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Aventures de vacances en Martinique

Chapitre 1

Erotique
Aventures de vacances en Martinique.
Depuis plusieurs années, j’entendais les clients du club de fitness que je dirige avec un associé, dire que les îles de la Caraïbe étaient un véritable paradis au climat chaud et avec des gens aimables et accueillants.

La haute saison de ski dans le secteur de la station du Mont Tremblant étant terminée, le club ne fonctionnerait plus qu’avec les client (e)s de la région... J’allais donc changer d’horizon et quitter les montagnes encore enneigées du Québec pour aller passer une semaine en Martinique où j’oublierais les frimas de l’hiver. En plus, je n’aurais pas la barrière des langues puisque je maîtrise totalement l’anglais et le français... Québec oblige !

Je n’avais eu aucune difficulté à trouver un hébergement dans une ancienne maison de planteurs à Sainte Luce ni de vol depuis Québec vers Fort-de-France... J’avais même été très surprise de trouver un vol direct ! Avec les sites de réservation en ligne qui se sont développés, c’est désormais très facile de trouver ce que l’on cherche !

Après une carrière d’une dizaine d’années comme gymnaste, je m’étais reconvertie dans des activités de fitness, très en vogue actuellement.
Il est évident qu’à 33 ans, je ne suis plus une oie blanche... J’ai eu des relations homosexuelles avec des camarades de gymnastique... Généralement, ça commençait sous les douches prises en commun après un entraînement ou une compétition... les aînés se chargeant de l’éducation saphique des plus jeunes.

Puis à l’occasion de mes 18 ans, j’ai voulu marquer le coup en baisant avec un copain du club qui depuis quelque temps me faisait du gringue... Je dois avouer que cette première fois ne m’a pas laissé un souvenir impérissable : il était trop pressé de jouir qu’il ne m’a pas laissé le temps d’arriver en même temps que lui... Je m’étais préparée à cette occasion en me déflorant avec un gode que j’utilisais habituellement entre mes lèvres vaginales, mais contrairement à ce qui m’avait été dit, je n’ai pas saigné.
Déception totale, mais je me suis rattrapée ensuite !
C’est ainsi que j’ai renouvelé plus d’une fois et si je continue à bien aimer les femmes (il y en a quelques-unes au club que j’ai fait craquer – ou qui ont craqué sur moi...) j’aime bien de temps à autre m’envoyer un mec... généralement sans lendemain ! Ou alors, ça ne dure que quelques jours...

Je ne suis pas très grande puisque je mesure à peine un mètre soixante-cinq, mais avec l’âge, j’ai pris quelques formes... mes seins (qui plaisent beaucoup) taillent 85 C et mes hanches se sont un peu arrondies... Blonde aux cheveux longs, le plus souvent noués en queue-de-cheval, ils descendent presque jusqu’au creux de mes reins ou encadrent mon visage lorsqu’ils sont lâchés. J’ai des yeux gris et une bouche aux lèvres minces. Il est évident que j’entretiens ma forme lorsque mes cours m’en laissent le loisir, mais j’aime marcher avec des raquettes dans la neige épaisse et lorsqu’il n’y en a plus, je fais de longs footings avant l’ouverture de la salle : je n’aime pas les tapis de course et je préfère la nature...

Lorsque j’ai débarqué à l’aéroport Aimé Césaire de Fort-de-France ce dernier week-end d’avril, j’ai été surprise (bien que prévenue par les indications publicitaires) par la température : 27°C alors que quand j’avais embarqué à Québec, il faisait encore – 5°C, ou 23°F comme disent les Américains !!!

Après les formalités d’arrivée très réduites, je me suis dirigée vers le comptoir de voitures de location où on m’a proposé une grosse berline française à boîte automatique... L’hôtesse m’a dit qu’ainsi, je n’aurais pas de différence avec ma voiture japonaise du Canada. J’étais soulagée, car je ne me voyais pas me réhabituer à changer les vitesses.

Après une vingtaine de kilomètres, j’entrais dans l’hôtel que j’avais choisi pour mon séjour... Merveilleusement installé dans les frondaisons luxuriantes d’un bout de forêt tropicale, l’établissement dominait la mer des Caraïbes par-dessus des parterres de bougainvilliers. Depuis le balcon de ma chambre, je voyais le soleil couchant faisait rougeoyer l’horizon...

