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Baby-maker

Chapitre 1

Hétéro
D’après vous, quel homme peut prétendre au record mondial du nombre d’enfants engendré ? Quel que soit le nombre de femme avec lesquelles il les aurait faits ? Personne n’a la réponse ? Bah moi non plus. Pour ce qui concerne le record mondial du moins. Par contre pour le record Français, je pense être bien positionné car, à ce jour, à plus de quarante ans, je peux affirmer être le père de cinquante et un gamins aujourd’hui disséminé à travers le monde, sachant que quatre autres sont en route.
Non je n’exagère pas et je sais qu’en Europe, je ne suis pas le seul car il y a un hollandais qui fait comme moi et lui en a le double. Je l’ai rencontré pour discuter avec lui et c’est un robot ce type. Il couche avec une dizaine de femme par mois. C’est presque de l’abattage.
Oui, je vous vois vous demander comment et pourquoi je le fais. Pour le comment, d’un côté purement technique, je ne vais pas vous donner les détails, tout le monde sait comment ça fonctionne. Pour comprendre le pourquoi, il est préférable que je vous raconte mon histoire.
Afin de commencer je me présente : moi c’est Paul et pour lever toute hésitation, je me dois de préciser certaines choses sur moi : je suis donneur de sperme bénévole. De tous mes gamins, je n’ai aucun droit parental sur eux. Jusque là rien d’extraordinaire si ce n’est que je fais ça en directe, chez moi, dans ma chambre d’ami, « du producteur au consommateur » comme on dit. Dans les grandes lignes, on me contacte sur internet, je dialogue avec les couples et selon mon emploi du temps on se met d’accord. Je dis selon mon emploi du temps parce que j’ai un autre boulot à coté, mon vrai boulot. Je suis gérant et associé dans une boutique Geek. Au départ on ne faisant que de la vente de goodies et BD. Puis on s’est diversifié sur les jeux vidéos, les DVD et plus récemment on s’est lancé dans l’informatique avec réparation de PC en panne, récupération de données effacées, mais aussi dans l’audiovisuel avec le transfert de films de cassette VHS et super 8 sur DVD. C’est une affaire qui marche.
Donc je disais que, quand on s’est mis d’accord avec le couple, j’exige des garanties. Avant de passer au lit, je réclame un résultat de test HIV négatif récent. Manquerai plus que je chope une saloperie. Je fais également signer un contrat, un accord entre nous plutôt, qui mentionne que je renonce à tout droit quel qu’il soit, et que compte tenu de la gratuité du service, aucun résultat n’est garanti. Je ne demande qu’une chose à la naissance : que les parents me donnent le prénom et le sexe de l’enfant. Si je demande ça c’est pour ma base de données. Non pas que je me constitue un tableau de chasse, c’est plutôt pour éviter que deux de mes gamins couchent ensemble plus tard. Je pourrais en avertir les parents si les deux sont de moi. C’est un truc auquel tous se sont pliés, comprenant l’utilité de la chose. Bien évidement je ne suis pas en contact avec tous. Pour certains j’ai régulièrement des nouvelles et pour d’autre, plus rien depuis l’accouchement. Compte tenu de la demande, je peux me permettre de choisir. Et contrairement à mon collègue hollandais, je ne fais ça que le Weekend. Je m’abstiens durant la semaine et je lâche la sauce quand le couple vient chez moi. J’en fais peut-être moins que mon collègue mais qualitativement j’ai un meilleur taux de réussite.
C’est bizarre. On dirait que vous n’en avez rien à foutre (sans mauvais jeu de mot) de ce que je dis. Ahhh ! J’ai compris. Effectivement tous ces détails ne vous intéressent pas. Ce que vous voulez savoir c’est comment j’en suis arrivé là. Pourquoi ça vous intéresse d’abord ? Vous voulez faire pareil ? Même si je n’aime pas la concurrence, je consens à tout vous dire. De toute façon, vu la demande, yen a assez pour plusieurs.
