Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 7 J'aime
  • 0 Commentaire

Le Bagne

Chapitre 20

SM / Fétichisme
Oubliant toutes ses inhibitions et refoulant toutes ses angoisses, Opale vida la moitié du tube de lubrifiant sur son pubis et grimpa au sommet d’une petite escabelle. Au grand étonnement des spectatrices, elle se faufila dans l’espace exigu laissé entre les deux derniers rayons. Au prix de quelques lubriques contorsions, elle insinua ses jambes de part et d’autre des avant-derniers échelons pour exhiber son entrejambe dans un sublime grand écart à la caméra d’Océane. Dans un geste de bravoure qui lui arracha un cri de douleur, O accrocha avec ses pieds les deux échelons du dessous pour que la pression des barreaux repose bien sur la racine de ses cuisses et écarte au maximum ses grandes lèvres. Sans la moindre gêne, elle empauma ses fesses pour ouvrir son sillon et révéler aux WSS la plus délicieuse bague anale qu’elles n’aient jamais contemplée. Au premier effleurement de ses seins, ses tétons se durcissement et doublèrent de volume. Les yeux emplis d’arrogance, O étira brutalement ses pointes sombres. Comme mu par un ressort, son bourgeon se tendit en se gorgeant de sang. L’étirement rythmique des ses tétons gonfla rapidement les seins de la belle tandis que le plaisir lui serrait déjà la gorge.Cobra observait la transformation radicale qui venait de frapper Opale. L’interdit sexuel était une notion qu’elle venait visiblement de supprimer de son vocabulaire. Elle confia ses impressions à l’Indienne.— Sassita! Je pense que la petite entre dans ce fameux état second qu’Elsa a décrit à son père. Le Maître sera content. Jamais il n’aurait espéré y arriver si vite. C’est moche. Depuis une demi-heure, je ne peux plus techniquement le contacter. On dirait que tout le système informatique s’est planté. — Nous la tenons alors, notre grande prêtresse. Plus question de la laisser respirer!Subjuguée par le frisselis de ses petites lèvres qui s’accordait aux oscillations enthousiastes d’un clitoris apoplectique, Sassita donna ses ordres.— Liez-lui les chevilles aux montants de l’échelle! Le plus en arrière possible pour lui ouvrir la faille en grand. Il faut que la caméra puisse se saisir de son col utérin. Le Maître appréciera.— Quand la connexion sera rétablie, Sassita. Rien ne passe pour le moment.Gerda et Ilse eurent la surprise de voir O s’épuiser pour coincer les tibias entre les échelons sans quitter ses tétons qu’elle allongeait de manière effrayante.— Tirez plus fort sur mes pieds jusqu’à me coincer les genoux dans les barreaux. Je n’y arriverai pas toute seule. Oui, comme ça! Chaque minute qui passait augmentait son insatisfaction et l’enfonçait un peu plus dans la dépravation. Quand les cordes rivèrent ses cuisses par le milieu à la structure métallique, un flot de cyprine accompagna le cri de bonheur qui sortit de sa gorge. Elle ne semblait plus craindre le moins du monde l’altération de ses téguments. Seule l’offrande outrancière de sa longue fente écartelée l’obnubilait.— Serrez très fort ! S’il vous plait! J’ai besoin d’avoir mal.Océane s’appliqua à bien relâcher les cuisses de l’écartelée pour mieux encore resserrer les nœuds— O ! Ta belle chatte est tout simplement sublime. Sassita ! Sa petite myrtille n’a même plus besoin d’une petite branlette pour être au top de sa forme. Puis-je lui astiquer un peu le minou !— Inutile de me demander la permission! Rien ne vous empêche de la tripoter tant que vous en aurez envie. Organisez-vous! Concertez-vous! Vous êtes assez nombreuses et motivées pour ne plus laisser de repos à ce magnifique gland de chair. Il existe des milliers de façons d’exploiter ce trésor. — Oh! Sassita! Elles vont faire de moi une serpillère si elles me touchent là quand il est aussi hérissé. Océane donna un long, long baiser entre ses cuisses puis porta à la bouche le clitoris turgescent. Elle le fit rouler entre ses dents comme si elle allait le croquer puis le suça avec une exquise délicatesse.L’organe se déployait plus généreusement que jamais. Le simple fait de l’effleurer la faisait trembler des pieds à la racine des cheveux. — Amina! Elle