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La baigneuse

Chapitre 3

Lesbienne
Maman
Maman et Chantal se redressent, elles s’assoient sur le transat et nous regardent, Naomi se redresse, nous nous asseyons côte à côte.
— Bon les filles, ce qui vient de se passer est assez clair pour que nous ne nous posions plus de question. J’ai retrouvé des sensations de ma jeunesse, je pense que Chantal aussi, il n’y a pas à revenir dessus, c’est fait, et tant mieux, n’en parlons plus. Ceci dit, je me tourne vers Chantal pour lui dire que si ça pouvait se reproduire, je suis preneuse, j’ai adoré ce qui s’est passé entre nous.

Pour toute réponse, Chantal enlace maman et l’embrasse avec fougue. Je fais de même avec Naomi. Quand nous nous séparons, maman se lève.
— Que diriez-vous d’une boisson fraîche ?

Tout le monde est d’accord, elle va chercher de quoi boire. Naomi regarde sa mère tendrement, elle se lève et va s’assoir à côté d’elle. Elle l’enlace et lui dépose deux bises sur les joues.
— Je t’aime maman chérie, et encore plus maintenant que je sais que tu es comme moi, que tu aimes les femmes.— Oui, j’aime les femmes, mais aussi les hommes.— Moi, pour les hommes, je ne sais pas encore, comme Camille.— Ça viendra mes chéries, ne vous en faites pas, vous le saurez bientôt, j’en suis sûre.

Maman revient avec un plateau rempli de boissons fraîches et de verres. Nous buvons un coup tranquillement, mais quelque chose me chagrine, maman a dit qu’elle avait retrouvé ses sensations de jeunesse, mais je sais pertinemment qu’elle doit s’envoyer en l’air avec des femmes à Agde, mes parents sont échangistes.
— Dis-moi maman, tu ne fais pas l’amour avec des femmes à Agde quand vous allez dans les boîtes le soir ?— Non ma chérie, faire l’amour avec des femmes à Agde implique que les hommes s’amusent entre eux aussi, pas toujours, mais assez souvent, et ton père n’a jamais accepté, ce que je regrettais, car ça me privait de femme, mais maintenant, je crois que j’ai trouvé la personne qu’il me fallait.— Je ne savais pas, donc, pas de nanas à Agde.
— Non, pas de nanas, juste des mecs.

Je comprends mieux, mais j’ai chaud et je vais piquer une tête, Naomi me suit. Nous restons un bon moment à nous amuser dans l’eau, nous caresser, nous embrasser, ça m’excite, j’ai envie d’elle, je la plaque contre la paroi de la piscine, mon doigt lui titille le clitoris, elle me fait la même chose, le tout en nous embrassant. Nous jouissons assez vite, nous décidons de sortir pour nous allonger sur nos transats. Quand nous sortons, nous avons la surprise de voir Maman et Chantal tête-bêche, elles se font l’amour une nouvelle fois. Ça devait durer depuis un certain temps, car elles jouissent au moment où nous passons près d’elles. Chantal est sur maman, je ne peux m’empêcher de poser ma main sur ses fesses et de les caresser un court instant. Elles sont douces et encore très fermes.
J’allonge Naomi sur le transat et me mets sur elle tête-bêche, j’ai encore envie de jouir avec ma nouvelle chérie. Je plonge sur son sexe, je veux la boire, je veux la faire exploser de plaisir. Elle m’enlace pour me serrer contre elle, sa bouche me bouffe les lèvres, elle s’amuse avec en les léchant, les mordillant, les suçant. Je m’applique sur son périnée, je sais qu’elle est sensible là, quand je sens deux mains sur mes fesses, ce ne peut être celles de Naomi ni de maman, ce sont forcément celles de Chantal. Elles m’écartent un peu les fesses, une langue se glisse entre elles et vient lécher mon anus. Je suis transpercée par un éclair, ces deux langues qui me titillent, une sur mon sexe, l’autre sur mon anus me font exploser dans un gigantesque orgasme, je ne m’exprime pas, la bouche enfoncée dans le sexe de Naomi qui me suit quelques secondes plus tard. Nous revenons à nous, je libère Naomi, elle me regarde.
— Tu as aimé la langue de maman ?— Tu l’as vu me faire ça ?— Oui, j’étais aux premières loges, tu as aimé ?— Je crois que mon orgasme l’a prouvé, j’ai adoré même.

