Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 40 J'aime
  • 4 Commentaires

L'aventure d'un soir entre autres

Chapitre 3

une surprise divine

Erotique
Aucune n’est visible !
Parties sans doute autre part dans la maison ! J’entre dans le salon, décidé à souhaiter un dernier joyeux anniversaire à ma chère sœur avant de partir. Mais l’hôtesse aussi ne se montre pas. Et comme j’aperçois Max, j’y renonce en me disant que je lui enverrai un petit SMS pour la prévenir.
Je me dirige vers l’entrée quand Max y apparaît !
Changement de plan, je décide d’aller me cacher à l’étage dans la chambre d’Aurélie. Comme les secondes toilettes sont juste à côté, ça n’étonnera personne que je monte et je suis sûr que Max n’ira pas fouiller les autres pièces. Enfin j’espère !
Je crois qu’il m’a aperçu. Arrivé en haut, j’entends quelqu’un s’engager dans les escaliers. Je fonce dans la chambre, entre et referme la porte en douceur. J’écoute... La porte des WC s’ouvre et se referme. Ouf ! Décidé à me planquer un petit moment ici, je vais à tâtons vers le lit : je ne vais pas allumer des fois que l’autre voit de la lumière et se croit invité. Une fois déchaussé, je m’allonge. Je sens une main fine qui se retire sous la mienne et je sursaute. Avant même qu’un seul son ne sorte de ma bouche, j’entends un discret mais net « chuuut ». Et je vois la lumière d’un téléphone sur lequel on tapote.
— Me cache de Max !!
Je l’imite.
— Moi aussi.
J’entends un rire discret et très féminin. J’enchaîne.
— Toi aussi tu penses qu’il a un don pour repérer les proies isolées ?— OUI ! En plus de ses mains baladeuses et de ses préjugés agaçants...— Oh ! Il est gentil tout de même !— De loin, en peinture dans la cave, oui. — T’es méchante, il y a pire.— Bah, va le rejoindre alors.
Ne bougeant pas d’un pouce, je sens que mon inconnue sourit.

