Mon collègue s’est absenté pour aller déjeuner. Il se trouve dans le réfectoire, juste en face de notre service. Je me trouve dans une pièce cloisonnée que nous partageons tous les deux, pour des raisons de sécurité. Notre bureau contient pas mal de matériels informatiques et évidemment il est muni d’un contrôle d’accès. Ce qui est plutôt un avantage et qui permet d’être plus à l’aise dans certaines situations, comme celle-ci notamment… S’il savait ce qui va se passer sur son propre bureau, dans quelques instants. Lui qui doit encore être puceau ! Elsa, dans sa jolie robe bleue estivale, petites sandales montantes, quitte son bureau et sa collègue si désagréable, monte un étage en tentant de ne pas trop montrer son empressement et frappe à la porte. J’ouvre pour la faire rentrer, l’air de rien. La porte à peine refermée, elle se jette sur moi, m’embrasse, dans le cou, puis dévore mes lèvres et m’offre sa langue qui se démène contre la mienne. Très belle entame. Ses mains ne sont pas en reste et caressent successivement mes flancs, mon torse, mon dos, mes fesses puis tâtent mon entrejambe qui prend une certaine ampleur. Elle est déchaînée. Je la repousse délicatement en chuchotant : — Doucement ma belle, attend au moins que j’ai fermé le bureau à clé !— Mais dépêche-toi enfin, j’ai tellement envie de toi !!! Dit-elle, tout sourire en commençant à défaire ma ceinture…— Moi aussi j’avais hâte de te voir. Je vais te donner ce que tu es venue chercher ! Je verrouille la porte en tournant le mécanisme du bout des doigts, ne pouvant me défaire de ses mains si actives. A peine une seconde après, la belle est déjà à genou, devant moi. Elle ouvre mon pantalon, le baisse et fait de même avec mon boxer qui dévoile un sexe en demi-érection. Juste à hauteur de sa bouche, que je devine affamée. Petit regard espiègle, elle ouvre sa mâchoire et embouche une partie de ma queue. Elle tient mon sexe d’une main, de l’autre elle me caresse une fesse. Je laisse échapper un soupir d’aisance… Je lui dis tout bas : — Ohhhh que c’est bon, ma belle ! Surtout ne t’arrête pas… Tu me suces si bien !!! Je suis aux anges. Elsa prend ainsi soin de ma queue pendant quelques minutes. Je savoure mon plaisir. Puis je l’interromps. Ce serait dommage de terminer ainsi même si la demoiselle ne serait pas contre. Je la fais se relever. Nous nous embrassons de nouveau, passionnément. Je la positionne face à moi, contre le bureau de mon collègue. A mon tour de me mettre à genou devant cette déesse de l’amour. Elle est si belle dans sa jolie robe. Et ses sandalettes montantes la rendent encore plus sexy. Mes mains se positionnent sur ses mollets puis remontent doucement, relevant ainsi sa robe. Je caresse ses cuisses, puis ses fesses, nues de tout sous-vêtement. Quelle coquine ! J’embrasse le haut de ses jambes, remonte sur son ventre. Elle s’assoie sur le bureau, bascule en arrière, tout en relevant ses jambes, laissant apparaitre sa jolie fente. Je reprends mes baisers sur l’intérieur de ses cuisses, en me rapprochant lentement de ses lèvres. Arrivé à hauteur, je lèche très délicatement sa chatte. Elle ronronne… J’entreprends un léchage délicat de sa vulve et de son clitoris, comme j’aime tellement lui en faire, en prenant tout mon temps. Elle ondule sous les caresses de ma langue et se retient de crier. Au vu des bruits environnants, c’est plus prudent. Les bureaux jouxtant le mien sont encore, en partie, occupés. Elle caresse mes cheveux et se touche parfois les seins qu’elle a libéré de sa robe. Elle les pince ou en étire les pointes. Son souffle s’accélère. Soudain elle s’arcboute ! Elle jouit, en silence, son souffle coupé. La bouche entre-ouverte. Les paupières closent… Puis se relâche doucement, en retrouvant ses esprits et son magnifique sourire ! C’est tellement excitant de la voir ainsi, je bande comme un taureau. Je dépose encore quelques baisers sur sa peau. Puis je me relève, positionne ses pieds encore chaussés sur mes épaules, prend ma queue et m’approche de son antre, le sexe pointé en sa direction. Prêt à en prendre possession ! Mon gland touche, puis écarte ses petites lèvres roses, appuie et pénètre doucement… Lorsque nos corps se rencontrent, je fais une pause et ressort très lentement pour ressentir un maximum de sensations. Nous nous observons. Je caresse ses jambes, son ventre et je décide d’accélérer un peu mes mouvements. Mes mains retiennent ses poignets, le long de son corps puis j’entame un va-et-vient continu et déchainé ! Elle se retient d’hurler en pinçant ses lèvres, le visage déformé par le plaisir. Elle vibre sous mes coups de boutoirs. Le bureau bouge mais tient bon. Quel pied ! Quelques instants de ce traitement et j’ai déjà envie de me lâcher. Elsa le voit, elle me repousse pour mettre un terme à ce coït. La belle ne veut pas recevoir ma semence. Enfin pas dans son ventre. Elle s’agenouille devant moi, prend ma queue dans sa petite main et m’astique furieusement. Elle me regarde, ouvre la bouche et tire la langue pour me recevoir. L’excitation atteint son paroxysme, je ne peux plus me retenir ! En quelques jets, je me déverse dans sa bouche, qui se referme sur mon gland. Mon corps est entièrement contracté, je jouis longuement et silencieusement, la tête un peu penchée en arrière. Je reprends peu à peu mes esprits et observe ma belle, mon sexe ramollissant dans sa bouche délicate. Elsa se relève et sourit. Je l’enlace et nous nous embrassons passionnément. Cette entrevue aura été assez rapide mais tellement intense. Je relève mon pantalon et le referme. Nous sortons déjeuner. Comme-ci de rien n’était, ou presque….
