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L'aventure d'un soir entre autres

Chapitre 5

stupeur et fracas

SM / Fétichisme
Me souvenant d’avoir promis d’emmener Aurélie déjeuner dimanche, je ne me couchais pas trop tard.


Bien reposé, je me lève de bonne heure et passe chez le boulanger pour agrémenter mon petit-déjeuner. Je prends le reste de la matinée pour me préparer tranquillement. Aurélie n’étant jamais ponctuelle, je ne lui fixe plus d’heure, je vais chez elle et la force à se dépêcher. En chemin, un doute m’assaille, mais je le balaie en quelques secondes. Elle ne pouvait pas avoir oublié après m’avoir supplié de l’amener au restaurant toute la soirée. Je me gare et dirige vers l’entrée remplie des souvenirs agréables de l’avant-veille.
Je frappe à la porte dans un vain espoir. Au moment où je vais sonner, j’essaye de tourner la poignée. Aurélie est une experte en « non-fermeture » de porte.
Bingo !
Je passe la porte et referme consciencieusement :
— AUR...
Là, j’entends la douche couler.
Miracle, elle ne sera peut-être pas trop en retard...
Je me dirige dans la cuisine pour aller boire un peu d’eau.
Tiens ? Plus de bruit dans la salle de bain ! Elle devait être en train de finir.
Elle sort en criant « j’arrive ! ». Alors que je m’apprête à sortir de la cuisine pour lui dire bonjour.Je la vois trottiner vers les escaliers, se trémoussant nue, ses magnifiques fesses marbrées de rouge. Elle tient à la main des espèces de lanières noires et grimpe prestement les escaliers. Je l’entraperçois se dirigeant vers sa chambre : laissant apparaître, surlignant des lèvres gorgées de plaisir, son petit cœur pubien et ses seins adorables ballottant de gauche à droite. Elle disparaît.
Trois questions me viennent à l’esprit :elle a oublié notre rendez-vous, elle devait être bien alcoolisée !Qu’est-ce que c’est que ces lanières ?Et pourquoi je la trouve aussi bandante ?
Seul mon entrejambe réagit à ce merveilleux spectacle. J’ai même failli m’étouffer avec l’eau que j’avais oublié d’avaler.

