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Aventures doublement sportives

Chapitre 1

Erotique
Elle avait 22 ans, j’en avais 19. Elle avait son copain, et moi j’étais seul. Nous nous étions rencontrés au judo, par hasard, dans le couloir des vestiaires, de la compétition annuelle du département. Elle pleurait, comme beaucoup d’autres après une défaite, et moi j’étais concentré. Je ne devais pas perdre, j’étais le meilleur, et de loin. Comme prévu, quelques minutes plus tard, j’étais victorieux. Après la remise des récompenses, j’allais me changer, et gonflé de mon nouvel orgueil de vainqueur, je ne fis pas attention aux vestiaires. Pourtant j’aurais dû. Ça me valut une baffe, violente. Suffisamment pour me ramener à la réalité en tout cas. Quand j’ai enfin réussi à penser droit, je la vis, en kimono, les larmes aux yeux. C’était la même fille que j’avais croisé un peu avant, blonde, peau pâle, je la dominais de par ma taille et mon gabarit et elle avait un physique avantageux caché par l’épaisseur de son équipement...
— Hum... Je... pars...
Elle m’interrompit en m’enlaçant. C’était une étreinte des plus délicates, sans arrière-pensée, juste là pour effacer l’amertume de la défaite. Elle interrompit notre étreinte comme si de rien n’était. Pourtant à cet instant, nos regards se sont croisés. Ce n’était pas la première fois que j’allais tomber amoureux, mais bien la première fois où ce fut aussi rapide. Je l’embrassais vite après, comme si il en allait de ma vie, et elle me rendit ce baiser. C’était soudain, fougueux, mais passionnel. Elle était probablement celle que j’avais cherchée toute ma courte vie durant.
D’un seul geste, je fermais le verrou du vestiaire, et je commençais à lui enlever le kimono qu’elle portait encore. Elle fit de même avec le mien, dévoilant mon torse musculeux, couvert de sueur et de marques de mon dernier combat. Elle passait ses doigts sur la marque de griffure qui me balafrait le pec gauche, puis elle commença à délasser le lacet de mon pantalon... Avant que ce dernier soit assez desserré pour me tomber des hanches, je lui enlevais son t-shirt et sa brassière, dévoilant une superbe poitrine. J’embrassais l’un de ses seins, jouant avec son téton avec le bout de ma langue et d’une main, je m’occupais de l’autre, pinçant par moment son téton, et le caressant simplement du bout de l’index le plus souvent. Le pantalon fini par m’en tomber jusqu’aux chevilles, laissant apercevoir mon boxer bombé par mon sexe en dessous, raide à n’en plus pouvoir... Nos yeux se sont encore croisés, puis nous nous sommes sautés dessus comme des bêtes. Je lui enlevais son pantalon rapidement, emportant avec lui sa culotte, et elle se débarrassa de mon boxer qui de toute façon ne cachait, plus rien de mon excitation.
Je l’asseyais sur le banc du vestiaire, et m’agenouillant en face d’elle, je commençais à lui donner du plaisir avec ma langue. Son sexe était lisse et mouillé, ce fut un jeu d’enfant de trouver son clitoris de passer ma langue dessus. D’abord de haut en bas, puis de droite à gauche, puis de petit cercle, pour finalement n’obéir à aucune géométrie, appuyant dessus plus ou moins fort à chaque passage... Elle me prenait la tête de ses deux mains et ses gémissements m’indiquaient que je m’y prenais plutôt bien. D’un coup, elle se contracta et relâcha ses muscles bien vite... Un orgasme clitoridien probablement.
Satisfait, je me dirigeais vers la douche, sous laquelle elle me suivit immédiatement. Elle se plaça dos à moi, se penchant vers le mur pour si tenir de ses mains, me laissant le champ libre pour admirer ses magnifiques petites fesses rebondies... Je les empoignais violemment, puis passa mon sexe sur son clitoris. Elle vacillait, mais je continuais encore et encore, jusqu’à finalement la pénétrer... Elle était parfaitement lubrifiée, je n’eus aucun mal à rentrer et à faire de petits vas-et-viens. Elle respirait fort, mais ne gémissait plus. Alors je commençais une série de coups de reins d’une rare violence, et elle criait à chaque coup que je lui donnais. On continua comme ça quelques minutes jusqu’à ce que je la sente se contracter autour de moi, elle jouissait et pour ne pas faire trop de bruit, elle se bouchait la bouche d’une main. Je remplaçais sa main, et mis l’autre sur l’un de ses seins que je malaxais gentiment. Puis je continuai de la prendre encore et encore, coup de bassin après coup de bassin jusqu’à ce que moi aussi je sentis venir l’orgasme. Je lâchais tout sur ses fesses, craignant de me finir en elle, et le jet dura un certain temps...
Elle se redressa pour finir sa douche, puis partit vite se changer. Finissant moi-même ma douche, je la vis prendre mon téléphone et y marquer un truc. Je pris ma serviette avant mon téléphone, ne voulant pas l’abîmer. Pendant que je me séchais, elle se changeait rapidement. Jusqu’à être prête (une exception pour ses cheveux encore trempés) bien avant moi. Je n’avais que mon jean et mes chaussures sur moi lorsqu’elle se préparait à sortir, alors il fallait que je tente de l’en empêcher, malgré mon torse nu.
— Attends ! Je ne sais même pas qui tu es !— Ce qui compte, c’est que moi je sache, monsieur le triple-champion du département. A un de ces quatre j’espère...
En me lançant cette phrase, elle me fit un clin d’œil et un baiser papillon que je ne partagerais jamais... Je me jetais sur mon téléphone. Il y avait son numéro, et un message pré-écrit :
« Rendez-vous ici la semaine prochaine à la même heure, amoureusement, Sonia »
La relation la plus tumultueuse de ma vie était sur le point de commencer, et je n’en avais qu’à peine conscience ce jour-là...
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