Tout d’abord il faut savoir que je suis loin d’être un apollon. A l’époque où les jeunes découvrent leur corps et leur sexualité, moi, c’était plutôt les consoles de jeu qui m’intéressaient. Evidemment, comme tous les mecs de cet âge, je me suis tiré sur l’élastique. D’ailleurs ma mère avait un doute sur ses traces qu’elle voyait sur mes draps. Mon père lui n’en avait aucun et me demandait de faire ma petite affaire manuelle soit dans mon linge sale avant de le mettre à la lessive soit dans du Sopalin. Il ne comptait pas m’empêcher de me faire du bien, juste me demander de ne plus salir mes draps.
Commençons par le commencement : mon passif sexuel. Après mon Bac, j’avais décroché un poste de livreur de Pizza en boulot d’été. Quand j’ai commencé ce boulot j’étais encore puceau mais ça n’allait pas duré. Ma première fois s’est passé durant une livraison. Une femme avait appelé et c’était moi qu’on avait chargé de lui livrer sa quatre fromages. Quand elle m’a ouvert, elle était en nuisette limite transparente. Mon malaise était palpable. Elle m’invita à entrer et me fit attendre quelques minutes le temps pour elle d’aller chercher l’argent. Elle arriva avec plus d’argent que nécessaire et me coinça contre le mur.
— Dis mois mon mignon, tu resteras bien boire un verre ?— Euh ….. Désolé madame mais j’ai du trava … Aaail ! lui ai-je dit, gêné par sa main qui me massait le paquet par dessus mon futal.— Tu ne vas pas me dire que ça ne te plait pas ? Je le sens dans ma main < Ziiip > Ta queue, elle, semble apprécier. Continua-t-elle en passant sa main dans mon pantalon par l’ouverture de ma braguette.
J’étais tétanisé sur le moment. Cette femme avait l’âge de ma mère. Elle était l’archétype de la MILF super bien foutue. Elle lâcha ma queue pour retirer ce qu’elle avait sur elle, prendre mes mains et les poser sur sa poitrine.
— T’es tout timide, j’adore ça. T’es puceau ? C’est ta première fois ?— Ça ce voit tant que ça ?— Tu sais t’es pas le premier puceau que je me propose de déniaiser. Viens, suis moi, on va dans ma chambre.

Je ne me contrôlais plus. Ma raison me disait « non, il ne faut pas. T’as d’autres livraison à faire » alors que mon corps, lui, semblait lui obéir. Inconsciemment, il était évident que c’était ce que je voulais. Alors je me suis laissé aller entre les mains expertes de cette femme d’expérience.
La chambre c’était « LuxureLand ». L’ambiance était feutrée et il y régnait une lumière tamisée rose. Partout sur les étagères, on y voyait des lotions, gels intimes, lubrifiants, préservatifs et plein d’autres jouets vibrants. Visiblement, elle aime autant le sexe à pile qu’elle en a (du sex-appeal). Après m’avoir sucé, je l’ai léché, un peu maladroitement d’ailleurs, puis elle m’a chevauché et a fait tout le travail. Quand elle eut fini, elle m’embrassa m’aida à me relever pour que je me rhabille et juste avant de partir, elle me fila cinquante euros de pourboire en plus du règlement de la pizza. Sur le retour, je réalisais à peine ce que je venais de vivre. Enfin bref, c’était fait.
Plus tard, chaque vendredi, elle commandait une pizza et je me proposais pour y aller connaissant le trajet. Oui, j’avais aimé et oui je voulais y retourner. Ça a duré plusieurs semaines jusqu’à ce qu’un jour ou j’étais malade, un autre me remplace. Sauf que lui n’était pas d’accord avec elle, il s’est défendu et à porté plainte. Je ne l’ai plus jamais revu depuis lors.
