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Aym-Rick

Chapitre 12

Gay
Il me repose doucement dans sa chambre et dépose en même temps la bombe de crème chantilly sur sa table de nuit. Je me tiens debout, le lit derrière les genoux. Rick se place face à moi, et me fixe intensément, avec un rictus sadique. Il me déshabille du regard, passe sa langue sur ses lèvres. La tension sexuelle entre nous est plus forte que jamais. Je ne bouge pas, paralysé. Il ne me touche pas. Il fait durer l’attente. Il aime me torturer. Son regard est comme une première caresse et ma respiration s’accélère, mon cœur tambourine contre ma poitrine, mon sang pulse dans mes veines et mes mains deviennent moites. Ma gorge est sèche. Putain, comment peut-il me faire cet effet-là sans même m’effleurer ? Sa voix autoritaire me fait sortir de ma rêverie… 
- Déshabille-toi. Maintenant ! m’ordonne-t-il d’un ton impérieux. 
Son air sévère fait frissonner tout mon être. J’aspire une grande bouffée d’air. Je ne m’étais pas rendu compte que je retenais ma respiration. Puis il fait un pas en arrière et attend. Ses yeux mi-clos débordent de désir. Avec lenteur, j’enlève mon haut ainsi que le bas, révélant mon corps hâlé. Immobile devant lui, je le laisse parcourir ma nudité de son regard, appréciateur et conquérant.
- A vous d’ôter votre peignoir Maître !
Je le regarde du coin de l’œil, pensant qu’il va refuser. Un lent sourire sensuel se peint sur ses lèvres tandis qu’il s’exécute, à ma grande stupéfaction. Il détache la ceinture de son peignoir, écarte les pans du tissu et le laisse tomber au sol comme un vulgaire chiffon. Je suis en extase devant son corps parfait et entièrement à ma merci. Il s’avance et passe un doigt sur l’un de mes tétons, ce simple contact me fait frissonner. Déjà dur, il gonfle encore sous sa caresse. Satisfait de lui, Rick s’attaque à l’autre téton et, une nouvelle fois, obtient le résultat attendu. Je frétille.- Tourne-toi, femelle ! dit-il d’une voix stricte. 
Je m’exécute aussitôt puis insensiblement il enroule ses bras autour de ma taille. Je me retrouve le dos fermement pressé contre son torse. Son visage dans mon cou, il dépose une longue série de baisers mouillés de ma nuque jusqu’à mon oreille. Ses mains viennent englober mes pectoraux et ses doigts me pincent les tétons. Un feulement monte de ma gorge sans que j’y prête attention. Il me serre encore plus, et son érection dure comme le roc, palpite fortement contre mes fesses. 
- Tu la sens ma grosse teub qui meurs d’envie de te défoncer ? lâche-t-il d’une façon vulgaire.
Ah nom de Dieu de bordel de Dieu ! Mon être se met à pulser tout seul. Rick pince à nouveau la pointe de mes tétons, plus fort cette fois-ci. La douleur me transperce tout en avivant mon envie. 
- C’est ça que tu désires, sale putain ? m’interroge-t-il d’un air vicieux.
- Oui je n’attends que ça, Maître ! dis-je d’une voix pantelante.
Je me cambre contre lui pour mieux sentir sa hampe si épaisse et me mets à gémir en jouant des hanches. L’excitation tortille déjà mon ventre tandis que mon bas-ventre s’enflamme. Hmmm.
- Dis-moi ce que tu souhaites, insiste Rick en poussant toujours plus fort contre mes fesses.
- Vous ! Je veux que vous me baisiez comme ce n’est pas permis, Maître.
- Très bien ! Allonge-toi sur le pageot, espèce de salope !
Je lui obéis et m’étends sur le lit. Rick se rapproche de moi et s’exprime d’une voix très torride. 
- Je vais te prendre en levrette et puis après en fonction de ton degré de réaction, on avisera.