— Courageux mais pas téméraire !— Pas masochiste surtout.
S’ensuit une sélection des divers sujets que ce cher Max aurait pu nous imposer. Cette discussion au clair de portable à un côté excitant et mystérieux. Je me sens tellement bien, après cette soirée à la fois délicieuse et frustrante. Je ne sais plus quoi penser : ces filles se seraient donné le mot pour me faire devenir chèvre qu’elles n’auraient pas mieux réussi.
J’aime son parfum boisé. Il m’apaise et fait surgir des images de moments agréables : les étés de mon enfance, l’auberge de la dernière Saint Valentin, l’aurore fraîche, les matins de fêtes et même les journées de mousson chaude et intense, souvenir de séjour sous les tropiques.
Tout en passant un agréable moment à rire silencieusement avec mon inconnue, je ne peux empêcher mon esprit de vagabonder. Quand elle écrit, je ne peux me retenir de regarder ses mains agiles et fines. J’imagine la douceur de sa peau, le plaisir de sentir ses doigts caressant ma peau, elle les jambes nues autour de mes hanches, assise sur mon ventre. Je ne sais pas qui elle est mais dans mon fantasme, j’imagine son air mutin de chipie qui veut profiter de son cadeau sans attendre. Le vagabondage se fait plus concret, me ramenant à la soirée. Et si...Je dois avouer que la pression dans mon pantalon montre que la demoiselle à mes côtés ne me laisse plus indifférent. J’espère que ma compagne nocturne ne s’est pas aperçue de l’érection de plus en plus importante qui envahit mon pantalon.Sans concertation, il semble que nous nous soyons mis d’accord pour ne pas nous tourner l’un vers l’autre. Comme si cela risquait de rompre le temps et l’espace. Avec le recul, je dirais plutôt l’instant de magie. Mais peut-être est-ce moi seulement qui le souhaite, alors.
— Et à qui ai-je l’honneur ? hasardai-je— Je n’ai pas envie de le dire ni de savoir qui tu es ! Je trouve ça plus... amusant ? Mystérieux ? Excitant ?— Chut ! Du bruit ! écris-je brusquement, posant mon doigt sur mes lèvres, avant d’éteindre mon GSM.
Ma comparse faisant de même.
Nous nous immobilisons sur le lit le dos bien à plat ! En bas, la fête bat encore son plein. Nous retenons notre souffle quelques secondes. Puis, rassuré, je laisse tomber ma main droite le long de mon corps. J’entre en contact avec la sienne. Cette fois, elle ne la retire pas. Pendant de longues secondes, je reste figé.
Cette sensation d’être au bord d’un gouffre. Je la touche ! Le sent-elle ? Que pense-t-elle ? Comme un gamin, je me dis « profites-en au maximum... ». Je bouge très lentement pour renforcer et esquisser un frôlement. J’ai des sueurs froides. Je ne veux pas qu’elle retire sa main. Mais si elle en veut plus ? Je fais un pas de plus vers ce gouffre. J’ai le vertige, mon cœur s’emballe ! J’ai l’impression qu’à chaque battement, le lit tremble voire toute la maison. L’obscurité semble avoir décuplé tous mes autres sens.
J’ai l’horrible impression d’être dans un néant sombre sans espoir de retour. D’un coup, je sens ce parfum doux, sucré, exotique : ce sont ces cheveux. Mes oreilles bourdonnent. Chaque bruit de mon corps semble une fanfare qui défile dans la maison. Ce ne sont que deux doigts qui se frôlent, mais j’ai l’impression que c’est la promesse d’une caresse voluptueuse.
« Courageux mais pas téméraire ! » Voilà que les mots résonnent dans ma tête. Alors autant faire un pas de plus vers ce trou béant qui se creuse au fond de mon cœur. Je relève l’auriculaire, abandonnant le contact pour le reposer un peu plus loin sur la main de la jeune femme. Sa peau est douce ! J’ai l’impression de me retrouver en classe ou dans la cour et d’être avec la première fille de ma vie : À la fois fiévreux, incertain, inexpérimenté et fou de joie. Mon petit doigt caresse son petit doigt !!! Je me revois naïvement au collège : « Ce soir je vais pouvoir le marquer dans mon journal intime (ah non je suis un homme moi, j’en ai jamais eu !) Peut-être que la semaine prochaine elle voudra que l’on se tienne la main ? »
JE CARESSE SA MAIN ET ELLE NE L’A TOUJOURS PAS RETIRÉE !
Mes sens reviennent brutalement à la normale, mais mon cœur bat toujours la chamade. Je réalise que je suis en apnée et qu’en respirant ça va mieux. Elle se laisse toucher. Et pire (ou mieux) en écoutant attentivement, je ne l’entends plus respirer : elle retient son souffle aussi. Enhardi, je n’hésite plus ! Je caresse délicatement du bout des doigts sa douce petite main gauche et remonte sur poignet, l’avant-bras, le pli du coude puis redescends tout aussi légèrement. Elle frémit et moi, j’exulte, je tremble d’excitation. Mon cœur s’emballe. Elle expire brusquement presque dans un gémissement. Son bras s’électrise et je sens la chair de poule sur sa peau tendre. Immédiatement la mienne s’électrise de même.
J’ai envie de sentir tout son corps vibrer au rythme du mien ! Je ne sais si vous avez déjà ressenti cette sensation : lorsque sous la douche, nu, enveloppé dans une douce chaleur, l’eau chaude rebondit, s’étire, couvre et caresse en centaine de micro-massages toute votre peau. Un frisson parcourt votre corps et la sensation que des milliers de petites fourmis viennent stimuler merveilleusement chaque récepteur et chaque nerf de votre peau et provoquer une horripilation divine ! Voilà mon corps fourmille, non mieux se « fourmillise » à son contact.