Après ça, je n’ai plus eu de rapport avec aucune autre femme, le temps de mes études de commerce en fait. Je vivais chez mes parents quand j’ai réussi à décrocher une place de télévendeur. J’étais tout content. Habitant en province, je me suis rendu à Paris la veille de l’entretien. J’avais réservé dans un hôtel bon marché à proximité. Quand je me suis pointé sur place, la personne à l’accueil de l’hôtel m’a demandé si je voulais un deuxième oreiller. Je me suis dit sur le coup « oui pourquoi pas si c’est trop je le mettrai de côté ». Je ne savais pas ce que ça voulait dire sur le moment. C’est en revenant d’un fast food où j’avais dîné que j’ai compris. A ce moment là, ma mère m’avait appelé, elle voulait savoir comment son « petit poussin » se débrouillait pour sa première sortie à Paris. J’étais encore au téléphone quand j’ai ouvert la porte et que j’ai trouvé allongé sur mon lit une belle black svelte mais visiblement maquillée comme une voiture de contrebande et complètement nue. J’ai immédiatement coupé court à la conversation en disant « Maman ? Je te rappelle ».
En fait, demander un deuxième oreiller, ça voulait dire demander à avoir un peu de compagnie. Bon … Bah, comme elle était là, j’en ai profité. Evidemment la prestation a été rajoutée sur la facture mais ça m’a fait du bien. D’ailleurs, ça m’a tellement détendu que l’entretien s’est super bien passé et j’ai eu le job. Je me suis trouvé une collocation et commencé ma nouvelle vie.
Mais pourquoi vous faites la gueule ? Oui je sais, ce qui vous intéresse c’est de savoir comment j’en suis arrivé à avoir cinquante gamins. On y arrive ne vous en faite pas.
J’avais un boulot et un salaire correct, des collègues sympas, j’y ai même croisé un vieux copain que je n’avais plus revu depuis des années. Bref, tout pour réussir. Un jour mon boss m’a convoqué dans son bureau. Entre nous, on avait entendu parler de rumeurs sur lui. Comme quoi, certains jeunes hommes avaient été conviés à des rendez-vous secrets avec lui. Du coup ça me dérangeait un peu car si les rumeurs sur lui étaient vraies, à savoir qu’il est gay et qu’il pioche parmi ses subordonnés celui qui partageait son lit, valait mieux que je longe les murs.
Je me suis pointé à heure dite dans le bureau de mon patron et j’ai eu la surprise de constater qu’une femme était présente. Elle tenait dans les bras la version papier du trombinoscope de la boite.
— Bonsoir Messieurs-dames— Bonsoir jeune homme, laissez moi vous présenter ma femme. Comment la trouvez-vous ?— … Madame, vous êtes charmante.— Asseyez-vous je vous en pris. Je suppose que vous vous demandez pourquoi vous êtes là ?— Oui effectivement.— Je voulais vous voir pour une affaire privée pour laquelle vous pourriez m’aider.— … OK— Avant toute chose j’aimerai savoir : Vous êtes gay ou hétéro ?— Pourquoi cette question ?— Pour un travail que j’aimerai vous confier. Alors ? La réponse ?
Sa question me faisait peur. Cherchait-il un partenaire pour un plan à trois dans lequel le deuxième mec allait devoir satisfaire les deux ? Où alors était-il gay comme le prétendait la rumeur et était-il en quête d’un petit cul à fourrer avec cette femme pour cacher sa vraie nature genre mariage de complaisance ? Dans les deux cas j’allais m’en prendre plein les fesses et il était inutile de mentir. J’espérais me tromper.
— Hétéro mais je ne vois pas en quoi ça vous regarde.
Ils se regardèrent tous les deux et madame fit un signe d’approbation de la tête.
— Bien …. Veuillez lire ceci et signer en bas de page. C’est un accord de confidentialité pour ce que je m’apprête à vous dire.
Etant curieux, j’ai tout lu et il n’y avait pas de piège, pas de petite lignes en bas de page, rien que mon accord pour fermer ma gueule sur ce qui allait se dire dans cette pièce.
