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Aventures au Lycée

Chapitre 2

Le Gage

Erotique
Bientôt arrivée dans sa chambre, et se sachant seule, Lenna lui envoie des photos dans les couloirs de son décolleté en sachant qu’elle ne retrouvera son soutien-gorge que le lendemain au moment du petit-déjeuner. De son côté, Nathan trouve la force de se masturber une dernière fois sur la lingerie de sa petite amie et lui envoie le cliché, aucune réponse de la part de Lenna... Sans doute dort-elle déjà, fatiguée de sa soirée...
Le lendemain, Nathan patiente devant le réfectoire pour pouvoir saluer sa dulcinée avant d’entrer prendre leur petit-déjeuner. Elle apparaît au loin, dans une légère brume matinale printanière, en robe de type patineuse en velours noir munie d’un bustier sur la partie haute et de jolies boots noires à liserée jaune d’une célèbre marque anglaise. Il lui montre sa poche dans laquelle il a les deux pièces de lingerie et elle lui fait comprendre qu’elle n’aura nul besoin de soutien-gorge puisque sa robe contient des armatures qui suffisent à maintenir sa jolie poitrine. Le fait de savoir sa belle sans soutien-gorge met le cerveau de Nathan en ébullition et pas que... Une bosse apparaît déjà dans son pantalon.
Assis l’un à côté de l’autre dans le self, des caresses de part et d’autre se font de plus en plus insistantes et ciblées, car Nathan se demande si Lenna, n’ayant déjà rien mis en haut, a effectué la même chose en bas. Sa main caresse les genoux nus de Lenna qui se laisse faire, il a la main chaude et cette sensation est plutôt agréable en cette matinée frisquette. Cette main remonte petit à petit jusqu’à arriver contre une fine dentelle qui a pour effet à la fois de rassurer Nathan, mais aussi de le décevoir. Il s’imaginait sans doute qu’elle serait nue sous sa robe ce matin. Il n’arrive pas à déterminer la nature de la lingerie qu’il caresse, il sent juste la chaleur délicieuse qui s’en dégage.
La sonnerie retentit, ce qui annonce le début des cours, ce sera chimie pour Lenna, et travaux pratiques pour Nathan en extérieur. De la fenêtre de sa salle de chimie, Lenna a une vue imprenable sur les travaux pratiques de son petit ami et n’hésite pas à le charrier par textos sur la bonne tenue de ses infrastructures.
De son côté, Nathan le prend avec le sourire, si bien qu’il lance un pari : si l’arche du mini-pont qu’il réalise tient debout, Lenna devra enlever sa culotte et la lui donner pendant le repas de midi. Une longue hésitation se fait sentir du côté de Lenna, mais elle a envie de pimenter encore le jeu, en lui répondant qu’elle était d’accord, mais que la culotte serait cachée quelque part dans le lycée. À ces mots, Nathan s’exécute et pose la clé de voûte du petit pont en espérant de tout cœur que cela tienne ne serait-ce que cinq secondes et... c’est fait ! Le pont tient sous les yeux amusés de Lenna qui sent les douces vagues envahir son ventre à l’idée de finir la journée complètement nue sous sa robe.
L’heure suivante, Lenna est au centre de documentation du lycée, elle décide donc de mettre son petit gage à exécution, elle s’isole un peu et, prise d’excitation, commence à se caresser en remontant sa robe de plus en plus haut. Elle caresse sa poitrine en insistant sur ses tétons qui durcissent en un instant et descend sur son ventre puis sur ses cuisses.
Ses yeux se révulsent puis se ferment, comme pour faciliter l’évasion, une de ses mains s’attarde sur sa culotte déjà trempée, car l’idée du pari l’a terriblement excitée, d’ailleurs le fait d’appuyer sur la culotte fait perler la cyprine à travers de celle-ci. Son clitoris grossit et devient facilement accessible, si bien qu’elle en profite pour appuyer plus précisément ses caresses. Son envie de jouir est irréversible et les vagues qui font contracter son corps l’amènent à accélérer ses doigts sur sa culotte qui perle de plus en plus. Elle est aux portes de l’orgasme quand à trois étagères d’elle, un livre tombe au sol, ce qui la ramène brutalement à la réalité. Prise de panique à l’idée que quelqu’un ait pu la surprendre, Lenna traverse les allées des yeux. Personne. Elle reprend ses esprits et file aux toilettes pour se rafraîchir et enlever sa culotte.