Je parcours toute sa main en la frôlant tendrement : son poignet d’abord, le dos frémissant sous l’hésitation à attraper ma main, faisant coulisser la pulpe de mes doigts sur ses tendons, glissant entre ses doigts puis le long jusqu’aux ongles. Je retourne tranquillement sa main pour profiter de sa paume, redessine chaque sillon. Je sens le frémissement de sa chair et remonte sur son poignet. Je continue le long de son bras. Son corps semble ne plus tenir en place. Je redescends sur cette peau brûlante et sensible, ce qui la fait gémir faiblement. Nouvelle attaque de fourmis sur mes nerfs. Elle se sent alors obligée de me prendre la main et de la serrer fortement. Ses jambes se croisent et se décroisent. J’ai l’impression qu’elle se mord les lèvres.
Je ne sais ce qu’elle veut me dire, mais il semble clair que nous ne devons échanger aucun mot. Il me semble entendre un soupir agonisant au barrage de ses lèvres. J’ai envie de les goûter, de les sentir s’ouvrir sous mes baisers.
Moi je sais ce que je veux !
Je me retourne vers elle, ma main droite toujours délicieusement emprisonnée dans la sienne. Je décide de poser doucement mes lèvres sur son épaule, si frêle, si douce. Mon cœur s’est un peu calmé. Je ne cours plus un cent mètres mais un quatre cents mètres. Sous mon souffle d’athlète asthmatique, je la sens frissonner et geindre. De ma main gauche, je reprends la caresse mais cette fois-ci depuis son bras jusqu’au poignet. Sous mes doigts et mes lèvres, je sens sa peau se hérisser et tout son corps frissonner.
Son corps s’agite encore plus sur le lit, comme si elle voulait fuir et rester, courir loin d’ici et fondre dans mes bras. Sa main desserre légèrement son étreinte mais ne me lâche pas. J’imagine la main de la jeune femme qui s’accroche à son premier amour, maladroite et pleine d’espoir, fiévreuse et incrédule. Enhardie par sa réaction, ma bouche lentement se met à couvrir de baisers ce bras offert. De la main gauche, je cherche d’autres territoires cutanés libres à parcourir. Son ventre est couvert, ainsi que le haut de ses cuisses.
À moitié penché sur elle, mes lèvres sur son poignet, presque sur sa paume à plat, je sens un territoire vierge sous mes doigts juste au-dessous des genoux. Ne voulant pas rompre le seul contact qu’elle garde volontairement avec moi, je me mets à genoux à côté d’elle, nos mains toujours jointes. Avide de goûter ce que ma main gauche caresse et découvre fièrement, j’approche ma bouche de la partie nue de sa cuisse. Au contact, je l’entends pousser un petit gémissement de surprise et d’aise.Du bout des lèvres, quand ce n’est de ma langue ou de mes doigts, je glisse sur la peau lisse et douce de ses jambes. Le parfum du désir m’envahit et je ne peux réprimer un frisson au contact de sa peau. Je remonte sa jupe (ou robe, je n’arrive pas à distinguer) facilement et goûte chaque centimètre de ses cuisses jusqu’aux mollets passant au creux des genoux qui lui fait pousser un « han » plus soufflé que prononcé. Elle me lâche la main consciente de me laisser plus de liberté, tout en passant sa main sur ma tête pour que je ne cesse pas le traitement. Ainsi libre, je m’offre la joie de couvrir de mille caresses ses jambes fuselées. Massant, croquant, caressant, griffant. De la pointe de ses orteils, leurs jointures, la plante douce de ses pieds, pour remonter sur leurs dos. Je m’attarde sur ses chevilles fines remontant amoureusement jusqu’à ces cuisses. J’aime cette peau, je ne me lasse pas de la goûter, donc redescends sur ses radieuses et savoureuses gambettes.
Profitant d’un instant, où je suis littéralement à ses pieds, j’entends un long et lent son de fermeture Éclair, caractéristique... Surpris, ses pieds m’échappent ! J’entrevois ses longues jambes fuselées à la verticale et devine sa poitrine libérée. J’entraperçois un contraste entre ses cuisses sur son pubis, je n’arrive pas à comprendre s’il est nu ou pas. Elle semble adorer notre petit jeu et en vouloir plus. Le temps que je sorte de ma stupeur, elle a retiré ses vêtements. Je réalise alors qu’elle s’est réellement mise à nue en haut. Voluptueuses collines satinées exhalant une odeur douce d’excitation, qui s’élèvent au rythme de sa respiration saccadée. Je devine le galbe harmonieux de ses seins qui à cet instant me semblent parfaits. Deux pamplemousses tendres d’albâtre surmontés de leurs cerises fermes. Peut-être sont-ce deux pommes généreuses couvertes de deux groseilles. Ou tout simplement ce sein plein, doux, que l’on « embrasse » presque entièrement d’une main, palpitant et laissant jaillir son téton pourpre et fier. Perdu dans les pensées mammaires, j’en oublie ma partenaire qui en a profité pour se tourner sur le ventre. Et dans un grognement de frustration, je repars au combat.
Devant moi, se trouve une femme entièrement nue si ce n’est le satin qui couvre ses fesses. Je peste contre cette pénombre trop intense qui m’empêche de distinguer nettement son corps. Jusqu’à présent, je me refusais à croire que cette femme était réelle ou que nous allions nous donner l’un à l’autre. Mais à cette seconde, elle a rendu cela concret. Je me relève et retire mes vêtements pour n’être qu’en caleçon. Ce fut apparemment l’appel aux armes que mon pénis attendait... Se relevant fièrement après avoir été torturé par mes partenaires toute la soirée. Puisque ma compagne m’offre l’arrière de son corps, je lui ferai honneur...
Diffuse en direct !
Regarder son live