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Aventure surprenante sur le Chat

Chapitre 4

Hétéro
Dans la douche, la vue magnifique du corps de Mélanie me fit de nouveau de l’effet. Pourtant nous venions juste de baiser, mais elle était si belle. Elle s’étalait lentement le gel douche sur le corps, en agissant bien sur ses superbes seins. Lorsqu’elle se tournait j’en profitais pour mater son petit cul bien ferme et couvert de mousse. Ma queue commençait à être de nouveau bien raide, et le contact du gel douche froid sur mon engin renforçait mon excitation. J’eu envie de la prendre par le cul d’un coup sec, sans préliminaire. C’est à ce moment que la sonnette de chez moi retentit.
— Ah merde, qui ça peut bien être ! Reste ici je vais voir, je reviens— OK je t’attends, fais vite
En sortant de la douche, ma queue bandée frôla la hanche de Mélanie. Elle le sentit tout de suite et esquissa un petit sourire. Je me séchais rapidement, enfilai mon bas de jogging et allait ouvrir. En regardant par l’œillet, j’aperçus ma tante Sylvie derrière la porte. Sylvie est mariée à mon oncle Bernard. Ils habitent dans le même immeuble, et c’est eux qui nous louent l’appartement. Sylvie est une très belle femme, brune, la quarantaine, 1.65 mètres et une poitrine exceptionnelle. Assez sportive, elle est très bien entretenue pour son âge, et il m’est souvent arrivé de fantasmer sur sa grosse paire de seins. Son mari Bernard est souvent à l’étranger pour raisons professionnelles. Je me demandais bien ce qu’elle me voulait… Je lui ouvris.
— Salut Sylvie tu vas bien ? — Bonjour Kevin ! Ca va bien et toi ? Je te dérange pas j’espère ? — Heuu non, en fait j’étais en train de prendre une douche mais ça va— Ah désolée alors ! Julia n’est pas là ? (Julia étant ma copine)— Non elle est partie deux jours voir une copine en province— OK, tu es tout seul alors …
Et sans m’en demander l’autorisation, elle entra dans le salon et alla s’assoir sur le canapé. J’étais torse nu et n’avais rien sous mon jogging. Heureusement érection s’était un peu calmée. Cette situation était plutôt gênante, d’autant plus que Mélanie était toujours sous la douche dans la salle de bain. Je n’avais pas du tout envie que Sylvie le découvre et qu’elle ruine mon couple.
— Ton canapé en cuir colle un peu, il faudrait que tu le nettoies Kevin
Sylvie portait une mini-jupe et s’était assise juste à l’endroit où j’avais baisé Mélanie, il devait y avoir quelques restes de bière et de mouille suite à notre humide ébat. Moi, j’étais resté debout et avais une superbe vue plongeante sur ses deux gros seins.
— Oui ! C’est vrai que cet appartement mérite un bon coup de ménage— Dis-moi, vous ne m’avez toujours pas déposé le loyer du mois dernier n’est-ce pas ?— Ah bon ? je croyais que Julia l’avait fait ! C’est elle qui s’en occupe d’habitude, mais peut-être a-t-elle oublié— Ce n’est pas grave tu sais, si vous avez des problèmes d’argent on peut en parler, on peut s’arranger…
Sylvie me regarda en souriant et ouvrit légèrement les cuisses. Je me suis alors demandé si je n’étais pas en train d’halluciner : ma tante de 45 piges m’aguichait dans le salon alors que la copine de mon pote prenait une douche juste à côté.
— Qu’entends-tu par-là Sylvie ? Et puis nous n’avons pas de problème d’argent, ça doit être un oubli, tout simplementSylvie se leva et s’approcha de moi.
— Ecoute Kevin, j’ai été jeune je sais ce que c’est, et c’est la crise, les temps sont durs ! Que dirais-tu si je tirais un trait sur le loyer du mois dernier ?
J’avais les seins de ma tante juste sous mon nez. Je sentais ma queue gonfler peu à peu sous mon jogging.
— Ok, mais en quel honneur ferais-tu ça ? — Tu sais bien que Bernard est souvent absent, et cela fait longtemps que je ne prends plus mon pied
Tout en prononçant ces paroles, Sylvie commença à me caresser le torse de ses deux mains. J’étais littéralement bouche bée. Ses mains de femme experte exploraient mon corps et descendaient petit à petit vers mon bas-ventre. Je sentis l’une d’entre elles s’aventurer sous mon jogging, pour se saisir fermement de ma queue bien raide.
— Oh ! Je vois que je te fais de l’effet dis-donc. Julia n’a pas à se plaindre, mon neveu est très bien monté !— Merci Sylvie, mais je crois que nous devrions arrêter ça tout de suite ! Tu es très belle, mais tu es ma tante ! Tu as 20 ans de plus que moi !
J’avais une folle envie d’elle ! Même si je savais que ce n’était pas correct, je n’allais pas me retenir longtemps.
— Kevin, je veux que tu me baises maintenant, tout de suite, fais-moi jouir, c’est un ordre !
C’en était trop ! D’un coup sec, tel un affamé, je plongeai ma tête dans son décolleté pour bouffer ses deux gros seins. Alors qu’elle continuait de me caresser la bite, je lui léchais les seins et lui mordillais les tétons.
— Tu veux que je te baise hein ? Je te préviens ça va être brutal !— Je n’attends que ça ! Fais-moi tout ce que tu veux, je suis ta chienne— Déshabille-toi et mets à toi à genoux !
