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La baigneuse

Chapitre 1

Lesbienne
Naomi
Ce dimanche trois juillet en début d’après-midi, je me promène tranquillement dans une forêt que je ne connais pas, je viens juste de laisser mes parents finir d’aménager la maison. Ils viennent d’acheter une grosse maison dans ce patelin à quarante kilomètres de Toulouse, loin des pollutions des grandes villes comme dit mon père. Moi, ça ne m’enchante pas du tout, je ne vais plus voir mes copines aussi souvent qu’avant, bien sûr qu’on se verra à la fac, mais plus le soir, fini les fiestas et surtout les petits câlins avec Léa et Carla, mes deux voisines. Elles sont sœurs, deux et treize mois de plus que moi, mais font l’amour ensemble avec des copines, c’est leur trip. J’ai les boules !!! en plus, les vacances d’été commencent, on ne va plus se voir pendant deux mois, à dix-huit ans tout juste, je n’ai pas encore le permis de conduire, et ce n’est pas dans ce patelin que je vais trouver une auto-école, la plus proche est à douze kilomètres.
Je ne suis pas de bonne humeur, surtout que mon frère et ma sœur me gonflent avec leurs réflexions de petits merdeux. Ils se croient intelligents à treize ans, ce sont des jumeaux, ils restent entre eux, je suis quasiment une étrangère pour eux.
Il fait très chaud, je commence à transpirer dans mon tee-shirt et mon minishort. Cette forêt est assez sympa, les arbres ne sont pas très grands, et l’ombre est moins rafraîchissante que dans les grandes forêts. Le chemin est assez étroit et tortille entre les arbres, j’ai ma montre qui fait boussole, comme ancienne guide de France, je sais m’en servir, je m’enfonce dans cette forêt inconnue en toute confiance. Mais il fait vraiment trop chaud, je décide d’enlever mon tee-shirt, je n’ai rencontré personne depuis que je suis dans cette forêt, elle ne doit pas être trop fréquentée. De toute manière, j’ai des yeux et des oreilles, je verrais le danger venir.
J’arrive dans une petite clairière, un ruisseau coule lentement, une courbe de son cours forme une petite étendue dans laquelle je pourrais entrer. Après avoir tâté l’eau et constaté qu’elle était fraîche, mais pas glaciale, je décide de me tremper dedans pour me rafraîchir. J’enlève mon minishort, mes baskets, mes mini-chaussettes et ma monte qui n’est pas étanche. Je me trempe dans cette eau qui me saisit, elle n’est pas aussi bonne que je le croyais. Je reste un peu quand même, je commence à m’habituer quand j’entends des voix, je sors de l’eau en catastrophe, mais je n’ai pas de serviette, j’attrape mes affaires et me précipite à l’opposée me cacher derrière des arbres.
Une minute plus tard, je vois apparaître une jeune fille noire, plutôt chocolat au lait, en tee-shirt et short tenant une serviette dans la main gauche et une petite radio contre son oreille. Elle pose la serviette sur l’herbe, la radio à côté, se déshabille entièrement et passe ses mains sur tout son corps. Elle est magnifique, très jolie, des traits fins, elle doit être de sangs mêlés. Elle fait plus d’un mètre soixante-seize, c’est ma taille et elle est plus grande que moi. Elle a de magnifiques seins ronds et bien hauts, un ventre plat et brillant, un pubis lisse et rebondi, des fesses de noire, bien rondes, hautes, extraordinairement belles, et des jambes sans fin. Je suis fascinée par cette fille, mon cœur bondit dans ma poitrine, mon ventre se serre, je ne peux détacher mes yeux de cette magnifique fille.
Je me compare à elle, moi, je ne suis pas une sylphide, je fais un mètre soixante-seize tout rond et je pèse soixante et onze kilos, je suis de corpulence dite normale d’après mon IMC de vingt-deux virgule neuf, mais c’est juste à deux points en dessous du surpoids. J’ai tout ce qu’il faut là où il faut comme disent Léa et Carla, et elles aiment ça, moi aussi j’aime mon corps, je ne fais rien pour maigrir. On m’aime comme ça ou on ne m’aime pas, je m’en fous. Elle rentre lentement dans l’eau, elle laisse son corps s’habituer à la température de l’eau. Je reste là, je ne veux pas faire de bruit, je la regarde, je suis quasiment en face d’elle, je vois son corps sous l’eau. Je suis fascinée par ses seins dont les tétons bien proéminents sortent de l’eau. Je vois qu’un de ses bras est sous l’eau, sa main est entre ses cuisses, il fait des mouvements de haut en bas.
Je regarde mieux, ce n’est pas vrai, elle a les jambes ouvertes et se masturbe dans l’eau !!! je regarde mieux sa tête, je vois qu’elle ferme les yeux, qu’elle est détendue et qu’elle semble attendre sereinement quelque chose. Au but d’un moment, elle semble se raidir, ses épaules sortent de l’eau, elle penche sa tête en arrière, elle ouvre la bouche.
— AAAAAHHHHH, MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM.

