Je peine à sortir de mon sommeil. Vu la faible lumière qui passe à travers les volets, il doit être encore tôt. Le sommeil nous a séparés de notre câlin avec Chloé. Je sens que je ne suis pas le seul réveillé dans le lit et même qu’il y a de l’activité. Lorsque je me retourne pour faire face à mes deux invités, je vois Chloé à califourchon sur la tête de Martin qui lui dévore l’entrejambe. Elle a une main qui lui passe dans les cheveux et de l’autre s’appuie contre le mur pour garder l’équilibre. Elle ondule délicatement et avec grâce le bassin pour mener le cunni. Martin, lui, en profite pour lui attraper les seins ou les fesses et les malaxer. Ce spectacle est fantastique au réveil et ne me laisse sûrement pas indifférent. Je l’entends souffler chaudement et gémir sous les coups de langue de Martin sur son intimité. Elle voit que je les regarde, me sourit et me caresse doucement le visage. Elle se frotte de plus en plus fort sur la bouche de Martin et se cambre en arrière pour venir attraper la queue raide de Martin pour le branler. Au bout de quelques instants, elle jouit dans un petit cri puis vient s’effondrer entre nous deux, face à moi, dos à Martin. J’approche mon visage pour venir l’embrasser langoureusement. Elle me le rend et me mordille la lèvre. Pendant ce temps, Martin est venu se coller dans son dos, et passe une main au-dessus d’elle pour venir lui caresser le ventre, les seins et les jambes. Elle pose une main sur mon torse, me caresse, puis descend sa main jusqu’à ma queue qu’elle attrape. Sa main joue entre mon sexe et mes couilles alors qu’elle continue de m’embrasser sensuellement. Tout en même temps, elle recule ses fesses pour venir mieux se coller contre Martin. Lui en profite pour descendre sa main au niveau de son entrejambe et lui caresser sa vulve encore humide. Je prends la place que Martin a laissée pour venir attraper ses seins. Je sépare mes lèvres des siennes et viens lécher et titiller ses tétons. Sa bonne nuit a l’air de lui avoir fait du bien, elle est très excitée. Après lui avoir caressé les lèvres et le clitoris, Martin lui enfonce un, puis deux doigts dans son antre qui mouille en abondance. Elle relève sa jambe pour lui faciliter l’accès. Ses doigts jouent toujours avec ma queue, parfois me massant le gland, parfois me masturbant avec de longs va-et-vient. De son autre main libre, Chloé attrape le sexe de Martin et vient le frotter à sa chatte du périnée jusqu’à son petit bouton. Elle le place ensuite à l’entrée de son vagin et notre ami vient la pénétrer doucement. Elle pousse un râle de plaisir et revient m’embrasser à pleine bouche. Les coups de reins de Martin sont d’abord lents et amples, puis ils accélèrent petit à petit. Je descends ma main des seins de Chloé jusqu’à son entrejambe. Je joue avec mes doigts sur son clito très gonflé pendant qu’elle continue à me branler ou malaxer mes bourses tout en m’embrassant. Ma main qui s’active sur son clito et le large sexe de Martin qui la pilonne lui font pousser des gémissements de plus en plus bruyants. Lorsque je la sens au bord de la jouissance, je m’arrête pour faire durer son plaisir. Elle me regarde avec un air faussement accusateur, comprenant que je fais exprès de retarder son orgasme.