— Voila c’est signé. J’espère que vous n’allez pas me proposer de coucher avec vous parce qu’autant vous le dire de suite : c’est non.— Vous faites référence à cette rumeur qui court à mon sujet ? Elle me fait bien rire celle là d’ailleurs. Rassurez-vous je n’ai qu’un service à vous demander. Quelque chose pile dans vos cordes. Vous avez vu ma femme ? Elle est belle.— Je ne vous contredirais pas là-dessus.— Voila, elle arrive à quarante ans et nous n’avons pas d’enfants parce que je ne peux pas en avoir.— J’en suis navré pour vous mais …. Hola, ne me dites pas que …— Ma femme vous a choisi pour que vous soyez le géniteur de notre enfant.— Euh … C’est que …— Je vous paierai pour ça.— Je ne sais pas, je …. Combien la paie ?— Ah ! Je savais bien qu’on trouverait un accord. Les jeunes comme vous ont besoin d’argent. Je suis prêt à vous donner cinq mille euros …— Je ne sais pas. Je n’ai pas envie d’avoir d’ennuis.— … cinq mille au moment de l’acte et vingt mille de mieux à la naissance.— Bah euh …. D’accord.— Bien, parfait. Je vais rédiger un accord écrit entre nous que l’on signera. Je reviendrais vers vous pour la suite.— Très bien monsieur. Au revoir monsieur.
Mon patron avait raison. J’étais jeune, nouveau à Paris … Si je pouvais mettre du beurre dans les épinards je n’étais pas contre. Je commençais à deviner d’où venait cette rumeur sur lui. Je ne devais pas être le premier à qui il faisait cette proposition et les rendez-vous discrets avec le patron pouvaient prêter à confusion. Enfin bon, je n’avais signé qu’un accord de non divulgation, tant que je n’ai rien signé de définitif, je peux toujours dire non mais ça voudrait dire non aussi au pognon.
Une semaine plus tard, je fus de nouveau convoqué par mon boss. Pour éviter tout problème, il me donna rendez-vous plus tard dans la soirée, dans un endroit discret. Accompagnée de sa femme, il déposa sur la table un exemplaire du contrat qu’il avait rédigé, un pour lui et un pour moi. Il déposa également une enveloppe que je supposais contenir le pognon. Me voyant hésiter, il prit l’enveloppe et commença à sortir les billets. Sans m’en rendre compte, l’appât du gain avait guidé ma main et j’ai fini par signer. Il me donna l’enveloppe et on commença à discuter sur les modalités.
Après s’être assuré que ni l’un ni l’autre ne risquait rien et que je ne sois pas stérile, chaque samedi, il choisissait de m’inviter à dîner chez lui. C’est après le repas que madame et moi nous devions nous mettre à la tache et pour ça, nous avions carte blanche. Ça se passait bien avec madame la patronne. Il faut dire qu’elle était super bien conservé, une jolie poitrine, une taille de guêpe, … Bref tout ce qu’il faut là où il faut. Elle s’entretenait et ça se voyait. Le seul truc qui me dérangeait c’était la présence de monsieur dans la pièce, ça me bloquait. Il m’avait dit être un adepte du caudalisme (regarder sa femme coucher avec un autre). Je ne connaissais pas ce mot avant. Maintenant je sais.
Chaque samedi, je disais à mon colloc que je sortais voir des amis, ce qui n’était pas forcement faux et en fait je passais la soirée avec mon boss et sa femme. Peu de gens peuvent se vanter d’avoir baisé la femme du patron. Bah moi si ! Et avec son consentement en plus, c’est ça le plus beau. En plus, elle avait de l’expérience et ça c’était top. Comme sa présence me gênait, mon patron a trouvé la parade pour que je ne perde pas mes moyens : il a installé une caméra et nous regardait en directe depuis une autre pièce avec un rouleau de Sopalin. J’en ai passé des soirées à coucher avec la femme du patron. Et en plus il nous laissait toute liberté pour nous amuser. La seul pratique que j’ai refusé c’est quand elle a sorti un God ceinture de trente centimètre. Je lui ais dit un NON catégorique, même si elle m’assurait que son mari adorait et en redemandait depuis qu’il avait essayé. Je lui ai répondu que, pour accomplir ce que je devais faire, il était préférable que ce soit le plus agréable possible. Là …. Ça m’aurait fait cauchemarder. Elle n’a pas insisté.