Chacune de ses paroles me pousse dans un état d’euphorie intense. Je suis tout émoustillé à l’idée qu’il me nique dans cette position. Je me tiens à quatre pattes sur le lit. Il arrive à la hauteur de mon cul avec déjà le sexe en main, comme un tube raide, boursouflé. Sitôt, le voilà qui rentre en moi, il pousse sa bite dans le tunnel rougi comme du velours qui est déjà bien lubrifié par la sève qu’il m’a introduite précédemment dans la douche. Je gémis comme une petite pute en manque. Il me pénètre jusqu’à distendre et dilater ma rondelle à l’extrême. Ma vision se mêle de sensations douloureuses et délicieuses. Je sens le bas ventre de mon Maître collé à moi, entièrement. Il est en train de me bombarder mais je ne perçois plus rien qu’une seule sensation de brûlure, comme si tout mon corps était en flamme, alors j’hurle et je crie. Il se retire, puis débute un mouvement de va-et-vient, je pleurniche et m’abandonne. Je ne comprends pas tout de suite qu’au fil de ses mouvements, j’atteins un degré de plaisir jamais connu jusqu’alors. Mon corps est vaincu, et il le manifeste de manière inédite, je mouille du cul et de la queue comme la dernière des traînées. Mon Maître l’a bien compris et ce fluide lui permet de mieux me posséder. Je me cramponne si fort au couvre-lit que mes mains se mettent à trembler. Je suis secoué de spasmes, me tords en tous sens, mon visage est déchiré de râles et de gémissements. Je ne contrôle plus rien du tout. Je ne suis plus qu’une bête innervée de jouissance, de nerfs excités, chahutés et désordonnés.
- C’est trop bon de te limer la chatte. Maintenant j’ai envie de te baiser la bouche pétasse !
Il se détache de mon trou brusquement. Je ressens un léger tressaillement. Je suis trempé de sueur. Je n’ai pas le temps de souffler qu’il attrape la bombe de crème chantilly sur la table de nuit et retire à la hâte le capuchon. J’observe mon Maître, immense et triomphant, positionné devant moi en train de se masturber d’une main, son autre main tient la bombe de chantilly. La salive me monte à la bouche et j’avance les lèvres, laissant courir ma langue le long de son engin. Il laisse échapper un soupir sifflant. Je me penche en avant et l’avale jusqu’à sentir son énorme zboub caresser le fond de ma gorge. Il commence ses va-et-vient en m’empoignant les cheveux.
- Une vraie bouche à pipe ! susurre-t-il les yeux fermés, dans un filet de voix.
Je lève les yeux et grogne de plaisir en le voyant jeter la tête en arrière. Il se pourlèche les babines. Galvanisée, les mains serrées autour de ses cuisses pour plus d’assurance, j’accélère le mouvement, gâte son gland de caresses humides, tandis que ses hanches s’activent de plus en plus vite et de plus en plus fort. C’est à gorge déployée, la mâchoire démantibulée que j’ingurgite son sabre. Gonflé d’excitation, je n’en perds pas une miette. Je secoue son braquemart avec ferveur et l’engloutis à pleine bouche. D’un geste tyrannique, mon Maître me saisit la tête et commence à enfoncer lui-même son pieu. Imposant la cadence, son gland pénètre ma gorge si violemment que j’ai les yeux embués de larmes. Malgré les filets de salive qui dégoulinent aux commissures, je ne cherche pas un seul instant à me mutiner contre lui. Je me laisse servilement racler l’entonnoir, tout en poussant des soupirs saccadés. Mon visage est maculé de larmes et de salive. Mes pupilles sont suspicieusement dilatées. Il s’arrête net, et retire d’un coup brusque sa verge de ma bouche.
- Au fait, tu ne m’as même pas dit si tu aimé la crème chantilly ?
Oui j’aime ça ! dis-je tête baissée, d’une voix presque muette.
Répète, je n’ai pas entendu ta voix de tafiole !
- Oui Maître ! J’aime la crème chantilly, rétorqué-je plus fort.
-  Alors les choses sérieuses peuvent commencer ! lâche-t-il ironiquement, en me biflant le visage.
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