Elle change alors de position et se met à quatre pattes. Martin se place derrière elle et la pénètre de nouveau en levrette. Elle positionne sa tête au niveau de mon entrejambe et me lèche la queue sur toute la longueur, des couilles jusqu’au gland. Je reglisse ma main sous elle pour venir rejouer avec son clitoris alors qu’elle prend mon sexe en bouche. Les coups de reins de Martin font balloter ses deux seins lourds et volumineux. Toute cette vue est parfaite. Martin la pilonnant, ses seins qui valsent, et elle qui s’affaire sur ma queue, parfois tétant mon gland, parfois léchant mes couilles lourdes de la veille. Je masturbe de plus en plus énergiquement son clitoris. Je sens parfois les couilles de Martin qui viennent taper sur sa vulve ou sur mes doigts. Parfois, je sens aussi du bout des doigts le sexe de Martin coulisser en elle. Il lui attrape fermement les fesses pour aller au plus profond. Alors qu’elle s’apprête à jouir, j’arrête une nouvelle fois de lui caresser le clito. Elle fait alors glisser mon sexe au fond de sa gorge et me fait une divine gorge profonde tout en me tripotant les bourses. Je sens mon gland qui vient taper au fond de sa gorge. Je n’arrive pas à me retenir et déverse de longs et puissants jets de spermes dans sa bouche, puis, alors qu’elle ressort ma queue pour reprendre son souffle, certains jets viennent s’écraser sur son visage. Je reprends mes caresses sur son clito. Et en quelques secondes, sous les assauts de Martin et ma masturbation, elle est prise d’un puissant orgasme. Martin continue de la pilonner, puis sort sa queue pour venir à son tour éjaculer sur ses fesses. Pour lui aussi, ce sont de longs et puissants jets de sperme qui viennent s’écraser sur sa peau. Nous nous effondrons tous les trois sur le lit. Vidés et heureux. Que demander de mieux au réveil ? Chloé m’embrasse puis enfouit son visage dans mon cou alors que Martin lui fait un câlin cuillère. Nous sommes soudés tous les trois. Elle est pleine de jus, mais ça ne nous dérange pas. Nous partageons nos fluides dans ce câlin matinal. Je regarde mon téléphone : six heures trente. Super, ça nous laisse encore pleins de temps pour profiter. Nous restons un long moment enlacés à nous caresser tendrement. Certains somnolent de temps en temps. Vers huit heures, Chloé se lève et se dirige vers la douche. Je décide de la suivre alors que Martin s’est rendormi. Je lui prête une serviette puis elle se glisse sous la douche. Je me dirige vers la cuisine pour faire chauffer de l’eau afin de faire du thé. Je retourne dans la salle de bain et discute avec Chloé pendant qu’elle prend sa douche. Lorsqu’elle en sort, je prends sa place. Nous prenons ensuite notre petit-déjeuner. Chloé est toujours aussi superbe. Elle est juste habillée de sa robe à fleurs de la veille. Je ne peux m’empêcher de la dévisager, la regarder dans ses gestes les plus simples. J’aurais vraiment préféré qu’elle ne se rhabille pas après sa douche pour que je puisse profiter de l’entièreté de son corps. J’ai encore envie d’elle... Lorsque nous avons terminé, nous nous dirigeons vers le salon, il est encore tôt, et nous allons pouvoir profiter de notre dimanche matin tranquillement. J’attrape Chloé par la main et l’attire contre moi. Je pose délicatement mes lèvres contre les siennes. Elle me le rend et glisse sa langue contre la mienne. Nous partageons un langoureux baiser et j’en profite pour remonter sa robe et attraper ses deux fesses rebondies. Elle passe ses mains autour de mon cou et m’embrasse dans le cou, ce qui me donne des frissons. Je malaxe fermement ses fesses, les écarte, les remonte et laisse mes mains voyager sur son derrière. Je suis heureux de partager ce moment seulement avec elle, et elle a l’air de partager ce sentiment. Tout en lui caressant les fesses, je glisse furtivement le bout de mes doigts le long de sa raie, passant sur son anus puis contre son intimité. Je la sens qui commence à s’humidifier. Elle déboutonne mon pantalon d’une main, défait ma braguette et passe sa main sous mon pantalon pour attraper ma bosse par-dessus mon caleçon. Je la repousse pour qu’elle vienne s’appuyer de dos contre le canapé. Elle s’assoit à moitié, une fesse sur le rebord. Je m’agenouille face à elle, lui lance un regard lubrique, remonte sa robe et embrasse ses cuisses. Je remonte ma bouche petit à petit jusqu’à embrasser tout autour de son