Cette histoire a durée presque deux mois au terme desquels mon patron me signifia, avec une joie non dissimulée et en me serrant dans ses bras que sa femme était enceinte. Heureusement que personne n’est entré dans son bureau à ce moment là sinon j’ose à peine imaginer ce qu’il aurait pu se dire sur moi par la suite. Sur ma boite mail, le patron me donnait des nouvelles sur l’évolution de la grossesse ainsi que des photos des échographies et neuf mois plus tard la femme du patron accoucha d’un petit garçon.
Grace à mes vingt mille euros en poche, j’ai pu m’acheter une nouvelle voiture. Mais ma plus grande satisfaction était quand même d’avoir donner un fils à mon boss car depuis ce jour, quand j’ai un service à lui demander comme un jour de congé surprise, une réduction sur l’achat des produits de la marque, il s’arrangeait pour que ça me soit accordé. Un jour par exemple, j’ai voulu changé d’appartement. J’en avais trouvé un qui me convenait mais mes parents ne pouvaient pas se porter caution. Il s’est gracieusement porté caution, estimant que c’était la moindre des choses qu’il pouvait faire pour moi.
Souvenez-vous que, dans ce boulot, j’avais retrouvé un de mes anciens copains. Avec mon nouvel appart, on se voyait souvent et c’est là qu’il me parla de son projet de boutique Geek, BD, Informatique, … (mon boulot actuel). Ne pouvant se lancer seul, il m’a proposé d’être associé, ce que j’ai accepté. Mon patron l’a un peu mal pris, mais ne nous a pas empêchés de partir, on est tout de même resté en bon terme.
Alors qu’on se lançait à deux dans ce projet professionnel, en privé j’avais fait la connaissance de mes voisines, un couple de lesbiennes avec qui j’avais sympathisé. C’est avec elle que ma deuxième carrière parallèle a véritablement commencé.
Comme tous les ans, il y avait la fête des voisins. L’immeuble dans lequel j’habitais avait une cour intérieure et c’est là que tous les locataires se réunissaient pour manger et faire la fête. On était souvent côte à côte avec mes voisines et on s’amusait bien. C’est un jour qu’elles sont venues frapper à ma porte. Je les sentais nerveuses et c’est après avoir longtemps hésité qu’elles ont fini par lâcher le morceau.
— Si on a voulu te voir, Paul, c’est pour te demander un service.— Oui … Lequel ?— Voilà tu sais qu’on veut avoir un bébé ?— Oui c’est légitime. Vous en avez le droit.— Malheureusement la procédure d’adoption est très longue.— Vous avez pensé à une FIV avec donneur de sperme ?— Oui et c’est un peu pour ça qu’on vient te voir.— Vous voulez que je sois le donneur ? Moi ça me dérange pas mais va falloir faire ça en suisse où dans un autre pays. En France on n’a pas le droit de choisir une personne précise.— En fait on pensait à quelque chose de plus directe.— Holà ! …. J’ai peur de comprendre.— Comme on est voisin, on avait pensé pouvoir faire ça chez toi et …— C’est bien ce que je pensais.— Si tout ça te fait peur, on comprendra.— Non ça ne me fait pas peur. C’est juste que je suis surpris. Vous savez, ce ne sera pas la première fois que je fais ça.— Quoi coucher avec une lesbienne ?— Non faire un enfant à quelqu’un. Je ne suis pas sensé en parler mais comme je ne bosse plus pour lui je peux le dire : J’ai fait un môme à la femme de mon ancien patron.— Ah ouais ? C’est rassurant car au moins ça marche.— Écoutez, je ne suis pas contre le faire mais va falloir qu’on se mette d’accord. L’enfant sera officiellement de père inconnu et je n’aurais aucune obligation sur lui.— Tout ce que tu voudras.
Dans ce couple, seule la future maman avait déjà eu des rapports avec un homme. C’est donc avec elle que j’allais faire ma petite affaire, l’autre étant un pur produit issu à 100 % du saphisme et n’ayant jamais approché une bite, de près ou de loin. On a fixé une date pour le faire et je me suis retenu toute la semaine. Le jour dit, elle est arrivée chez moi avec un long manteau qui cachait ce qu’elle avait en dessous. Quand elle l’a ouvert …. OH ! Aïe, aïe, aïe, aïe, Mazette. Elle était en porte jarretelle, dessous affriolants … bref tout pour me mettre en condition.
