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Aventures coquines et sexuelles d'un trentenaire

Chapitre 2

Plaisirs plus si solitaire !

Erotique
Deuxième chapitre des pérégrinations et aventures coquines et sexuelles d’un trentenaire à la vie simple et assez classique.Certaines, de ces histoires seront réelles, d’autres un peu romancées, certaines encore complètement sortie de mon imagination et le reflet de mes fantasmes ou encore un peu des trois. A vous de deviner et de démêler, le vrai du faux !!Bonne lecture !!
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Plaisirs plus si solitaire !Cette année-là mes parents avaient décidé de passer le réveillon du nouvel an chez la sœur de ma mère. N’ayant pas trouvé de plan pour fêter ça avec mes copains, je m’étais résigné à le passer avec eux.« Quel nase je suis, j’ai 18 ans et je passe encore le nouvel an avec mes parents » pensais je en regardant le paysage défiler depuis le siège passager de la voiture.La seule consolation que j’avais, était que j’allais revoir ma cousine Mylène que je n’avais pas vue depuis près de 3 ans mais aussi malheureusement les enfants du nouveau mari de ma tante, un garçon et une fille, Patrick et Solange, de respectivement 21 et 19 ans. Je ne les aimais pas trop, ils étaient bizarres et même franchement pas très beaux, je sais bien qu’il ne faut pas juger les personnes sur leur physique mais ils ne faisaient vraiment pas envie. Pour ne rien arranger, ils se croyaient intelligents, lui végétait dans ses études et elle avait déjà raté deux fois son bac et malgré ça, ils avaient toujours un avis sur tout et bien sûr le leur était le meilleur et les autres ne comprenaient rien.Nous arrivâmes finalement et l’accueil fut très chaleureux de la part de ma tante et ma cousine. Le nouveau mari de ma tante, Maurice, était resté en cuisine pour préparer le repas du soir et ses enfants étaient vautrés dans le canapé et se levèrent à peine pour nous saluer, l’ambiance s’annonçait grandiose.
« Vous dormirez là-haut ! » annonça ma tante « Les parents dans la chambre de gauche, les enfants dans celle de droite »« OK, on monte nos affaires et on revient de suite » lui répondit ma mèreJe montais donc à l’escalier avec mon sac et arrivé au 1er, je rentrais donc dans la chambre de droite pour m’apercevoir que les choses allaient de mal en pis. En effet, afin de pouvoir caser tout le monde, ma tante avait poussé les deux lits qui occupaient habituellement cette chambre dans le fond de celle-ci et elle avait disposé sur le sol 3 matelas :« Super !! Et en plus il va falloir dormir par terre !! » Dis-je dans un soupirSachant qu’il fallait faire avec, je déposais alors mes affaires sur le matelas le plus à gauche près de la fenêtre. Puis nous redescendîmes, tous ensemble dans le salon, les deux étaient toujours vautrés sur le canapé, je décidais donc de discuter avec ma cousine.
La fin d’après-midi passa très vite, nous nous racontâmes notre vie sur les 3 dernières années et rigolèrent beaucoup. Puis ce fut le moment de se préparer pour la soirée.Tout le monde remonta dans les chambres :« Eh ! Tu fais quoi là ? Tu ne crois quand même pas que l’on va se changer devant toi pervers ? » me lança Solange
— Ah ! Quand même ! Finalement tu sais parler alors ? C’est bien tu progresses, je pensais que tu étais restée au stade du grognement vu ce que j’ai entendu cet aprèm.

