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Aventure avec ma colocataire

Chapitre 1

Erotique
Cela fait maintenant trois ans que je vis en collocation avec Manon. Nous nous sommes rencontrés au début de nos années de lycée et nous avons décidé de faire une collocation quand nous sommes passés aux études supérieures. C’est ma meilleure amie. Cela fait un moment que je flashe sur elle. Malgré son petit mètre 52, elle a un corps magnifique. Brune, les cheveux ondulés, un bonnet C, un corps incroyablement sexy avec de sublimes courbes, des lèvres indécentes, des yeux à vous mettre dans tous vos états en un seul instant. Bref, je ne sais pas comment j’ai fait pour ne pas lui sauter dessus avant.Elle s’était déjà intéressée à moi pendant une période mais j’étais en couple donc il ne s’était rien passé. Et quand mon ex m’a largué, c’est elle qui était en couple donc je n’ai pas cherché à aller plus loin.

Fin de la semaine, je quitte la fac et rentre à l’appartement. J’arrive, j’accroche mon sac et mon cuir au portemanteau et me dirige vers le coin-cuisine. Je regarde ce qu’il nous reste dans le frigo, je décide de faire des spaghettis avec une sauce carbonara. Je me dis que ça fera également plaisir à ma colocataire. Je me dirige vers sa chambre afin de lui annoncer que le repas est prêt mais elle n’y est pas. Je vais dans la salle de bain, il y a de l’eau partout donc elle est bien là. Je monte sur le toit en me disant qu’elle doit être en train de fumer, personne. Je fais toute la maison pour finalement la retrouver sous un tas de plaids, saoule, sur le canapé.Elle s’était fait larguer par son mec. Afin de la réconforter, nous passons une soirée Netflix, pâtes, Ben & Jerry’s.Le film fini, j’envisage d’aller me coucher mais en voyant que Manon s’est endormie contre moi, je décide de dormir sur le canapé.Je rabats le dossier du canapé pour le convertir en lit et déplace mon amie pour l’installer plus confortablement. Nous nous endormons tous les deux sur le canapé.

Au milieu de la nuit, je me réveille. Espérant pouvoir retrouver le sommeil je refermai les yeux et me mit sur le dos.Quelques instants plus tard, Manon se tourne et s’allonge contre moi, sa main gauche à mon cou, l’autre le long de son corps, sa jambe gauche sur moi et sa tête sur mon épaule. Alors que j’allais bouger pour lui faire un câlin en bonne et due forme, je sens sa main droite bouger activement. Sa respiration s’accélère et devient de plus en plus profonde. Elle se masturbe contre moi. Je l’entends gémir au creux de mon oreille, je sens son bras se contracter par moments, son bassin remuer dans un rythme frénétique. Je reste là, pendant une dizaine de minutes à ne pas savoir quoi faire. Je l’entends gémir mon nom tout en se masturbant contre moi. Tiraillé entre l’envie de lui sauter dessus et la faire jouir ou de ne pas profiter de son moment de faiblesse. En bon ami, je choisis de ne rien faire et attendis qu’elle finisse tout en bandant contre sa jambe qui se frottait contre mon sexe au rythme où elle bougeait son bassin. Tout à coup, son rythme s’accentua. Je sentis sa jambe et sa main gauche se contracter et me serrer plus fort. Elle se rapprocha tellement que sa main qui la masturbait était contre mon bras, je sentais son souffle chaud et court contre mon cou. Puis, dans un ultime gémissement bien plus fort que les autres elle jouit et je la découvris femme fontaine alors que mon bras fut couvert de mouille. Elle s’endormit alors comme ça mais moi je ne pus fermer l’œil de la nuit.Je me rendis compte alors que le lendemain risquait d’être compliqué.

Le soleil pointant à la fenêtre, je décidai de me lever. Seul problème, Manon était toujours dans la même position. Je profitai de son sommeil très lourd pour m’extirper, la porter jusqu’à son lit et nettoyer le canapé. Afin de me vider l’esprit et faire redescendre cette pression sexuelle que j’avais accumulée au cours de la nuit, je me changeai et sorti faire mon footing matinal.10 kilomètres plus tard, je revins à l’appartement. N’ayant pas réussi à expulser toute la tension, je me dirige vers la salle de bain afin de me masturber et de prendre une douche par la même occasion.

