Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 383 J'aime
  • 5 Commentaires

L'avilissement de ma femme

Chapitre 1

Une faute impardonnable?

Erotique
Je vous raconte ici mon histoire. Il s’agit principalement de faits qui se sont réellement déroulés, mais ceux-ci sont saupoudrés par-ci par-là d’un peu de fiction, fruit de divers fantasmes qui m’ont habité ou m’habitent encore. Ce premier chapitre est une mise en contexte importante pour bien comprendre les chemins tortueux (différents, mais liés entre eux) qui nous ont menés, ma femme et moi, dans les abysses de la dépravation.
Je suis là, une bière en main, en train de discuter avec Manon, faisant tous les efforts du monde pour ne pas la boire des yeux. Pour m’aider, je me répète en boucle dans la tête la même phrase « elle a à peine dix-huit ans, tu en as vingt-huit espèce de pervers ». J’ai honte de ma faiblesse face à cette fille. Pourtant, je n’ai jamais eu ne serait-ce qu’une parole déplacée envers Manon. Je l’apprécie sincèrement, au-delà de toute considération physique. Elle est drôle, intelligente, extravertie, cultivée, étonnamment mature pour son âge. Cela lui confère un charisme qui ne me laisse pas indifférent, à mon corps défendant.
J’ai 28 ans, un physique que je qualifierai de « quelconque » : 1,85m, corpulence normale, pas vraiment musclé mais pas grassouillet non plus. Mes cheveux châtains et ma peau blanche ne me permettent pas de « sortir du lot ». Seul trait légèrement distinctif : des yeux verts clairs. Selon ma femme, Sophie, et mes ex, mon charme réside principalement dans ma conversation et mon humour. Il est vrai que je suis fier de pouvoir prétendre posséder une solide culture générale, résultat de nombreuses lectures depuis mon plus jeune âge et d’une excellente mémoire. Quant à mon humour... bon, personnellement je me trouve drôle... et il doit y avoir un fond de vérité puisque tout le monde me le répète souvent. Sophie me dit que mes yeux, ma voix et ma conversation se mélangent bien pour me donner un certain charisme, dans mon genre... Si elle le dit...
Quant à Manon, la jeune Aphrodite qui se tient devant moi et avec qui je discute depuis quelques minutes, elle répond parfaitement à la définition de « la fille que a tout pour elle » : de longs cheveux noirs bouclés entourant un visage sans défaut, un teint de peau légèrement olivâtre trahissant les origines italiennes de son père, de grands yeux bruns foncés très expressifs entourés de longs cils, un nez droit très légèrement busqué, une grande bouche aux lèvres pleines, pulpeuses s’ouvrant sur une dentition parfaite. Ce visage d’ange est posé sur un corps digne d’une statue : approchant du mètre quatre-vingt, elle a des bras finement musclés, une poitrine déjà bien formée, un ventre plat, une taille fine au-dessus de hanches s’épanouissant délicatement vers un fessier bien dessiné, visiblement très ferme, et enfin, des jambes fuselées à la musculature légèrement visible.
Ce corps tonique est le résultat d’une bonne dizaine d’années de pratique intensive d’un sport connu pour la forme physique de ses joueurs et joueuses : le volleyball.
Nous sommes d’ailleurs dans la buvette du club, après un match de l’équipe de Manon, qui joue avec Sophie, ma femme. Sophie est une valeur sûre de son équipe qui évolue proche du plus haut niveau du pays. Manon, elle, représente le futur. Je ne rate jamais une rencontre à domicile de l’équipe de Sophie. C’est d’autant plus facile que nous habitons à quelques encablures de la salle de sport. Et comme à chaque fois, je fais un passage arrosé de quelques bières dans la buvette après le match. La victoire d’aujourd’hui était importante pour le championnat et l’ambiance est bonne. Les filles sortent au compte-gouttes des vestiaires, Manon étant la première comme toujours. Elle a salué quelques personnes et est venue au bar se chercher une boisson. Etant en train de prendre moi-même un verre, je lui offre son coca et engage la conversation. Ma femme l’ayant prise sous son aile au club, Manon et elle sont proches et j’ai ainsi souvent l’occasion de lui parler.