L’avantage avec cette situation c’était qu’on savait directe pourquoi elle était là. Pas besoin de diner aux chandelles ou de lui faire du rentre-dedans (enfin si le rentre-dedans elle allait l’avoir mais…. Enfin vous m’avez compris). Donc directe, on est passé au lit. Et on ne s’est pas juste contenté d’une missionnaire. On s’est fait plaisir en multipliant les positions et les caresses. Le seul impératif était que je lâche la sauce au bon endroit. En plus de rendre service, j’ai passé un super moment.
Il a fallu remettre ça une autre fois pour que ça prenne mais mes voisines ont eu ce qu’elles voulaient. Le truc c’est que, dans leur bonheur, elles en ont parlé à plusieurs de leurs amies ayant les même désirs et je me suis retrouvé à avoir de plus en plus d’appel de couples qui voulaient la même chose. Déjà, au départ je n’étais pas forcement d’accord. Il a fallu que je m’explique avec mes voisines et j’ai bien compris que ce n’était pas prémédité. Après avoir réfléchi, j’ai donc mis toutes ces demandes en suspend et je me suis organisé : Une femme par semaine (le Week-end), elle se déplace chez moi, accompagnée ou non et après bah … En avant le zizique.
Même si je n’avais pas prévu d’en faire une activité secondaire, étant célibataire, j’ai bien compris ce que ça pouvait m’apporter. Non, pas des morpions monsieur, je pensais à autre chose. Ça me permettait de coucher régulièrement avec des femmes comme le ferait un séducteur avec ses plans cul tout en rendant service. Chaque Week-end c’était la fête à Popole. OK, Je n’allais pas m’en plaindre mais parfois ce n’était pas si marrant. En effet, parfois on avait que très peu de manœuvre avec madame.
Je me souviens d’un couple qui était venu. La femme était belle comme un cœur mais son mec n’était pas commode. Je me souviens qu’il m’avait dit un truc du genre « Bon tu fais ta petite affaire en missionnaire, dans le noir rideau tirés, pas de préliminaire, ni autre attouchement. Tu lâches la sauce et on repart. De toute façon je reste à regarder si vous n’allez pas trop loin. » …. Ok … Le mec étant une montagne de muscle, valait mieux pas le contrarier si je voulais garder mes dents. J’ai aussi eu le même discours d’une femme, une lesbienne dont je devais inséminer la compagne. C’était une copie très ressemblante de Josiane Balasko dans Gazon Maudit, le type camionneuse en salopette.
Ok j’ai connu des cas difficiles et j’en connais encore d’ailleurs mais j’ai aussi connu le contraire : des conjoints qui me donnait carte blanche et qui partent se faire une toile pendant qu’on est à l’œuvre. Ça c’est le top et on se fait plaisir : Fellation cunnilingus, 69, … Le tout agrémenté de plusieurs positions dont certaines m’ont été enseignées par la future maman. Ce qui est sûr c’est que je m’éclate dans ces cas-là. Bien évidemment, tout ne fonctionne pas du premier coup. Pour ceux chez qui ça n’a pas marché, il faut réorganiser un autre rendez-vous. Il y a aussi les couples chez qui ça a marché et qui m’en demande un autre. Dans les deux cas, ça dépend. Normalement, je devrais les mettre en queue de peloton mais tout dépend de la manière dont ça s’est passé la première fois. Si on a passé un super moment avec l’accord de monsieur, je peux m’arranger pour la replacer à un autre moment par contre si le ou la conjointe s’est montré désagréable, je peux prétexter « désolé mais d’autre n’ont pas encore eut leur chance. Je préfère les privilégier ». Bah oui si j’ai le choix entre une bonne baise avec une jolie femme où j’aurai toute liberté et juste cinq minutes rapide et sans fantaisie …. Bah je fais comme tout le monde je fais comme pour moi.