En la faisant glisser le long de ses jambes, Lenna sent la fraîcheur de l’air additionnée à l’humidité excessive de ses lèvres venir saisir l’entièreté de son corps. Elle prend un instant pour capturer ce moment avec son téléphone, s’essuie ensuite délicatement avec du papier et plie soigneusement sa culotte. La jeune femme remet tout en ordre et commence à réfléchir à un endroit qu’ il ne lui restera plus qu’à trouver pour cacher son lot. L’idée trouvée, il ne lui reste plus qu’à envoyer la preuve à son amant.
Nathan est en cours d’économie, ses méninges bouillonnent et tous ces chiffres entre coût de revient, bénéfice, chiffre d’affaires le perdent rapidement, quand son téléphone vibre.La seule et unique image qui apparaît est un sexe largement écarté avec deux doigts et un vagin dégoulinant. La vision de cette photo, qui n’est accompagnée d’aucun texte ni Smiley, le met dans un état d’excitation qui lui fait complètement oublier les chiffres de son cours. Son professeur lui demande à combien la facture s’élève, mais au fond de lui, il s’en moque royalement, car en lui, c’est toute autre chose qui s’élève... et fermement.
Plusieurs heures sont passées quand Nathan sent de nouveau son téléphone vibrer en plein cours de français, il s’agit d’une espèce d’énigme pour retrouver le précieux tissu intime de sa douce.
— Pour la retrouver et savourer ta victoire, prendre des notes et monter en gamme tu vas devoir.
Dans un premier temps, cette phrase file à travers le cerveau de notre apprenti jardinier puis, au moment de se retrouver pour le repas du midi, Nathan pense comprendre l’énigme, mais garde cela pour lui. Il préfère bien mieux caresser les cuisses de Lenna, surtout en sachant que s’il remonte, il tombera sur un sexe nu, mais sa décence lui interdit pour une fois d’assouvir son désir. Il veut garder du suspense jusqu’au bout...
Lenna, de son côté, cet après-midi est en cours de sport, de volley-ball. Elle n’est pas vraiment à son avantage avec son mètre 55, de plus, elle vient de réagir qu’elle n’aura aucun sous-vêtement sous son short et son maillot... Son short de type cycliste bleu marine est moulant... très moulant... trop moulant en fait. En effet, la couture du short vient appuyer directement sur son clitoris, et le reste du short lui dessine outrageusement les lèvres. Heureusement, son maillot style basketteur est assez long pour en cacher suffisamment, mais c’est sans compter sur les échancrures des bras qui viennent dévoiler la moitié de la partie extérieure de sa jolie poitrine.
Pendant le cours, elle s’applique à ne pas trop sauter pour ne pas favoriser la fuite de l’un de ses seins, sauf que dans ses moindres déplacements, la couture du short passe et repasse sans jamais laisser le moindre répit à ce pauvre petit bouton déjà bien sollicité pour aujourd’hui. Qu’à cela ne tienne, elle y prend un certain plaisir et commence à le ressentir dans son abdomen. Chaque mouvement lui procure une vague de chaleur qu’elle essaie d’atténuer en allant se désaltérer au vestiaire. Elle en profite pour jeter un œil sur son téléphone, et voit une photo de sa culotte que Nathan a retrouvée dans l’évent de la grosse caisse de la batterie qui trône au beau milieu de la salle de musique dans laquelle il adore aller pour se défouler. Mais ce n’est pas tout, la photo est accompagnée d’un message. — Puisque je l’ai trouvée, et que je sais que tu es en cours de sport, pour ton gage, tu devras garder sur toi une partie de ta tenue de sport en plus de ta robe. Bonne fin de cours mon amour.
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