sexe. Je lèche délicatement ses grandes lèvres, elle écarte largement ses jambes pour me permettre d’y accéder plus facilement. Je glisse ensuite vers l’intérieur de son sexe et lui donne plusieurs coups de langue de bas en haut, de l’entrée de son vagin à son clitoris. Je le prends ensuite en bouche, le titille du bout de la langue, le suce et l’aspire. Elle commence à pousser de légers gémissements et passe une main dans mes cheveux pour accompagner mes mouvements. J’intensifie mes baisers et coups de langue sur son clitoris maintenant bien gonflé. Pendant que je le suce et l’aspire, je glisse un premier doigt dans son antre trempé. Elle mouille beaucoup et je n’ai aucun mal à y insérer un second. Je la doigte énergiquement, toujours en lui dévorant son petit bouton. Elle respire et gémit de plus en plus fort, allant même jusqu’à lâcher de petits cris. Elle me souffle alors : — Viens, prends-moi ! Je me relève alors, viens l’embrasser de ma bouche toute mouillée de son excitation. Elle s’empresse de passer sa main dans mon caleçon afin de sortir mon membre gonflé qu’elle commence à branler. Je la retourne. Elle s’appuie de ses mains sur le dos du canapé, un tout petit peu cambrée. Je remonte sa robe au-dessus de ses hanches, me colle à elle, l’embrasse dans la nuque et le cou et frotte ma queue entre ses jambes contre sa chatte humide. — Vas-y, mets-la, prends-moi. Je la sens impatiente. Elle attrape ma queue, la met à l’entrée de son vagin et recule ses hanches pour l’enfoncer en elle. Je rentre doucement en elle, ma queue s’enfonce dans son intimité chaude et humide. Je ne bouge pas trop pour faire monter d’autant plus son impatience. Elle prend les devants et, debout, les mains appuyées contre le dos du canapé, commence à faire des mouvements de bassin d’avant en arrière pour s’empaler sur ma verge. Je lui fais glisser sa robe sur ses épaules, elle glisse alors dans son dos et se retrouve seulement au-dessus de ses hanches en une simple bande de tissu, libérant sa poitrine. Ca se sent qu’elle en veut autant que moi. Pour lui rendre la pareille, je lui attrape fermement la hanche de ma main, et glisse mon autre main sur sa nuque puis la remonte jusqu’à l’arrière de son crâne pour lui saisir les cheveux. Une fois sous mon emprise, je commence de longs mouvements de bassin. Mon gland sort presque de son vagin avant d’aller fouiller au plus profond d’elle. J’accélère de plus en plus ces amples mouvements jusqu’à faire venir claquer mes hanches contre ses fesses. Le rythme est soutenu et les contacts bruyants sont rythmés. * Clap - Clap - Clap - Clap *. Je lui tire sur les cheveux pour qu’elle se cambre en arrière et relève bien la tête que je tourne pour l’embrasser à pleine bouche. Elle m’est complètement offerte et subit avec grand enthousiasme ce que je lui offre. Je continue à la pilonner, elle gémit, pousse de petits cris parfois. Je lâche ses cheveux et sa hanche pour passer mes deux mains sur sa poitrine et lui attraper ses deux seins ballottant. Je la tiens toujours fermement par ses seins pour continuer mes mouvements et faire claquer mes boules sur sa vulve sous mes assauts. — Oui oui, vas-y, fort ! J’y vais plus fort, plus profond. Elle se baisse et pose alors ses coudes sur le dos du canapé. J’attrape ses hanches pour avoir une meilleure emprise sur mes mouvements. Parfois je malaxe ses fesses, les claque doucement. Je fais glisser mon pouce entre ses fesses. J’appuie doucement sur son petit trou, fais des ronds, le caresse. Je passe alors mon pouce sur sa vulve pour récupérer de son jus qui coule, et reviens le caler sur son anus. J’appuie doucement, puis relâche la pression et recommence, ainsi de suite. Petit à petit, mon pouce s’insère de plus en plus en elle. Au bout d’un moment, il se fait aspirer par son petit cul. Je l’enfonce