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Avoir son bac mention suceur !

Chapitre 2

M. Lacroix

Gay
Bienvenue dans le chapitre II de mon récit qui se concentrera sur M. Lacroix, mon prof de français.Pour les petits retardataires, dans le premier chapitre, j’ai évoqué la perte de ma virginité avec mon meilleur ami, ainsi que la découverte de l’homosexualité de ce dernier, qui d’ailleurs, est un très bon coup.
Chapitre II : M. LacroixAprès les événements du week-end dernier, Maxime et moi avons décidé de nous mettre en couple secrètement, aux yeux du monde, nous serons deux meilleurs amis. Ce qui fait que pendant les semaines qui ont suivi, on se retrouvait régulièrement entre deux cours pour se faire des petites gâteries dans les toilettes. Maxime aimait beaucoup se faire sucer, et heureusement pour lui, j’adorais sentir son engin au fond de ma gorge. On se voyait aussi tous les week-ends pour... réviser bien évidemment ! Nos parents n’ont rien remarqué, car on est très proches depuis notre enfance, je suis même sûr que ça ne les choquerait pas de savoir que nous couchons ensemble.
Un mois plus tard, les choses ont commencé à devenir intéressantes. Le lundi après-midi, j’ai deux heures de maths (à mon grand désespoir) suivies d’une heure de Français. Je rejoignais régulièrement mon amant entre ces deux cours pour me détendre, mais un certain lundi, j’allais avoir le droit à une leçon spéciale de français.
Tout d’abord, laissez-moi vous présenter ce canon qui nous sert de prof de français. Il est grand, métis, avec des cheveux d’un beau noir et un sourire ravageur. Il est toujours habillé avec des chemises moulant ses pectoraux parfaits, et des pantalons qui transforment ses fesses en deux beaux globes bien ronds. Il fait l’unanimité auprès des filles de la classe, et je peux vous l’avouer, quand il m’aide pendant les cours, ma bite se sent un peu à l’étroit dans mon caleçon.
Nous sommes donc au mois de février, la Saint-Valentin approche et je me prépare à donner à Maxime la plus belle baise qu’il n’est jamais connue. La fête des amoureux se déroule vendredi, malheureusement, nous ne sommes que lundi et je me retiens de tout rapport jusqu’à ce jour-là pour offrir à mon amant la plus belle soirée possible. La dernière heure de cours de la journée commence, M. Lacroix entre dans la salle de cours et mes yeux se portent sur tout son cours et salivent à l’idée de me faire baiser par ce beau mâle. Mes pensées s’égarent, et pendant un moment, j’en aurais presque oublié mon copain ! Le cours se passe bien et notre prof est gentil comme à son habitude, mais j’ai l’impression qu’il me regarde bizarrement depuis le début de l’heure. 15 minutes avant la fin, il s’approche de mon bureau et de sa voix sensuelle, me demande de venir le voir à la fin de l’heure.
Mon cerveau commence à surchauffer, je commence à imaginer le pire, j’ai raté mon contrôle de jeudi dernier, je ne passerai pas mon bac...
Puis je commence à me calmer et repense au fait que je vais être seul avec cet apollon pendant quelques minutes et dans la continuité de cette idée, mon pénis, commence à grossir.
La sonnerie retentit et tous mes camarades se jettent vers la sortie, pour ma part, je me dirige vers le bureau de M. Lacroix.
— Alexandre, tu dois savoir pourquoi je t’ai demandé de venir me voir.— Non Monsieur, je vous avouerai que je n’en ai aucune idée.— Eh bien, j’ai cru comprendre que vous et M. Rousseau (le nom de famille de Maxime) vous amusiez bien dans les toilettes du deuxième étage.
Mon cœur loupa un battement
— Comment ça ?— L’autre jour, j’étais dans les toilettes quand dans une des cabines, j’ai entendu M. Rousseau vous dire que vous suciez comme un dieu et, à en changer par les gémissements qui ont suivi, il vous a joui dans la gorge. Je l’ai entendu remonter sa braguette et vous vous êtes embrassés après, je pense.— Oh mon Dieu, je suis tellement gêné, dis-je en devenant écarlate.— Je n’ai jamais douté des qualités d’observateur de M. Rousseau, mais je voudrais si possible, juger par moi-même de votre capacité à avaler des bites.
Après ces derniers mots, mon cœur commença à battre de plus en plus fort et mon cerveau travaillait sans relâche. Est-ce que mon prof venait de me demander de le sucer ?
— Vous me demandez de vous faire une pipe.— Ce serait appréciable, dit en se dirigeant vers la porte pour la fermer et la verrouiller.
Il s’approcha de moi et déposa un baiser sur mes lèvres. Il posa ses mains sur mes épaules et imposa une légère pression pour que je mette à genoux. Mon visage était devant une énorme bosse sur son pantalon. Je commençai à lécher son pantalon pour faire grossir ce qui s’apparentait à un monstre de chair. Il déboutonna sa chemise et je puis enfin admirer sa musculature qui a dû faire fondre nombre de ses conquêtes. J’entrepris de lui enlever son pantalon, et à ma grande surprise, il ne portait pas de caleçon. Une épaisse bite d’au moins 25 centimètres se dressait fièrement devant moi, elle était aussi très large et en dessous pendaient deux grosses boules parfaitement rasées et bien pleines.
Je commençai par la lécher de bas en haut et je voyais son visage se détendre sous mes coups de langue. Je la pris enfin en bouche et malgré tous mes efforts, j’étais incapable de l’avaler en entier. Il posa ses mains derrière ma tête et imposa son propre rythme. Mes pensées se bousculaient dans ma tête, j’étais en train de tromper mon copain avec un prof. Mais elles étaient à chaque fois repoussées par ses coups de reins de plus en plus puissants. Je craignais que ma bouche ne lui suffise plus et qu’ils veuillent s’attaquer à mon cul. Sans prévenir, il se vida de cinq gros de sperme au fond de ma gorge et me força à tout avaler. Après avoir nettoyé son pieu de son sperme. Il me redressa et m’embrassa tendrement avant de dire :
— Effectivement, vous sucez plutôt bien Alexandre.— Merci, dis-je timidement.
Il commença à se rhabiller et je pris mes affaires et me dirigeai vers la sortie.
— Alexandre, ceci reste entre nous bien évidemment. Félicitations, vous avez parfaitement réussi votre contrôle oral. J’espère que vous serez tous aussi fort pour le contrôle... anal, ajouta-t-il avec un clin d’œil.— J’espère que vous ne serez pas trop dur dans vos questions.
Je quittai la salle, tiraillée par deux sentiments : le premier étant d’avoir trompé mon copain et le deuxième étant d’être impatiente de me faire pilonner par mon prof de français.Voilà, maintenant vous connaissez le deuxième homme des cinq, qui seront les autres ?N’hésitez pas à me dire si mon histoire vous excite et à bientôt pour le chapitre III Bisous, Alex
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