« Non mais pour qui tu te prends pour me parler comme ça ? » lança-t-elle comme enragée
— Ooooouuh j’ai peur — Et toi Patrick, tu le laisses me parler comme ça
« Démerde-toi ce n’est pas mon problème » répondit-il, ce qui me fit éclater de rire« Bon ! Vous allez vous calmer tous les deux oui ? ça suffit maintenant » lança Mylène pour apaiser la situation
— Attend, j’ai rien dit moi, c’est l’autre qui s’excite toute seule
« L’autre, elle t’encule ! » cria Solange« Quel si joli mot dans la bouche d’une si jolie jeune femme. Ah bah non tient ça marche pas avec toi » dis-je ironiquement« Ça veut dire que je ne suis pas jolie c’est ça ? » répondit elle le regard haineux« Quelle surprise, tu as compris ce que je voulais dire ? Quel événement ! Un conseil appelle le ministère de l’éducation national, il y a surement une erreur, une fille aussi intelligente que toi ne peut pas avoir raté son bac, combien de fois déjà ? Ah oui deux fois. »« Enfoiré de merde, fils de p… » Commença-t-elle à crier« Hop hop ! Tu vas de calmer direct sur les insultes maintenant » la coupais je« Oui mollo les insultes, surtout sur ma mère ; intervint ma sœur ; parce que si lui, il ne peut pas t’en mettre une, moi je n’hésiterai pas »« On se calme ; intervint de nouveau Mylène ; Gilles arrête de la provoquer et toi Solange excuse-toi tout de suite »Solange me regardait d’un air noir, elle me fusillait du regard« Laisse tomber Mylène, je ne vais pas rebaisser à son niveau, je ne pourrais pas descendre aussi bas ; dis-je en ramassant la chemise que je devais porter pour la soirée ; et puis tu sais ma petite Solange, je vois assez d’horreur à la télévision pour ne ma m’imposer la vision de toi en train de ta changer, je n’avais aucune intention de rester, je sais me tenir moi. »
Je la fixais alors du regard attendant une réaction puis ne voyant rien venir, je finis par sortir.Il était maintenant presque 3 heures du matin, l’incident de la chambre semblait maintenant bien loin pour tout le monde sauf peut-être pour Solange qui bien sûr ne m’avait pas adressé un mot ni même un regard de la soirée pas même au moment des vœux. Mais je ne m’en plaignais pas.Nous étions tous en train de piquer du nez et alors que nous commencions à ranger un peu, ma tante lança :
— On verra ça demain, il est temps d’aller dormir
Tout le monde se leva alors et se dirigea vers les chambres. Une fois arrivées en haut les filles prirent leurs affaires et allèrent dans la salle de bain. Je restais donc avec Patrick qui ouvrit son placard et entreprit de se déshabiller, je fis de même je retirais mon jean et ma chemise pour enfiler un t-shirt et un pantalon de jogging que j’avais coupé au genou pour en faire un bermuda.N’attendant pas les autres, je pris mon bouquin et je me glissais sous la couette en attendant le retour des filles.Elles revinrent une par une avec Solange en dernière et à peine arrivée en me regardant elle dit :
— Bah alors Papy, on est déjà au lit ? Et c’est quoi que tu tiens là ?
« Ça s’appelle un livre ! Tu sais un truc avec des lettres, qui font des mots et quand tu mets les mots ensemble et bien ça fait une histoire, c’est incroyable comme truc, tu devrais essayer. Même toi tu devrais comprendre. Je suis que l’on peut en trouver de ton niveau. Je te conseil la collection Oui-Oui ou Petit Ourson, je suis sûr que tu devrais arriver à suivre» Répondis-je en souriant« Connard ! » lança-t-elle me fusillant du regard« Deux syllabes seulement ? Je suis sûr que tu peux faire mieux » me moquais je« Tu es vraiment méchant avec moi » finit-elle par dire les larmes aux yeux
— Chacun son tour !
« Vous n’allez pas recommencer tous les deux » lança MylèneL’ambiance redescendit alors que chacun s’installait dans son lit et Patrick remontant de la cuisine finit par éteindre la lumière.Une fois la lumière éteinte, je m’installais comme je pouvais en essayant de ne pas écraser ma sœur qui dormait à côté de moi et sombrait rapidement dans le sommeil.Au bout d’un certain temps, la chaleur de la pièce finit par me réveiller et alors que je me redressais pour retirer mon t-shirt, une main se posa sur mon dos.Surpris je me retournais alors pour voir Solange allongé à côté de moi qui me regardais
« Mais que ce que tu fais là ? Pourquoi tu n’es pas dans ton lit ? Où est Marine ? » Dis-je presque dans un murmure« Chut les autres dorment ! » répondit-elle aussi silencieusement« C’est bon commence pas !» dis je me recouchant
— Pourquoi tu es toujours agressif comme ça avec moi ? — De quoi ? Tu crois vraiment que c’est le moment de parler de ça ? — Bah oui ! On ne peut jamais parler.
