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Aym-Rick

Chapitre 10

Gay
D’un côté, je suis terrorisé. D’un autre, je bande comme un âne, tant ce qui est écrit m’intrigue et m’excite. Au-delà d’un simple contrat, ces quelques pages sont une promesse. Une promesse de découvrir à vingt ans des choses qui restent inconnues à quatre-vingt-dix-neuf pour cent des garçons de mon âge. Je suis prêt à signer, excepté ma petite voix intérieure qui me murmure de faire le contraire. Est-il réellement nécessaire que je signe son contrat, car vendredi, je m’en vais. Je ne sais pas quoi faire, j’ai le cul entre deux chaises. Il faut que j’en discute avec lui tout de suite. Je me lève du fauteuil avec le contrat dans les mains... Quand soudain, mon Maître ouvre brusquement la porte de son bureau. Il me fixe et hausse les sourcils d’un air interrogateur...

- Le contrat te pose un problème ? Tu as des questions ? demande-t-il avec un sourire pincé.
- Oui j’en ai une. Pourquoi veux-tu me faire signer un contrat de soumission alors que je pars vendredi ? rétorqué-je, d’une voix tremblante.
- Toutes relations avec moi qu’elles soient de courte ou longue durée nécessite un contrat de soumission. Je t’en ai déjà parlé tout à l’heure, je ne t’ai pas pris en traître ! dit-il fermement.
- Tu es sérieux avec tout ça ? riposté-je en agitant les feuilles dans ma main.
- Est-ce que j’ai l’air de plaisanter Aymeric ? demande-t-il sèchement.
- Non, mais t’as l’air d’en connaître un rayon. Je ne suis pas aussi expérimenté que toi.
Rick est un peu mal à l’aise. Sa voix est calme et posée.
- C’est la première fois que je propose ce contrat, pour moi aussi c’est tout nouveau, tu sais.
Je le regarde bêtement sans réagir. Il poursuit d’un air sérieux :
- Grâce à toi, je me sens supérieur, redoutable, puissant... un vrai mâle dominant. J’ai découvert des plaisirs que je ne soupçonnais pas jusqu’à maintenant. Il n’y a pas à dire, la baise entre mecs c’est quand même autre chose. Je veux profiter un maximum de cette semaine avec toi, Aymeric.
Je suis abasourdi. Ses propos me chamboulent.
- Ravi de l’entendre. Moi aussi je veux continuer à profiter de cette semaine avec toi, Rick.
— Tu sais ce qu’il te reste à faire, alors ! dit-il avec un grand sourire solide. En revanche, ne m’appelle plus par mon prénom. Appelle-moi Maître. Et n’oublie pas de me vouvoyer Aymeric.
- Très bien, Maître. Puis-je avoir un stylo s’il vous plaît pour que je puisse signer votre contrat ?
- Il y en a sur mon bureau. As-tu des objections concernant certaines clauses du contrat ?
— Non ça me convient parfaitement, je suis prêt à me donner corps et âme à vous, Maître.
- Je te suggère de relire tranquillement le contrat chez toi. Plus particulièrement l’article cinq.
- C’est ce que j’avais l’intention de faire, n’ayez crainte.
Je m’installe sur l’un des fauteuils face à son bureau, récupère un stylo et signe son contrat.
- Parfait Aymeric ! A mon tour de signer. Officiellement à partir de maintenant, nous pouvons commencer notre relation Maître/Soumis en bonne et due forme dit-il d’un air ravi.
Il s’assoit face à moi, signe le contrat, vérifie qu’il soit bien complété et le photocopie à l’aide de son imprimante. Il agrafe avec difficulté le paquet de feuilles ensemble et me les tend. Il place l’original dans le tiroir de son bureau. Je plie le contrat en quatre et le range dans ma sacoche.
-Tu as faim salope ? demande-t-il, avec son regard de braise qui me dévore jusqu’à l’os.
- Oui, Maître ! J’ai une faim de loup ce soir, réponds-je, en me mordillant la lèvre inférieure.
— Pour le sexe ou la nourriture ? m’assure-t-il, en me regardant droit dans les yeux.
- Pour la nourriture. Et peut-être le sexe aussi le taquiné-je.
- Ou le sexe puis la nourriture m’adresse-t-il, avec son sourire carnassier.
Ce petit jeu sexuel entre nous m’excite terriblement. Je ricane, amusé de la situation.
- Alors quel est ton choix, finalement ?
- A votre avis Maître ?
- Dans ce cas, je vais tout de suite remédier à ce problème.