Je monte la prévenir que nous repoussons le déjeuner. Arrivé sur le pas de sa porte entrouverte, je prends conscience que ce n’est pas à moi qu’elle a dit « j’arrive » car elle n’est pas seule ! Et en quelques secondes tout bascule : je pousse la porte, un homme est à ses genoux en train de vérifier un harnais, elle me fait face, me voit, manque de laisser échapper un cri d’étonnement, rougit et puis sourit de plaisir.Elle regarde son amant, sa propre nudité clairement affichée, lève les yeux sur moi et son sourire se fait carnassier et sensuel. D’un geste rapide et le plus discret possible, elle me fait comprendre de refermer la porte et m’indique son paravent japonais. Pour une raison que j’ignore encore à ce jour, je m’exécute.
Je pousse la porte et me glisse derrière l’abri fragile, dont les ajours permettent la contemplation. Le sourire d’Aurélie est radieux tandis que son homme s’assure qu’elle ne souffre pas dans sa tenue.
Pourquoi suis-je ici ?
Oui je me souviens, adolescent, d’avoir essayé de surprendre ma sœur sous la douche ou la sortie à deux ou trois reprises. Je voulais voir une « vraie » fille nue, mais je n’en avais pas tiré d’autres plaisirs que l’espionnage.
C’était ma sœur surtout qui a envie de sa sœur ? Ce n’est pas possible.
Et puis d’autres filles avaient bien vite pris le pas sur mes envies.
Oui, certaines vidéos de ces femmes attachées, harnachées m’avaient excité. Mais je n’avais jamais ressenti le plaisir que cela pouvait procurer. Bon depuis quelque temps, je lisais une œuvre sur les rapports qu’entretiennent les protagonistes de bondage. Leurs incertitudes, leurs doutes, leur connivence et leurs plaisirs. Une relation parfois si complémentaire qu’elle en devenait fusionnelle.Mais là, c’était ma sœur nue, entravée, sublime et sans défense que j’observais. Pourquoi cette excitation ? Le fait que cette femme forte, intouchable pour moi, que j’avais désexualisée soit amoindrie ? Qu’elle m’affiche sa sexualité sans pudeur voire avec délectation ? Qu’elle autorise mon regard sur elle, presque à me réclamer son jugement. Était-ce aussi mon rêve ignoré de la voir réifier ainsi ? Mais est-elle réellement qu’un objet à cette seconde ? N’est-elle pas aussi la femme qu’elle voudrait montrer à la face du monde, qui ne se cache pas ? Peut-être est-ce ça finalement qui me fait bander ! Pas Aurélie, la sage jeune femme qui réussit, mais simplement la femme splendide qui rayonne de plaisir, qui transcende la morale familiale. Alors je la regarde comme si pour la première fois, je voyais la femme : une exhibitionniste, SM qui me fait un cadeau.
Une première couronne de lanières enserre le bas de ses cuisses, suivi d’une seconde en haut, jointe par une bande de « cuir » verticale. Deux autres passent autour de son sexe pour souligner ses courbes. Le tout s’assemble à une ceinture de cinq centimètres de large. De ses hanches partent deux autres lanières. Elles se fondent dans un corset de cuir, enserrant les seins nus de ma sœur, pour finir sur collier muni d’une boucle.
Aurélie se lèche avec sensualité les lèvres, ses pupilles se dilatent et elle essaye d’embrasser son amant quand il se relève. Il l’évite en riant :
— Tu es bien impatiente, petite chienne. » dit-il en attachant une laisse à l’anneau de sa gorge.
Il la fait s’agenouiller face au lit, la poitrine écrasée contre le matelas. Il tend la laisse de sa gorge, la glisse entre ses seins, passe sur le nombril et fait coulisser contre sa vulve. Puis il l’insère entre les globes de ses fesses, remonte jusqu’à ses reins où il noue les deux poignets fermement. Le moindre mouvement de tête, de main ou de hanche de ma sœur vient frotter la laisse contre son intimité.
Elle halète et rit doucement d’excitation. Un léger coup de martinet vient s’écraser sur ses fesses. Elle écarte les cuisses en gémissant de plaisir. Je vois luire son entrecuisse qu’elle masse dans un geste copulatoire. Elle se tourne, me fixe derrière mon abri et m’envoie un baiser furtif. Elle est transfigurée, le plaisir la désinhibe et elle se plaît plus en plus à me savoir spectateur.
— Tu es une très vilaine fille, tu cries trop fort !— OUIII... !
Il la bâillonne d’un foulard sans serrer et va un placard ouvert hors de mon champ de vision. Il revient avec un plumeau et une cravache puis les pose à côté du martinet. Il contemple son œuvre vivante qui soupire déjà de plaisir.
Il prend une lanière du harnais dans le dos et soulève doucement Aurélie du lit. Ainsi suspendue, il la fait tourner au-dessus du lit et la pose sur le tapis, sa ravissante poitrine gonflée de plaisir bientôt écrasée au sol sous son poids. Il contemple cette femme sans défense, la croupe en l’air, le visage au sol qui se pâme à ses pieds. Elle me fixe avec un sourire d’extase tandis qu’il prend le plumeau et la cravache.
Je décide d’entrer dans le petit jeu de provocation de ma sœur. Lentement et silencieusement, je descends ma braguette et libère mon sexe. Je vis Aurélie froncer les sourcils en devinant ce que je faisais au travers d’une fente du paravent. Alors que je me masturbe doucement, elle pousse un cri étouffé de jouissance.
SLAP !
Dans un cri de surprise empreint de bonheur, ma sœur se retourne vers son amant qui vient de lui cravacher la fesse gauche.
— Qui t’a dit de gémir avant que je ne commence ? — Moui, hefi hon héfiiis.
Il retourne vers le placard et revient avec un amas de cordage. En quelques secondes apparaît une balançoire de tissus qui se fixe au plafond et autres cordes. Je comprends enfin la présence des pitons au plafond et pourquoi Aurélie n’a jamais voulu rien me dire.