Fraîchement sorti de la douche, je me dirige, en serviette, vers ma chambre, quand je croise Manon. Hésitante, elle me demande de lui remémorer les détails d’hier soir car du fait de son alcoolémie, elle ne se souvient pas de tout. Je lui mens alors en disant qu’elle s’est endormie avant la fin du film et que je l’ai portée dans son lit. Flairant mon mensonge, elle me dévisage en espérant que je cède. Je réussis tout de même à lui faire abandonner avant. Et alors que je me dirigeais vers ma chambre je la vis vérifier l’état du canapé. Heureusement que j’avais nettoyé.

La journée se passa sans que nous soyons l’un avec l’autre. Elle se remettait lentement de sa rupture et moi je passais la journée avec un ami ce qui m’évita d’être avec elle. De retour en fin d’après-midi, mon amie se trouvait dans la même position que là où je l’avais laissée. Je me préparai le repas que nous avons mangé plus tard tout en regardant une série. Pendant tout le visionnage, je tentai de la garder suffisamment éveillée pour ne pas reproduire le scénario de la veille. À la fin de l’épisode, prétextant la fatigue, je partis me coucher avant elle. Je me déshabille et rentre dans mon lit.


Alors que j’essayais de dormir, des images défilaient dans mon esprit. Des souvenirs de la veille, des fantasmes, mon imagination se perdant. Je m’imaginais l’enlacer nue, l’embrasser, passer ma langue sur son sexe, la sentir se contracter sous mes doigts, et jouir pendant que je lui faisais l’amour. Mon érection était, à ce moment-là, plus présente que jamais. Je commençai à saisir mon sexe pour me masturber à nouveau quand j’entendis Manon toquer à ma porte. Je m’empressai d’attraper un caleçon afin de cacher mon membre gorgé de sang. Juste avant d’ouvrir la porte, je remarquai qu’il était plus qu’insuffisant tellement j’étais excité. Je m’empressai donc d’enfiler mon jean. Lorsque je lui ouvris, elle était dans un short court et un débardeur simple. Je n’avais jamais vu des vêtements aussi basiques devenir aussi sexy. Elle me fit remarquer que me voir en jean alors que j’allais me coucher la surprenait. Je prétextai que j’essayais des vêtements pour demain et changeais rapidement de sujet en lui demandant ce qu’elle voulait. Elle me dit alors qu’elle n’arriverait pas à s’endormir seule et me demanda si on pouvait dormir ensemble cette nuit. Je ne pouvais pas refuser car on avait déjà dormi plusieurs fois ensemble lors de soirées, de marathon de films ou comme là pour consoler l’autre lors d’une rupture. Nous voilà donc tous les deux dans mon lit, chacun de son côté, mais je savais que ça n’allait pas durer. Rapidement, elle se rapprocha de moi, et se colla à moi exactement comme la veille. Je vérifiai rapidement si elle dormait encore ce qui l’intrigua et elle me lança un "t’es bizarre." puis se repositionna. Au bout d’un moment, elle se retourna en emportant mon bras avec elle afin que l’on se mette en cuillère. Subtilement, je cachai mon érection tant bien que mal en priant pour qu’elle ne le remarque pas.

Plusieurs minutes passèrent et je commençai à me détendre un peu car elle n’avait rien remarqué. Elle bougea alors, comme pour se repositionner, une fois, puis deux, puis elle me demanda "Victor, c’est ton pénis que je sens sur ma fesse ?". Question bête, qu’est-ce que ça pouvait être d’autre ? Je lui répondis donc oui tout en m’éloignant d’elle, mais elle m’agrippa le bras en me disant "Non, reste. Ça ne me dérange pas.". Un peu perdu, je me replaçai sans prendre la peine de cacher ma verge.