Je pense qu’elle m’apprécie, un peu comme un vieux pote ou un cousin éloigné avec qui on aime échanger quelques mots de temps en temps, rien de plus...
M’arrachant à la contemplation de son visage, je jette un œil à la ronde et remarque deux ou trois types en train d’admirer Manon qui leur tourne le dos.
— Merde, elle a à peine dix-huit ans les gars, rangez un peu vos bites ! me dis-je, avant de réaliser qu’à leur place je ferais sans doute la même chose. Quoique plus discrètement j’espère !

Manon, comme à son habitude, ne remarque absolument pas le pouvoir magnétique qu’elle exerce autour d’elle. C’est peut-être ce dernier détail qui, à mes yeux, achève de la placer dans la catégorie des filles « extraordinaires » : elle est magnifique et ne s’en rend pas du tout compte ! Résultat : c’est une fille très sympathique, naturelle, authentique, abordable, ne comptant pas sur ses charmes pour attirer l’attention. Tout l’inverse de sa meilleure qui nous rejoint quelques minutes plus tard, me faisant la bise en me lançant un grand sourire charmeur (oh elle ne me drague pas, rassurez-vous, je n’aurais pas la prétention de prétendre cela... c’est ainsi qu’elle se comporte naturellement avec tout le monde). Anna et Manon sont inséparables depuis l’enfance et pourtant presque tout les distingue. Anna est une vraie bombe, dans le style latino, et elle le sait !
De taille moyenne, la peau très bronzée, elle est parfaitement proportionnée et possède un visage capable d’arrêter net le cœur de tout homme. Pourtant à mes yeux elle a un défaut impardonnable : consciente de posséder un physique de magazine, elle en joue constamment, privilégiant les apparences, ne s’intéressant qu’au physique pour sélectionner ses petits copains (et si en plus ils sont assez riches pour pouvoir la gâter outrageusement, elle craque immédiatement...). Un vrai canon, mais tellement superficielle que je la verrais bien dans une de ces émissions de téléréalité débilitante qui foisonnent depuis quelques années sur nos chaînes de télévision. Anna y ferait un carton... et apprécierait cela, j’en suis sûr.
Je reviens à l’instant présent, patientant qu’Anna ait fini de discuter avec Manon pour que nous puissions reprendre notre conversation entre personnes adultes.
Manon m’interroge sur mon boulot, je lui demande comment se passent ses études, nous parlons de nos projets respectifs pour le week-end...Je bois ses paroles. Je suis tellement absorbé par le mouvement de ces lèvres d’une sensualité exceptionnelle que je ne remarque pas immédiatement que ma femme s’est approchée pour se joindre à nous. Sophie arrive toujours la dernière, sortant des douches longtemps après les autres. Elle me dit qu’elle n’aime pas se mettre nue devant tout le monde, que « ça la bloque ». Pourtant, sans pouvoir prétendre jouer dans la même division que Manon ou Anna, elle a un physique tout à fait agréable dont elle ne devrait pas avoir honte. Ses cheveux blonds vénitiens encadrent un visage au teint de lait dont le principal atout est un sourire solaire lui conférant un charme certain. A vingt-six ans, Sophie, du haut de son mètre soixante-dix, est une femme accomplie, calme, posée, discrète, intelligente. Une longue pratique intensive du volleyball lui a évité l’embonpoint endémique dans sa famille.
Néanmoins, on devine le poids de la génétique en voyant ses larges épaules, sa taille peu dessinée, ses fesses assez volumineuses, mais très musclées, ses cuisses et mollets fortement musclés. Sans sa dizaine d’heures de sport hebdomadaire, je pense que Sophie aurait de sérieux problèmes...
Ce physique quelque peu râblé n’empêche pas ma femme d’être bien proportionnée, arborant une poitrine généreuse qui attire le regard. Contrairement à ce qu’elle prétend, elle est jolie.
Pris sur le fait, je jette un bref regard à ma femme et lis dans ses yeux qu’elle n’est pas dupe : Manon ne me laisse pas indifférent. Toutefois, elle ne réagit pas et commence à débriefer le match avec la jeune fille, leur coach venant s’ajouter à la conversation. Il y a six ans de ça, avant de sortir avec Sophie, je n’y connaissais absolument rien au volley et mon expertise reste encore assez limitée à ce jour. J’écoute donc en silence. Mon truc à moi c’est le foot, sport que j’ai dû arrêter de pratiquer il y a un an, la faute à un genou récalcitrant...Sur le chemin du retour à la maison, Sophie semble plongée dans ses pensées. Craignant de me voir reprocher mon attitude envers Manon, je garde prudemment le silence.
