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L'aventure d'un soir entre autres

Chapitre 7

la forêt enchantée

Voyeur / Exhibition
La porte se referme et j’entends le bruit de ses pas disparaître.

Finalement, nous nous retrouvons mardi pour un restaurant à midi. Elle m’explique, comment cette opportunité de travail à l’étranger s’est présentée ainsi que la raison de cette décision brusque ?
Pour la première fois depuis des mois, je suis serein avec elle et nous passons enfin à nouveau un bon moment ensemble. Comme au début de notre relation, mais la passion a disparu. Nous sommes amis : nous avons passé de merveilleux moments, nous en passerons d’autres. Mais il n’y aura plus jamais de sexe. Elle me demande comme un service de ne pas venir à l’aéroport : elle n’a jamais aimé les « au revoir ». Mais elle a promis de me tenir au courant de ses aventures dans le monde. Et puis si elle est bien installée, j’irai peut-être la voir...
Voilà, nous sommes vendredi. J’ai pris mon après-midi pour avoir une petite pensée pour Élise. Comme une andouille de nostalgique, j’ai décidé d’aller manger au restaurant universitaire. C’est là que nous avons fait connaissance et sympathisé entre les repas et les études. En plus, c’est le plus réputé, avec un choix fin, varié et équilibré. L’ambiance n’a pas changé donc je profite de mon repas avec plus de joie que je ne le pensais. J’aperçois même une silhouette familière qui s’échappe du restaurant.
Que fait-elle ici ? Enfin elle ne m’a pas vu !
Je ne suis pas pressé de rentrer, l’avion n’a pas encore décollé et je n’ai pas envie d’y penser. Je sors et me dirige vers le parking, quand un bras se glisse sous le mien !
NATHALIE !
Finalement, elle m’avait bien vu.
— Je te parie que je devine ce que tu penses ? — Bonjour, Nathalie. Comment vas-tu ? Ravi de te revoir...— Oh ! Ça va. Ne sois pas si formel avec moi, après ce que tu as fait !— Et je vois que tu aimes toujours donner des défis perdants !— Hmm peut-être. — Et qu’ai-je à gagner cette fois ?— Le perdant a un gage.— Ça me semble honnête.— Je sais, je sais !
— Et donc à quoi je pense ?— Au départ d’Élise dans quelques heures.— Euh...— Chacun son tour ! Ta sœur m’a résumé les derniers jours entre vous. Elles ont discuté toutes les deux. Alors quand je t’ai vu ici, ça a fait tilt.— Bref tu as honteusement triché !— Pas plus que toi, pendant la soirée.— C’est de bonne guerre. Que fais-tu ici ?— Formation pour les audits en milieu alimentaire.— Oh avec le professeur Prince, alors !— Oui, exactement ! — Et tu dois reprendre les cours dans une demi-heure.— Peut-être ? Mais tu cherches à échapper à ton gage là !— Bien sûr !— Pas avec moi ! Pour ta punition, tu vas devoir m’embrasser ici et maintenant.
Je vois à son sourire qu’elle est contente de sa surprise. Elle prend sa revanche et ça me fait du bien de changer l’esprit et de jouer avec elle.
Alors, voyons qui a les meilleures cartes.
Après une hésitation, je ne rechigne pas plus longtemps à son invitation. Je commence à m’approcher doucement de ses lèvres, les effleure et les pose sur les siennes. Je profite de son petit soupir de soulagement et de victoire, pour glisser ma langue et la surprendre. Mais ce n’est que l’histoire d’une seconde, avant qu’elle ne délecte de notre baiser. C’est un échange délicieux qui dure un peu plus longtemps que nous le pensions pour notre plus grand plaisir. Nous nous séparons et dans un sourire moqueur, elle me dit :
— Bon je vois que tu es bon perdant !— Je ne sais pas ! À quel point es-tu joueuse ?— Pourquoi ? — Je n’aime pas partir sur une défaite. Prête pour une autre manche ?— Je ne sais pas si j’ai le temps. Je suis en formation tout de même.— Oui, oui ! En gros, tu te défiles. Tu n’es pas une vraie joueuse.— C’est bon vas-y ! mais dépêche-toi !— Je te parie que tu ne reprendras pas ta formation avant deux heures et demie. Un gage pour la perdante !— Dans tes rêves, looser ! Pari tenu.— Alors, allons attendre la réponse devant ta salle...