J’entendis sa respiration se faire plus profonde, je la sentis frotter ses fesses contre moi et se coller de plus en plus à moi. Afin d’éviter que je ne devienne fou, je me tournai afin que l’on échange les rôles de la cuillère. Quand elle se colla à moi, je sentis à quel point son corps était chaud. Elle posa doucement sa main contre mon ventre et je m’efforçai de ne pas laisser transparaître le frisson qui me parcourait tout le corps. Elle arpentait doucement mon corps de ses doigts, montant en haut de mon buste pour jouer avec les poils de mon torse et descendant jusqu’en bas de mes abdos à la limite de l’élastique de mon boxer. Là encore, je faisais de mon mieux, tiraillé en deux par mes envies de lui sauter dessus et de laisser parler nos corps et par ma morale qui me disait qu’il ne fallait pas profiter de sa récente rupture.

Soudain, elle se releva. J’en profitai pour me détendre un peu mais à peine avais-je eu le temps de reprendre mon souffle qu’elle revint. Je sentis dans mon dos une chaleur et une sensation au toucher inhabituelles. Je réalisai alors qu’elle avait enlevé son débardeur. Ses seins nus pressés contre mon dos, sa main revint de plus belle, ce qui me demanda encore plus d’efforts pour me contenir. Mon sexe soulevait une partie de l’élastique de mon caleçon tellement mon érection était importante. Les mouvements de sa main furent plus lents, quand elle était en haut, elle agrippait fermement mes muscles et quand elle était en bas, ses doigts frôlaient à peine ma peau et descendaient de plus en plus bas. Ils commençaient à s’aventurer sous la frontière de mon unique vêtement. Rassemblant mes forces, je lui dis :

— “Euh... Manon, tu ne vas pas un peu trop..."— "Bas, c’est ça ?"

Au moment où elle répliqua, sa main s’engouffra dans l’espace entre mon boxer et mon ventre et saisit mon membre au bord de l’explosion. Je laissai échapper un râle mi-surpris mi-soulagé. Elle me masturba d’un rythme lent mais en tenant fermement ma verge. En un instant toute la pression accumulée s’échappa et je fus à bout de souffle tandis que Manon continuait ses allers-retours. Au bout d’un moment, elle se releva, et me plaqua sur le dos sans arrêter sa main. Je vis alors qu’en plus de retirer son haut, elle avait également retiré son short. Elle était assise sur mes jambes ce qui laissait la vision sur son entrejambe. De sa main libre, elle m’enleva sans peine ce qui me servait jusqu’alors à cacher mon excitation. La surprise étant redescendue, je décidai de ne pas me laisser intimider. Je me relevai et lui agrippai une jambe afin d’attirer son bassin vers moi puis, dans un mouvement fluide, je la fis s’asseoir sur mon visage et commençai à lui donner un cunnilingus. Elle étouffa, à moitié, un gémissement épouvantablement érotique. Je sentais, sous mes mains, ses jambes se crisper au rythme des allées et venues de ma langue sur son clitoris. Elle peinait à me caresser tellement son corps était parcouru de spasmes. Puis soudainement, elle tomba sur les coudes et me prit en bouche, ce qui termina la boucle du 69. Nous continuâmes ainsi pendant un bon moment. Je la sentais de plus en plus tressaillante, ce qui m’incitait à donner de plus en plus de mois même. Je sentais sous ma langue qu’elle allait jouir. Je m’activai de plus belle tout en me préparant à recevoir son orgasme, me remémorant les évènements de la veille. Son orgasme fut gigantesque, malgré mes efforts, je ne parvins pas à tout prendre mais je continuais tout de même de stimuler son clitoris afin qu’elle savoure pleinement son orgasme. Une fois fini, je me relevai et m’essuyai le visage avec les draps. Timidement, ma colocataire s’excusa :

— "Désolé Victor. Je ne pensais pas que ce serait aussi... Violent"— "Tu n’as pas à t’excuser. C’était particulièrement excitant de te sentir jouir pendant que je te faisais un cunni."— "Ah bon ? Eh bien essaie de me rendre la chose aussi excitante dans ce cas-là."