Il s’agissait d’une ancienne maison de planteur à deux étages et pourvue d’une terrasse couverte qui en faisait tout le tour... Certaines chambres, dont la mienne, bénéficiaient aussi d’un vaste balcon avec deux relax.
A l’opposé de la vue sur la mer, il y avait une piscine à l’eau turquoise et deux jacuzzis sur un des bords... Le TOP !

L’accueil des clients se faisait dans un bureau au lieu d’un comptoir inconfortable et indiscret. Installée dans un fauteuil en rotin avec un haut dossier et des accoudoirs garnis de tissu analogue au coussin, j’entendais d’une oreille intéressée les détails que me donnait mon interlocuteur, un créole d’une cinquantaine d’années. Comme nous n’étions que trois personnes, un couple de quinquagénaires (qui fêtait l’anniversaire de leur mariage) et moi-même, les petits-déjeuners seraient servis dans notre chambre à une heure qu’il était bon de préciser la veille... seul le repas du soir était assuré (encore faudrait-il confirmer...), car les occupants habituels déjeunaient le plus souvent à l’extérieur... Pour la relaxation, il y avait également une salle de massages dont les créneaux horaires devaient être retenus à l’avance... Tout cela se comprenait aisément, car les six autres chambres étaient vides !

Je me suis installée dans ma vaste chambre avec une salle de bains attenante et donnant sur le balcon... puis l’homme qui m’avait accueillie m’a apporté une collation faite de viandes et des poissons grillés et des fruits à profusion... Génial... J’allais pouvoir me régaler de fruits exotiques...

Le lendemain matin, c’est une jeune asiatique, mince comme une liane, qui m’a apporté mon petit-déjeuner au moment où j’allais prendre ma douche... Le plateau était abondamment garni de fruits, de pâtisseries et d’une carafe de jus de fruits.
Pieds nus dans des sandalettes, elle portait un ensemble noir avec une jupe qui arrivait au milieu de ses cuisses. Ses grands yeux marron étaient bordés de cils recourbés et ses longs cheveux étaient remontés sur le haut de sa tête en un chignon du plus bel effet... Son cou dégagé laissait apercevoir une nuque fine et malgré son petit tablier blanc en dentelle, je pouvais voir qu’elle avait une poitrine relativement menue.
Me voyant sur le point de passer sous la douche, elle s’est excusée et avec sa voix chantante, elle m’a offert de m’aider :
— Si vous voulez, je peux vous laver le dos et vous masser les épaules... Après un long vol, la nuit de sommeil n’est peut-être pas suffisante ?

J’étais surprise de cette offre et lorsque j’ai interrogé la fille, elle m’a répondu avec un grand sourire et un clin d’œil espiègle :
— Oh Madame... ça ne me dérange pas... Tout le personnel est à la disposition des clients... ils peuvent demander ce qu’ils veulent ! Je m’appelle Malee !
— OK...ça marche ! Passons dans la salle de bains !

Je n’avais pas grand-chose sur le dos : une chemise de nuit un peu épaisse en coton (pas très seyante, mais qui devait me tenir chaud lors des nuits relativement fraiches sous les tropiques) et sous laquelle j’étais nue.
La cabine de douches était assez vaste et j’ai compris pourquoi... J’avais à peine commencé à passer sous le jet que la jeune asiatique s’est débarrassée de tous ses vêtements et m’a rejoint dans la cabine... Un bien joli petit tanagra au corps entièrement lisse contrairement au mien qui est pourvu d’une toison pubienne épaisse toujours taillée en triangle...

Sa tête arrivait à la hauteur de mes épaules et posant mon regard (qui commençait à s’enfiévrer) sur sa poitrine, j’ai découvert deux seins à peine renflés comme ceux que j’avais à douze ans ! Et j’aurais pu faire le tour de sa taille avec mes deux mains !
Dès qu’elle a posé ses mains pleines de produit moussant sur mon corps, j’ai senti mon sexe s’humidifier (et ce n’était pas dû à l’eau qui ruisselait sur mon corps) d’autant que Malee, quittant mon dos qu’elle avait lavé et frotté au gant de crin, insistait désormais sur mes seins, tantôt les frôlant, tantôt en faisant rouler mes tétons sous ses doigts :
Elle s’extasiait sur la forme et l’ampleur de mes seins en disant que pour les Asiatiques, avoir une poitrine comme la mienne était un rêve que beaucoup réalisaient par la chirurgie, se faisant poser des implants volumineux... Au moment où je m’y attendais le moins après ce bref échange, Malee a posé ses lèvres sur mon sein droit pendant qu’elle pinçait le téton de l’autre avec le bout acéré de ses ongles...