Elle jouit devant moi, son visage s’illumine, elle semble au paroxysme du bonheur. Evidemment, elle ne sait pas que je suis là, mais je me demande comment je vais faire pour m’en aller sans me faire remarquer par elle. Le passage est trop encombré derrière moi, je ne pourrais pas le franchir sans attirer l’attention. J’ai peur d’être obligée d’attendre qu’elle reparte. Au bout de quelques minutes, elle sort de l’eau, les gouttes ruisselant sur sa peau me troublent, de voir ce magnifique corps chocolat briller sous le peu de soleil m’émeut, je sens ma vulve réagir et s’humidifier sérieusement. J’aime les femmes, et celle-là est plus que « bandante ». Elle prend sa serviette et s’essuie, je pense qu’elle va se rhabiller et partir après son petit bain. Il n’en est rien, elle étale sa serviette et s’allonge dessus en ouvrant ses jambes face au soleil.
Elle semble gênée, elle se redresse, soulève sa serviette et prend quelque chose dans l’herbe, c’est ma montre !!! je réalise que je l’ai oubliée dans ma panique, je ne peux pas la laisser, il faut que je la récupère. Elle regarde alentour, elle semble un peu contrariée, son regard se fixe dans ma direction.
— Qui que tu sois, aie les couilles de sortir et de te montrer sale voyeur !!!

Je sors de ma cachette, mes affaires à la main, je suis toujours nue et encore mouillée, elle me regarde stupéfaite, elle se lève.
— Mais tu es qui toi, que fais-tu à poil à me mater ?— Camille, je viens d’arriver dans le village.— Lequel ?— Mirepoix sur Tarn, juste à côté.— Putain, enfin une fille de mon âge dans ce putain de patelin, moi c’est Naomi, j’habite le village depuis cinq ans, et je peux te dire que depuis, je m’emmerde comme une rate morte. — A cause de ta couleur de peau, personne ne veut de toi ?— Pas du tout, non, c’est juste qu’il n’y a personne de mon âge, les gens sont sympathiques et accueillants, mais trop vieux pour moi. Nous avons très bien été intégrés, mon père est même au conseil municipal. Mais moi, je suis tout le temps seule, résultat, je passe mon temps dans cette clairière quand il fait beau, je suis bien, je n’ai jamais vu personne dans le coin. Mais le reste du temps, je m’emmerde profondément.

Elle me tend la montre.
— Je présume que c’est à toi.— Oui, je l’ai oubliée dans la panique quand je t’ai entendu arriver. — Tu étais à poil ?— Oui, je me baignais comme toi.— Viens, allonge-toi à côté de moi, on va discuter tranquillement. — Je n’ai pas de serviette, ça va être un peu dur sur l’herbe.— Non, sur la mienne, elle est assez grande pour nous deux.

