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Aventure au haras

Chapitre 1

Travesti / Trans
Ma copine m’a quitté l’année dernière en ne me laissant qu’un mot griffonné à la hâte et laissé sur la table de la cuisine : « Je fréquente un autre homme que toi depuis plusieurs mois, je pars m’installer avec lui. Je passerai récupérer le reste de mes affaires prochainement. »Pour tourner la page, j’ai décidé de déménager et de m’installer plus à la campagne. Quatre mois après son départ ; elle n’a toujours pas récupéré ses vêtements, ils font le voyages avec moi.Je m’appelle Cédric, la quarantaine, je me travesti et deviens Cécile à mes heures perdues (je l’étais déjà en secret avant que ma copine me quitte).
Cela fait six mois que je suis installé dans ma petite maison en pleine campagne. Je n’ai qu’un voisin, Philippe, marié, la cinquantaine, robuste propriétaire d’un petit haras où je me rends régulièrement pour admirer ses chevaux et à l’occasion lui donner un coup de mains.
Un week-end, je cède à la tentation de me travestir et de m’exhiber en cam. Pour cela j’utilise les vêtements délaissés par mon ex, plus certains que j’ai achetés entre temps.Je me prépare minutieusement : lavement en prévision de mes activités solitaires à venir, bain, rasage, maquillage et habillage. Aujourd’hui, j’ai prévu de porter un ensemble tanga, soutien-gorge et porte jarretelle en dentelle fuchsia, qui appartenait à mon ex, accompagné de bas satins couleur chair, le tout dissimulé sous un tailleur-jupe droite blanc nacré et un chemisier bleu. Perruque et bijoux et faux seins compléteront ma tenue.
Je suis prêt(e) depuis à peine dix minutes et déjà installé devant mon PC que le téléphone sonne. C’est Philippe, il est avec le nouveau propriétaire d’un de ses chevaux et me demande de l’aide pour faire entrer l’animal dans le van. La bête est énervé et ne se laisse pas faire, il faudrait être trois pour réussir l’opération. Je ne peux pas lui refuser ce service mais je n’ai pas envie de détruire tout mon travail de préparation. Je me contente de me démaquiller, et de remplacer le tailleur par un survêtement après avoir retiré mes faux seins.
C’est donc en survêtement et lingeries fines que j’arrive près du box où Philippe tente de calmer son cheval. Il nous faut bien vingt bonnes minutes pour réussir à le faire monter et fermer la rampe du van. L’acheteur parti, j’aide Philippe à ranger. Pressé de rentrer chez moi pour reprendre mes activités, je ne fais pas attention à mes gestes, et c’est là que je commets l’erreur. Je me penche en avant pour ramasser une bricole au fond du box ce qui a pour effet de faire descendre mon pantalon et ainsi de mettre à jour le tanga et les lanières du porte-jarretelle.
Je ne m’en aperçois pas jusqu’à ce que Philippe me lance :« Eh bien !! Je ne m’attendais pas à te voir avec ces si jolis sous-vêtements ! »Je n’ai pas le temps de réagir, il me pousse en avant. J’ai les coincés par une botte de paille, pour ne pas tomber, je me rattrape des deux mains sur le bord de l’abreuvoir. Dans le même mouvement il a crocheté mon pantalon de survêtement et me l’a descendu juste sous mes fesses. Je me retrouve plié en deux, le cul tendu et orné de dentelles.« Ne bouge pas ! Laisse-moi admirer ton joli petit cul.»Il m’a dit cela tout en douceur. Je n’ose pas réagir, à cause de la surprise bien-sur mais aussi parce que la situation me plait.
Il me caresse doucement les fesses, puis écarte le fin tissu, ses doigts se font plus précis et attaquent mon sillon fessier. Son majeur vient sur ma rondelle et la malaxe tendrement, je pousse un premier gémissement. Il se met à genoux derrière moi, descend le tanga sous mes fesses et commence à poser mille baisers sur mes rondeurs, sa langue s’insinue et court au plus profond de ma raie jusqu’à trouver mon œillet palpitant d’impatience. Alors qu’il me fait vivre ma première feuille de rose j’entends, entre deux de mes gémissements, qu’il défait sa ceinture et ouvre son pantalon. Sa langue habile me détend rapidement et ma rondelle s’assouplie.Il se lève, je sens sa tige se frayer un chemin entre mes globes que j’écarte pour lui faciliter la tâche. Son gland est maintenant contre mon anus, je retiens ma respiration, il laisse couler de la salive juste là où il faut et pousse doucement, mes chaires s’écartent. Je ne ressens pas vraiment de douleur, juste un tiraillement, sans doute grâce à mes godages réguliers et au travail de sa langue.La corole entre d’un coup en me tirant un petit cri suivi d’un soupir. Après une pause, Philippe pose ses mains sur mes hanches et me tire vers lui. Sa queue entre, tranquillement, par petits allers-retours de plus en plus profonds. Au bout de deux ou trois minutes, je sens ses poils pubiens contre mes fesses, il est entièrement en moi. Sans brusquerie ni douleur, Philippe viens de me prendre de toute sa longueur.Il marque un temps d’arrêt afin que je m’habitue à sa présence et que je reprenne mes esprits. Je tourne la tête, nos regards se croisent, je lui souris et lui demande de continuer comme il a commencé, tout en douceur.Sa seule réponse est de reprendre ses coups de reins. Il ressort entièrement, fait couler de la salive sur son gland et sur ma rondelle. La pénétration suivante est plus facile et tout aussi magique pour moi. Je sens son gland, ses veines, tous les reliefs de sa queue sont source de plaisir. Je gémis de plus en plus, l’orgasme monte en moi.De sa main droite, Philippe prend ma queue et me branle au même rythme que ses avancées dans mon cul. Je suis prêt à craquer, le plaisir est intense. Le coup de grâce arrive quand je l’entends râler et se crisper avant de se déverser dans mes intestins. Je jouis en grande quantité et avec une force nouvelle pour moi.Philippe est toujours planté dans mon cul, il me donne ses doigts à nettoyer. Avec ma langue je récupère tout le sperme qui est sur sa main, je garde tout en bouche. Je me retourne en prenant soin de bien resserrer mes sphincters quand sa queue sort de mon cul afin de ne pas laisser écouler son sperme.Je présente ma bouche ouverte devant lui pour lui montrer ma récolte. A ma surprise, il attrape mon menton et s’approche pour m’embrasser. Ce premier baiser est divin, nos langues se trouvent et jouent avec mon sperme. Nous nous embrassons un long moment, lui me caressant les fesses moi son torse.C’est ma première fois en réel avec un homme, ça s’est merveilleusement bien passé, je regrette presque que ça soit déjà fini. J’ai encore envie de lui, envie de le sentir coulisser et gicler dans mon ventre. Je brise notre étreinte, remonte nos pantalons, le prends par la main et le tire vers sa maison.« Viens, j’ai encore plein de belles choses à te montrer ! »Nous partons en courant jusque dans son salon…
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