Décidément, elle était pleine d’initiatives... J’ai relevé son menton dans une de mes mains et j’ai posé mes lèvres sur les siennes... elle a ouvert sa bouche et nos langues se sont unies dans un baiser torride ! Elle répondait bien et cela m’ouvrait des perspectives... J’avais compris que Malee n’était pas farouche et avait des penchants saphiques...

— Viens... Séchons-nous... Nous serons mieux sur le lit !

Deux minutes plus tard, le lit aux draps défaits nous accueillait pour une étreinte que je n’aurais pas imaginée quelques heures avant !
Unies dans un baiser sans fin, Malee était tantôt sur moi, tantôt c’est moi qui la dominais, nos jambes en ciseaux, nos pubis frottaient l’un contre l’autre... et ma cyprine ruisselait déjà...
J’avais envie de manger la chatte de Malee, aussi j’ai basculé sur son corps pour poser ma bouche sur son sexe imberbe... Que c’était doux et cela me renvoyait bien des années en arrière lorsqu’entre camarades du club de gym’ nous avions des relations homosexuelles...

La cyprine de Malee coulait aussi entre ses lèvres intimes et je m’en suis régalée pendant qu’elle allait chercher la mienne de ses doigts fins... Ce 69 saphique nous a amenés à la jouissance rapidement, et lorsque Malee a quitté la chambre, j’étais bien... prête à l’excursion que j’avais prévue à la Montagne Pelée.

Je suis repassée rapidement sous la douche et après avoir enfilé des vêtements confortables, mais légers, j’ai pris la route de la côté ouest jusqu’aux ruines de l’éruption de 1902 puis ensuite direction de la Montagne pelée dont j’apercevais le sommet entouré de quelques nuages.

Hélas, arrivée sur place, les responsables du site m’ont déconseillé d’accéder plus haut en voiture... les chemins étant peu sûrs et boueux à la suite d’un violent orage tropical dont j’avais aperçu les nuages depuis la côte.

Cependant, guidée aimablement par un des responsables, j’ai pu apprécier la flore luxuriante qui se développait à cet endroit... Il m’a expliqué que la montagne Pelée était soumise à de basses températures qui atteignent parfois 8 à 10°C, à une importante nébulosité et à des précipitations qui dépassent les 10 mètres par an. La violence des vents de nord-est a imposé une forme ramassée aux arbustes, des feuilles épaisses et coriaces ou encore possédant une pilosité les rendant apte à survivre dans ces zones particulières, à la limite de la forêt tropicale et des savanes se développant plus haut vers le sommet. Il m’en citait quelques-unes en me montrant divers spécimens comme le fuchsia, le thym, l’ananas de montagne ou la myrtille des hauts. Il m’expliquait aussi qu’à la suite des éruptions du début du XXème siècle, certaines espèces s’étaient raréfiées comme les goyaviers de montagne qui étaient désormais cultivés sur des terres propices.
Ne pouvant gravir la Montagne Pelée jusqu’au sommet, j’avais eu un cours de botanique particulièrement intéressant, et je remerciai mon guide avant de redescendre vers Fort-de-France où j’ai dîné sur le port... La nuit était tombée depuis longtemps quand j’ai regagné Sainte Luce et ma chambre.

Le lendemain matin, Malee m’a apporté le petit-déjeuner, mais nous n’avons pas eu de nouvelle aventure coquine... J’étais relativement pressée, car j’avais un programme de visite assez chargé... Mon guide de la veille m’avait conseillé la visite du Jardin de Balata où je pourrais me promener dans cet immense parc dominant la baie de Fort-de-France où je découvrirais d’autres plantes et fleurs exotiques rares avec des couleurs à couper le souffle et même des palmiers géants au milieu des bruits d’oiseaux parfois assourdissants.
Ensuite, je me suis rendue à la plage du Cap Macre, une plage sauvage qui se trouve à Sainte-Anne. Elle est vantée comme idéale pour pratiquer la plongée en tuba, j’en ai profité : l’eau était à la température rêvée et j’ai pu observer les fonds marins avec de magnifiques langoustes et des poissons multicolores.