À ces mots, elle m’embrassa dans le cou, puis sur le torse, puis sur le pectoral, descendit le dos des abdominaux en semant de délicieux baisers. Elle me caressait, de sa paume, le dessous de mon sexe, terminant ses mouvements à mes testicules. Je laissai tomber ma tête en arrière tellement l’excitation était grande. Elle posa le bout de sa langue de la base de ma verge jusqu’au bout de mon gland pour ensuite faire le disparaître complètement derrière ces lèvres si obscènes. Tout en me suçant, elle faisait tourner sa langue autour de mon pénis. Parfois, elle le sortait de sa bouche pour me masturber frénétiquement pour ensuite lécher toute la surface de mon gland en de rapides coups de langue pour après reprendre la fellation. Elle savait bien s’y prendre, elle ne me laissait pas le temps de reprendre mon souffle. On sentait que tout ce qu’elle voulait c’était me voir jouir. Et elle s’y prenait divinement bien. Venant mon orgasme arriver, je m’allongeai. Elle dut le sentir car elle entreprit de caresser du bout des ongles l’intérieur des cuisses et les testicules. Un spasme me parcourra le corps et dans une explosion de sensation, je jouis. Je perdis pied à cause de mon hyperventilation due à mon excitation, je ne savais plus où étaient le haut et le bas. La seule chose que je savais c’était que je me sentais bien. Je laissai échapper plusieurs gémissements tandis que de multiples spasmes me faisaient me contracter. Manon quant à elle, aspirait la moindre goutte de mon sperme tout en me lançant un de ces regards qui vous achèvent. Elle m’arracha quelques gémissements de plus en me masturbant soudainement pour faire sortir les dernières gouttes de mon éjaculation. C’était le plus gros orgasme que j’avais jamais eu. Mais c’était parce que je n’avais pas encore vécu le lendemain matin.

— “Bah dis donc ! C’était en effet un bel orgasme.” — “...” — “Ça va pas ?”

Je ne pus répondre. Mon esprit était ailleurs. Alors que je commençais à regagner mon corps, elle s’allongea à côté de moi, la tête sur mon épaule et m’embrassa la joue. Nous restâmes ainsi pendant près une heure. Je lui racontai ce qui s’était réellement passé hier soir. Tout en étant gênée, elle m’expliqua que mon odeur et ma présence lui avaient donné envie de se faire du bien et comme elle pensait être dans un rêve, elle l’avait fait. Après un fou rire, elle me proposa d’aller prendre une douche. Je l’accompagnai sans aucune réticence. Nous pensions à la base prendre une simple douche mais la vue du corps de l’autre provoqua une réaction chez chacun de nous. L’ignorant au début, nous nous efforçons de ne rien tenter étant donné le peu de possibilités offertes par la taille de la cabine de douche. Il ne fallut pas beaucoup de temps à Manon pour qu’elle se saisisse de mon sexe et me masturbe. Dans son dos, je passai mon bras autour de son flanc et descendis jusqu’à son entrejambe. Nous nous masturbâmes ainsi mutuellement pendant de longues minutes jusqu’à ce que je jouisse contre la paroi de la douche. Afin de ne pas la laisser sans reste, je me mis à genoux et commençai à lui donner à nouveau un cunnilingus. Elle jouit peu de temps après sur moi. Nous nous relavions donc puis nous dirigions vers sa chambre pour nous coucher. On dormit l’un contre l’autre, nu, mon pénis, à nouveau en érection, contre ses lèvres trempées de cyprine le sommeil étant plus grand que notre excitation.