Nous sommes toutes assises sur les transats, je regarde maman, je ne la vois plus comme ma mère, mais comme une femme très attirante, et le regard de Naomi sur sa mère traduit la même pensée. Je me lève, prends la main de maman et la fais lever, elle se laisse faire. Naomi fait la même chose avec sa mère. Nous allongeons nos mères sur les transats que nous avions mis côte à côte. Elles se laissent faire docilement, elles se regardent, elles savent ce qui va arriver et l’acceptent. J’écarte les jambes de maman, je me couche sur elle, la tête au niveau de ses seins. Je les embrasse tendrement, ils sont encore très appétissants, je les mordille, les lèche, aspire ses tétons, et finis par descendre vers son ventre. Elle commence à onduler du bassin, je continue ma progression vers le paradis, je réalise que je vais aller mettre ma bouche dans le sanctuaire qui m’a mis au monde.
Je sors de là, et je vais y plonger ma bouche avec gourmandise, en faisant tout pour qu’elle se souvienne de ce moment tout le reste de sa vie. J’arrive sur son pubis bien rebondi, son clitoris émerge un peu, il est déjà bien gonflé.
Ma langue le titille une seconde, mais se glisse vite vers le bas de son sexe. Je m’attarde sur le vagin, ma langue en fait le tour, je lèche cette peau qui m’a senti glisser sur elle il y a dix-huit ans, ma fontaine à cyprine coule à flots. Le corps de maman commence à s’animer, elle ondule du bassin, j’accompagne son mouvement en lui léchant les lèvres, je glisse mes mains sous ses fesses fermes, je la plaque contre ma bouche. Je lui aspire tout ce qui sort de son vagin, je m’en abreuve, j’enfonce le plus profond possible mes lèvres dans ce tunnel d’où je viens. Mon nez touche son clitoris, elle a une réaction, mais je ne veux pas la faire jouir trop vite, je veux profiter au maximum de ce moment unique, car le premier. Je sais que maintenant, je pourrais refaire ce que je lui fais, mais ce sera une redite, à cet instant précis, c’est une première à laquelle je ne m’attendais pas.
Toute ma vie depuis ma plus tendre enfance, j’ai vu mes parents nus, à la maison, en vacances, un peu partout où c’était permis. Jamais je ne les ai regardés comme des partenaires sexuels, c’était papa et maman. Maintenant, je ne sais comment ça va se passer avec papa, nous allons nous baigner ce week-end, c’est sûr, comment vais-je réagir devant le sexe imposant de papa ?
Pour l’instant, je suis la tête dans le sexe de maman, je veux la faire jouir comme jamais elle a joui, du moins, je l’espère. Je sens son corps se tendre de plus en plus, j’évite au maximum tout ce qui peut accélérer son excitation, je la maintiens à un niveau élevé, elle commence à s’impatienter, ses coups de reins sont de plus en plus violents et fréquents. Je la sens de plus en plus impatiente, elle bouge dans tous les sens.
— Oh ma chérie, fais-moi jouir, fais-moi jouir mon amour.

Je reste sur ma ligne de conduite, je ne change pas et me contente du bas de son sexe, mais elle se tend de plus en plus, je sais ce que c’est, les muscles commencent à faire mal, le ventre se crispe jusqu’à la crampe. Je lève les yeux pour voir son visage déformé par la douleur, mais aussi tendu vers un plaisir à venir. Je décide de la libérer, je remonte lentement vers son clitoris, elle le sent.
— Oui mon amour, oui, oui.