est à toi.Le regard vicieux de la Somalienne se riva sur son pubis. Elle tenait fermement dans la main droite un petit cutter, lame ressortie, et dans la gauche, une curieuse racine qui perdait sa sève goutte à goutte. — Je suis la Maîtresse du plaisir et de la douleur. Nous autres lesbiennes Somaliennes sommes des clitoriphiles impénitentes. Pour ton malheur, de si jolis membres sont une denrée rare dans cette région du monde. Ton fabuleux organe a eu le don de galvaniser notre imagination sadique dès que tu as eu le toupet de l’exhiber. Une à une, toutes les filles se rassemblèrent autour de son corps pour la caresser. Comme des pieuvres collées à leur proie, leurs mains suaves multipliaient les effleurements capiteux à l’intérieur de ses cuisses, sur son ventre et dans son dos. Elles agaçaient le grain de sa peau que des frissons voluptueux soulevaient en chair de poule. Leurs paumes avaient la légèreté de la peluche. Leurs doigts aussi légers qu’un souffle poussaient peu à peu leurs vibrations dans tous les plis et les recoins de sa nudité. Insensiblement, les mains d’O glissèrent vers son pubis et l’enduisirent de graisse de chameau. N’y tenant plus, elle s’empara de sa perle délaissée.— Oh mon Dieu! C’est trop bon. Vous me faites mourir à petit feu. Dites-moi ce que vous allez faire à mon gentil clicli!— Non seulement, notre petite chérie s’infantilise quand je lui parle de martyriser sa petite tigelle rigolote mais elle cherche à nous exciter en se régalant devant nous d’une grosse caresse au milieu de ses cuisses. Tu vas nous montrer comment tu aimerais voir maltraiter ton délicieux clitoris. Sois démonstrative et persuasive à la fois ! Ne crains rien, s’il se laisse faire gentiment sans te faire jouir, il ne le regrettera pas. Je saurai me montrer reconnaissante avec lui, ma jolie !Submergée par un trouble magistral, Opale plongea ses ongles au confluant de ses lèvres pour se lancer dans une insoutenable exhibition masturbatoire. Embrasée par les câlineries soutenues des filles qui l’enveloppaient de leur tendresse, elle en devenait confuse et obscène. — Vilain clicli! Tu me tues...tu me tues. Tu es insupportable et tu vas payer pour ça. Je vais leur montrer comment t’en faire voir de toutes les couleurs.
Ne pressentant pas le moins du monde la tournure que prenait les évènements, elle s’acharna sur son bourgeon devenu stick de pierre. Mue par une sorte de rage auto-mutilatrice, elle le décalotta jusqu’à menacer de lui arracher le capuchon. L’accusant d’être le seul responsable de son infortune, elle tira sur la hampe pour mettre sous tension extrême le frein, seul et dernier obstacle incongru à une préhension totale.— Tu ne sauras jamais souffrir assez pour ce que tu me fais endurer.La sentant en proie aux plus violents désirs, Sassita lui intima l’ordre de cesser sa masturbation pernicieuse.— C’est très bien, ma petite chérie. Nous sommes très fières de toi. Tu viens de nous ouvrir de nouveaux horizons pour t’appliquer d’autres formes de tortures plus perfides que l’abstinence et le fouet pour pimenter ta captivité. Nous allons punir ce vilain clito qui te chagrine tellement.— Oui ! Aidez moi à le châtier come il le mérite!Deux filles lui maîtrisèrent les bras en lui recommandant de ne pas trop remuer.— Je vais te faire une caresse comme tu n’en as jamais connue. Tu vas souffrir horriblement mais ensuite, ta chatte se prêtera avec délices aux attouchements. La sève acide de la racine pénétrera profondément dans les tissus érectiles de ton sexe en leur donnant brièvement une coloration jaune fluo. Les hommes prétendent que cela les fait bander plusieurs heures mais ils s’en servent surtout pour visualiser l’intégralité de la partie charnue du sexe féminin qu’ils vont disséquer lors des cérémonies rituelles. Opale écoutait ces explications un peu comme dans un songe. Amina enfila un gant de latex, laissa tomber quelques gouttes jaunâtres sur le bout des doigts et gratifia O de la fourchette somalienne qui se fait comme chacun sait avec deux doigts dans le vagin et le pouce sur le clitoris.Dès le premier contact avec sa muqueuse, c’était comme si cent d’épingles la pénétraient