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Le Bagne

Chapitre 16

SM / Fétichisme
La responsable de la mine et son équipe pressaient les préparatifs pour effectuer le transfert du premier wagon sans perdre de temps. Pour faciliter la tâche de l’esclave, une dizaine de chariots avaient été positionnés à la sortie du tunnel menant à la zone d’extraction. Opale n’aurait plus que quatre cents mètres à effectuer pour livrer sa marchandise à Océane. Bénéficiant d’une légère descente, les premiers trois cents mètres devraient lui permettre de prendre de la vitesse. Avec un peu d’élan, elle pourrait gravir la petite centaine de mètres en pente douce sans fournir trop d’effort. Il ne resterait plus, à Océane et ses assistantes, qu’à enclencher le frein automatique et laisser descendre le chariot jusqu’au port. Avec l’acquisition récente d’un charroi tout aluminium, les bennes pouvaient contenir près de cinq cents kilos de minerai sans dépasser le poids total très raisonnable de six cent cinquante kilos. A raison d’un aller et retour toutes les cinq minutes, et de douze heures de travail par jour, les cales du Nautica ne contiendraient qu’une petite moitié de leur capacité dans dix jours. Pour assurer le contrat, deux, voire trois filles, s’avéreraient indispensables. Eduard avait contacté son patron qui refusa catégoriquement, sous peine de représailles, d’aider Opale dans son travail de cheval de trait. Il avait assuré que ses observateurs ne manqueraient pas de lui signaler la moindre entorse aux règles du jeu. Si tel était le cas, dans l’heure qui suivrait, un doigt de Jade serait parachuté d’hélicoptère sur le campement.Ilse rappela la Somalienne qui avait effectué avec succès, le premier test en charge. Elles décidèrent de tenter à nouveau l’expérience avec un wagonnet chargé d’une tonne. L’africaine n’eut pas trop de peine pour démarrer l’attelage en le tirant à la force des bras. Elle ne se débrouilla pas trop mal non plus dans les trois quarts de la descente. Malheureusement, ce qui devait arriver arriva. Le convoi prit tant de vitesse que ses jambes ne suivirent plus. Le cobaye chuta et l’essieu lui brisa les deux chevilles. Le seul point positif fut de constater l’arrêt du convoi à moins de vingt mètres du sommet de la côte. Nul doute que si les stupides tibias n’avaient ralenti le chargement, le wagonnet aurait gravit, par inertie, la quasi totalité de la pente. Son chronomètre s’était arrêté sur une minute dix, soit une minute de moins qu’avec le wagonnet rempli à demi-charge.Son pouls s’accéléra quand surgit la métisse, quasiment chauve, en pleine folie érotique. Rien n’était encore organisé pour l’accueillir. Cobra allait certainement péter un fusible.— Nous avons eu un léger contretemps. Rien de grave! Quelques écorchures quand la Somalienne a chuté lors du test à pleine charge. Si tu veux que la cale se remplisse, Cobra, il faut oublier harnachement et sangles. Trop périlleux! Et Hans qui ne désarme pas. Le moindre de nos faits et gestes lui sont rapportés. Tu connais le phénomène. Il a flashé sur la gamine et ne veut pas la lâcher.— Je sais, Ilse. Il m’a obligée à la raser simplement parce qu’elle s’était débarrassée de son harnais. Ilse détailla les exigences du trafiquant et sa récente mauvaise expérience avec la Somalienne. Cobra lui sourit. Une idée vicieuse venait de germer dans sa tête.— Puisque Hans veut s’amuser en l’humiliant, je connais une façon plus sadique de l’atteler. Souviens-toi! Les bagnards utilisaient un timon en forme de T recourbé. A deux, ils posaient leurs mains aux extrémités des branches du T pour pousser leur chargement. Il doit encore en rester deux ou trois. Ils devraient s’adapter sans difficulté sur nos wagons, étant donné que la partie roulante est identique. Va chercher Opale et dis-lui que nous l’emmenons au musée de la mine! Ilse s’en était bien sortie. La solution « matérielle » était en vue mais la solution « Opale », loin d’être évidente.— Mesdemoiselles! Si vous voulez bien rentrer vos langues et retirer vos mains ? Nous avons besoin de la petite pour une visite guidée.— Vous ne pourriez pas attendre un peu ? Nous commencions à peine à sympathiser. Mes nouvelles amies m’enseignent la sublimation du désir sexuel en me chatouillant le cou, la nuque, les oreilles et... Oulah! Oulah! C’est trop facile si vous vous y mettez à plusieurs.— Et ça marche, Amina ?