Elle s’allonge sur sa serviette, je m’allonge à côté, mais sa serviette n’est pas si large que ça et nos corps se touchent. Je sens sa hanche contre la mienne, j’ai un léger frisson, je suis sûre qu’elle l’a ressentie, mais je m’en fous, au contraire, cette fille me fait mouiller, j’aime les femmes. J’espère qu’elle est comme moi, et qu’elle va remplacer Léa et Carla, ça ne fait que cinq jours que j’ai quitté Toulouse, mais je commence à être en manque du contact de leur peau, de leurs lèvres, de leurs langues sur ma vulve, de ma bouche sur leurs sexes. Mais moi aussi j’ai senti qu’elle avait réagi au contact de ma peau, je pose ma main sur ma cuisse gauche pour me gratter et négligemment, elle touche sa cuisse, elle a un léger frisson.
Ma main se pose carrément sur sa cuisse, elle ne bouge pas, je sens même la pression de sa cuisse augmenter comme si elle voulait les ouvrir. Je me tourne vers elle exactement au moment où elle se tourne vers moi. Nos nez sont à un centimètre l’un de l’autre, j’incline un peu ma tête vers la droite, elle fait de même, je m’avance un peu et nos bouches se soudent. Je me couche littéralement sur elle pour échanger un long baiser. Ma langue s’enfonce dans sa bouche pour aller faire la connaissance de la sienne, elles se touchent, se testent, se chamaillent, se câlinent, s’apprécient et finissent par s’aimer. Naomi en profite pour faire glisser ses mains sur mon dos et mes fesses sur lesquelles elle s’attarde, mais ce ne sont pas des caresses franches, j’ai l’impression qu’elle hésite, elle ne semble pas être très sûre d’elle. Je suis sur elle, mes seins contre ses seins, mon pubis lisse sur son pubis lisse.
Je glisse lentement sur son corps, ma bouche arrive sur ses seins, je les embrasse, les titille, les lèche, mais je continue mon chemin vers son ventre, j’ai une autre cible en tête. Je l’embrasse jusqu’à ce que j’arrive sur son pubis. Elle commence à onduler du bas-ventre ses bras le long de son corps et à émettre des soupirs, ma bouche se pose sur le capuchon du clitoris, ma langue le titille et l’écarte pour se poser sur son bouton d’amour. Elle se cabre pour accentuer la pression de ma bouche.
— Oui, oh oui, j’aime, continue s’il te plaît.

Evidemment qu’il me plaît de farfouiller dans ce merveilleux sexe, îlot rose au milieu d’une peau sombre, un oasis de sensualité, et je vais continuer, ne t’en fais pas ma petite chérie. Je descends un peu sur son vagin qui ruisselle de cyprine, ma langue s’enfonce un peu entre ses lèvres et le lèche. Elle donne un coup de reins en avant, je lui écarte les cuisses et les remonte un peu, son sexe s’ouvre encore plus, il m’est complètement offert. J’en profite pour enfoncer ma bouche dans cette vulve chaude et noyée de cyprine, j’adore le goût de ce nectar d’amour. Je me goinfre à grands coups de langue de ce liquide chaud et onctueux, son ventre bouge de plus en plus vite, elle me donne son sexe, je le prends avec plaisir. Lentement, son corps se tend, je sens qu’elle est au bord de l’orgasme, mais je veux encore profiter de son jus d’amour, j’aime trop le boire. Je veux la faire languir et je reste sur le bas de son sexe, je sais qu’elle ne va pas jouir tout de suite, elle s’impatiente.
— Allez, fais-moi jouir, je n’en peux plus.

Je ne l’écoute pas, je continue encore d’éviter son clitoris et ce qui l’entoure, je reste sur son vagin et son périnée encore une bonne minute. Ses mains appuient sur ma tête en essayant de la faire remonter sur son clitoris.
— Allez salope, j’en peux plus, fais-moi jouir sale garce, fais-moi jouir !!!