Le lendemain, je me suis arrêtée à Fort-de-France où j’ai pu parcourir les allées du "Grand Marché" et du "Marché aux poissons" puis après un rapide repas, je suis allée visiter ce qui est vanté dans les guides touristiques comme le joyau du patrimoine local : l’habitation Clément, un domaine parfaitement entretenu qui met en valeur les installations de l’ancienne distillerie et la maison de maître, richement meublée qui restitue le cadre de vie d’un riche planteur au XIXème siècle.

Après ces visites, j’avais envie de me détendre et de me faire chouchouter, aussi après le petit-déjeuner, je suis descendue pour faire quelques longueurs dans la piscine et profiter des bains à remous d’un des jacuzzis.
J’étais bien... les oiseaux s’égosillaient dans les frondaisons et je repensais à Malee en glissant une main dans mon maillot pour caresser mon sexe... Je rêvassais quand un noir immense est apparu au bord de la piscine et s’est approché de moi :
— Est-ce vous qui avez retenu le masseur ?
— Oui... Pourquoi ?
— Je suis à votre disposition... c’est moi le masseur !
— Ah... bon... je croyais que c’était une femme qui assurerait la prestation !
— Ici, nous faisons tout pour satisfaire la clientèle... Si une femme retient une séance de massage, ne le précise pas, elle aura à faire avec moi et l’inverse à ma compagne... Que préférez-vous ?

Je répondis sans trop réfléchir :
— Pourquoi pas vous ?
— Bien... je vous attends...

Quand Jimmy le masseur s’est éloigné pour rejoindre la salle, je n’ai pu m’empêcher de le suivre des yeux... Juste vêtu du short assez long, je voyais son dos musclé qui luisait doucement sous le soleil, un peu comme s’il avait été enduit d’huile... J’avais à peine entrevu son côté face, mais j’avais remarqué ses abdominaux ressemblant à ce que nous appelons des "tablettes de chocolat"... et ses biceps gonflés roulaient librement...
En moi-même, je pensais : beau spécimen !
La pièce qui servait pour les massages était installée dans une annexe de la partie principale de l’hôtel... Assez vaste, elle comprenait deux tables de massage et un système de douche à jets multiples. Elle abritait aussi de local technique pour la piscine...

Jimmy m’attendait et dès que je suis entrée, il m’a dit de me mettre nue et m’a tendu une serviette pour masquer mon pubis... et le massage a commencé ! Rien d’extraordinaire, Jimmy était très professionnel et rapidement, je me suis détendue et laissée aller, me livrant entièrement à ses mains puissantes qui trituraient mon dos et le derrière de mes jambes... étirant mes orteils puis revenant à mon dos et à mes épaules en frôlant le côté de mon buste.
Je ne sais pas combien de temps cela a pu durer et lorsque Jimmy m’a dit de me mettre sur le dos, qu’il allait masser le devant de mon corps, je me suis retournée sans faire attention que la serviette ne me couvrait plus, me livrant dans une totale impudeur sous le regard de Jimmy.
Mais il a continué de me masser comme si de rien n’était...
J’étais bien, j’avais fermé les yeux, mon corps semblait nager dans un univers de sensations toutes plus agréables que les autres... Que pouvait contenir l’onguent dont il se servait ?
Jamais je n’avais ressenti cela... et quand j’ai entr’ouvert les yeux, mon regard s’est porté sur le devant du short de Jimmy et ce que j’ai découvert a achevé de me chauffer les sens... Ce coquin bandait comme un cheval en me caressant la poitrine... Ce n’était plus véritablement un massage, mais cela ressemblait plus à des caresses érotiques... et je me suis laissé faire alors que j’aurais pu protester !
A ce moment, Jimmy massait ma poitrine en faisant rouler mes tétons entre ses doigts, il était près de ma tête et je distinguais en gros plan ce sexe dont j’imaginais déjà les dimensions... Son sexe me faisait envie... J’ai tendu les bras en arrière et j’ai fait descendre son short... Waouh... quelle belle bite... J’en avais rarement vu de pareilles, longue, grosse, le gland circoncis rose tranchait sur la peau brune, les bourses pendaient entre les cuisses et le pubis était rasé !

Je me suis efforcée de remonter l’ensemble de mon corps pour que ma tête soit dans le vide au bout de la table de massage et je n’ai eu qu’à ouvrir la bouche pour que Jimmy (il n’attendait peut-être que cela ?) loge son gland entre mes lèvres... Il l’y a laissé et j’ai commencé à branler cette hampe gigantesque entre mes mains, car ma bouche était trop petite pour faire entrer autre chose que le gland avec lequel je jouais, titillant le méat du bout de ma langue...