— Ça galope même, mademoiselle Cobra. Je n’ai jamais vu une femelle aussi émotive. Un simple effleurement de ses lolos suffit déjà à faire pleurer sa madeleine. Nous allions commencer le dressage de son clitoris. Si vous me laissez un peu de temps, je lui apprendrai à faire le beau comme un petit chien. A terme, une simple mauvaise pensée la fera bander sans qu’on la touche.
— Amina! Caresse-moi le pubis! Regardez! Je peux déjà le faire.
— Opale et Amina! Vous me suivez tout de suite. Nous allons visiter les galeries de la mine.Après des années d’exploitation, l’extraction intensive avait transformé le cœur de la montagne en un véritable gruyère. La petite troupe s’engagea promptement dans le dédale souterrain pour aboutir dans une première grotte. La grande salle abritait une sorte de musée de la torture. Au fil des décennies, une quantité invraisemblable d’instruments barbares, conçus par la cruauté des gardiens du bagne, s’y était amoncelée. Les parois, plantées de crochets rouillés, accueillaient un assortiment de tenailles, griffes, carcans, garrots et autres colliers de serrage. Des boulets reliés par de lourdes chaines jonchaient le sol poussiéreux. Des chaises de contention et autres cages malfaisantes, garnies de pointes acérées, conféraient à cet endroit inquiétant une atmosphère lugubre. Installée sur une petite estrade, une potence menaçante rappelait que la mort hantait toujours ce lieu. Au milieu de la salle, un objet anachronique retint l’attention de la métisse. Un pilori ! Non ! Le pilori. Celui même qui avait servi la veille à son baptême initiatique. Ne pouvant cacher la fascination qu’exerçait sur elle cet engin ensorcelant, Opale comprit qu’elle n’était pas là par hasard. Une émotion intense lui comprima la poitrine. Sa conscience aurait du lui commander de déguerpir mais une pulsion prodigieuse d infliger la torture à son corps prit possession de sa chair. Ce désir ambigu explosait maintenant dans son ventre. Elle aurait troqué sa plus belle poupée contre un châle permettant de cacher sa nudité. Prise d’un frisson incoercible, elle se croisa les jambes et serra sa poitrine entre ses bras fluets. L’heure était venue d’affronter son destin. Ce n’était pas le hasard qui l’avait conduite en ce lieu maléfique, mais une armée de bourreaux malintentionnés. Ses jambes flageolantes ne la portaient plus. Elle s’assit sur une vieille poutre de bois. Dans un réflexe dérisoire, recroquevillée sur elle-même, elle se fit toute petite pour échapper au supplice.Ilse venait de débloquer la porte rétive de la deuxième salle. Elle se rendit compte qu’Opale restait à la traine et rebroussa chemin, suivie bientôt par tout le groupe.— Toi ! Tu as un gros problème.- Ne me regardez pas comme débile ! Vos intentions sont limpides. C’est dégoûtant d’échauffer une fille aussi fort pour ensuite la martyriser dans votre chambre de torture médiévale. — Pardon?— Vous avez mis votre fierté dans votre poche pour oser vous attaquer à une proie aussi facile. Je vous plains sincèrement. C’est Elsa qui vous a dit que mon insatisfaction attisait mes pulsions masochistes. Eh bien, elle s’est trompée. C’est tout. Même si vous me masturbez pendant dix jours sans m’autoriser à jouir, jusqu’à ce que ma vulve coule comme un robinet mal fermé, je ne serai jamais une martyre volontaire. Tenez-vous le pour dit !— La petite pute est en train de se raconter une histoire.
— Putinette, pas pute ! Je suis novice. Inutile de vous fatiguer pour que mon état de manque devienne plus insupportable encore! Je ne saurai être plus échauffée que maintenant. Vous pouvez vous jeter sur moi. Je suis prête à mourir en martyre. Oubliant toute pudeur, dans un décroisé de jambes héroïque, Opale se releva, le corps tout entier tendu vers le supplice qu’elle pressentait imminent. Cobra, fascinée autant par la bêtise que la méprise de la gigolette, endossa son rôle favori de maîtresse sadique. A deux mains, l’arienne empoigna le beau visage ovale aux traits fins. Elle lui pinça le menton pour l’obliger à lui faire face, lui provoquant la chair de poule.— Vous ne me faites pas peur. Je suis déterminée. J’offrirai ma souffrance à Jade. Votre jalousie vous mange les boyaux. Ça crève les yeux. Vous pouvez me torturer autant que vous voulez. Jamais je ne renierai mon amour pour elle.