Cette fois, ce sont ses tripes qui parlent, je remonte sur son clitoris, pose mes lèvres dessus, l’aspire en le titillant avec ma langue. La réaction est immédiate, elle se cambre, ses fesses décollent de quinze centimètres, son corps n’est plus qu’un bout de bois secoué de spasmes de plaisir. Je me déchaîne sur son clitoris, je le mordille, le suce, l’aspire. Elle hurle son plaisir, je ne sais pas s’il y a quelqu’un aux alentours, mais je suis sûre qu’on l’entend assez loin. Elle donne des coups de reins contre ma bouche, je lui malaxe les lèvres, elle commence à ralentir la cadence. Lentement, son corps se détend, je l’accompagne en la léchant, en embrassant ses lèvres, son clitoris, en glissant ma langue dans son vagin. J’en profite pour m’abreuver de sa cyprine.
Quand son corps est détendu sur sa serviette, je remonte le long de son corps, j’arrive au niveau de ses lèvres, son regard est lumineux, son visage est extraordinairement beau, elle me sourit, passe sa main derrière ma tête pour m’attirer sur sa bouche. Notre baiser est différent, plus tendre, plus sensuel, sa langue se dispute l’espace avec la mienne, mais juste pour se câliner et s’aimer. Je ressens un profond bien-être en échangeant ce baiser. Je finis par me laisser glisser sur le côté. Elle me regarde.
— Tu aimes les femmes ?— Oui, je n’ai jamais eu de copains, je les trouve cons.— Je ne suis pas la première à qui tu fais ça ?— Non, bien sûr, j’ai eu pas mal de copines à Toulouse, en ce moment, j’en ai deux en même temps.— Tu les vois l’une après l’autre ?— Non, en même temps, ce sont deux sœurs, ce sont mes voisines depuis deux ans, elles ne font l’amour avec d’autres filles qu’ensemble. — Moi, c’est la première fois que je fais ça.— Tu plaisantes, j’ai eu l’impression que tu n’attendais que ça.— C’est vrai, j’ai toujours fantasmé sur ça, mais je n’ai jamais fait l’amour avec une fille, ni même avec un garçon d’ailleurs.— Pour une fille innocente, tu as un sacré vocabulaire.— J’ai deux frères plus âgés que moi, ils sont jumeaux, ils s’engueulent et s’injurient tout le temps, pourtant, j’ai l’impression de ne pas exister pour eux.— Putain, ce n’est pas vrai, moi aussi j’ai un frère et une sœur jumeaux, c’est comme toi, je n’existe pas. Mais ça n’explique pas ta sortie.— Je n’en pouvais plus, tu tardais trop à me faire jouir, je n’ai jamais fait l’amour avec une fille, mais je sais quand même me faire jouir, et je sais retarder l’orgasme. — Moi aussi.— J’ai vu, et je dois te dire qu’en définitive, j’ai adoré, je n’ai jamais autant joui de ma vie.— Il n’empêche que tu m’as traitée de salope et de sale garce, tu ne trouves pas que c’est un peu fort quand même.— Mets-toi à ma place, tu faisais tout pour que je ne jouisse pas tout de suite, j’étais dans un état second, plus moi même, c’est mon sexe qui commandait, il voulait me donner ce plaisir immense que tu as su trouver en lui. Mais je peux te dire que si tu recommences à me faire languir comme ça, je te traiterais encore de sale garce, voire de salope tout en sachant que je jouirais comme jamais, il ne faudra pas m’en vouloir. — Donc, tu as beaucoup aimé ?— J’ai adoré, mais moi, je ne sais pas ce qu’est un sexe de femme sous ma bouche.— Donc, tu ne saurais pas me refaire la même chose, tu ne l’as jamais fait.— Je ne sais pas si je saurais le refaire, mais j’aimerais quand même essayer.— Tu sais ce qu’il te reste à faire, je suis ton esclave.

Je m’allonge sur la serviette en ouvrant mes jambes. Elle se couche sur moi, sa bouche prend possession de la mienne, nous échangeons un nouveau baiser tendre et sensuel. Sa bouche quitte la mienne, elle descend sur mes seins, ses lèvres les aspirent, sa langue les lèche, ses dents les mordillent, elle descend encore, embrasse mon nombril et arrive sur mon mont de Vénus. Je commence à mouiller grave, elle descend encore un peu, elle semble hésiter. Je sens sa langue se poser entre mes lèvres. Elle donne un coup de langue sur toutes leurs longueurs jusqu’au clitoris, elle me goûte.
— Putain, j’adore, j’adore cette odeur, j’adore ce liquide, j’adore la souplesse de tes lèvres, j’adore ton petit bouton dur, j’adore ton sexe, j’adore ton sexe de femme, j’adore les femmes.

