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Avec le père d'une amie

Chapitre 2

Hétéro
Je suis Marie, et je vous ai expliqué comment j’ai été prise par le père d’une amie dans le premier chapitre de mon histoire. Vous comprendrez alors qu’il m’a été difficile pour moi de retourner avec mon petit ami de l’époque.
Sébastien était gentil, du même âge que moi, et aussi inexpérimenté en matière sexe que moi. Après avoir subi la pénétration torride du père d’Amandine, les caresses de Sébastien me semblaient fades, je ne voulais plus rester sur le dos, jambes allongées, en attendant qu’il me pénètre. Je pris donc l’incitative de lui montrer ma croupe pour être prise en levrette comme l’avait fait précédemment le père de mon amie. Il se mit à rire, gêné et me retourna sur le dos, apparemment bien décidé à rester sur ses habitudes. Je me mis dans la position attendue par Sébastien, mais je passais les bras autour de mes cuisses pour bien relever mes jambes, je lui offrais ainsi la vue de mon sexe béant, prêt à enfourner sa bite. Sébatien, bien que surpris, fut pris d’une excitation plus grande, il enleva fébrilement son caleçon, il ne quittait pas des yeux mon sexe, il prit sa bite en érection pour me la mettre puissamment, « enfin j’ai réveillé la bête ! Je vais connaître une étreinte torride, »je savourais déjà ce moment quand je sentis un liquide chaud se répandre sur le haut de ma cuisse. Sébatien, penaud, me dit « eh ben oui, c’est de ta faute, tu m’as excité trop vite » ; il me fit un rapide baiser sur les lèvres et partit s’essuyer aux toilettes. Je n’en revenais pas, voilà que c’était de ma faute si Sébastien n’avait pas pu me pénétrer ! Déçue, je quittai le lit pour prendre une douche. C’était le ventre en feu, pleine d’espoir que j’étais allée chez mon copain et je me retrouvais à prendre une douche, avec mon envie inassouvie. J’en voulais terriblement à mon copain, le traitant mentalement d’impuissant, de couilles molles, quand je me ressaisis pour lui laisser une seconde chance. Peut-être qu’il va me rejoindre, me coller contre les parois de cette douche,… je laissais couler l’eau sur mon corps, prenant mon temps, espérant… On va faire l’amour à même ce sol…, il va me prendre debout dans cette douche… Les minutes passaient, pas de Sébastien. Je me décidai à ressortir de la salle de bains, toujours avec l’espérance… Peut-être qu’en me voyant ressortir de la douche vêtue d’une simple serviette… Ma désillusion fut grande. Mon copain s’était installé à son ordinateur et jouait en réseau avec d’autres. Pas un regard, aucune allusion à l’échec de notre étreinte ! Je lui dis «je rentre chez moi » pour le faire réagir, et il me répondit « ok à demain ! ».
Je me retrouvai dans la rue, toute retournée avec l’envie de plus en plus grande d’être baisée, oui simplement baisée. Ce besoin ne me quittait pas et j’avais l’impression de sortir avec une pancarte autour du coup « chienne en chaleur ». J’avais envie de crier « prenez-moi, là, je suis même prête à payer ! ». Terrible pour une gamine de 18 ans, jolie en plus. Ma culotte était trempée, et je pensais que ma mouille devait dégouliner le long de mes jambes. Gênée, déroutée, je me résignai à rentrer chez moi, (enfin, chez mes parents).Arrivée à l’entrée de mon immeuble, je vis, à travers la vitre du rez-de-chaussée, le concierge installé seul devant sa télé. Je le connaissais depuis toujours, il m’avait vue grandir. Ce brave papi, cette image était rassurante. Je ressentais toujours cette moiteur au bas du ventre et je me suis dit, c’est un homme mûr, comme le père d’Amandine ; finalement, avec lui rien de méchant ne peut m’arriver. Un vieux, mais un homme… et si je me donnais à lui ? Fébrile, j’essayais de me ressaisir, l’idée de coucher avec ce vieux me dégoûtait un peu, j’imaginais sa main sur ma peau si douce, si jeune,… non je ne pouvais pas… Finalement, je me surpris à sonner à sa porte. J’entendis ses pas traînants venir jusqu’à la porte, il m’ouvrit.