— Pas besoin de crier et encore moins de m’agresser! Je voudrais juste que tu me regardes dans les yeux. Ne parle jamais à Hans ou un de ses hommes de tes pulsions! C’est un pervers qui a subi plusieurs condamnations pour sévices sexuels sur de très jeunes filles. Le tatouage qu’il porte à son poignet est un souvenir de sa dernière incarcération.De sa main libre, Cobra titilla la petite saillie en la faisant rouler entre ses doigts.— Je connais d’autres endroits mieux outillés pour infliger plein de choses abjectes à ce joli corps de pucelle si tu es en manque. Ta languette piaffe d’impatience et s’anime comme une bergeronnette qui remue la queue en cadence. Est-ce l’ivresse de la frustration ou ton besoin de souffrir qui te procure ce grand délire mytho maniaque ?Opale sentit son corps se désintégrer.— C’est idiot. J’ai cru…Enfin ! Je trouvais la situation vraiment excitante. Pardonnez-moi ! La fascination d’être forcée d’abandonner mon corps et mon âme, dans un endroit dédié à la torture, m’a fait perdre la tête…— ...et perdre les eaux, robinet mal fermé! Il suffit de t’imaginer martyrisée pour que tu mouilles comme une dégoûtante. Sais-tu comment cela s’appelle ? — Un état de manque dramatique.— Admettons ! Que tu sois ou non sous le coup d’une insatisfaction sévère, il est grand temps de t’atteler à la tâche. Tu as mille cinq cents tonnes de minerai à livrer au port. Le tout est de savoir comment tu vas y arriver.Ilse avait terminé l’inspection de la salle mitoyenne. La seconde pièce recélait un gigantesque fourbi. Des années durant, on y avait entassé tout le matériel minier superflu et même des surplus militaires. — Les voilà! J’étais certaine de les avoir laissés ici. Il y en a tellement que nous n’aurons que l’embarras du choix.— Opale ! Choisis celui qui te plait le plus ! Le plus important, c’est le poids. Il faudra que tu le portes sur cinq cents mètres environ pour revenir à ton point de départ.Perdue dans ses fantasmes, Opale avait perdu depuis longtemps le fil de la conversation. Elle avait repéré une bite d’amarrage toute lisse. Sa minette s’était immédiatement prise d’affection pour cette nouvelle amie. Une première étreinte rassura son clitoris quant aux bonnes intentions de la boule métallique, exempte d’aspérités. Elle décida qu’un polissage énergique serait une excellente façon d’apprendre à mieux se connaître. Un frisson continu préluda à l’orgasme qui s’annonçait colossal. Elle le retint de toutes ses forces pour intensifier encore son plaisir futur. Un râle d’agonie lui déchira les cordes vocales quand le premier spasme l’empoigna. Une douleur violente mais providentielle lui brisa les reins. La brutalité du coup de trique que lui asséna Cobra, la renvoya illico au pays de la frustration.— Je rêve. Décidément, notre tapineuse de luxe collectionne les vices. Ce n’est pas la première fois que je remarque ta fâcheuse tendance à te frotter l’entrecuisse partout. Si tu tiens tellement à devenir michetonneuse sur le port, je peux t’arranger cela. En attendant, ouvre grandes tes oreilles ! Nous t’avons mâché le travail. La seule partie physique de ton job sera de tracter, à l’aide d’un de ces timons, une benne d’une tonne. Il faudra profiter de la descente pour prendre assez de vitesse pour gravir la pente sur ta lancée. Il est impératif que tu sautes sur le bras du timon avant d’avoir pris trop de vitesse ou tu passeras sous les essieux. Celle qui s’est ratée cet après-midi s’est brisé les tibias. Pour ne pas te retrouver broyée sous le chargement, tu auras intérêt à bien serrer tes cuisses et ne faire qu’une avec le madrier.— Comme avec la bite d’amarrage ?— Si tu veux, sale fille. Sauf que les rails ont bien vécu et que tu seras secouée comme un prunier. Dépêche-toi et choisis bien ! Pense d’abord et avant tout au poids et au confort de ta petite chatte baveuse ! Evite les aspérités! C’est un conseil.Opale eut immédiatement le coup de foudre pour une grosse branche aux courbes envoûtantes. Le rondin, de trois mètres de longueur, était posé contre le mur et cherchait déjà à embrasser sa chatte. Elle le chevaucha discrètement et se mit à tanguer du bassin sans que personne ne remarque l’affolant massage qu’elle infligeait à son clito. Le bouton demanda vite grâce mais Opale se refusa encore ce plaisir immédiat. Au comble de la frustration, elle s’arrangeait pour se violenter en le masturbant un rien trop faiblement que pour s’abandonner. Pendant ce temps, les filles s’activaient à remuer le tas de bois, à la recherche d’un timon suffisamment léger pour être soulevé par leur esclave.