J’arrive sur son petit bouton gonflé comme une baudruche. Je le mordille une seconde et l’aspire entre mes lèvres, elle explose dans un orgasme démoniaque. Son corps s’est transformé en morceau de bois, il est secoué de spasmes violents, ses mains se crispent sur la tête pour l’enfoncer encore plus sur son clitoris. Elle hurle son plaisir, accompagnée par Chantal que Naomi a aussi libérée. Elles expriment leur plaisir bruyamment, mais ça n’a pas d’importance, nous sommes bien isolées. Lentement, elles reviennent à elles, je remonte le long du corps de maman, quand je la sens complètement détendue, je suis sur elle, seins à seins, pubis à pubis, je la regarde dans les yeux. Elle me regarde, son regard sur moi a changé, il est plus câlin, plus sensuel, elle me voit maintenant comme une personne capable de la faire jouir.
— Merci mon amour, jamais je n’ai joui comme ça, il y a combien de temps que tu pratiques ?— Plusieurs années, et avec des grandes spécialistes.— Ça se voit.

Elle me sourit, passe sa main derrière ma tête et m’attire sur sa bouche. Nos lèvres se collent, ma langue est assaillie par la sienne, elle vient la tester, la câliner, la titiller, l’aimer. Je réponds avec passion à ce baiser hors norme, j’ai toujours eu une véritable vénération pour ma mère, je suis heureuse qu’elle soit sous mon corps à partager un baiser d’amour. Quand je me redresse, elle me fait descendre de son corps, je regarde Naomi, elle est toujours sur sa mère, bouche à bouche. Je vais vers elles pour lui caresser les fesses. Elle se redresse, se laisse glisser au sol et aide sa mère à se lever, elle garde la main de Chantal dans la sienne, me prend la main et nous entraîne vers la piscine, j’attrape au vol celle de maman et nous nous retrouvons toutes les quatre dans l’eau.
Cette fois, ce n’est pas une main qui me caresse, mais une multitude, et moi, je les promène sur tous les corps qui sont à ma portée. Je batifole au milieu de ces trois magnifiques corps jusqu’à me trouver nez à nez avec Chantal. Elle me plaque contre la paroi de la piscine et colle ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un long baiser, mes mains explorent son superbe corps, ses mains explorent le mien. Elle me prend la main et m’entraîne hors de l’eau. Elle m’allonge sur un transat et se couche sur moi, tête-bêche. J’agrippe ses fesses pour la coller contre ma bouche, je sens sa bouche se coller à mon sexe. Elle coule comme une fontaine, j’ai rarement connu de femme sécrétant autant, elle m’inonde le visage.
J’ai du mal à suivre, mais sa langue est d’une efficacité redoutable, je sens mon corps se tendre lentement, je me concentre sur ses lèvres, je sens son clitoris sur mon menton, je la soulève un peu pour y poser mes lèvres, je le titille, le lèche, le mordille, elle réagit de plus en plus, mais c’est moi qui cède la première, mon corps est traversé par une onde de plaisir qui m’emmène au nirvana. Je sens qu’elle aussi jouit sur mon corps, ses muscles sont tendus à l’extrême. Je me laisse aller sous elle, nos corps s’épousent lentement, je sens ses seins appuyer sur mon ventre, je lui caresse le dos et les fesses, elle ne peut pas faire la même chose. Elle pivote sur elle-même pour venir poser sa bouche sur la mienne. Nous nous embrassons, sa langue virevolte autour de la mienne, je la serre contre moi, je veux sentir son corps peser sur le mien. Elle finit par se lever, je tourne la tête pour voir Naomi sous le corps de maman, elle lui caresse les fesses.
Je souris, maintenant, nous allons être un groupe de filles prêtes à se donner du plaisir, j’en suis très heureuse. Tout le monde est assis sur les transats, maman me regarde, je sens qu’elle a envie de quelque chose.
— Ma chérie, tu connais le goût de ma cyprine, je ne connais pas celui de la tienne, allez, viens là que j’y goûte.— C’est pareil pour toi aussi Naomi, allonge-toi sur ce transat.

