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Le bac sous haute tension

Chapitre 2

La cure de désintoxication

Trash
Le matin qui suivit le pacte qui m’alliait à Laura et Noa, j’eus environ deux heures à disposition pour préparer le rapport que je devais remettre à ma collègue partie en congé maternité et réfléchir à la façon dont j’allais mener mon entretien avec mes «copines» et leur mystérieux comparse toxicomane pour lequel j’avais un projet bien précis en tête. 
Lorsque j’eus ficelé mentalement les éléments de mon entretien prévu à la fin de la journée, je constatai qu’il me restait encore un peu de temps pour aller faire quelques courses à l’extérieur du lycée et me procurer l’outillage nécessaire à la réalisation de mon plan. 
À mon retour dans l’établissement, je fus soulagé d’apprendre que nul n’avait eu connaissance de mon absence, aussi brève qu’elle eût été. Je rangeai discrètement mes acquisitions dans un tiroir de mon bureau et me dirigeai vers la salle de classe où je devais surveiller le cours de mathématiques normalement dispensé par ma collègue partie en congé maternité. 
Alors que je venais de m’installer convenablement au bureau du professeur, les élèves entrèrent dans la salle les uns après les autres. Comme à leur habitude, Laura et Noa prirent place au fond de la classe. La sonnerie annonçant le début du cours retentit et je demeurai quelques minutes attentif au moindre chuchotement de la part des deux filles. 
Contrairement à ce à quoi je pouvais m’attendre, Laura et Noa ne prononcèrent pas un mot et se plongèrent consciencieusement dans leurs révisions, ce qui n’était encore jamais advenu depuis le début de l’année scolaire. J’eus donc le plaisir d’en conclure que mon ultimatum de la veille fonctionnait à merveille. 
La surveillance se déroula sans heurts, à l’exception de quelques élèves qui me posèrent discrètement quelques questions sur leur matière. Le son tant attendu raisonna à nouveau dans la salle et les étudiants quittèrent tranquillement la salle de classe. Laura et Noa rangèrent tranquillement leurs affaires et se préparèrent à partir. Je décidai de les retenir quelques instants pour m’assurer que mon projet se déroulât comme je l’avais prévu. 
— Laura ? Noa ? Vous pourriez venir ici un petit moment, s’il vous plaît ?— Oui ?— Je tenais à vous dire que j’ai été très agréablement surpris par votre attitude aujourd’hui. Je n’ai pas eu à intervenir une seule fois. Apparemment, vous avez pris conscience de l’enjeu de votre situation. — Oui, Monsieur. — Vous m’en voyez ravi. D’ailleurs, à ce propos, vous avez bien donné rendez-vous à votre ami toxicomane ?— Oui, Monsieur. Il nous attendra dans le hall après nos cours. Et, au passage, il s’appelle Albert. — Albert ? D’accord, j’en prends note. Vous pouvez y aller. 
Laura et Noa sortirent à leur tour de la pièce tandis que je fermais les stores et éteignais la lumière avant de refermer la porte derrière moi. Sachant que mes deux «copines» avaient encore une heure de cours à suivre, je m’accordai une pause cigarette avant de regagner mon bureau et rédiger mon compte rendu de la journée. 
Vers quinze heures trente, la sonnerie annonçant la fin des cours et les bruits de pas précipités des étudiants dans le hall me firent prendre conscience que mon rendez-vous allait bientôt commencer. J’imprimai mon rapport et éteignis mon ordinateur en attendant l’arrivée des deux filles et du mystérieux Albert. 
Mes invités se manifestèrent par trois coups frappés à la porte. Je leur répondis d’entrer et Laura entra, accompagnée de Noa et d’un homme qui m’eut l’air d’avoir la quarantaine bien passée, ce qui me surprit au vu du fait que je m’attendais à voir un jeune de leur âge. Je fis mine de ne rien laisser paraître et fis signe à mes trois visiteurs de s’assoir en face de moi. 

— Vous devez être le fameux Albert dont Laura et Noa m’ont tant parlé. — Oui, Monsieur. — J’imagine que vous savez pourquoi j’ai désiré vous rencontrer. — Non, pas vraiment, Monsieur. — Eh bien, dans ce cas, je vais vous rafraîchir la mémoire. 
J’ouvris le tiroir de mon bureau et en sortis le sachet de cocaïne que j’avais confisqué la veille à Laura et Noa. 
— Je pense que vous connaissez bien cette chose. — Non, pas du tout, Monsieur. — Ne jouez pas au plus fin avec moi. Je sais très bien ce que vous faites de cette chose habituellement et par quel lâche moyen vous vous la procurez. Oui, j’ai confisqué votre dose à vos mules et elles m’ont tout raconté de votre manège. 