Cette fois-ci, elle plonge carrément dans mon sexe, je sens son nez sous mon clitoris, elle donne des coups de tête de droite à gauche comme pour vouloir encore plus s’enfoncer dedans. Mon bas-ventre commence à onduler, je sens que mon corps s’émeut de ce traitement, il aime. Je me laisse aller, je ferme les yeux pour pouvoir apprécier encore plus ce moment divin. Je suis la première femme dont Naomi explore le sexe, je veux qu’elle aime ce qu’elle fait, ce qui a l’air d’être le cas. Ses mains me plient les jambes et se glissent sous mes fesses pour me plaquer contre sa bouche, elle n’a pas besoin de leçon, elle devine très vite ce qu’il faut faire. Elle se venge, sa bouche ne dépasse pas mon vagin, elle reste sur le bas de mon sexe, elle va même jusqu’à titiller ma rondelle maintenant que mes cuisses sont grandes ouvertes.
Elle enfonce un pouce dans mon vagin et le ressort aussitôt, deux secondes plus tard, je le sens à l’entrée de ma rondelle, il s’enfonce sur presque toute sa longueur, j’ai un énorme frisson qui me transperce le corps, j’aime.
Sa bouche continue son travail de sape, je suis de plus en plus tendue, au bord de l’orgasme, mais elle le sait et ne fait rien pour me faire jouir tout de suite, un prêté pour un rendu. Je n’insiste pas, je sais que je vais jouir comme rarement, son inexpérience ajoute à mon excitation, je sens mon corps prêt à exploser. Je me tends de plus en plus, elle le sent, sa bouche remonte lentement en haut de mon sexe, ses lèvres atteignent mon clitoris, elle l’emprisonne et l’aspire en le mordillant. J’explose dans un fantastique orgasme comme je n’en ai jamais vécu. Mon corps est arc-bouté sur mes épaules et mes bras, je monte mon sexe au-dessus de la serviette, elle n’arrête pas de me titiller le clitoris, je ne sais plus où je suis, je suis prise dans un tourbillon de plaisir qui m’entraîne hors de mon corps, dans un univers de joie et de béatitude.
Lentement mon corps se détend, elle n’arrête pas de me sucer le clitoris, ses mains glissent sur mes hanches, je suis dans un nuage, quand je sens la serviette sous mes fesses, je me laisse aller, mon corps se ramollit.
— Tu as aimé, je me suis bien débrouillée ?— Tu as été extraordinaire, je peux te le dire, je n’ai jamais joui comme ça. Tu es la reine de minettes.— Merci, mais je dois dire que j’ai été agréablement surprise par ton sexe, je ne m’attendais pas à aimer à ce point. J’avais déjà sucé mon doigt après l’avoir trempé dans ma cyprine, je n’avais pas trop aimé, mais là, j’ai adoré. Et j’ai envie de recommencer le plus vite possible.— Ça, c’est très possible, et même dans un bon lit bien douillé, mes parents travaillent, j’ai toute la matinée, ma mère ne rentre que vers quinze heures, et mon père vers dix-sept heures quand il est là.— Mais tu m’as dit avoir un frère et une sœur.— Ils sont partis ce matin en colonie de vacances tout le mois de juillet, je serais seule, je n’ai pas voulu aller chez la sœur de ma mère, son mari me serre d’un peu trop près.— Il faut dire que tu es plus qu’appétissante, tu es une très belle femme comme je les aime.— Merci, je dois dire que dès que je t’ai vue nue, j’ai commencé à mouiller grave, j’ai eu envie de m’occuper de ton corps, toi aussi tu es appétissante.

