Mes mains parcouraient son corps, s’attardant sur ses seins généreux. Je suis ensuite venu entre ses cuisses pour lécher sa chatte poilue. Sa toison m’excitait énormément. Je l’ai léchée jusqu’à ce qu’elle jouisse. Je ne sais pas combien de temps ça a duré.
J’avais très envie d’elle. Elle a relevé ses jambes pour que je la pénètre. Nous avons fait l’amour en nous embrassant et en nous caressant. Je n’ai pas résisté longtemps, j’ai joui en elle. Malgré ma jouissance, j’étais toujours excité. Après m’être retiré de la chatte de Marie, j’ai eu envie de la lécher. Le goût de son minou mêlé à celui de mon sperme me rendait complètement fou. Elle a joui une nouvelle fois sous mes coups de langue. A la fin, il ne restait plus une goutte de sperme, j’avais tout avalé.
Je me suis allongé auprès d’elle. Marie m’a dit :
— T’es un sacré cochon toi !— C’est parce que tu m’excites trop.
Nous nous sommes embrassés et caressés un bon moment. J’avais encore envie d’elle. Nous nous sommes mis en 69. J’étais au-dessus d’elle. A un moment, j’ai senti son doigt sur mon anus. Elle l’a fait entrer en moi lentement, c’était bon. J’avais envie de lui lécher son petit trou, mais notre position ne le permettait pas. J’ai demandé à Marie de se mettre à quatre pattes sans lui dire pourquoi. Elle devait penser que j’allais la prendre en levrette, puisque quand j’ai posé ma langue sur son anus, elle a poussé un petit cri de surprise. A ce moment-là, je ne pensais qu’à une chose : la sodomiser. Hélas, elle avait toujours refusé. Elle ne voulait même pas se faire doigter.
J’ai sorti un gode de la table de chevet de ma femme pour le faire entrer directement dans sa chatte. C’était un gode de taille normale et d’apparence réaliste. Je l’ai fait coulisser en elle, toujours en lui léchant l’anus. Elle commençait à gémir. Avec ses pieds, elle me caressait les couilles et la queue. Je commençais à être dans un état second. J’ai éloigné mon visage de son cul pour lui lécher les pieds. Elle m’a demandé :
— Mais qu’est-ce que tu fais ?
Je n’ai rien répondu, continuant ce que je faisais. J’ai sucé ses orteils vernis de rouge. Je trouve ça tellement féminin et sexy !Après quelques minutes, j’ai retiré le gode et je me suis allongé. Elle a directement compris le message et elle est venue s’empaler sur ma queue. J’ai posé mes mains sur ses gros seins. Marie faisait de petits mouvements pour faire durer le plaisir. Quand j’ai senti que j’étais au bord de l’orgasme, j’ai mis mes mains sur ses fesses pour l’accompagner dans ses mouvements et accélérer la cadence. J’ai à nouveau joui en elle.Nous sommes allés prendre une douche. Après cela, nous sommes allés sur la terrasse boire un verre et fumer une cigarette. Il faisait encore assez chaud dehors. Nous sommes donc restés totalement nus. Nous avons commencé à discuter. A un moment, on en est venu à parler de mon côté bi léger et du fait que j’aime sucer. Elle m’a demandé :
— Les sex-toys dans le tiroir, c’est que pour Julie ?— Bah... oui.— Tu n’as jamais essayé ?— En fait, je n’y ai jamais vraiment pensé.— Tu veux... ?— Quoi ? Maintenant ?— Pourquoi pas !
J’étais assez partagé : je n’étais pas contre l’idée, mais ça me faisait un peu peur (peur du tabou plus que de la douleur physique). Après quelques secondes, j’ai fini par lui répondre :
— Je sais pas, on verra...
Nous avons continué à parler quelques minutes. La vue de son corps nu m’excitait. Je n’ai pas pu résister à l’envie de la caresser et de l’embrasser. J’avais à nouveau envie d’elle. Nous sommes donc retournés dans la chambre.Nous nous sommes embrassés langoureusement debout à côté du lit. Elle s’est assise pour me sucer. Elle me titillait l’anus avec un doigt avant de le faire rentrer lentement. Je prenais beaucoup de plaisir. Après quelques minutes, elle a stoppé sa fellation, laissant son doigt dans mon cul. Elle a dit :
— Alors, tu veux ? en se saisissant du gode qui était encore sur le lit.