Il me fait signe de le suivre. Nous traversons le long couloir et nous nous dirigeons vers la salle de bain. Je fus subjugué par la beauté de l’immense pièce. A gauche, on peut distinguer, une douche à l’italienne partiellement ouverte, ultra-design, avec un look épuré, ultra-tendance. Elle est entièrement recouverte d’un mélange mosaïque pâte de verre pailleté bleu turquoise. A droite se situe une magnifique baignoire en îlot ovale blanche moderne et élégante. Il y a aussi un grand lavabo blanc mat suspendu double vasque avec un immense espace de rangement en dessous et sur les côtés. Au-dessus du lavabo se trouve un long miroir. Le sol ainsi que le mur est composé d’un carrelage blanc brillant. Le plafonnier en verre brille de mille feux. C’est somptueux. Je suis séduit par l’univers de cette salle de bain qui est pour moi synonyme de bien-être et de détente.
Mon Maître m’ordonne de prendre une douche immédiatement. Sans perdre de temps, je me déshabille, pénètre dans la douche à l’italienne et commence à faire couler l’eau pour atteindre la température idéale. Ni une ni deux, je m’avance sous le jet puissant d’eau chaude qui m’asperge la nuque, cela me procure un bien fou. Je commence à me laver en attendant que mon Maître se décide à venir. Pendant que je me mets du gel douche sur le corps, je sens que mon érection se fait de plus en plus vigoureuse. Je baisse alors les yeux et observe la lente ascension de mon outil. Mon Maître retire son peignoir et le dépose sur le porte-peignoir chromé près de la douche. D’un pas décidé, il vient me rejoindre sous l’eau, le sentiment de ne plus être seul dans la douche est fabuleux, surtout quand il entreprend de mettre du gel douche dans le creux de sa main pour me laver le dos.
Délicatement, il fait courir ses mains douces sur mes épaules, puis avec de lents mouvements circulaires, il parcourt toute la surface de mon dos, jusqu’à mes fesses où il insinue ses doigts dans mon sillon. Tout mon corps est parcouru de doux frémissements. J’adore. Hmmm.
Il enserre ma taille et se plaque contre moi. Je sens son arbre de vie dur comme du bois frotter mes fesses, ce qui me donne une érection encore plus violente. Sans me retourner, je prends son tronc et le dirige vers mon arrière-train déjà bien lubrifié par le gel douche. Délicatement, je l’insère dans mon antre. Il comprend vite ce que je fais, et sans dire un mot, il pose ses mains sur mes hanches et commence à aller et venir en douceur. J’apprécie cet instant de bonheur où nos deux corps, en parfaite harmonie, prennent un plaisir inouï. Le dos arc-bouté et les mains posées sur la mosaïque, je recueille les coups de boutoir de mon Maître pendant plusieurs minutes. De sa main droite pleine de mousse, il astique ma hampe avec agilité pendant plusieurs minutes. Je suis au bord de l’extase, je ne contrôle plus mon corps, quand soudain j’éjacule abondamment sur la mosaïque.
D’un coup, ses mouvements prennent une vitesse surprenante et, dans un cri incontrôlé, il déverse sa semence dans ma chair. Tout son corps est envahi de spasmes. Il me serre plus fort. Et tout s’arrête. L’étreinte se relâche. Je décide de retirer sa queue, mais il me stoppe net.
- Ne bouge pas. Reste comme ça !
Je relâche la tension de tous mes muscles. Je me sens bien. Anormalement bien. Mon Maître finit par se retirer et se penche sur mes fesses qu’il écarte avec ses mains savonneuses.
- Très joli ce spectacle avec mon sperme qui s’écoule de ton trou.
Je ne le vois pas, mais je sens un filet glisser du haut de ma cuisse.
- Resserre tes fesses. Je veux que tu gardes mon foutre en toi.
J’obéis et contracte ma rondelle pour éviter que son jus ne dégouline le long de mes jambes. Je me retourne quand aussitôt, il se relève et m’enlace tout en m’embrassant d’un baiser passionné. Il récupère avec ses doigts mon sperme qui se trouve sur la mosaïque, et l’apporte à ma bouche. J’avale la totalité pour que mon corps tout entier se repaisse de ce plaisir-là. Il m’observe ébahi.
- J’ai encore envie de toi salope, dit-il d’une voix puissante.
- Vous êtes insatiable Maître ! Je crains le pire avec vous, dis-je d’un air ébaubi.
- C’est depuis que je distingue ton corps de femelle. Mais avant, nous avons besoin de reprendre des forces. Après manger, je te baiserai de nouveau avec mon liquide gluant comme lubrifiant.
Il sort de la douche en secouant énergiquement la tête, ses cheveux mouillés jettent des gouttes d’eau tout autour de lui. Il récupère une serviette de bain dans l’espace de rangement, s’essuie avec vigoureusement, et enfile à nouveau son peignoir. Il me lance sa serviette de bain mouillée, je glisse et retiens un cri au moment où ses bras me rattrapent. Il éclate de rire et m’embrasse...
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