La séance commence alors ! Debout devant elle, il admire sa dulcinée prosternée. Il pose le bout de la cravache sur les reins offerts. Elle soulève un peu son torse pour suivre les pas de son amant. Il tourne autour d’elle pour profiter de sa nudité et de cet arrière-train découvert. Elle repose sa joue au sol et sent le regard incendiaire sur ses lèvres trempées. Dans une succession de trémoussements d’envie, se font entendre les gémissements d’impatience. Il commence à lui caresser l’entrecuisse avec le bout de la cravache, remonte pour exciter lascivement sa rosette. Elle lâche un cri de plaisir. Il remonte le dos jusqu’à la nuque puis caresse les seins, les côtes, le ventre. Elle souffle d’extase. D’un coup, les claquements doux sur chaque fesse, les cuisses, les épaules, les reins résonnent pendant quelques minutes. Chaque coup laisse une légère zébrure rouge et délicieusement sensible si j’en crois le regard noyé de ma sœur. Ses hanches accentuent leurs mouvements frénétiques. Elle souffle de plus en plus fort.
Il se saisit du plumeau et le passe amoureusement sur son corps. Il commence sur ses joues, sur sa gorge. Elle frémit, la chair de poule parcourt son corps. Puis il s’attaque à ses seins. D’abord leur naissance, s’ensuit le galbe et pendant une minute s’amuse sur les tétons qui gonflent sous le traitement. Le cheminement reprend sur le ventre, les cuisses. Il vient caresser toutes les surfaces divinement meurtries par la cravache finissant sur les épaules et la nuque. Un long râle et des mouvements amples, lents et répétés sont les signes d’un plaisir croissant.
Aurélie semble au bord de l’orgasme. Il pose ses instruments et se saisit du martinet. Et alors que tour à tour il caresse et fouette le corps supplicié, ma sœur part dans une convulsion extatique pendant son déhanché endiablé sur la lanière. Elle s’effondre sur le flanc, respirant fortement.Il lui détache les mains et lui retire le bâillon.
Sans même lui laisser le temps de réaliser, elle le pousse sur lit, lui arrache son boxer et attrape son dard turgescent. Elle le pompe frénétiquement, amoureusement, savoureusement ! Lui, entre la séance de torture, son désir et le travail de langue d’Aurélie ne tient pas plus de quelques secondes avant de finir entre les lèvres féminines.

Résolu, à ne pas laisser de trace dans la chambre, je ne fais que me caresser sans jouir. Je ne peux toujours pas bouger de ma cachette. Les deux amants, toujours nus, rient et se caressent en donnant leurs impressions pendant quelques minutes. Allongés face au plafond sur le lit, je les vois s’exciter de plus en plus. Les griffures légères sur le pénis, qu’Aurélie lui afflige, lui refont prendre de la vigueur et du volume. Et la voilà, qu’elle sort un préservatif de la commode et l’enfile à son homme.