Albert parut désarmé par ma déclaration. Je décidai d’enfoncer le clou. 
— Vous êtes conscient, bien sûr, que ces deux demoiselles ont pris des risques énormes pour vous venir en aide. Des risques comme, par exemple, l’exclusion du lycée et une dénonciation à la police. — Oui, je suis conscient des risques qu’elles ont encourus mais je ne pouvais pas aller moi-même chez le dealer. — Et pourquoi donc ?— J’ai de graves soucis d’argent en ce moment et j’ai peur que le dealer ne me fasse du mal si je ne parviens pas à le payer.— Je vois mais cela ne justifie pas le fait de faire prendre tous les risques à deux jeunes femmes de dix-huit ans. Pour votre gouverne, je n’ai pas dénoncé Laura et Noa pour leur laisser la chance de pouvoir poursuivre leurs études. Cependant, en ce qui vous concerne, je ne vois pas pourquoi je n’agirais pas en bon citoyen en vous balançant à la police. 
La peur commença à se lire sur le visage d’Albert. Je regardai tranquillement les gouttes de sueur dégouliner sur son front en le laissant tirer ses conclusions. Au bout de quelques minutes, il finit par me dire ce que je voulais entendre. 
— Qu’attendez-vous de moi ? Pourquoi m’avoir convoqué ?— J’attends de vous que vous cessiez d’importuner ces deux jeunes personnes. Si je vous ai convoqué ici, c’est pour discuter avec vous de la manière dont nous allons nous prendre pour que cela arrive. Personnellement, je ne vois qu’une solution. — Laquelle ?— Une cure de désintoxication. — Vous croyez que je n’ai pas déjà essayé ? J’ai tout tenté pour me débarrasser de cette fichue addiction mais rien n’y a fait. — J’ai une méthode bien à moi pour vous aider et j’ai recruté vos amies exprès dans cette optique. Mesdemoiselles, à vous de jouer. 
Le regard coquin que je leur adressai fit comprendre à Laura et Noa ce que j’attendais d’elles. Les deux filles ôtèrent leur top et baissèrent la fermeture éclair de leurs shorts sous les yeux médusés d’Albert qui tournait la tête tantôt vers moi, tantôt vers Laura et Noa. 
— Qu’est-ce que c’est que ce délire ?! — Ce délire ? C’est ma méthode pour vous aider à arrêter de vous envoyer de la cocaïne. Vous constaterez vite que deux sublimes jeunes femmes valent mieux que les lignes de poudre blanche que vous avez l’habitude de vous faire. Allons, ne soyez pas timide. Vos amies font tout ça pour vous. 
Comme pour confirmer mes dires, Laura et Noa, totalement nues, chuchotèrent des mots d’encouragements à Albert qui finit par se prendre au jeu malgré le malaise que lui inspirait la situation. Il déboutonna lentement sa chemise puis fit glisser son pantalon le long de ses cuisses. Avec un palpable mélange de honte et d’excitation, il finit par retirer son caleçon après avoir jeté de longs regards mal à l’aise à Laura et Noa. À la vue de son érection pour le moins peu avantageuse, je compris pourquoi il appréhendait de se déshabiller devant les filles et je me félicitai d’avoir été aussi prévoyant en faisant mes achats de la matinée. 
— Je comprends mieux maintenant pourquoi vous aviez besoin de la cocaïne pour vous sentir en confiance. Je crains fort de devoir changer quelque peu ma méthode. Noa, assieds-toi par terre, les jambes bien écartées. Laura, avec moi. Et vous, Albert, à genoux devant Noa et léchez-la bien. 
Albert et Noa adoptèrent la posture que j’avais exigée d’eux et le toxicomane prit vite goût au nectar intime de sa partenaire. Laura s’approcha de moi et entreprit de déboutonner mon pantalon. 
— Non, pas tout de suite, Laura. Je t’ai fait venir pour autre chose. 
J’ouvris un tiroir de mon bureau et en sortis l’une de mes acquisitions de la matinée. 
— Mets ça. — Vous êtes sûr ? C’est que je ne sais pas m’en servir. — C’est facile, tu verras. Tu vas vite y prendre goût. 
Laura finit par se saisir de l’objet et s’en équiper. En la voyant porter ce gode-ceinture aussi bien, j’eus une puissante érection et regrettai presque de ne pas l’avoir laissée me prodiguer une fellation. Je décidai cependant de prendre mon mal en patience pour me réserver jusqu’au moment opportun. 