Nous nous enlaçons, je me mets sur le dos en l’entraînant sur moi, j’éprouve beaucoup de plaisir à sentir son corps peser sur le mien, je lui caresse les fesses, elle pose ses lèvres sur les miennes. Après avoir échangé un long baiser, nous nous allongeons côte à côte. Nous discutons en nous présentant. Je lui dis que nous sommes là depuis cinq jours passés à ranger la maison que mes parents viennent d’acheter après le déménagement, que je découvre le coin, que j’ai tout juste dix-huit ans et que j’entre en première année de fac de médecine en septembre prochain. Elle est là depuis cinq ans, son père a repris une entreprise à côté, sa mère est professeure des écoles dans le patelin. Elle entre aussi en fac de médecine à la rentrée prochaine, mais en seconde année. Elle a mon âge, un mois de plus, mais a eu son bac à dix-sept ans, c’est plus facile d’apprendre avec une mère du métier. En fait, elle est rentrée au CP à cinq ans, et comme elle n’était pas conne, ça s’est bien passé.
Elle a deux frères jumeaux de vingt et un ans, son père est d’origine camerounaise et sa mère franco-belge, ça fait du mélange comme elle dit. Moi je trouve que le mélange est superbe, je lui dis et elle me saute dessus pour m’embrasser. Nous nous câlinons, ses mains se promènent sur mon corps, mes mains se promènent sur son corps, je l’allonge sur la serviette.
— Laisse-moi faire.— Vas-y.

Je m’allonge sur elle tête-bêche. Elle comprend tout de suite ce que j’attends d’elle, ses mains se posent sur mes fesses et me plaquent contre sa bouche quand je pose la mienne sur son sexe. Je la titille, elle me titille, je la lèche, elle me lèche, il n’y a plus de compétition, nous nous rendons ce que l’autre nous donne. Au bout de deux minutes, je jouis sous sa langue, je continue de lui titiller le clitoris, elle me suit quelques secondes plus tard. Quand nos corps sont de nouveau détendus, elle me fait allonger à côté d’elle.
— Tu habites à côté de chez moi, j’aimerais qu’on se revoie.— Mais il n’est pas question que tu m’échappes ma petite chérie, maintenant, nous allons nous voir tous les jours, tu aimerais te baigner dans une piscine privée ?— Bien sûr.— Eh bien, à partir de demain, la piscine de mes parents sera opérationnelle, l’installateur vient faire les dernières vérifications demain matin, je t’invite à l’inaugurer avec moi, ils seront au boulot, les pauvres !!!— Il y a une piscine chez vous ?— Oui, ma mère en voulait une depuis longtemps, pas possible d’en installer une où on habitait avant, c’est aussi pour ça qu’on a déménagé ici, mais on ne peut pas la voir de l’extérieur, elle est entourée de troènes, on sera tranquille.— C’était le jardin des anciens propriétaires.— Oui, plus de jardin, ce n’est pas la passion de mes parents, et la haie de troènes est très dense, on pourra faire ce que l’on veut.— Même l’amour ?— Même l’amour dans l’eau si tu veux.

Nous restons allongées à discuter, mais l’heure tourne, il faut rentrer. Nous faisons une grande partie de chemin, nues, ça nous excite, arrivées à une centaine de mètres de la lisière, je la plaque contre un arbre et plonge ma main dans son sexe, elle m’imite, nous jouissons debout en nous soutenant mutuellement. Une fois habillées, nous rejoignons le chemin du retour. Sa maison est dans le village, la mienne, à l’extérieur, à plus de six cents mètres du panneau, elle me demande de la suivre. En entrant chez elle, nous sommes accueillies par une superbe femme d’une quarantaine d’années, blonde, assez grande, des yeux bleus magnifiques, en pantalon noir moulant et tee-shirt ample laissant deviner que ses seins sont libres.
— Camille, je te présente ma mère, Chantal.— Bonjour madame.— Bonjour Camille, tu peux m’appeler Chantal, j’ai l’habitude avec les petits, la madame me gêne un peu, ça fait trop prof.— Très bien Chantal.

Elle se dirige vers une pièce du fond.
— Vous buvez quelque chose les filles, j’ai du coca et du ice-tea.— Coca.— Coca.

C’est apparemment la cuisine, elle revient avec les boissons et deux verres.
— Ici, on boit dans des verres, pas à la canette.— Chez moi aussi.

Nous buvons nos boissons en discutant sur une terrasse derrière la maison. Je regarde Chantal, elle est très belle, et elle a un cul d’enfer pour une femme de son âge, il est bien moulé dans un pantalon seconde peau, pas de trace de culotte, string ? Au bout d’une grosse demi-heure, je les quitte pour aller à la maison, je dois aider maman pour le repas.
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