Nous nous allongeons toutes les deux sur les transats côte à côte. Elle me prend la main.
— J’aimerais te sentir jouir.— Moi aussi ma chérie.

J’écarte les jambes, maman me les met à la verticale, mon sexe lui est offert, complètement ouvert. Je sens sa bouche se poser dessus, je ferme les yeux, je veux ne sentir que la bouche de maman sur mon sexe et les réactions de Naomi dans ma main. Elle commence par le lécher entre les lèvres, elle me lape, je sens sa langue se glisser entre elles pour récupérer ma cyprine qui coule. Le fait de savoir que c’est ma mère qui est entre mes cuisses me met dans un état second, tout ce qu’elle me fait est décuplé, je deviens d’une sensibilité extraordinaire. Sa langue s’enfonce dans mon vagin, elle glisse sur mon périnée, je commence à avoir mal aux muscles tellement je suis tendue vers cette bouche qui me dévore le sexe. Je veux jouir, je sais que ça va arriver, mais cette attente devient longue. Pourtant, en moi-même, je sais que rien ne fera changer d’avis ma maman qui veut me donner le maximum de plaisir.
Elle a de bons souvenirs, elle m’a dit avoir eu des aventures saphiques avant son mariage, ça fait quand même plus de dix-neuf ans, et tout semble lui revenir. Je n’en peux plus, je commence à ressentir comme des crampes quand je sens la bouche de ma maman adorée remonter vers mon clitoris, enfin la délivrance, j’attends le feu d’artifice avec confiance. Soudain, mon corps est pulvérisé par une énorme explosion atomique, tous mes membres sont disséminés dans la stratosphère, ma tête s’est détachée de mon corps, elle regarde cette destruction avec plaisir, car c’est le résultat du plus formidable orgasme que je n’ai jamais ressenti de ma vie, je veux respirer, mais j’étouffe, je me laisse aller, le trou noir.
Je reviens à moi dans les bras de maman qui me couvre le visage de baiser, sa bouche finit par atterrir sur la mienne. Nos langues s’aiment une nouvelle fois, sa main parcourt mon corps, elle s’attarde sur mes seins.
— J’avais les mêmes à ton âge, ils sont merveilleusement beaux et fermes, je les adore.— J’espère qu’ils seront comme les tiens quand j’aurais ton âge.

Je me courbe un peu pour les téter. Elle me serre contre elle, je sens que ça lui rappelle des souvenirs agréables.
— Oui ma chérie, tête-moi, je t’aime mon amour.

Je vois Naomi enlaçant Chantal pendant qu’elles s’embrassent passionnément. L’après-midi est bien avancé, Gaëtan ne va pas tarder, Chantal et Naomi doivent rentrer, nous restons toutes les deux seules, les filles reviendront demain matin avec des croissants, nous les attendons vers huit heures trente. Je retourne dans ma chambre, maman s’occupe du dîner, elle ne veut pas de moi dans ses pattes comme elle dit. Elle m’appelle vers vingt heures, je la rejoins dans le salon salle à manger, en entrant dans la pièce, je vois une magnifique femme, mon cœur se serre, je vais vers elle pour l’enlacer et l’embrasser. Elle répond à mon baiser avec beaucoup de passion, je sens que notre relation va basculer vers un amour différent. Nous dinons tranquillement, un court instant devant la télévision, rien de bien intéressant, mais notre esprit est ailleurs, nous nous regardons, je prends la main de maman et me dirige vers sa chambre.
Je l’allonge sur son lit, reste un moment debout à côté à la regarder, qu’elle est belle !! elle me regarde, elle est là, immobile, son corps offert, les jambes à peine ouvertes laissant tout de même voir sa vulve rose brillant, elle attend que je m’occupe d’elle, j’ai envie de la bouffer !!
— Tu es magnifique ma petite maman chérie, j’ai envie de t’aimer comme une folle.— Viens ma chérie, viens avec moi, moi aussi j’ai envie de t’aimer comme une folle.