de leurs pointes enduites de venin. Perdue dans son délire, O se risqua à commenter la sensation abominable qui infiltrait son vagin et son bouton d’amour. — C’est horrible...horrible...horriblement paradisiaque. Aminaaaa! Dépose encore une goutte sur le bout de mon clicli! S’il te plait! C’est si fort! Il faut le puniiir...Quand une gouttelette tomba sur la perle charnue, elle se tordit, se convulsionna et supplia qu’elles le délivrent de sa tigelle incandescente. — C’est horrible. De grâce! Arrachez-moi ce clou en fusion qui me transperce jusque dans le vagin!O avait perdu toute sa lucidité au point de sous-estimer gravement les conséquences de ses paroles. Son vagin se vidait profusément de ses sucs. A mesure que son clito se raidissait, le frein se tendait à la limite de la rupture.Amina pressa la racine entre ses doigts gantés pour en extraire les dernières gouttes. Elle en tapissa la muqueuse vaginale qui prit une coloration jaune orangée dans sa partie la plus érectile. — C’est incroyable. Son point G occupe quasiment la moitié de son vagin. Elle est prête à recevoir ta main, Sassita.— Sassita! Pas comme ça! C’est ignoble, monstrueux. Je suis toute béante. — Ne dis rien et laisse-moi explorer le jeu de tes organes! Ouvre-toi et masse-moi la main avec ton vagin pendant qu’Océane s’occupe de ton clito! Je te promets que nous ne te laisserons pas partir. Si nous te donnons à manger, ton appétit disparaîtra. Tu resteras donc sur ta faim. L’estomac vide et la libido insatisfaite. Ce sera très dur pour toi, mais tu dois passer par la souffrance de tes zones génitales pour entrer en méditation et découvrir l’univers de Jaïn.Empalée au bout de cette main si audacieuse, enivrée et haletante, l’esclave respirait avidement l’air de cet autre monde qui s’ouvrait devant elle. Ses jambes interminables, inondées de ses sécrétions abondantes, ondoyaient de tous leurs muscles dans une danse lascive. Contractant les muscles de son sexe autour de l’intrus remuant, Opale luttait bravement contre l’imminence de l’orgasme comme si sa survie en dépendait.L’entente de Sassita et d’Océane se scella immédiatement. Elles trouvèrent rapidement le bon rythme et prirent le temps de se coordonner pour qu’entrent en vibration son ventre et les muscles de ses cuisses encordées. O se laissait fouiller sans un mot. Son sexe se contractait autour de la main à un rythme régulier. Elle happait l’air comme un poisson manquant d’oxygène. Son corps était parcouru de tremblements incoercibles.— Attendez, s’il vous plaît! Oooh! S’il vous plaît! Oooh! C’est pire que tout. Oooh! Pitié! Vous allez me détraquer complètement le système nerveux. Nooon! Oooh!Dès que jaillissaient les premières ondes de plaisir, les deux complices lâchaient leur proie avant de la reprendre dès la décrue de l’orgasme naissant.— Sassita, notre chienne va nous faire bientôt sa grande interprétation de la biche aux abois. Je n’ai jamais senti son gros clito aussi remuant. Dès que je le pince, sa chatte m’envoie un petit jet de sève.— La souffrance te rend éjaculatrice, cochonne. Si tu aimes tant ça, nous allons t’enseigner toutes les subtilités et les affres de l’algolagnie.Elles avaient pris totalement la mesure de son plaisir. Embarquée dans une succession infernale d’orgasmes avortés, O dégoulinait sur le poignet de sa fisteuse attitrée.— Nous verrons combien de temps il te faudra maintenant pour supplier que je t’accorde le droit le droit de jouir vraiment.— JAMAIS je ne m’abaisserai à…! Oooh! Noon! Ca recommence.... Je vis, je meurs, je brûle et me noie.Cambrée à l’extrême, la tête relevée et la gorge déployée, O feulait.— Comme tu voudras! Nous continuerons donc jusqu’à ce que ton sexe demande grâce.Opale ne pouvait plus prononcer le moindre mot et seuls des geignements sortaient de sa bouche. Sassita retira sa main de la chaleur vaginale de son esclave. Elle coupa en biseau la plus grosse des racines qu’Amina avait arrachée du sol somalien et lui tendit. — Sers-toi de ceci pour lui faire le doigt du diable! Frictionne son bibelot aussi fort que tu le peux. Quand sa muqueuse sera bien irritée, la sève plus abondante et concentrée imprégnera complètement le tissu spongieux. Il sera plus aisé de délimiter les tissus nobles de son organe en les marquant.Les bras bloqués et les jambes ligotées, O ne pouvait plus faire un geste pour se soustraire à l’abrasion de l’épicentre de ses sens. Un premier attouchement léger lui causa une souffrance intolérable et délicieuse. Quand Amina frotta la tranche de la racine sur son point G, elle lui causa une véritable crise d’épilepsie.