Sans réfléchir, j’ai répondu "oui vas-y". Elle m’a dit de m’allonger et de relever les jambes. Elle a fouillé dans le tiroir pour en sortir du lubrifiant, qu’elle a appliqué sur le gode. Marie s’est ensuite mise à genoux en face de moi. Elle a posé le sex-toy contre mon orifice et a commencé à pousser. Ca avait un peu de mal à rentrer, mais après plusieurs mouvements, le gland est rentré d’un coup. J’ai ressenti une petite douleur sur le coup. Je lui ai dit "doucement". Elle a fait entrer l’objet progressivement en moi. Petit à petit, la douleur s’estompait pour faire place à un plaisir nouveau pour moi. Avec son autre main, Marie me branlait lentement. Les va-et-vient qu’elle faisait avec le gode étaient de plus en plus rapides. Je me suis même surpris à gémir. Elle m’a demandé à plusieurs reprises "ça va ?", "tu aimes ?". La réponse était clairement oui, j’aimais beaucoup. Je lui ai dit d’arrêter de me branler. J’étais sur le point de jouir.
Au bout d’un moment, la position est devenue inconfortable. J’ai demandé à mon amante d’arrêter. Elle est venue sur moi pour m’embrasser. Elle a dit :
— Alors, ça t’a plu ?— Oui ! Et toi ?— Oui, mais j’ai eu peur de te faire mal.— Ne t’inquiète pas, c’était parfait.
J’ai touché sa chatte, elle était trempée ! Marie s’est placée en Andromaque et a fait entrer mon sexe dans le sien sans aucune difficulté. Mes mains parcouraient son corps, surtout ses seins et ses fesses. A un moment, alors que mes mains étaient sur ses fesses, j’ai approché un doigt de son petit trou. Je titillais son anus, mais quand j’ai voulu enfoncer mon doigt, elle m’a demandé d’arrêter. J’étais un peu déçu. Elle a dû s’en rendre compte puisqu’elle a dit :
— Excuse-moi, mais je ne suis pas prête...— Ne t’inquiète pas, c’est pas grave.— Tu peux poser ton doigt si tu veux.— D’accord...
J’ai reposé mon doigt sur son œillet. Je ne sais pas pourquoi, mais j’adore le cul de Marie. J’adore le toucher et le lécher.Mon amante a progressivement accéléré le rythme, ce qui la faisait gémir de plus en plus. Nous avions joui presque en même temps. Quand elle s’est légèrement relevée pour que nos sexes se séparent, je l’ai attirée à moi pour qu’elle s’asseye sur mon visage. J’ai léché avec envie sa chatte remplie de mon sperme.Après quelques minutes, Marie s’est allongée contre moi. Nous nous sommes câlinés sans rien nous dire. Nous nous sommes finalement levés pour aller sur la terrasse boire un verre et fumer une cigarette. Nous avons discuté de ce que nous venions de faire, notamment du fait qu’elle ait refusé que je lui mette un doigt dans son petit trou. Elle s’est excusée à nouveau. Je lui ai répondu :
— Tu n’as pas à t’excuser, tu as le droit de ne pas vouloir faire quelque chose.— Oui, mais tu avais envie toi... Comment je peux me faire pardonner ?— Eh bien... J’ai une petite idée...— Dis-moi !— On pourrait prendre un bain tous les deux ?— Oui, avec plaisir !
J’adore prendre un bain avec ma femme, je trouve que c’est un moment à la fois intime et sensuel. J’ai toujours eu envie de le faire avec Marie, mais l’occasion ne s’était jamais vraiment présentée.Nous sommes allés dans la salle de bain et j’ai fait couler l’eau. Une fois que la baignoire fut suffisamment remplie, nous nous sommes installés, moi derrière elle. Nous ne parlions plus, profitant simplement du moment. Je l’embrassais dans le cou et lui caressais les seins et le ventre. Je touchais aussi parfois son pubis.
Après un bon moment, j’ai demandé à Marie de se mettre en face de moi. La vue de cette femme mûre aux seins généreux m’excitait terriblement. Ses jambes étaient écartées, j’avais donc une belle vue sur sa chatte non épilée. J’ai commencé par lui masser les mollets, ce qui avait l’air de lui plaire. J’ai ensuite continué en lui massant les pieds. Là encore, elle avait l’air d’apprécier. J’ai porté un de ses pieds à ma bouche pour lui sucer les orteils. J’aime beaucoup faire ça. Mon amante m’a regardé, visiblement surprise. Je lui ai demandé :
— Tu n’aimes pas ?— Si, continue, c’est agréable.
J’ai continué à jouer avec ses pieds quelques minutes. J’étais très excité, je bandais. J’avais envie de faire l’amour à Marie, mais difficile dans la baignoire. Nous nous sommes donc levés et je l’ai pénétrée directement. Quand j’ai senti que ça venait, je me suis retiré pour jouir sur ses fesses.Nous nous sommes lavés et sommes allés nous coucher. Il était presque 4h du matin, ni Marie ni moi n’avions vu le temps passer. Elle s’est endormie rapidement tout contre moi. Pour ma part, j’ai mis plus de temps pour trouver le sommeil. Je pensais à ma femme, j’imaginais ce qu’elle faisait. Je pensais aussi au fait que j’allais dormir avec une autre femme que la mienne, tous les deux nus dans le lit conjugal.
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