« On ne peut jamais parler ? Tu rigoles ? Tu t’es déjà entendu ? Tu passes ton temps à te la raconter et à rabaisser les autres et c’est moi qui suis agressif ? N’importe quoi ! » Finis je par dire en me retournant.Je sentis alors Solange bouger derrière moi et venir se coller contre mon dos, je sentais sa poitrine à travers son t-shirt contre mon dos nu. Elle passa un bras autour de moi et déposa sa main sur mon oreiller. Elle appuya sa tête contre mon cou et se colla contre moi, on aurait dit la position de la cuillère.Un peu surpris par cette proximité, je décidais cependant de ne rien dire, prenant cela pour une nouvelle provocation de sa part tout en essayant de me dégager de cette étreinte presque forcée mais Solage tenait bon.Ne voulant pas faire un nouveau scandale, je me dis que le mieux était de la laisser et d’essayer de me rendormir.Elle bougea sa main et la fit glisser contre mon torse bien décidé à ne pas répondre à la provocation je ne bougeais pas.
Elle attendit quelques secondes puis fit cette fois glisser sa main vers le bas pour atteindre mon ventre.Je commençais sérieusement à me demander où elle voulait en venir et tenta de me dégager de nouveau de son étreinte mais elle était en position de force et je ne me pouvais me dégager en délicatesse. Consciente de l’ascendant qu’elle avait pris elle se colla encore plus et glissa son bras droit entre ma tête et mon oreiller, elle m’enlaçait purement et simplement.De nouveau ma main gauche glissa vers le bas pour atteindre l’élastique de mon bermuda, pris de panique j’essayais maintenant de me dégager avec plus de force mais elle plaqua sa main droite sur ma bouche et me dit à l’oreille :
— Un conseil tait toi et laisse-toi faire ! Sinon c’est moi qui crie et tu auras des problèmes ! A ton avis qui va-t-on croire toi un mec ou moi une pauvre jeune femme pas si jolie qui crie car son cousin a essayé de la peloter ?
Finissant sa phrase, elle glissa alors sa main sous l’élastique et saisit immédiatement mon sexe.Comme pétrifié par la peur et l’excitation d’avoir mon sexe dans ma main d’une femme, vaincu je ne bougeais pas.« Il va falloir faire grossir tout ça, petit con ! T’inquiète je suis douée pour ça, faut bien que je le sois dans quelques choses, vu que j’ai raté mon bac deux fois comme tu dis » susurrât elle à mon oreille.Effectivement, elle était douée, sa main douche et chaude entama alors un délicat massage de mon sexe de moins en moins flasque et qui grossissait au gré de ses caresses. Sa main toujours appuyée sur ma bouche rendait ma respiration difficile mais elle ne semblait pas décidée à la retirer.
Ne voulant pas rester inactif, je tentais alors glisser ma main entre nous deux pour la caresser également mais elle me mordit le cou et accentua pression sur mon sexe en enfonçant ses ongles ce qui me stoppa immédiatement dans mon élan.« Non ! Non ! Non ! Non ! Pas touche ! Et puis je suis pas sure que tu aies envie de voir ou de toucher, il y a déjà assez d’horreur dans ta vie avec ce que tu vois à la télé. » » susurrât elle de nouveauPuis elle reprit sa douce masturbation. Ne sachant plus quoi faire et trouvant finalement cette caresse très agréable malgré la personne qui le faisait et le cadre, je me décidais de me laisser faire et de profiter de ce moment.Sa technique était très au point, elle appliquait une pression circulaire plus forte quand elle arrivait sur le gland ce qui avait pour effet de le rendre encore plus sensible. Son visage plongé dans ma nuque, elle déposait de petits baisers ou de petits coups de langue très agréable.Nous restâmes comme ça pendant près de 10 minutes quand elle changea de technique, cette fois elle ne tenait que mon gland dans le creux de sa main et l’écrasait par petites pressions rapides comme on presserait une poire pour gonfler un ballon.Une nouvelle fois la technique était très sûre et maitrisée. Elle me sentit me raidir et d’une ultime pression elle écrasa mon gland dans le creux de sa main et j’éjaculais alors dans celle-ci, étouffant un gémissement de plaisir dans sa main droite toujours plaquée sur ma bouche.
Délicatement, elle relâcha mon sexe de son étau, sortit sa main de mon bermuda, sa main droite relâcha aussi la pression sur ma bouche et elle dégagea son bras.N’osant toujours pas bouger, je l’entendis ouvrir un paquet de mouchoirs de poche. Elle en déposa un mon épaule toujours sans le moindre mot à mon égard. Je saisis le mouchoir pour m’essuyer. Enfin libre, je me retournais alors et une fois face à elle, elle m’adressa un magnifique majeur accompagné d’un :
— Connard !
Puis elle se retourna à son tour me laissant en plan sans pouvoir répondre.………..
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