Sylvie s’exécuta. Et enleva son haut et son soutien-gorge, puis sa mini-jupe et son string. Elle me jeta ce-dernier, qui était trempé. Je me mis alors à renifler et à lécher son string souillé de son jus. Une fois Sylvie nue et à genoux, je me baissai et plaquai ma queue entre ses deux gros seins. Sentir mon sexe entre toute cette chair renforça mon désir. J’allais et venais entre ses seins et lorsqu’elle le pouvait, Sylvie donnait des coups de langue sur mon gland. Après quelques minutes à baiser les seins de ma tante, je tournais la tête vers la chambre et aperçus Mélanie, sur le seuil de la porte, toute nue, en train de se doigter la chatte. Cette cochonne devait nous mater depuis un moment ! Sylvie remarqua également sa présence.
— Bah, c’est qui elle ? Je croyais que tu étais tout seul ? Et Julia ?— T’occupe ! C’est Mélanie, une copine que j’ai baisé sur le canapé juste avant que t’arrives— Humm je vois, c’est pour ça que ça sentait le sexe dans le salon !
Je me levais et entrainais les deux femmes dans la chambre. Je jetais violemment Sylvie sur le lit, elle se positionna sur le dos avec les jambes grandes ouvertes. Sans que je le lui demande, Mélanie s’accroupit au bord du lit et commença à lécher la chatte de Sylvie. Son pubis était entièrement rasé mais contrairement à la jeune chatte étroite de Mélanie, la sienne était un peu plus abîmée. Mélanie prenait énormément de plaisir à lui bouffer le con.
— Oui c’est bon continues petite salope !
Je me retrouvais donc à observer la copine de mon pote et ma tante en pleine action. Après avoir réactivé ma queue, je l’approchais à hauteur du lit et la présentai devant la gueule de Mélanie. La petite n’attendit pas une seconde et le goba entièrement. Elle prodiguait de généreux coups de langues sur ma queue et la rentrait bien profondément dans sa gorge. Au bout d’un moment, Mélanie prit mon sexe d’une main et le dirigeât vers la chatte béante de ma tante. Je l’introduis tout doucement, il rentra très facilement et Sylvie se mit à gémir. Pendant que je pistonnais ma tante, Mélanie léchait tout ce qu’elle pouvait, passant de ma queue à la chatte de Sylvie. De temps à autre je sortais mon sexe et le rentrais dans la bouche de Mélanie, avant de redonner à ma tante de bons coups de reins, comme elle n’en avait pas reçue depuis très longtemps.
— Ohhh oui ! Ta queue est parfaite Kevin, continues ! — Tu aimes te faire démonter par ton petit neveu hein tata ?
J’aurais pu continuer ainsi pendant longtemps, mais j’avais envie de m’occuper un peu de Mélanie. Car je n’avais pas encore goûté à son petit cul. Je me retirai alors de la chatte de ma tante et fis allonger Mélanie sur le corps de Sylvie, de telle sorte que les deux femmes étaient maintenant à mon entière disposition. Alors que Mélanie et Sylvie s’embrassèrent sauvagement, leurs chattes se touchaient entre elles. Le petit cul de Mélanie était splendide et je n’avais qu’une envie : le dévorer. Je me mis à genoux devant l’entre-jambes de mes deux partenaires et approchai mon visage du cul de Mélanie. Juste en-dessous, il y avait sa chatte toute mouillée, et encore un peu plus en-dessous, celle de ma tante que je venais de pistonner.
— Maintenant je vais te lécher le cul Mélanie, il me donne tellement envie ! — Ohh oui vas-y occupe-toi de moi !
De mes deux mains, j’écartais les fesses de Mélanie et engouffrais ma tête dans son cul. Ma langue titillait bien son petit orifice, mais c’est toute ma bouche qui était plaquée dessus. Cela lui fit de l’effet et je l’entendais pousser des petits râles de plaisir. Juste en dessous, je sentais Sylvie en train de se masturber. Pour bien la préparer, je décidais d’introduire un doigt dans le cul de Mélanie, qui rentra immédiatement et sans douleur. Rapidement un deuxième doigt s’ajouta, ce qui agrandit encore un peu plus l’orifice. D’un coup et sans la prévenir j’entrais ma queue bien bandée dans son petit cul préparé. Le corps de Mélanie s’affaissa sur celui de ma tante, et mon sexe vint s’empaler encore plus profond dans son orifice. Mélanie, qui semblait apprécier de se sentir possédée par derrière, était en sueur.
Après quelques allers retours lents et réguliers, je sortais ma queue et pénétrais de nouveau ma tante, cette fois-ci plus violemment, pour ne pas la laisser en reste. Deux petites minutes suffirent à lui procurer un puissant orgasme. Sylvie se mit alors à trembler et à gémir de plaisir. De mon côté, l’orgasme n’étais pas loin non plus et je sentais mon bas-ventre bouillonner. Je sortais ma queue du sexe de ma tante et la plaçais à l’entrée de la chatte de Mélanie. Le contact de mon gland rosé sur sa vulve humide me procura une sensation ultime, et ma bite rentra toute seule, au plus profond de son orifice. Après deux coups bien puissants, je me retirais et giclais de grands jets de sperme chaud sur le cul de Mélanie. Mes jambes tremblaient tellement j’avais pris mon pied, et Mélanie semblait épuisée, sans ressources, affalée sur le corps de ma tante. Cette dernière se dégagea et vint laper le foutre que j’avais déposé sur la rondelle de Mélanie. Il avait dégouliné jusqu’au sexe de la belle, ce qui obligea Sylvie, qui ne voulait pas en perdre une goutte, à lui lécher sa petite chatte poisseuse. Une fois qu’elle eut tout nettoyé, ma tante vint embrasser Mélanie, en prenant le soin de lui déposer un petit peu de mon jus sur ses lèvres.
Tous les trois épuisés, nous nous sommes allongés sur le lit et blottis l’un conte l’autre. J’avais eu ma dose de sexe pour la journée, et ce n’était que le début…
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