Je m’allonge à côté d’elle, la nuit n’a été qu’une succession d’orgasmes, de câlins, de baisers. Nous ne nous sommes endormies qu’à quatre heures du matin, complètement épuisées. Mais il faut se lever assez tôt, Naomi et Chantal arrivent à huit heures trente, heureusement que maman a mis le réveil, elle devait se douter de la nuit qu’on allait passer. Elles arrivent pile à l’heure, quand Chantal voit nos têtes, elle comprend tout.
— Je vois que la nuit a été dure.— Oui, jusqu’à quatre heures.— Vous avez de la chance, il a fallu se coucher tôt hier.— Oh maman, je t’ai entendue cette nuit, si j’en crois l’intensité de tes cris, ça a dû être super cette nuit avec papa.— Comme toujours, mais cette fois-ci, il y avait Sandrine dans ma tête, et je l’imaginais nue, se caressant.— En parlant de nue, vous êtes encore habillées.

Elles se déshabillent, nous allons sur la terrasse pour petit-déjeuner. Elles ont amené des croissants, des chocolatines et du pain. Nous déjeunons joyeusement, je sens que je récupère lentement. Chantal nous dit que Gaëtan ne rentre pas ce midi, nous décidons de passer toute la journée ensemble. La matinée se passe bien, elles décident de s’occuper de nous, nous sommes trop fatiguées. Notre rôle est de rester allongées sur les transats pendant qu’elles nous font jouir à tour de rôle. Sans oublier de se faire plaisir aussi. J’ai joui quatre fois, comme maman, mais la bouche que je préfère sur mon sexe ou sur ma bouche, c’est celle de Naomi, je ressens un plaisir spécial avec elle. Après le déjeuner, nous décidons d’aller faire une sieste, les gamines dans ma chambre, les « vielles » dans celle de maman. Cette fois, je m’occupe du merveilleux corps de Naomi.
Je plonge entre ses jambes, elle reste inerte, elle attend que je la fasse jouir, je veux lui rendre tout ce qu’elle m’a donné ce matin, et plus si je peux. J’entends les gémissements de Chantal, maman s’occupe d’elle, je me penche sur Naomi, j’éprouve un sentiment particulier en la regardant, jamais je n’ai ressenti ça. J’ai réalisé que je ne pouvais pas envisager l’avenir sans sa présence, elle me manquerait trop. Ses yeux sont remplis d’amour, elle me tend les bras, je viens m’allonger sur elle. Elle me caresse tendrement le dos jusqu’aux fesses, sa caresse est aérienne, douce, aimante. Mon cœur fond, je suis aux bords des larmes, l’émotion m’étreint comme jamais je n’aurais pu l’imaginer. Elle le remarque.
— Ça va mon amour ?

Je la regarde, elle a dit mon amour, l’émotion et la fatigue ont raison de moi, je fonds en larmes dans ses bras, elle me serre contre elle, me couvre de baiser.
— Qu’y a-t-il mon amour, que se passe-t-il, je t’aime ma chérie, je t’aime.

Ces paroles augmentent mon envie de pleurer, je suis complètement submergée par l’émotion, je crois que moi aussi j’aime cette fille d’amour, que je l’ai aimée dès le premier regard, dès que j’ai découvert ce merveilleux corps chocolat. Elle me serre très fort contre elle, me câline, m’embrasse dans le cou.
— Ne pleure plus ma chérie, tu m’arraches le cœur, je veux te sentir heureuse, ne pleure plus mon amour.

J’arrive à prononcer quelques mots entre les sanglots.
— C’est de bonheur, moi aussi je t’aime, je t’aime mon amour, je t’aime. — Alors, sois heureuse et souris-moi s’il te plaît.