— Dis Thomas, lâche enfin Sophie, la prochaine fois, fais quand même attention de ne pas baver ouvertement hein.
C’est un trait de caractère que j’ai toujours apprécié chez ma femme : elle n’y va pas par quatre chemins quand elle a quelque chose à me dire. Ça peut parfois me prendre de court, mais au moins avec elle je sais à quoi m’en tenir. Ça évite les malentendus et les non-dits. (Enfin, c’est que je croyais... L’avenir allait me donner tort.)
— T’exagères pas un peu là ? lui répondis-je pitoyablement.— J’crois pas non...
Bizarrement, je la sens plus amusée que jalouse. Perplexe, je lui jette un regard ... En effet, elle sourit.
— Qu’est-ce qui te fait rire ? m’étonnais-je.— Toi. Tu es tout gêné c’est marrant.
Soudain, je pense comprendre sa réaction : elle ne se sent pas menacée par cette gamine tout juste sortie de l’adolescence. De plus, elle sait que j’érige la fidélité en véritable religion. J’ai des défauts, mais infidèle ? Jamais. Puis de toute façon, quand bien même je devrais être réellement intéressé par Manon, aucune chance que l’inverse soit vrai... Je me détends donc et la taquine :
— Les jeunettes sans expérience, pas trop pour moi merci. Heureusement pour toi, car un Apollon comme moi, elle ne pourrait pas résister c’est sûr.
Nous rions à ma mauvaise blague. Sophie connaît la profondeur de mes sentiments pour elle, elle n’a rien à craindre. Toutefois, je me promets intérieurement de mieux me contrôler en la présence de Manon. Si ma femme a remarqué quelque chose, d’autres en ont peut-être fait de même... Pas question de passer pour un pervers ou un homme infidèle !
Je ne peux cependant nier que la proximité de Manon a fortement activé ma libido et à peine la porte d’entrée de la maison fermée, je serre Sophie contre moi et l’embrasse passionnément. Elle me connaît par cœur, elle sait parfaitement l’idée qui se cache derrière ce genre de baiser. Je sens ses lèvres se retrousser dans un sourire puis nous nous embrassons longuement, nous enlaçons, nous caressons. Rapidement, je ne peux cacher ma réaction physique à cette étreinte passionnée. Sophie ouvre le bouton de mon pantalon et descend la fermeture éclair. Elle caresse ma virilité à travers le tissu de mon boxer puis baisse celui-ci juste assez pour pouvoir dégager ma verge qui n’attendait que ça pour se déployer pleinement. Alors qu’elle me masturbe doucement, Sophie dit dans un souffle :
— Hé bien, monsieur est en grande forme à ce que je vois. On dirait que les conversations avec les jeunes et jolies jeunes filles l’ont stimulé, me taquine-t-elle.
Je ne réponds pas, concentré sur la sensation agréable de sa main allant et venant sur ma hampe, dégageant puis remettant à chaque aller-retour mon prépuce autour de mon gland.
— Est-ce qu’une gamine te ferait ça ? s’interroge-t-elle.
Elle se met alors accroupie devant moi et prend le bout de ma queue dans sa bouche, titillant du bout de sa langue l’arrière de mon gland.
— Mmmm je pense que non, lui répondis-je dans un souffle.
Elle commence alors à me sucer, ses lèvres enserrant la couronne de mon gland, sa langue tournant rapidement autour de celui-ci. Elle enfonce ensuite mon sexe de quelques centimètres dans sa bouche, s’arrêtant bien avant sa glotte, évitant soigneusement de déclencher tout réflexe de déglutition. La gorge profonde ? Merci, mais pas pour elle. A sa décharge, je n’ai connu qu’une seule fille capable de m’avaler jusqu’à la garde... et encore, elle avait tenu à peine une seconde avant de déclarer forfait. Ce n’est pas que je possède un chibre extraordinairement long (dix-huit centimètres, pas de quoi fouetter un chat non plus), mais ma queue est par contre très épaisse et extrêmement dure en pleine érection.