Ils se lèvent ! Je réalise que le harnais d’Aurélie est équipé de solides anneaux, auxquels son amant fixe les cordes de différentes longueurs, nouées des pitons.
Bientôt, elle se retrouve assise dans son harnais face à son amant en rut. Je les vois de profil, elle écarte les cuisses et il s’approche. Ils échangent un baiser, puis deux. Elle imprime un mouvement d’arrière en avant qui force le pénis de son compagnon à frotter contre son ventre et son minou.Ivre de plaisir, il saisit les hanches gainées de cuir, les immobilise et caresse la vulve et le clitoris de sa hampe. Les gémissements de sa partenaire l’incitent à augmenter le contact. Puis n’y tenant plus, commence à la pénétrer. Doucement, centimètre par centimètre, pour finalement l’embrocher entièrement. Une fois unis, c’est un concert de soupir ! Lui debout et sa partenaire suspendue uniquement liés l’un à l’autre que par son pieu dressé. Il lime énergiquement cette chatte douce et humide qu’il lui est offerte quelques minutes avant de s’interrompre.
Puis il se décide à monter sur la balançoire faisant face à Aurélie. Elle s’assoit à cheval sur les cuisses de son partenaire, inclinant son bassin et favorisant l’accès à son sexe. Il attrape les cordages, stabilise sa maîtresse et la pénètre dans un cri de plaisir harmonique des deux amants. Tous deux en l’air, pris dans les mouvements erratiques qu’imposent les balançoires, ils copulent sauvagement. Elle se redresse. Il lui croque les seins. Elle lui griffe le dos, il gémit d’aise. Il lui prend les fesses pour accentuer son mouvement de hanche entre ses cuisses. Elle se frotte plus fort contre son ventre, l’embrassant et lui enfouissant les mains dans les cheveux. Je les sens tous deux au bord de l’orgasme à nouveau... mais ils s’arrêtent.
Il se lève, la soulève de la balançoire et la jette sur le lit délicatement. Aurélie est sur le ventre, elle s’agenouille et son amant est déjà derrière elle. Et sans sommation, la transperce vigoureusement.
Ma sœur vient de se faire sodomiser sans préparation et sans plainte ?
Elle gémit de plaisir et il la bourre avec détermination. Je réalise alors qu’ils sont simplement en levrette et que la chatte d’Aurélie prend cher pour son plus grand plaisir. Une main accrochée à la hanche, l’autre sur le sein droit, il la pilonne. Sa main droite glisse sur son autre sein qu’il pétrit, en agaçant et titillant ses tétons toujours plus gonflés. Il finit par l’attraper par les cheveux et lui tirer en arrière en continuant limer avec vigueur.
Avec tellement d’énergie, qu’elle s’écroule sur le matelas. Il s’allonge sur elle, la baise comme s’il n’y avait qu’eux sur terre. Sa main droite posée sur la nuque pour lui faire tourner la tête à gauche, il glisse l’autre main entre le lit et son bassin pour masser son clitoris. Dans un râle de joie, il ploie et vient poser ses lèvres sur la nuque, avant de chercher les lèvres pour un baiser passionné. C’est alors que ses hanches impriment un mouvement désordonné, signe de jouissance ! À l’instant où ses lèvres touchent celles de ma sœur, elle se met à hurler et trembler dans un orgasme fabuleux.
Pendant quelques secondes, ils fusionnent dans la jouissance. Quand l’un contracte les fesses pour expulser tout son liquide, l’autre vibre et aspire avec tout son corps cette énergie sexuelle. Il leur faut deux ou trois minutes pour redescendre sur terre.
Il se roule sur son côté gauche auprès de ma sœur, l’embrasse et s’affale sur l’oreiller. Sa respiration se fait de plus en plus calme, avant de s’endormir. Je sens qu’Aurélie résiste aux tentations de Morphée. Elle relève le buste, se couvre la poitrine par réflexe et regarde dans ma direction. Elle semble oublier qu’elle est nue et que je peux profiter de son petit cœur et de ses lèvres épanouies sous l’effort.
Je sors de ma cachette. En mimant plus que je ne murmure pour ne pas réveiller son partenaire, elle me demande.
— Qu’est-ce que tu fais là ?— Bah je viens pour t’emmener déjeuner comme prévu !— Oh merde ! J’avais oublié. Comment tu es entré ?— La porte n’est pas fermée comme d’habitude...— P’tit con !— Merci ! Moi aussi je t’aime.— Toujours après ce spectacle ?— Tu es belle et heureuse, le reste je m’en branle.— J’ai vu, j’ai vu !... hey Antoine ! MERCI. — Repose-toi bien et appelle-moi quand tu veux aller au restaurant. Bisous.
Je quitte la chambre sur l’un de ses baisers et un croisement de jambes brusque en rougissant se souvenant de sa nudité. Je redescends dans l’entrée hilare, mais très excité. Ça fait deux heures que je suis coincé derrière le paravent !
J’ai faim, il fait beau et chaud. Je sors de chez ma sœur sur trois pattes, mais j’ai quand même très faim. De nourriture, de liberté et de femmes, je veux jouir de tout. Il faut que je fasse attention, c’est toujours dans ces moments-là que je fais une connerie. Je vais me remplir le ventre à un « Crados » quelconque, parce que je trouve triste de me faire un restaurant seul. Et lorsque je sors...
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