Oui oh ça va. Vous seriez dans mon cas, vous feriez pareil. Ne soyez pas hypocrite. J’ai beaucoup plus de demande que de disponibilité. Du coup, je choisis. Et d’après vous quel est mon critère de sélection ? L’âge ? Oui, ça compte mais au départ c’est surtout le physique. Faut pas se mentir. C’est toujours plus agréable de faire ça avec une belle jeune femme qu’avec un laideron affublé d’un sac sur la tête. Je sais, quelque part c’est dégueulasse. Mais malheureusement je ne peux pas en prendre plus. Si je choisissais d’en prendre une autre en milieu de semaine je ne serais pas forcement disponible avec mon boulot et mon sperme serait de moindre qualité (excuse bateau mais bon …). Non c’est bien comme ça.
Voilà donc mon quotidien depuis plus de 10 ans. Cette situation a tout de même un élément comique. Chaque année, ma mère me rabâche sa rengaine « mais quand est-ce que tu vas te marier pour avoir des enfants ? ». Imaginez une seconde que je lui annonce la nouvelle. Elle risque la crise cardiaque. Quand elle vient me voir parfois dans mon appart, elle ne s’imagine pas que le petit garçon qu’elle croise dans le couloir est le fils de mes voisines, et donc le mien. D’ailleurs, pour lui je suis « un ami de la famille ». Est-ce que ses mamans lui ont dit qui j’étais ? Mystère.
En tout cas il y a des couples avec qui je dialogue souvent par internet avec webcam. Certains enfants savent qui je suis. Certains m’appellent papa 2, papounet, tonton ou simplement par mon prénom mais savent faire la différence. Tous les ans, je reçois une dizaine de cadeau de fête des pères. Visiblement certains parents, avec qui j’ai sympathisé, tiennent à garder le contact. Bon autant vous le dire ce n’est pas que par amitié. Je me souviens d’un couple qui m’avait un jour invité à passer mes vacances avec eux dans leur villa de la côte d’azur. J’ai trouvé ça sympas mais ce que j’ignorais c’était qu’ils voulaient que je leur en fasse un deuxième. Papa étant partit avec le fiston, la maman m’a fait un show Pffff …. Comment résister. D’ailleurs je n’ai pas résisté. …. Ouais bon OK je me suis carrément laissé faire. Il faut dire qu’elle était super bien roulée et qu’elle n’avait pas son pareil pour m’exciter. J’ai vraiment passé de bonnes vacances mais il fallait faire attention. Dans ma situation il faut faire en sorte de ne pas trop s’attacher.
Bon, que dire de plus …. Rien, vous savez tout. Moi je fais ça en assurant mes arrières et en faisant signer à ceux qui font appel à moi, un contrat privé me dégageant de toute obligation. De mon côté je renonce à mes droits. Chacun en garde un exemplaire et je m’arrange pour que les demandeurs en aient une copie avec une trace (envoi avec accusé de réception par exemple). J’ai aussi mon fichier avec tous les noms, au cas où deux d’entre eux commençaient à flirter ensemble, je pourrais dire STOP ! D’ailleurs vu l’âge des premiers, ça ne devrait pas tarder.
Bon bah moi je vais vous laisser car j’ai de la visite … Ah ça doit être elle qui sonne. Une jeune femme qui m’a contacté. Elle n’est pas mariée ni pacsée, ni même en couple. Tout ce qu’elle veut c’est un môme. OK ça me va. La première fois qu’elle est venue, ça n’a pas marché mais elle est restée tout le week-end et elle a l’intention de recommencer. Si c’est comme la dernière fois elle va vouloir qu’on passe tout le week-end au lit. Perso, je ne suis pas contre. Elle est jeune, belle et super bien foutue. Elle me fait triquer en un rien de temps et en plus elle est chaude comme une baraque à frite. Je sens que je vais passer un bon moment entre ses cuisses moi. Allez, je vous laisse.
Ah oui au fait, si jamais vous aviez envie de faire comme moi, allez-y. Il y a largement de quoi faire. Et si on vous pose la question, dites à ceux qui vous le demandent que toutes ces filles ne sont que des aventures de passage. Dans un sens c’est un peu vrai.
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