On se réveilla le lendemain matin en même temps. Alors qu’elle s’étira, je lui fis un câlin et passai ma main le long de son ventre puis remontai pour attraper son sein droit et le masser. Je passai mon autre bras sous elle et dirigeai ma main vers son sexe. Elle était déjà trempée de cyprine tout comme j’étais déjà dur comme la pierre. Je caressai son bouton du plaisir pendant qu’elle plongeait ses doigts dans mes cheveux. Impatiente, elle se retourna et me grimpa dessus. Rapidement, elle attrapa ma verge et me positionna juste à l’entrée de son vagin. Elle s’assit ensuite en me faisant la pénétrer. Manon continua à me chevaucher ainsi en faisant de larges mouvements et en donnant des coups de bassins. Alors que je voulais mettre mes mains sur ses hanches afin de donner un rythme plus soutenu, elle me les attrapa et les plaqua au-dessus de ma tête, afin de me bloquer. Elle me surplombait totalement. Ses cheveux, tombant de chaque côté de son visage, me rendaient une image des plus belles. Frustré que notre différence de taille ne me permette pas d’avoir accès à sa magnifique poitrine, je décidais de prendre les choses en mains. Sans crier gare, j’écartai les bras dans le but de la faire tomber sur moi et je me relevai tout en la portant. Toujours en elle, je la posai sur son bureau et donnai mon tempo avec un rythme plus soutenu. Elle m’enserrait tellement fort que ses ongles rentraient dans ma peau. La délicieuse douleur procurée par les lacérations m’encourageait à augmenter le rythme. Elle poussait des cris tellement excitants qui allaient de concert avec le bruit du bureau contre le mur. Nous nous faisons interrompre quelques minutes plus tard par le voisin nous demandant subtilement de faire moins de bruits en tapant à grand coup sur le mur. Un fou rire nous échappe. Elle me repousse doucement afin de descendre du bureau. Debout l’un en face, elle passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse. Elle mit fin au baiser et se retournant pour se mettre dos à moi. Je plongeai ma tête dans son cou et le lui embrassai tout en attrapant ses seins pour les masser. Elle prit mes mains et les déplaça de ses seins à ses hanches puis, s’allongea sur le bureau et posa les mains contre le mur pour ne pas déranger les voisins. Je la pénétrai doucement puis j’accélérai le rythme de plus en plus afin de retrouver le tempo que nous avions quelques instants plus tôt. Même si le bureau ne faisait plus de bruit, les cris produits par Manon s’en trouvèrent décuplés. Entre deux halètements, elle parvint à dire qu’elle allait jouir. Je l’enserrai de mes bras et laissai mon corps parler. Les mains sur ses seins, je donnais des coups de reins de plus en plus vite. Je la sentis soudainement se contracter autour de ma verge. Elle poussa un gémissement encore plus violent que les autres et je compris qu’elle était en train de jouir. Elle tremblait discrètement, comme si elle retenait son plaisir d’éclore. Je décidai alors de lui faire lâcher prise. Je maintenais le rythme de mes mouvements de hanches tout en saisissant ses épaules afin de la rapprocher de moi et de la faire sentir encore plus mon sexe en elle. Je la mords au trapèze, ce qui lui arracha un cri de mi-douleur mi-excitation. De sa bouche entrouverte sortaient des halètements mêlés. Elle essayait tant bien que mal de cacher à quel point son orgasme la rendait sensible. Je ralentis mes mouvements, les faisant plus amples, puis lui demanda à son oreille : “Retourne-toi, je veux voir ton visage.”Sans que j’aie à me retirer, elle réussit à s’asseoir sur le bureau et à se mettre face à moi. Je pris un moment pour la contempler. Elle fronçait les sourcils et se mordait la lèvre inférieure. Cette mimique me chamboula et je me rendis compte à quel point je l’aimais. Comme je prenais mon temps, elle me somma de me dépêcher. Je mis son ordre à exécution immédiatement en commençant par l’embrasser fougueusement tout en imprimant un tempo soutenu. Elle me rendit un baiser passionné en me tenant la tête. À la fin de son baiser, elle me mordit la lèvre inférieure ce qui eut pour effet de m’exciter encore plus que je ne l’étais déjà. Elle dut sentir que mon orgasme arrivait car elle m’enserra de ses bras et de ses jambes en me murmurant “lâche-toi, je veux te sentir jouir”. Je me laissai aller dans un orgasme tellement puissant que je me demandai s’il était possible de ressentir autant de plaisir. Je sentis une vague se propager dans tout mon corps. Je sentais que j’étais en train de lâcher prise mais je faisais tout mon possible afin de ne pas perdre connaissance. De multiples spasmes accompagnés de gémissements fusaient. Je serrai alors Manon le plus fort que mon état me le permettait et dans un ultime effort, la porta jusqu’à son lit. Lorsque je repris connaissance, j’étais allongé sur le dos et elle sur moi. J’étais toujours en elle et elle me regardait avec un sourire radieux. Ses cheveux tombaient en cascade sur les côtés de son visage, ce qui lui donnait un air angélique. Nous échangeâmes un ultime baiser avant de retrouver les bras de Morphée pour terminer notre nuit.
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