Jimmy s’est arraché de ma bouche et il est revenu sur le côté de la table de massage, il a continué à caresser mes seins de sa main gauche pendant que la droite remontait entre mes cuisses pour venir empaumer mon mont de Vénus et j’ai senti deux doigts ouvrir mes lèvres vaginales et commencer un caresser mon clitoris...
Waouh... que c’était bon... je sentais que ma cyprine ruisselait comme jamais, inondant mon périnée... j’ouvrais les jambes de plus en plus dans une sorte d’encouragement à en faire plus...
Mais ce "plus" est arrivé au moment où je ne m’y attendais pas... Jimmy m’a retournée et mon bassin s’est trouvé au bord de la table... mon cul était offert... j’avais les cuisses ouvertes et j’étais prête à l’estocade !
Je la voulais !
Je ne sais pas d’où Jimmy a sorti un préservatif pour couvrir son manche, mais c’est avec un soupir de contentement que je l’ai accueilli dans mon antre humide...
J’étais bien remplie... Je sentais le bout de sa queue remonter ma matrice... mais Jimmy ne semblait pas pressé de me limer alors que j’en avais envie !

— Baise-moi ! Qu’est-ce que tu attends ? Tu vois bien que je n’attends plus que ça !

Là, Jimmy a commencé à me baiser... Il a saisi mes fesses dans ses mains pour les écarter et j’ai senti son dard frotter entre mes lèvres vaginales puis s’enfoncer lentement, mais irrémédiablement dans mon vagin... La progression lente, mais inexorable m’a clouée sur le bord de la table de massage... j’avais les seins pressés contre le plastique qui la recouvrait...
Si au début Jimmy allait doucement (il fallait que je m’habitue à la taille de son mandrin...), il a accéléré progressivement ses va-et-vient percutant mes fesses avec ardeur ! Il avait mis ses grandes mains de part et d’autre de ma taille pour me maintenir et désormais c’est une véritable bielle qui allait et venait en moi...
Depuis qu’il avait commencé le massage, je me sentais comme sur un nuage et j’ai rapidement senti la jouissance monter dans mes reins jusqu’à ce qu’elle éclate dans un grand cri de délivrance... Mais Jimmy n’avait pas joui !

— OK... ma belle... je monte sur la table et c’est à toi de travailler... et bien, car j’ai envie de jouir dans ta chatte !

Jimmy s’est installé sur le dos, sa bite était dressée comme un pal sur son pubis. Il n’avait pas débandé et quand j’ai mis mes mains autour de son membre, je pouvais à peine en faire le tour et mes mains placées l’une près de l’autre, je pouvais voir quelques centimètres qui sortaient et supportaient le gland !

J’ai enjambé le bassin de mon masseur, j’ai saisi sa bite dans une main et je me suis laissée glisser dessus... Le passage était fait... Quand mon bassin a été au contact du pubis de Jimmy, j’ai pris une grande respiration et j’ai commencé à monter et à descendre sur ce pieu...
Tout mon corps était hypersensible... les terminaisons nerveuses de ma chatte étaient comme exacerbées et je sentais ce pal s’enfoncer en moi qui n’avait qu’une envie : me faire tringler par Jimmy comme une salope... Décidément ce petit hôtel était plein de ressources et je me rappelai soudain les paroles de Malee ! Le personnel était à la disposition pleine et entière des clients qui le souhaitaient...

Soudain je me suis mise à jouir, allant de plus en plus vite sur la bite de Jimmy qui, dans le même temps m’a semblé grossir encore et envoyer son foutre au fond de la capote. Je me suis affalée sur son buste, la tête au creux de son épaule pour retrouver mon souffle et lui dire :
— MERCI... Tu m’as bien baisée !
— A votre service quand vous voulez... y compris la nuit !

Nous nous sommes séparés et après une douche vivifiante, j’ai enfilé mon peignoir et regagné ma chambre...
Je repensais à l’étreinte saphique avec Malee, à celle bien plus virile que Jimmy, à la tentative de drague de deux mecs dans le restaurant... Décidément, il faisait chaud dans cette iîle...
Malheureusement, une semaine, ça passe vite... Je repartirais la tête pleine de souvenirs et mon corps apaisé et satisfait !
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