Et je l’emmène par les raccourcis, à sa salle de conférence. Sur le chemin, elle semble de moins en moins sûre d’elle, réalisant sûrement qu’elle était sur mon territoire. Lorsque nous arrivons devant la salle, nous voyons un mot affiché : « En raison d’événements indépendants de sa volonté, le professeur Prince s’excuse de devoir reporter le début de la formation de 2h. ». Et au fur et à mesure de la lecture, je vois Nathalie se décomposer.
— Explique ! Tu l’as entendu le dire ?— Presque ! C’est un bon vivant, qui les vendredis de formation, prévoit deux heures de plus ! Soit vous finissez plus tôt, soit il fait une petite sieste post-prandiale pour avoir les idées claires. Et vu ce qu’il a bu tout à l’heure...— Donc je me suis fait baiser !— Non je te rassure, ce sera pire ! — Salaud ! Tu m’as bien eu sur ce coup. Que dois-je faire ?— Je t’indique ton gage dans quelques minutes. Pour l’instant, j’ai envie d’une promenade !
Ma compagne de fortune et moi remontons l’allée facultaire. Et nous empruntons le chemin forestier balisé juste à côté. Nous tournons immédiatement à droite, longeant d’autres bâtiments. L’avantage est que nous sommes sur une zone moins fréquentée et qu’il faut de très bons yeux pour voir ce qui s’y passe.
Après une dizaine de minutes, les arbres se font plus nombreux. Je ralentis et admire la démarche féline de ma partenaire. En robe d’été noire, les cheveux relâchés, elle est naturelle et ravissante. Sa silhouette est magnifiquement mise en valeur et je rêve de redécouvrir ses charmes. Elle prend quelques secondes pour remarquer mon manège.
— Un problème ?— Tu as un gage, je te rappelle !— Oh ! Quel est-il ?— Suis-moi ! Contre ses arbres...— Intéressant !— Tu vas me laisser te retirer tes sous-vêtements et passer le reste de la journée sans.— Dans ma tenue, ça va être difficile.— Je ne me rappelle pas avoir contesté mon gage.— D’accord ! » finit-elle avec un air contrarié.
Je l’entraîne par la main en dehors du chemin. Je la plaque contre un arbre, m’approche doucement d’elle. Nos visages sont presque accolés. Elle respire plus fort et me sourit joyeusement. Je fais glisser une brassière de sa robe, puis l’autre, découvre son soutien-gorge mauve. Je glisse doucement ma main dans son dos, caressant sa peau, défais le fermoir de son protège poitrine. Je continue en libérant ses épaules tout en maintenant le tissu sur ses seins. Une fois que la gravité a fait son boulot, je glisse mes mains contre sa peau pour profiter de ses deux magnifiques pommes généreuses. Tandis que le vêtement tombe, je caresse précautionneusement ces excroissances de plaisir. Elle soupire. Je ne résiste pas à l’envie de les embrasser et de lécher ces petits tétons. Dans un gémissement mi-agacé mi-jouissif, elle glisse sa main entre nos corps, défait la fermeture éclair et saisit mon pénis tendu dans mon boxer. Devant mon air étonné, elle murmure.
— T’as pas dit que je n’avais pas le droit de te prendre par les sentiments !!
La laissant faire, je remonte le haut pour couvrir ses seins maintenant libérés de leur carcan.