— Cobra! Ces timons, ils pèsent au minimum une trentaine de kilos et il faudra qu’elle regagne le carreau de la mine en moins deux minutes. C’est impossible à réaliser !— Le treuil électrique est toujours fonctionnel, non?— Heureusement, oui! Nous nous en servions tous les jours pour transporter l’eau et la nourriture des chevaux, jusqu’à l’endroit où ce trouve actuellement Océane avec ses girls. Je vois à quoi tu penses. Le problème, c’est qu’il n’est pas équipé d’un siège de téléphérique mais de deux simples grappins permettant d’accrocher des seaux.— Ou un timon...Il devrait être assez costaud pour ramener le timon et la ponette sur quatre à cinq cents mètres, non? Océane n’aura qu’à le coincer sur les deux crochets et Opale se mettra à califourchon dessus. Retour à l’expéditeur garanti en un temps record. — Se coucher dessus plutôt, ou elle va perdre la tête dans le câblage de l’alimentation électrique du moteur. — Si elle se couche, elle va se frotter le pubis sur le bois et perdre la tête de toute façon. — J’espère qu’elle n’aura pas le vertige. Les trois quarts du trajet s’effectueront avec un vide de deux cents mètres sous ses pieds. Enfin, techniquement, ça colle. Sur la vitesse maximale, il lui faudra moins d’une minute pour rejoindre son point de départ. Comptons large pour nous laisser le temps de bien accrocher le timon et sa passagère ! Dix tonnes à l’heure soit mille deux cents tonnes pour dix journées de douze heures, sans les impondérables.— C’est insuffisant. Avec elle, il y aura certainement des impondérables. Tu accrocheras les wagons deux par deux! Nous gagnerons en vitesse et en volume. Avec la pente, son travail nécessitera plus d’agilité que de force. Encore ! Regardez-moi cette morveuse qui se trémousse sur son bout de bois !Amina se saisit de la trique de Cobra et, de toutes ses forces, stria la croupe de la femelle en rut. Ilse et le capitaine durent s’interposer pour éviter qu’elle ne la massacre.— Tu as la mémoire courte, girelle. Je ne serais pas toujours là pour empêcher les Somaliennes de te démolir. Nous vivons en communauté et devons apprendre à respecter les susceptibilités des autochtones. Jade pesait chacun de ses mots quand elle disait que tu ne jouirais que lorsqu’elle le déciderait. Amina t’a parfaitement expliqué que les réfugiées de ce camp avaient toutes de gros problèmes pour arriver à la jouissance. Depuis que je t’ai confié à elles, on dirait que tu le fais exprès. Tu ne rates pas la moindre occasion pour aller voir les anges. Ce coup-ci, tu es allée trop loin, Opale. L’offense est inexcusable.— Je n’ai offensé personne. Je n’ai toujours pas joui depuis que je les ai rencontrées. Je prends l’ascenseur pour le dernier étage mais je m’arrête chaque fois à l’avant dernier. C’est Hans qui a exigé que je bande toute la journée sans jouir. C’est très dur mais, pour sauver Jade, je tiendrai le coup.Amina n’était pas cet avis.— Ne lui faites pas confiance! Cette dévergondée va s’envoyer en l’air sur son timon à chaque parcours si vous ne faites rien pour l’en empêcher. Vous nous aviez promis que nous pourrions la finir entre nous, le soir, en chambrée. Une page du carnet de souffrance le jour, et une page de jouissance la nuit. Cheval de trait le jour et ponette à traire la nuit. Cobra avait oublié ce détail mais l’idée lui parut très plaisante. Son oreillette également.— Ilse! Si tu as trop de personnel, tu pourrais peut-être utiliser quelques Somaliennes pour surveiller Opale pendant ses heures de travail.— Pas de problème! Une seule fille me suffira pour manipuler le treuil. Deux avec Océane et deux au chargement. Il en reste quatre de disponibles pour dresser cette petite gouine si mal éduquée. L’armoire à fouet se trouve à l’entrée. Servez-vous, mesdemoiselles!Amina se proposa pour désigner les trois dompteuses les plus joueuses, en utilisant un argument de poids.
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