Sophie continue à s’affairer et je me concentre sur les sensations procurées par sa bouche délicieuse. Sa langue se presse contre mon frein, faisant de légers mouvements de va-et-vient pendant qu’elle aspire mon gland tellement fort qu’elle ne peut empêcher des bruits de succion bien audibles. Puis elle se recule légèrement, laissant mon gland effleurer ses dents en sortant et me reprend ensuite pleinement en bouche. Elle répète encore et encore ce mouvement alors qu’une de ses mains l’accompagne en serrant ma hampe, l’autre me caressant les testicules. Elle est douée, sans être non plus la meilleure suceuse que j’ai connue. Je sais qu’elle n’apprécie que moyennement cet exercice qu’elle effectue de temps en temps pour me faire plaisir. Ce n’est pas tellement qu’avoir un pénis en bouche la dégoûte, mais "ce n’est pas trop son truc" pour la citer...
Quoi qu’il en soit, en bonne amante qu’elle est, elle met du cœur à l’ouvrage et cela compense son manque manifeste de technique. Il faut dire qu’avant moi, elle n’avait que très peu pratiqué la fellation. Mais l’inexpérience n’est pas un péché... et n’est pas forcément désagréable. J’imagine qu’une jeune femme qui débute, dont on fait l’initiation, ça peut aussi être plaisant... Manon par exemple, ne doit pas être expérimentée, pourtant voir ses lèvres pulpeuses se refermer sur ma verge, ses grands yeux plongés dans les miens...Tout à coup, sans avertissement, mon corps réagit à ce fantasme en me terrassant d’un orgasme fulgurant. Je jouis brutalement, surpris par la soudaineté et la puissance de cet orgasme. Je sens que j’expulse une énorme quantité de semence dans la bouche de Manon qui s’écarte rapidement.
— MERDE PUTAIN, T’ES VRAIMENT QU’UN CONNARD ! l’entends-je hurler entre deux crises de toux.
J’ouvre les yeux, ramené brutalement à la réalité pour ces cris.
— Nom de Dieu !!! pensais-je.
Absorbé par mon fantasme, j’ai complètement oublié que c’était ma femme qui me suçait et non Manon. La soudaineté de mon orgasme et mon cerveau embrumé m’ont empêché de la prévenir à temps pour qu’elle s’écarte. Sophie a plusieurs tabous indiscutables en matière de pratiques sexuelles et l’éjaculation buccale arrive en deuxième position de la liste. La pratique la dégoûte, le sperme la dégoûte. Et moi, tel un soudard, je viens de lui remplir la bouche sans même avoir la politesse de prévenir ou de demander son autorisation (que je n’aurais de toute façon pas eue). Jusque-là, j’avais bien évidemment toujours respecté ses limites.
Je tente de m’excuser, de lui expliquer que j’ai moi-même été surpris par cet orgasme imprévu, fulgurant, mais elle ne m’écoute pas. Elle crache à même le carrelage les dernières gouttes de sperme et attrape un mouchoir pour frotter son joli visage maculé de ma semence. Puis elle file dans la salle de bain où elle s’enferme à clé, chose qu’elle ne fait jamais d’habitude.
Je nettoie pitoyablement dans le salon les traces de ma forfaiture puis vais attendre devant la porte de la salle de bain que Sophie en sorte, prêt à me mettre à genoux pour me faire pardonner s’il le faut. Connaissant le caractère assez vif de ma compagne, je m’attends à passer un sale quart d’heure. Elle finit par sortir de la salle de bain en trombe (manquant me casser le nez en ouvrant la porte à la volée) et formule sa sentence :
— Tu dors en bas dans le canapé. Et j’espère que tu as bien apprécié ta pipe, car c’était ta dernière !
Dépité, je descends m’allonger dans notre canapé. Je ne prends pas vraiment ses menaces au sérieux. Elle les a formulées sous le coup de la colère. N’empêche que j’ai déconné grave là. Je vais devoir recoller les morceaux. En plus, j’ai joui comme jamais en m’imaginant remplir la gorge d’une gamine de tout juste dix-huit ans !
Diffuse en direct !
Regarder son live