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L'aveu et la révélation de ma sœur Carmilla.

Chapitre 2

SUITE

Inceste
Récapitulatif de la précédente histoire avec ma femme et ma sœur. J’ai confié à ma sœur mes problèmes de sexe avec ma femme, qui depuis son entrée dans la ménopause, ne voulait absolument plus avoir de rapports sexuels, prétextant que ça lui faisait mal ou qu’elle n’avait plus aucune envie de sexe, malgré mes supplications et mes menaces de divorces, de vouloir la quitter, ou même le fait de la rendre cocue, rien n’y faisait, malgré tout cela, elle ne changeait pas d’avis ! Je dus donc me résigner, et attendre qu’un jour spécial se présente à moi, jour qui arriva avec la visite de ma sœur petite Camilla. Et donc ce jour-là avec ma sœur, nous en avons débattu de cette situation sans aucun débouché pour moi. Ma petite sœur me fit alors un aveu avec certaines révélations, en ce qui concernait notre jeunesse que j’avais complètement refoulée et dont je n’y pensai même plus depuis bien longtemps.
Après cette discussion avec ma petite sœur Camilla, avec qui j’étais toujours en étroites complicités, nous étions souvent fourrés ensemble, lorsque nous étions encore gamins. Suite à cette révélation, certains détails me revenaient en mémoire, j’en fus très troublé, et en même temps très heureux d’apprendre qu’en étant plus jeune, j’étais devenu sans le savoir son amoureux en cachette, sans qu’il y ait eu d’actes sexuels entre nous. Cette idée me trottait constamment en tête, et je n’arrivai plus à m’en défaire, ça revenait irrémédiablement. Depuis qu’elle avait ravivé ces moments passés durant notre jeunesse, je me mettais à penser à elle, à fantasmer sur son corps et sur ce que nous ferions, si nous nous retrouvions seuls quelque part.
C’est ainsi que je me mis à rêver que nous étions un jour à nous promener en pleine campagne, ensuite nous dûmes subitement nous abriter dans une vieille bergerie, du fait qu’il y eut un orage et que nous étions trempés jusqu’aux os, puis que ma frangine commençait à avoir froid, à certains moments, elle grelottait même. Et c’est là qu’une aventure sexuelle entre nous s’est produite, et que nous nous sommes laissé aller à une tentation, d’avoir un rapport sexuel ensemble.
Nous n’avons pas cherché au départ à le préméditer, ni à le vouloir intentionnellement, mais étant donné que notre chair était faible, puis connaissant maintenant certains détails, la tentation fut grande, et le désir de s’unir sexuellement, trop intense, nous n’avons pas réussi à l’éviter, et c’est ainsi que nous sommes passés à l’acte, et que nous l’avons fait. Une fois notre aventure terminée, nous sommes repartis vers mon domicile, en nous tenant par la taille comme un vrai couple d’amoureux, de temps en temps, on s’arrêtait pour s’embrasser amoureusement, et on reparlait de ce que nous venions de faire ensemble, et combien nous trouvions cela bon et jouissif.
On s’est même promis de recommencer encore une fois, pour nous assurer que c’était vraiment si bien que cela, enfin c’est ce que nous avancions comme excuse pour pouvoir se revoir et pour pouvoir le refaire encore une fois ensemble.
Effectivement, nous devions nous revoir deux mois plus tard, pour une réunion de famille, mais ni elle ni moi, nous ne pouvions attendre aussi longtemps pour nous revoir, et pour réitérer notre aventure sexuelle à la bergerie. Nous avons donc convenu mutuellement de nous revoir, mais seulement au bout de huit jours déjà, car deux mois, c’était beaucoup trop long pour nous, on ne pouvait pas attendre aussi longtemps pour nous rencontrer. Une fois que nous avions goûté à nos chairs et que nous avions trouvé cela bon et agréable, il fallait absolument qu’on le refasse, et rapidement, tellement ça nous avait plu. J’inventai donc une excuse bidon pour ma femme, et ma sœur, comme elle vivait seule, elle prit un jour de congé, ensuite nous devions nous retrouver dans cette fameuse vieille bergerie de notre première fois.
Il y avait une certaine ambiance de notre jeunesse qui y était avec cette senteur de foin, et surtout cette agréable odeur qui y régnait, qui nous ramenaient à une certaine époque de notre enfance que nous trouvions très bien.
Nous étions vraiment impatients de nous retrouver. Camilla fut la première à être sur place, elle m’attendait avec un panier garni de victuaille. Elle était vêtue d’une robe transparente avec des motifs de fleurs et elle portait des souliers plats avec un petit talon.
Elle était magnifique dans cette robe qui lui allait si bien. Quand elle entendit ma voiture arriver, elle se précipita à l’extérieur pour venir me rejoindre le plus rapidement possible, tellement ça lui paraissait long cette attente.
À peine sortie de la voiture, elle vint s’accrocher à mon cou, et elle m’embrassa goulûment dans un tendre baiser que je lui rendis aussitôt. Elle cherchait à enfoncer sa langue dans ma bouche, puis elle l’enroula autour de la mienne, qu’est-ce que c’était bon, ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas embrassé de la sorte, et je trouvais cela très agréable.
En même temps qu’elle s’était suspendue à mon cou pour m’embrasser, elle avait mis ses longues jambes effilées autour de ma taille et elle m’enserrait avec. C’est dans cette position que nous allâmes péniblement à l’intérieur de cette vieille bicoque, qui sentait si bon le foin. Une fois à l’intérieur, ça n’allait plus assez vite et elle voulut brusquer les choses. Je la calmai en lui disant que nous avions toute cette journée, rien que pour nous, et qu’on devait y aller doucement, sans brûler d’étape, que ça prendrait le temps qu’il fallait et qu’il n’y avait pas le feu, sur ce, celle-ci me dit en rigolant :
— Si moi j’ai le feu au cul, enfin plutôt dans ma chatte, ça fait bien huit jours que je n’ai pas baisé, je me réservais rien que pour toi !
Elle se laissa néanmoins convaincre d’y aller doucement, puis elle me présenta son panier garni pour un pique-nique, je lui répondis que j’en avais un également dans le coffre de ma voiture.
Puis je me mis derrière elle, la félicitant pour sa tenue printanière, et que la robe lui allait à ravir, je lui fis remarquer que sa robe était transparente, elle eut alors un sourire aux coins des lèvres et elle me dit :
— C’est voulu, c’est même fait express, en plus il y a deux surprises, à toi de les découvrir.
Comme j’étais derrière elle, je m’approchai le plus possible de son dos, et je lui fis quelques bisous dans le cou, je lui léchai la nuque par étapes, puis je pris le lobe de son oreille gauche entre mes lèvres, et je le suçotai légèrement, je savais très bien qu’elle adorait cela, et que ça la faisait frissonner, ensuite je lui soufflai dans le creux de l’oreille, ce qui la fit frissonner davantage, lui faisant apparaître une chair de poule sur les bras.
Puis avec mes mains, je vins prendre sa magnifique poitrine dans celles-ci, ils étaient bien dressés, ni trop gros, ni trop petits, ils n’étaient fermes et ils avaient une forme de poire, comme je les aimais, ils entraient juste dans la paume de mes mains, rien que de les sentir dans le creux de mes mains, ça me faisait bander comme un taureau. En le malaxant, il me semblait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, et je lui en fis part.
Elle me répondit qu’effectivement, elle ne s’était pas embarrassée d’un soutien-gorge, parce que de toute manière, ses seins étaient fièrement dressés, et donc qu’elle n’en avait pas un réel besoin, puis elle rajouta, de toute manière, je sais que tu aimes sentir mes seins directement avec tes mains, donc il n’y a pas de perte de temps à enlever quelque chose d’inutile. Je lui dis alors qu’elle avait bien fait, et qu’elle avait parfaitement raison.
J’étais toujours en train de lui faire des bisous dans le cou, je crois même que je lui ai fait quelques suçons, en même temps que je lui triturai les tétons, entre mes pouces et mes index. À un moment donné, je descendis avec une main sur son ventre, m’arrêtant sur son nombril, dans lequel j’enfonçai mon majeur, que je fis tournoyer. Après quelques tournis dans celui-ci, je descendis vers son entrejambe, et je posai ma paume sur son pubis, que je frottai de haut en bas. Le fait d’irriter un téton et de lui frotter sa vulve, Camilla se mit à gémir en me disant :
— Tu as toujours su comment me faire jouir, sans même me pénétrer, hum que c’est bon... Oohh ouiiii... continue.
Puis en enfonçant légèrement mon majeur entre ses grandes lèvres, à travers le tissu, je remarquai que là non plus, elle ne portait pas de sous-vêtement, et encore une fois, je le lui dis.

Comme réponse, elle me dit:
— Ben oui tu viens de trouver la deuxième surprise que je t’ai faite rien que pour toi aujourd’hui, je n’ai pas mis de sous-vêtements, comme ça, tu as un accès direct aux points critiques de mon anatomie, de toute manière, je voulais te faire une surprise et je crois que c’est réussi, et puis comme cela, il n’y aura rien qui risque de gêner nos attouchements.
Ensuite elle se libéra de mon étreinte, et elle enleva sa robe transparente, de même que ses chaussures plates. Puis elle alla à son panier, et elle récupéra une couverture, qu’elle étala sur le foin, en me disant:
— Tu sais frangin, cette odeur de foin, ça me rappelle énormément de souvenirs agréables passés à tes côtés, lorsque nous étions encore gamins, c’est un très bon souvenir, et il me fait toujours autant d’effets, lorsque j’ai cette odeur dans le nez !
Puis elle rajouta, maintenant, viens mon bébé, viens téter maman, viens boire le lait de maman. J’avais appris lors de notre première coucherie, que c’était son péché mignon, et qu’elle aimait beaucoup qu’on tète après ses seins, elle y prenait un réel plaisir, et elle me disait que ça la faisait jouir. Naturellement, je ne me suis pas fait prier pour venir téter ses magnifiques titis, que j’adorais tellement, et que j’embouchai rapidement. Puis je l’entendis gémir, ensuite avec une main, elle alla vers son entrejambe, caresser son clitoris. Tandis que moi, j’avais un sein en bouche, et l’autre dans la paume de ma main avec le téton entre mes doigts, je le fis rouler où je le repoussai dans son globe. Au bout d’un moment, je descendis avec ma bouche sur son entrejambe, et je lui léchai ses lèvres vaginales, allant de son clitoris à sa petite rondelle.
Camilla avait posé ses mains sur ma tête, et elle me caressait les cheveux, de temps en temps, lorsqu’elle avait un orgasme, elle resserrait ses doigts, et elle tirait sur mes cheveux, et chaque fois que cela se produisait, j’eus une belle rasade de son jus d’amour, je dirais même que pour moi, c’était une liqueur que j’aimais beaucoup et que je bus volontiers.
Puis au bout d’un moment, Camilla me dit :
— Dis donc frangin, moi aussi j’aime ton jus d’homme, et je veux te boire moi aussi, changeons de position.
Je me mis alors de côté et je lui demandai de se mettre sur moi, afin que nous puissions avoir du plaisir tous les deux. Camilla était la reine des faiseuses de pipes, jamais aucune femme ne m’avait fait de fellation aussi forte et aussi bien qu’elle, j’étais au paradis avec elle.
Une fois que nous en avions assez, on changea encore de position, et je la fis se mettre en position du " papillon ", ma sœur est allongée sur le dos avec les jambes bien écartées en forme de ’’V’’, et relevées vers le ciel, tandis que moi, je suis agenouillé devant elle. Je la soulève légèrement en la tenant par les genoux pour la pénétrer avec de profonds mouvements. En me sentant en elle, elle me dit :
— C’est fou comme c’est bon de te sentir en moi... Hum...
C’est une position très excitante pour moi, car aucun mouvement de Camilla ne m’échappait, et pour elle aussi, car elle pouvait se laisser aller, tout en appréciant la puissance de son partenaire lorsque je la pénétrais.
Je fis de longs va-et-vient, allant de plus en plus profond en elle, puis je tapai avec mon pubis de plus en plus fort contre sa vulve, ma petite sœur adorait cela, et elle me criait Ooohhh OOUUII va y..., plus fort... Plus profond OOOuuuiii... Lorsqu’elle me sent poussé fort contre son sexe et que je rentrai un maximum en elle. Puis je la pris dans la position ’’de la vague " Camilla est toujours allongée sur le dos, je replie la couverture sous ses fesses, de façon à lui faire un petit promontoire.Moi, toujours entre ses jambes, puis elle croisa ses jambes derrière mon dos et elle bougea ses hanches en faisant des mouvements de vagues. Cette position me permettait une pénétration particulièrement profonde.
Ensuite, nous changeons encore de position, et je lui demandai de se mettre sur moi en position " de la reine fière " je suis allongé sur le dos, les jambes étendues. Elle est assise à califourchon sur moi en me tournant le dos. Pendant l’acte, je tiens avec mes deux mains les hanches de ma partenaire, et elle peut ainsi parfaitement régler ses mouvements, en variant leur rythme et la profondeur. Camilla peut ainsi augmenter mon plaisir, en caressant mes testicules...

Et nous changeons encore une fois de position, cette fois-ci, je la prends en position du " missionnaire ", dans cette position, nous sommes face à face, je peux la regarder dans les yeux, puis, je peux voir ses émotions, et je suis le témoin de son plaisir sur le visage de ma partenaire, je peux également l’embrasser, et l’enlacer. Cette position est idéale pour un corps-à-corps fusionnel. Je suis très proche d’elle, et je peux varier les contacts, je peux lui faire des baisers, je peux lui prodiguer des caresses, je peux même lui donner des fessées.
Elle est en dessous de moi et elle a les mains libres, donc elle a accès à mon dos, à mon cou ou encore à mes fesses, les possibilités sont illimitées ! De plus, la position étant relativement confortable pour nous deux, elle permet d’être maintenue pendant un certain temps, malgré une cadence soutenue, et de pratiquer sans trop nous fatiguer. Dans la mesure où ma petite sœur est en dessous et qu’elle est confortablement allongée, elle peut ainsi aisément trouver l’angle qui lui convient le mieux pour stimuler son clitoris et son point G. La position du missionnaire est en effet une bonne position, pour atteindre l’orgasme, si on connaît assez bien son corps, et que tu arrives à orienter ton partenaire. En positionnant ton bassin et en repliant plus ou moins tes jambes, cette position lui permet d’enserrer mon pénis et d’atteindre une pénétration relativement profonde, qui stimulera son point G.
Bien qu’étant en dessous, je peux également maîtriser le va-et-vient, en exerçant des mouvements ou des rotations avec mon bassin. Ceci me permet de contrôler le rythme et de l’adapter à mon envie pour atteindre l’orgasme plus aisément. Puis ne pouvant plus me retenir, je décharge tout mon foutre dans son ventre.
Durant toutes ses variantes, Camilla ne s’arrêtait pas de gémir à chaque pénétration, criant à certains moments son plaisir bien réel. Je n’ai pas compté le nombre d’orgasmes qu’elle avait eus, mais il y en eut quelques-uns, et comme moi, j’arrive à me retenir assez longtemps, cette baise ne fut qu’un grand bonheur pour nous.
Nous avons tellement baisé ensemble que nous n’avons même pas vu le temps passer, et pourtant il était déjà midi passé. Puis Camilla me dit :
— Dis donc frangin, tu es un sacré bon baiseur, j’aurais su cela avant, je serais déjà venue me faire baiser par toi, bien plus tôt... Et je dois t’avouer que j’ai pris mon pied comme pas possible ! — Tu sais Camilla, toi aussi tu n’es pas mal, tu es même un très bon coup. Et je ne regrette absolument pas de t’avoir embrochée de la sorte, comme je viens de le faire.
Étant maintenant épuisés par nos étreintes, nous décidâmes d’aller nous laver à l’abreuvoir qui se trouvait derrière la bâtisse, et qui était encore rempli d’eau de la dernière pluie. Nous sommes sortis tout nus sans nous soucier si quelqu’un pouvait nous voir ou si quelqu’un était dans les environs, enfin bref...
Camilla sortait de la bergerie, elle marchait avec les jambes écartées, elle laissait tomber au sol le mélange de cyprine et de sperme, et elle me dit :
— Ben dis donc, qu’est-ce que tu m’as mis là, je crois que tu as rattrapé quelques années là, en une seule baise.
Puis avant de me laver, je vis ma sœur descendre sur ses genoux et pour la première fois de ma vie, je vis une femme pisser devant moi, c’est assez incroyable comme au moment d’uriner, ses grandes lèvres se sont écartées, et je vis alors que par le trou où quelques minutes plus tôt, je l’avais possédée, son urine sortait à grands jets en continu.
En voyant que je l’observai, elle me dit :
— Ne me dis pas que tu n’as jamais vu une femme uriner. — Mais d’où veux-tu que j’aie pu voir une femme pisser. — Ben je ne sais pas moi, mais voilà qui est alors chose faite, ça t’a plu au moins ? — Oh oui beaucoup !
Une fois que nous étions relativement débarrassés de ce liquide poisseux et gluant, nous rentrâmes à nouveau nous blottir sur la couverture en nous bécotant un max. Nous avions faim, mine de rien, baiser comme nous venions de le faire, ça nous donnait faim, il fallait reprendre des forces, car pour nous, la journée n’était pas encore finie.
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