— La petite truie est en passe de battre son record de frissons ininterrompus.— Ecrase-lui sa tige entre deux racines bien juteuses ! Elle est assez vicieuse pour y trouver son plaisir. Je vais t’aider.Sassita se colla contre le dos de la suppliciée et prit appui avec ses coudes sur les cuisses encordées. Elle planta ses ongles dans le confluant de son sexe et se saisit du clitoris congestionné comme pour l’arracher.— Il est mille fois plus amusant quand il se dresse. C’est ainsi que je veux que ton sexe soit éternellement présenté à toutes celles qui désireront l’utiliser. Le pauvre chaton ondula comme un serpent tout le temps qu’Amina lui pratiqua son ponçage en règle. Libérant de longs râles lascifs, arrachés aux entrailles de sa gorge, Opale contemplait les deux tortionnaires qui s’acharnaient sur son clitoris offert en pâture.Cobra lui caressa les seins comme pour l’aider à supporter la montée brillante de sa douleur.— Je pressens que tu ne vas pas tarder à jouir. Nous avons chacune nos petits fantasmes. Moi, j’aimerai beaucoup te voir souffrir comme maintenant pendant que je ferai l’amour avec Jade. J’adore ligoter les petites garces en chaleur et jouer avec leur clitoris jusqu’à ce qu’elles n’en puissent plus et qu’elles me supplient de vider leurs glandes. Le Maître également.Opale, dégoûtée, lui cracha à la figure.— Comme tu voudras! Amina! Excise-la selon la volonté du Maître! Océane, tu filmeras le spectacle de son supplice.Opale comprit soudain avec horreur le but ultime de la préparation qu’elle venait d’endurer. Ce qu’elles voulaient lui faire subir dépassait son entendement. Le jeu sexuel qui l’excitait tellement se transformait en cauchemar et elle n’y pouvait plus rien.— Si le plaisir physique a des bornes, la douleur, au contraire, est sans limite. Il n’est pas un seul point du corps humain qui ne puisse devenir l’objet d’une torture intolérable. Une poussière dans l’œil, une fracture imperceptible dans le plus menu des os, et le supplice rayonne, s’agrandit, enveloppe d’effluves térébrants la victime tout entière. Sa supplication muette et désespérée ne servit en rien sa cause. L’infâme cutter accomplissait déjà son œuvre. Opale ne souffrait plus. Au contraire, la tension colossale qui avait investi son clitoris s’estompait progressivement. A tort, elle attribua cet apaisement à la section de ses nerfs clitoridiens, chargés de véhiculer l’information à son cerveau. Incompréhensiblement, elle commençait même à ressentir un plaisir immense à se laisser charcuter par la somalienne. Sans doute expérimentait-elle déjà la fameuse histoire du membre fantôme que tant d’amputés décrivent.— Pour le frein, c’est très bien. Inutile d’aller plus loin ou tu vas la faire saigner ! La hampe se déploie exactement comme le Maître le voulait. Débarrasse-le de son capuchon maintenant ! Opale se rendit compte à quel point elle était tombée dans l’avilissement le plus total. Les yeux fixés sur la jointure de ses cuisses,elle épiait les deux sorcières qui ciselaient avec une précision d’orfèvre la partie la plus sensible de son anatomie. Une ivresse sans pareille s’empara de son esprit quand elle réalisa que la finalité cette chirurgie barbare ne servait qu’à sublimer la béatitude de la prêtresse d’un culte païen qu’elle était devenue. Grisée par la souffrance capiteuse qui diffusait dans son sexe, elle se remémora les paroles de Sassita: " Quand la souffrance devient plaisir, il n’y a plus de limite à la jouissance". L’excitation ressentie lors de la flagellation était peu de chose en regard du grand chambardement que ce petit cutter induisait dans son sexe. Son bourgeon s’érigeait maintenant sans défense, long comme la pulpe d’un doigt.