petit à petit jusqu’à ce qu’il soit bien en elle, et fait de petits mouvements de va-et-vient tout en continuant de la pilonner. Elle apprécie, souffle fort, gémit, râle de plaisir. Elle passe sa main entre ses jambes pour venir me caresser les bourses. Ce n’est pas très pratique avec mes mouvements de bassins, mais c’est super agréable. De cette même main, elle vient ensuite se caresser le clito et se masturber frénétiquement. Elle va jouir, je le sens. Elle commence à gémir vraiment fort, presque crier. Ses jambes font des soubresauts, elle se tord, se cambre. Je sens son vagin se contracter sur ma queue. Je ralentis mes mouvements, elle s’affale sur le dos du canapé. Elle essaie de reprendre son souffle, doucement. Je m’arrête, mais reste planté en elle, lui caressant les fesses, le dos, les seins. Une fois après avoir repris ses esprits, elle se retourne, se colle à moi, m’embrasse et me serre dans ses bras, pleine de tendresse. — C’était vraiment trop bon, me souffla-t-elle dans l’oreille.— Oui, carrément. Elle se détache de moi, me prend la main et m’emmène m’assoir sur le canapé. Elle m’embrasse et se met à genoux entre mes jambes. Elle embrasse mes cuisses, puis remonte et dépose de légers baisers sur mes bourses. Elle attrape mon sexe toujours dur et le branle doucement. Je m’enfonce dans le canapé, me relaxe et profite de la situation et du spectacle. Elle a l’air dévouée à ce qu’elle fait, bien décidée à me faire jouir à mon tour. Elle prend avec délicatesse mes couilles en bouche, une par une, les gobe et les suce tout en masturbant avec douceur mon sexe dressé. Elle les laisse alors retomber, puis regarde mon bout de chair dans sa main. Elle me jette un regard coquin avec un sourire puis approche doucement ses lèvres de mon gland. Elle l’embrasse du bout des lèvres très sensuellement. Après quelques coups de langue sur la hampe, le frein et le gland, elle pose délicatement ses lèvres sur le haut de mon gland. Elle entrouvre lentement ses lèvres et fait glisser mon gland dans sa bouche. J’ai le temps de sentir chaque sensation. Une fois le gland à l’intérieur, je sens sa langue qui vient le caresser, l’entourer. De sa main libre, elle vient attraper mes couilles à la base, pour les malaxer. Après avoir tété mon gland, elle descend doucement pour enfoncer ma verge dans sa bouche. Elle commence ses va-et-vient, ressort ma queue pour laisser couler un petit filet de bave et la reprend en bouche. Je ne vais pas tenir très longtemps. Elle accélère ses va-et-vient. Je soupire de plus en plus fort et mets ma main sur sa tête pour approfondir tendrement la fellation. Ma queue vient taper sa gorge et elle reste ainsi quelques secondes. Puis, elle fait quelques mouvements en gorges profondes, je sens ma queue bien au fond de sa bouche alors que son nez vient taper mon pubis. C’est si bon... Sentant l’explosion arriver, je lui fais comprendre que je vais jouir. Elle sort ma queue coulante de bave de sa bouche et me masturbe très rapidement en me malaxant toujours les couilles. Je me raidis dans le canapé et un puissant orgasme expulse des jets de spermes. Je ferme les yeux pour profiter au maximum de la puissance de ma jouissance. Lorsque c’est fini, je reprends mon souffle et rouvre les yeux. Chloé est là, entre mes jambes, souriante et toujours aussi belle, cajolant ma queue et mes bourses de ses deux mains. Elle a mon jus étalé sur son cou, sa poitrine et son ventre. Je ne peux m’empêcher d’aller l’embrasser fougueusement pour la remercier en lui pétrissant ses seins souillés de mon orgasme. Après être allés nous nettoyer, nous avons passé la matinée avec Martin qui s’est levé un peu plus tard. Ils sont ensuite rentrés chez eux après le repas du midi. J’avais déjà hâte de les revoir.
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !
