Suite à cette rencontre improbable sur le chat, je ne savais pas trop que faire. J’avais peur que Mélanie découvre ma réelle identité, mais j’étais terriblement excité à l’idée de remettre ça avec elle. Le fait de repenser à sa petite chatte rasée dégoulinante de cyprine et à sa belle paire de seins bien fermes, m’a sûrement aidé et conforté dans mon choix. Je décidai alors de me créer un autre compte skype, afin de cacher ma réelle identité et de rester pour elle un parfait inconnu. Après l’avoir ajouté sur skype, quelques jours passèrent et par manque de disponibilité, je ne m’étais pas connecté à mon compte. Mais un soir où j’étais seul à la maison, je me connectais. La première bonne surprise fut de voir que Mélanie avait accepté mon invitation. La voir connectée fut l’autre surprise de la soirée. Et c’est elle qui commença la discussion, ce qui me laissa supposer à cet instant qu’elle devait être en manque de cul. — Salut toi !— Hey salut, ça va ? — Oui super et toi ? Au fait je en sais même pas comment tu t’appelles ? Afin de rester anonyme, je lui donnai un faux nom. Ce petit jeu commençait à me plaire ! — Moi c’est Ludo. Et toi Mélanie je suppose, d’après ton pseudo ? — C’est ça ! Ça te tente de te faire une cam ? J’ai vraiment envie là…— J’avais deviné, vu comment tu m’as sauté dessus =)— OK j’active la vidéo Une fois sa webcam activée, je la découvris en sous-vêtements, allongée de côté sur son lit. De par sa position, j’avais une vue imprenable sur ses seins et son ventre plat. Son soutien-gorge était en dentelle, de couleur bleue, et elle portait un shorty de la même couleur qui lui moulait la chatte. Comme sur le chat, elle ne montrait qu’une partie de son visage, sans doute afin de garder une part d’anonymat, devenue maintenant inutile. De mon côté je portais un jean et un tee-shirt blanc uni, mais je n’avais pas de boxer. J’aime aussi la sensation d’être nu dans un jean, le contact de mon sexe avec la matière. Comme elle et il en va de soi, je ne laissais mon visage qu’à moitié visible sur la webcam. Plus je regardais Mélanie, plus je la reconnaissais. Et maintenant je reconnaissais également cette chambre, qui ne m’était pas inconnue (puisqu’il m’est souvent arrivé d’être invité chez eux). J’eu peur à un moment qu’elle me reconnaisse également. Elle était sans doute trop excitée pour cela… Cette situation et la vue que m’offrait cette petite garce m’excitaient terriblement. Ma queue commençait à gonfler sous mon jean. Elle se raidissait petit à petit, jusqu’à ce que mon gland touche ma braguette, ce qui créa en moi un petit frisson. — Tu sais que tu es bandante !
— Merci, je te fais de l’effet ? Je descendis la caméra pour lui montrer la grosse bosse sous mon jean. — Ah oui en effet ! Dis-moi ce que tu veux que je fasse maintenant gros cochon…— Aujourd’hui je veux que tu me montres ton cul petite salope ! Met-toi à quatre pattes et offre-moi ton cul Mélanie s’exécuta. Elle se mit en position de levrette et me présenta son magnifique petit cul, bien musclé, et bien mis en valeur par son shorty. Je distinguais la forme de sa chatte gonflée et de ses lèvres, qui commençaient à humidifier le sous-vêtement. Son petit trou était aussi bien moulé par la matière élastique. J’aurai aimé présenter ma queue à l’entrée de ces 2 orifices, forcer la matière et la pénétrer ainsi. — Tu aimes ? Me demanda-t-elle— Oh que oui ! Enlève-moi ce shorty et montre-moi ton petit trou maintenant— Ok ! Sors ta queue, j’ai vraiment envie de la voir ! Aussitôt-dit, aussitôt fait. Je déboutonnais mon jean et mon sexe sortit de lui-même tellement je bandais fort. Mélanie fit glisser son shorty le long de ses cuisses, laissant apparaître une croupe magnifique. La vision de sa chatte luisante et de sa petite rondelle toute rose provoqua en moi un regain d’énergie. Ma queue se raidit encore plus fort et ma main droite commença à s’activer sur l’engin. — Humm très belle vue ! J’ai envie de te manger la chatte, de te lécher ton cul de petite chienne, d’introduire ma langue dans tous tes orifices…— Humm continues de branler ta belle queue Mélanie passa une main dans son entrejambe et commença à se caresser la chatte. Après quelques instants, je distinguais qu’elle mouillait tellement que ses doigts étaient imprégnés de son jus. L’odeur de sa chatte devait être exquise. Elle introduit directement trois doigts dans sa chatte béante, qui rentrèrent sans aucune difficulté. Je sentais que la petite pute allait bientôt jouir. Je n’en n’étais pas loin non plus. Mais j’avais envie qu’elle joue avec son cul avant de jouir. — Maintenant tu vas te doigter le cul — Je veux bien, mais ça va me faire mal, mon trou n’est pas assez ouvert !— Alors met-y un peu de ta mouille ! Ça devrait aider à le dilater Mélanie alla chercher avec ses doigts une bonne rasade de cyprine, au plus profond de sa chatte. Puis elle s’étala son jus sur son anus. — Oui comme ça, continues ! Imagine que c’est ma queue qui veuille rentrer dans ton cul Après quelques minutes de travail, son cul était prêt. Elle y introduit d’abord un doigt, qui rentra comme dans du beurre. Puis deux… Je la voyais se tortiller de plaisir et de mon côté j’étais sur le point de jouir. — Je vais jouir, écartes bien ton cul avec tes deux mains ! Je vais te le remplir de mon foutre ! Elle écarta son petit trou étroit comme demandé. Je m’activais sur ma queue et quelques secondes plus tard, de grands jets de sperme chaud partir vers le haut. Ils retombèrent ensuite sur mes jambes, sur ma queue et sur ma main. J’en avais partout. Mélanie sembla apprécier. — Oh ouiii ! J’ai envie de te nettoyer tout ça… Elle se retourna, me montra sa bouche et suça langoureusement ses doigts souillés de son jus et de son cul. — Merci, j’ai adoré – me dit-elle— Et moi donc ! On remet ça bientôt ! — Oh que oui ! A très vite.— A bientôt petite chiennasse Une fois déconnecté et remis de mes émotions, je pris conscience de tout cela. Et il y a une chose dont je ne vous ai pas fait part : ce soir-là j’avais enregistré – via un logiciel installé sur mon ordi – le chat vidéo que je venais d’avoir avec Mélanie. En effet, j’avais des plans pour la suite… Peut-être qu’au fond, je ne souhaitais pas rester incognito… et que la frontière entre virtuel et réel était proche. A suivre.