Je m’accroupis devant elle, ramasse le soutien-gorge puis soulève sa robe. Il s’en exhale une odeur d’excitation sexuelle. Je la sens fébrile. Mes doigts parcourent sa cuisse pour remonter vers l’aine. J’agrippe sa petite culotte mauve un tantinet plus humide que la normale en son centre. J’approche mon visage de cette petite tache et souffle. Elle resserre les cuisses en feulant. J’en profite pour glisser mes mains entre ses fesses et le tissu. Je les masse, presse, alors que mes pouces contre son ventre viennent agacer son pubis. Délicatement, je baisse l’objet du délit, la dénudant lentement. Pour décrocher correctement son tanga, je me vois « obligé » de glisser mes doigts de part et d’autre de sa vulve et de caresser ses cuisses. La zone est très humide et mes phalanges glissent sans mal sur cette peau lubrifiée. Je finis de faire glisser l’enjeu du gage le long de ses jambes et le présente triomphalement devant ses yeux embués.
Me fixant droit dans les pupilles, d’un regard de défi, elle saisit mon sexe toujours tendu et le masse doucement, mais sûrement. Je ne peux résister à la pulsion, je la soulève pour la prendre contre cet arbre. Elle pose les mains brusquement sur mon torse pour arrêter le mouvement.
— Non pas comme ça, tu mérites une punition !
Me voilà au milieu de la forêt, avec une petite brunette accrochée à mes bras, la chatte en feu à quelques centimètres de mon pénis érigé, qui veut faire durer le plaisir.
Y a pas à dire, j’aime les femmes de caractère.
Je la repose, elle range mon sexe dans son boxer sans refermer le pantalon et lisse sa robe avant de m’inviter à reprendre le sentier. Nous marchons une petite demi-heure en nous agaçant mutuellement. Elle sort sa main de mon caleçon et la mienne de sous sa jupe, lorsque nous croisons des promeneurs. Nos petits rires goguenards et notre démarche chancelante font sourire certains et rendent suspicieux d’autres. Nous voilà donc de retour sur le chemin menant à la fac, tous les deux comme des étudiants en chaleur et il va falloir se calmer si nous voulons paraître normal !

Heureusement, nous sommes sur mes terres. Je prends Nathalie par la main et l’amène vers les amphis. Je les ai suffisamment fréquentés pour en connaître les secrets. Nous pénétrons dans le premier, un cours magistral y est donné. Nous nous dirigeons vers le second, naviguant entre les cliniques pour ne pas être vus. Il est vide, nous montons à l’étage et je fais entrer Nathalie dans la salle de projection. Maintenant que les professeurs ont leurs ordinateurs et les branches sur l’estrade en bas, les chambres de projection sont vides, ont vu sur l’amphi et ferment à clef...
Je pousse ma compagne sur la table, la soulève et ses fesses à peine dessus, retrousse sa jupe. Elle a le regard enflammé, elle défait le reste des attaches de mon pantalon et baisse le tout. Je l’embrasse, fais tomber le haut de sa robe. Les seins nus, la robe sur les hanches par ses jambes écartées, les yeux fixés sur mon dard, elle est splendide. Je ne résiste pas à l’envie de goûter sa petite chatte trempée. Quelques coups de langue, happer son clito est délicieux, mais nous sommes d’accord que nous n’avons plus besoin de ça. Je me relève et présente les armes aux portes de sa féminité. Ses jambes écartées reposent sur la table. Fébrile, je peine à couvrir le goupillon avant l’assaut et finalement, pars baillonette au canon. Avec l’excitation, l’intromission n’est pas évidente, et je coulisse deux-trois fois sur la commissure de ses lèvres et son clito, elle gémit.
Puis j’entre !