— Et surtout ne t’arrête pas, quoi qu’il arrive. 
Laura hocha la tête en signe de compréhension puis se dirigea vers Albert, toujours occupé à laper le jus intime de Noa. La libido exacerbée, je savourais chaque instant de ce rapport entre les deux filles et leur ami toxicomane. Je dus faire un gros effort de volonté pour ne pas sortir mon sexe et me masturber lorsque je vis Laura écarter les fesses d’Albert pour y enfoncer son sexe factice. 
Dès la première poussée, Albert se tordit de douleur en poussant de longs râles. Comme je le lui avais indiqué, Laura ne tint pas compte de la souffrance d’Albert et poursuivit son mouvement de va-et-vient. 
— Allez, courage, Albert ! Vous verrez que ça fait du bien au bout d’un moment. En attendant, continuez à lécher Noa. Laura, accélère. 
Albert obtempéra et ses gémissements furent étouffés par le calice de Noa qui déversait toujours aussi généreusement son nectar dans sa bouche. De son côté, Laura donnait un rythme de plus en plus rapide à ses mouvements et se permettait même, de temps à autre, de donner une claque sur les fesses d’Albert. 
En voyant les deux filles prendre autant de plaisir, je me décidai à entrer dans la partie. Je me dévêtis à mon tour et fit signe à Noa de me rejoindre. Elle obéit à mon injonction et s’agenouilla devant moi pour me prodiguer une fellation. Je me laissai aller quelques instants aux caresses buccales de ma partenaire afin de me faire une idée de sa technique puis lui saisis le crâne des deux mains pour lui imposer mon propre rythme. 
En voyant le visage de Noa virer au rouge, je compris qu’elle était en train de s’étouffer en me suçant. Je fis donc ressortir mon sexe de sa bouche et la laissai reprendre son souffle. 
— Tu veux essayer, toi aussi ?
En suivant mon regard, Noa comprit ce que je lui demandais et hocha affirmativement la tête. Je lui tendis donc un gode-ceinture afin qu’elle le mette. 
À la vue de son amie harnachée de son sexe factice, Laura se retira du petit trou d’Albert pour le lui laisser et entreprit de donner le sien à sucer au toxicomane. Le premier passage lui ayant fortement dilaté l’anus, Albert supporta plus facilement les va-et-vient de Noa bien qu’ils fussent plus violents et plus rapides que ceux de Laura. 
En voyant cette dernière retirer son gode-ceinture afin de se faire lécher la moule par Albert, je pris l’initiative de me joindre à eux. Pilonné par les assauts de Noa, le toxicomane commença par donner d’habiles coups de langue sur le calice de Laura tandis que je me masturbais tranquillement en regardant ce spectacle dont je pus me délecter durant quelques minutes. 
Apparemment soucieuse de mon plaisir, Laura repoussa gentiment le visage d’Albert de son sexe et le tourna vers le mien pour qu’il me prodigue une fellation à son tour. Contrairement à ce que j’avais fait avec Noa, j’imposai directement ma cadence à Albert jusqu’à ce que je visse sa figure rougir sous l’effet de l’étouffement. Je le fis recracher ma verge et décidai d’en finir. 
— Noa, garde-lui la bouche ouverte. Laura, branle-moi. 
Les deux filles entrèrent dans leurs rôles et il ne me fallut que quelques instants pour jouir dans la bouche d’Albert sous les caresses expertes de Laura. Lorsque le toxicomane eut avalé ma semence, je lui ordonnai de lécher les doigts de Laura afin de les nettoyer des quelques traces de sperme qui les maculaient. 
Après avoir fait nettoyer mon gland à Albert, je leur permis, à lui et aux deux filles, de se rhabiller. 
— Bon, étant donné votre très forte addiction, nous aurons besoin d’appliquer cette méthode au moins une fois par jour. Comme Laura et Noa sont également très prises par leurs études, je m’engage à recruter d’autres personnes pour vous venir en aide. — Très bien, Monsieur. 
Sur ce dernier assentiment d’Albert, je fis signe à mes trois visiteurs de sortir du bureau. Je lavai les godes-ceintures et les rangeai à l’endroit où je les avais pris. Je fis également attention à remettre le sachet de cocaïne dans le tiroir et à l’y enfermer à clé. 
Après m’être assuré d’avoir pris toutes les précautions possibles, je m’assis à mon bureau en pensant rêveusement à la prochaine rencontre que j’allais organiser pour Albert. J’avais déjà une idée des personnes que j’allais recruter et de ce que je leur dirais pour les convaincre de se joindre à mon projet. 
[ à suivre ]
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