« Ah, la p’tite Marie, qu’est ce qui lui arrive ? » « Je suis à la porte, je peux attendre mes parents ici ? » Il me fit entrer et me demanda si je voulais un verre de grenadine. Un verre de grenadine ! Il me voyait toujours comme la petite gamine qui jouait autrefois dans la cour ! Je veux quelque chose de plus fort j’ai grandi, vous savez ! Mon p’tit vieux alla s’asseoir tranquillement sur son fauteuil déjà absorbé par sa télé ; je me trémoussai alors sur le canapé espérant capter son attention avec ma jupe remontée sur les cuisses. Qui ne tente rien n’a rien ; je me mis a quarte pattes pour regarder sous le canapé, « j’ai perdu ma bague » ; en disant cela, je remuais des fesses, « vous pouvez m’aidez ? ». Je me voyais déjà prise puissamment comme l’avait fait le père de mon amie, et c’est cette image qui me poussait à m’offrir à ce vieux. Ma déception fut grande quand je le vis revenir avec un balai. « Oui c’est un bon manche qu’il me faut », je lui dis en le regardant droit dans les yeux. Devant son manque de réaction, je me remis à me trémousser en me passant cette fois les mains sur les seins. « Qu’est-ce qui t’arrive ma fifille, t’as les lolos qui te démangent, tu veux jouer aux grandes… tu t’es dit allons voir le vieux André… Allez, suis- moi dans la chambre ; pas devant la fenêtre que ta mère pourrait nous voir. »Mon excitation est retombée, l’odeur du vieux partout dans l’appartement est très présente dans la chambre, j’en ai le dégoût. Je peux repartir, mais finalement je me dis que j’ai voulu cette situation et plus par défi je rentre avec lui dans la chambre et je me déshabille et m’assois sur le lit. » Ma fille t’es mignonne mais si tu veux de la bite de vieux, ça se mérite !, suce pépé André ! » Je demeure interdite ; l’idée de mettre sa verge dans ma bouche me dégoûte tout autant que l’odeur de la chambre. » Elle se dégonfle, la collégienne, elle vient exciter le vieux, mais elle fait rien, la pisseuse ».Piquée dans mon orgueil, je lui enlève le pantalon et retire son caleçon. Je vois sa bite, elle est toute molle, il ne bande pas. Mets-toi à genou et suce-moi. Je n’ai jamais vu une bite flasque ; d’habitude mon copain est déjà en érection quand je me déshabille. Je prends sa verge dans mes mains et, après quelques tentatives de va-et-vient, je la mets dans ma bouche. Elle est fine et pas du tout facile à saisir.
Je l’entends alors glousser, « t’es gauche, on dirait une fillette, elle ne va pas te manger, allez un effort, serre les lèvres » ; je m’applique à le pomper. « T’es nulle, ce n’est pas une patate brûlante, ne garde pas la bouche ouverte comme une carpe, lèche-moi ». Pour la premier fois, je me sens nulle au lit, j’ai l’habitude d’être désirée. Je ne pensais pas devoir faire l’effort d’être désirable pour un vieux. Je m’offrais comme un cadeau et voila qu’il se présente comme un trophée que je dois mériter. Il m’humilie en plus. Je commence alors à jouer avec ma langue, dirigée par la voie du vieux qui m’incite à lui caresser aussi les bourses, « pense à une glace qui fond et passe ta langue de haut en bas puis sur les côtés » ; je continue à m’appliquer de mon mieux, je sens sa bite se raidir doucement, et j’arrive à faire de longs mouvements de va-et-vient le long de sa verge. « T’as la bouche comme une vielle chatte molle, on dirait ma femme, pompe-moi mieux, fait des pressions avec tes lèvres et à l’intérieur de tes joues ». Je joue avec ma langue, exerçant des mouvement de pression et de succion avec mes lèvres, l’excitation de mon vieux est à son comble, la taille de son sexe a grandi, il a durci, j’ai peur de m’étrangler et j’encercle d’une main son pénis pour contrôler la profondeur que je mets dans ma bouche.
« Tu la voulais, tu l’as, enlève ta main » ; il s’énerve, me saisit la tête avec ses mains, et entre profondément dans ma gorge avec des coups de reins. Soudain, il s’arrête, prend sa bite dans sa main et me dit d’approcher mes lolos. Il éjacule dessus par petites giclées. Il me demande de tirer la langue pour s’essuyer la bite dessus. Je prends les mouchoirs qu’il me tend pour m’essuyer à mon tour, et je m’attends à quelques compliments. Il me dit alors que c’était mieux sur là fin, et que je pouvais revenir mercredi pour voir si je m’améliorais. Il me glissa un billet pour m’acheter de la lingerie sexy.

Je suis rentrée chez moi plus déboussolée. Je m’offrais à un vieux qui, finalement, me prouvait que j’étais nulle au lit ; il a retourné la situation de maître à élève. En montant les escaliers, je retrouvais la moiteur au fond de mon bas-ventre, qui me rappela que, finalement, je n’avais même pas eu mon coup de bite !
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