La chaleur et la tendresse de son sexe font merveille et d’une voix, nous poussons un cri d’aise. Les mains ancrées à ses hanches et ses fesses, je la lime de plus en plus fort, tout en l’embrassant et croquant ses seins tendus. Ses jambes se nouent autour de mes hanches, elle s’accroche à mes épaules. Nos gémissements se font de plus en plus sonores, quand je pose soudain ma main sur sa bouche et m’arrête.Je perçois des voix qui se rapprochent. Une porte s’ouvre et un brouhaha général se fait entendre. Des pas dans les marches, les portes de l’amphi qui s’ouvrent et un flot d’étudiants en passe les portes immédiatement, suivis par un professeur. Un cours va commencer ! Nathalie descend de la table, se retourne et se penche vers la lucarne du projecteur. Je me penche aussi pour voir et me colle à elle. Je la sens me saisir et me caresser. Je réalise que comme moi elle ne veut pas rater l’occasion de faire un truc fou.
Sans l’ombre d’une hésitation, je reprends place d’un coup en elle, elle arrive à ne pousser qu’un soupir silencieux. Elle appuie ses mains à la table et la plaque contre le mur pour ne pas donner d’à-coups, tandis que je la prends méthodiquement. Pour l’aider à craquer, je commence à masser de la main droite, son pubis en rythme avec mes hanches.
Mes doigts sont couverts de sa cyprine, quand je prends la décision de profiter de la situation. Je passe ma main mouillée entre ses fesses et précisément sur son œillet. Elle se retourne en souriant et m’envoie un baiser. Je glisse mon index doucement en elle et effectue des allers-retours. Je relubrifie régulièrement avec son propre jus avant d’introduire mon majeur aussi. Elle sourit, toujours sûre d’elle. Elle soupire quand j’introduis l’annulaire aussi. Mes doigts glissent aisément dans son fondement maintenant. Elle se retourne à nouveau et me fixant, dit silencieusement :« Petit joueur ! ».
Sans même réfléchir, je sors de sa chatte, la ceinture de mon bras gauche, retire ma main de son anus et le pénètre d’un coup de ma queue. « Haan ! » J’ai juste le temps de la faire disparaître de la lucarne avant que le dernier rang se retourne pour chercher l’origine du bruit. Ma main gauche contre son sexe a pris la place de mon membre pour continuer à le stimuler. Je bouge entre ses fesses tandis qu’elle est collée contre moi, ma main droite pelotant ses seins durcis par l’excitation. La position est inconfortable. Tant pis ! Je prends le risque que l’on soit vu, mais je la repose contre la table et continue le double massage. Nous avons trop accumulé d’énergie sexuelle, il ne nous faut que quelques minutes pour jouir. Les crispations frénétiques sur mes doigts et mon pénis sont simultanées au flot déversant de moi.

Je ne sais comment nous avons pu rester silencieux à ce moment-là, mais nous nous sommes tout de même écroulés au sol. Quand je reprends mes esprits, j’ai la délicieuse vision de ma queue dégonflant dans son cul et elle haletante. Nous avons un rire silencieux partagé. Nous nous relevons, remettons un peu d’ordre dans nos tenues et sortons le plus discrètement possible du bâtiment. Une fois dehors, nous éclatons franchement de rire. Deux adultes qui sont redevenus des gamins l’espace d’une heure ou deux.
— Bon je crois que j’ai gagné le droit de récupérer tes trophées pour ma formation.— Je crois que oui en effet.— C’était dément !— Jamais fait avant pour ma part !— Moi non plus. Dommage que ce soit la dernière fois.— ?— Mon fiancé n’apprécierait pas d’apprendre ce genre d’aventure ! Je crois qu’il tient à la fidélité dans le couple et moi aussi d’ailleurs.— Toi aussi ? Vraiment ?— Je n’avais pas du tout prévu d’aller aussi loin ! C’est pourquoi ça doit cesser. Mais c’était un grand plaisir.— Un peu brutal comme fin ! Mais le plaisir n’en a pas été moindre pour moi et tu m’as réellement permis d’oublier Élise pendant ce temps, merci. »
Il est 14h45, elle doit être dans son avion, Nathalie, elle, redescend vers sa salle de formation. Elle se retourne une dernière fois pour m’envoyer un bisou, que je lui rends. Il faut que je rentre, ces dix derniers jours, on était un peu trop dingue pour moi ! Mais c’est peut-être le moment d’être encore plus fou !
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