Je la regarde, ses yeux sont un ilot d’amour pour moi, je réussis à lui sourire, elle me regarde avec tendresse. Pose ses lèvres sur mon front.
— Je t’aime Camille, je t’aime, tu es la personne que j’attendais sans le savoir, je n’espère qu’une chose, c’est qu’il en est de même pour toi.— Je crois que je t’aime aussi ma chérie, mais on ne se connaît que depuis deux jours.— Moi, j’en suis sûre, bon, tu es lessivée, il faut dormir, tes caresses attendront, maintenant dodo.

Elle me maintient contre elle, je me sens bien dans ses bras, en confiance, en sécurité. Je m’endors en deux minutes.
Je me réveille deux heures plus tard, maman est dans la piscine avec Chantal, elles rigolent comme des gamines, je me lève, Naomi m’enlace, je sens sa peau contre la mienne, je suis extraordinairement bien, j’ai envie d’elle, mais je veux encore garder un peu de mystère, attendre pour la découvrir un peu plus. Nous allons rejoindre maman et Chantal. L’après-midi se passe calmement, beaucoup d’amour et un peu de détente dans la piscine. Le soir, après le dîner, nous allons nous coucher, cette fois, pas de marathon de l’amour, juste faire l’amour tendrement. Ma main arrive sur son sexe, il est inondé, j’introduis un doigt dans son vagin, j’en ajoute un et je les enfonce au maximum, je n’ai jamais fait ça à mes copines, elles sont toutes vierges. Je vois que je peux ajouter un autre doigt, maman commence à gémir.
— Oui, oui, encore un autre, oui.

Cette fois, je positionne mes doigts en pointe, je les présente à l’entrée de sa grotte et je pousse. A ma grande surprise, ils s’enfoncent lentement, je ne sens que très peu de résistance.
— Vas-y mon amour, enfonce-moi ta main dans mon sexe, il peut la prendre en entier, je le sais, vas-y.

Je pousse encore, ma main disparaît entièrement dans son vagin, je l’enfonce jusqu’à mi-avant-bras, au moins vingt-cinq centimètres.
— Vas-y ma chérie, fais-moi l’amour avec ton bras, ferme ton poing.

Je commence des va-et-vient dans son sexe, mon bras s’enfonce de plus en plus, je ferme mon poing, je sens encore mieux la paroi de son vagin. Les fesses de maman sont au-dessus du lit, elle s’ouvre au maximum pour que mon bras ne rencontre pas d’obstacle. Il finit par s’enfoncer jusqu’au coude, je touche son col. Je sens son corps se tendre, j’accélère le rythme, elle donne de grands coups de reins en avant pour s’enfoncer encore plus, mais c’est impossible. D’un seul coup, elle se cabre, est prise de tremblements et de spasme, elle jouit en s’exprimant.
— Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaahhhh.

Je ralentis lentement mon rythme, son corps se pose doucement sur le lit, ses muscles se détendent, elle se laisse aller. Je retire mon bras de son sexe, je pose mes lèvres sur sa vulve, elle ne s’est pas encore entièrement refermée. Ma langue s’abreuve de sa cyprine, je remonte sur le clitoris, j’ai envie de le bouffer, elle me fait pivoter pour s’emparer de mon sexe avec sa bouche. Nous sommes tête-bêche, sa langue s’active sur mon clitoris, ma langue s’active sur son clitoris. Je sens l’orgasme monter lentement, il finit par me faire exploser dans un sublime bien-être, surtout que je sens le corps de maman se tendre à nouveau. Une fois remises, je me blottis contre elle, je la couvre de baisers, elle reste immobile, elle semble très heureuse, je m’immobilise moi aussi blottie dans ses bras, je m’endors comme un bébé.
La semaine s’est passée doucement, le matin, à trois avec Chantal, l’après-midi à quatre avec maman. Arrive le vendredi, papa arrive vers dix-huit heures, il est épuisé, plongeon dans la piscine, son premier, repas et dodo.
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