— Elle a l’air de bien supporter. Découpe au maximum son capuchon tout en la faisant bien bander!— Oh oui! Mettez mon clito à nu! Ca pince un peu mais allez-y franchement! Finalement, c’est moins terrible que je ne le pensais. C’est même très supportable et horriblement excitant. Ma chatoune est trop belle ainsi et me donne trop de plaisir immérité. Faites le moi payer très cher!— La petite garce en redemande, dirait-on. La bête infâme se serait-elle emparée de ses entrailles ou alors...? Amina! Sa perle rose manifeste certes une vitalité de bon augure mais ne l’as-tu pas rendue insensible en lui ôtant toute sa protection ? Une volée de lanières de cuir prit la direction du buste de la perverse. O était allée si loin que son esprit avait fui sur une autre planète.— Oh ouiiii sur mes seins...et sur ma chatte aussi…Aaarrh! C’est si fort ! Vous voulez ma mort ?— Pourquoi se priverait-on de te gratifier de la violence que tu attends de tes provocations ? Tu réalises une entrée en fanfare dans le monde redoutable de l’enfer sexuel sans présager qu’il abrite des émois mille fois plus palpitants que ceux de ta vie antérieure. A la fin de ton initiation, tu t’étonneras de découvrir une jouissance incomparable qui ne pourra plus s’exprimer que dans des situations extrêmes d’exhibition et de tortures. Ton corps implorera la douleur et tu demanderas à nos tenailles de supplicier afin d’agrandir et de magnifier tes extases charnelles dans un spasme divin et intarissable. En refusant les plaisirs faciles et immédiats, tu entreras dans le Nirvana en semant le bonheur autour de toi. Nous t’enseignerons que la jouissance sexuelle, comme toutes autres choses dans la vie, doit se mériter. Rien ne sera plus jamais pareil pour toi, O, quand tu auras goûté cette alchimie captivante. Lâchez-lui les bras!Instinctivement, ses mains se portèrent sur son pubis. Son clitoris était devenu d’une hypersensibilité déconcertante et sa pointe, constamment ressortie, hyper vulnérable.— Je comprends mieux maintenant pourquoi le Maître insiste tant pour que je participe activement à mon initiation. Déliez-moi! J’ai hâte de lui prouver mon obéissance.— Le Maître sera généreux. Il saura récompenser ton travail physique et spirituel et tu n’auras pas subi la métamorphose de la "sunna" pour rien. Si tu parviens à te maintenir au stade supérieur de ton excitation, chaque nuit, tu recevras ta pitance alimentaire et orgasmique des mains de tes camarades de chambrée. La sunna est la forme la moins "grave" de l’excision rituelle. Elle est souvent appelée aussi "excision symbolique". Elle consiste à couper la membrane qui sert de frein au clitoris, à l’inciser, ou bien encore à en couper le capuchon.— C’est horriblement excitant de me livrer à ces harpies en état de manque absolu. Combien seront-elles?— Une dizaine...pour le moment ! Ilse les a rassemblées près de l’entrée de la mine pour leur exposer leur mission. Elles sont persuadées que tu as exigé de te faire débrider le clitoris pour magnifier des sensations qu’elles ne ressentiront jamais. Regarde comment elles observent ton sexe avec ressentiment! Tu es l’antithèse de la femme somalienne classiquement représentée excisée et infibulée. Je crois que ta perversité et ton clitoris en parfait état de rigidité les ont définitivement conquises.Loin d’appréhender cette confrontation, O, incorrigible de candeur, effleurait ostensiblement son bourgeon tumescent comme la plus méprisable des putains.— Le Maître se dit généreux mais il est machiavélique. Comme il doit regretter cette panne informatique. Dieu seul sait quand il aura le privilège de contempler mon clitoris si expressif, témoin de l’état d’avancement du délire de l’objet sexuel qu’il veut que je devienne.— Ça suffit ! Tes traits d’esprit m’indisposent. Détachez-la et conduisez-la aux chariots! Cobra se gaussait de l’arrogance stupide de sa rivale.— Sassita, elle t’avait prévenue, me semble-t-il ! A force de la stimuler, elle finirait par sombrer dans la folie. Veux-tu que je lui passe la camisole?— C’est inutile. Une bonne douche froide sera aussi efficace que la meilleure des camisoles de force.
*
Diffuse en direct !
Regarder son live