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La baigneuse

Chapitre 4

Lesbienne
Gaëtan
Le samedi matin, nous racontons tout ce qui s’est passé à papa, il n’est qu’à moitié étonné, ce qui le gêne le plus, c’est le fait que nous fassions l’amour ensemble avec maman. Il m’affirme qu’il n’en sera pas comme ça avec lui, il veut rester exclusivement mon père. Je dois dire que je n’ai jamais envisagé de faire l’amour avec lui, et cette mise au pont va détendre nos rapports. Nous passons la matinée ensemble au bord de la piscine, l’ambiance est joyeuse, maman est aux petits soins pour lui, je le suis pour elle. Vers onze heures trente, je vais dans ma chambre passer un coup de fil à Naomi, je suis en manque d’elle, je commence à réaliser que c’est vraiment de l’amour que je lui porte, un amour puissant, total. Je lui parle en regardant par la fenêtre, elle donne sur la plage de la piscine, je suis stupéfaite du spectacle que me donnent mes parents.
Papa est allongé sur un transat, maman est à califourchon sur son sexe, elle monte et descend dessus, ils baisent !! je vois très bien le sexe de papa entrer et sortir de celui de maman. Papa la maintient avec ses mains sur ses fesses, je suis fascinée par ce spectacle, je décris la scène à Naomi, elle me dit se caresser en m’écoutant, je porte une main sur mon sexe, je me titille le clitoris, je vois maman se tendre, elle est de plus en plus saccadée, elle va jouir. Je vois que papa se tend lui aussi, il l’aide dans ses mouvements jusqu’à ce qu’elle se couche sur lui, secouée de spasmes de plaisir, je jouis en m’exprimant, j’entends Naomi jouir aussi. J’ai envie de la voir, je décide de demander à papa si ça le gêne que je l’invite cet après-midi.
Je redescends les rejoindre en m’assurant bien qu’ils sont de nouveau dans l’eau. Je vois qu’ils se câlinent, je suis heureuse de voir qu’ils s’aiment toujours autant. Quand ils sont sortis de l’eau, je leur pose la question.
— Papa, est-ce que je peux inviter Naomi cet après-midi, j’ai envie d’être avec elle.— Tu n’inviterais qu’elle ?— Oui, je ne voudrais pas vous déranger, vous avez peut-être envie d’être entre vous.— C’est exactement ça, nous voulons être seuls un moment. Je te fais une contre-proposition. Effectivement, j’ai envie d’être un peu seul avec ta mère, alors j’aimerais que l’on reste que tous les deux cet après-midi, tu pourrais te balader avec ta copine, en contrepartie, demain, tu peux inviter toute la famille si tu veux, de toute manière, il va bien falloir que les deux familles se connaissent mieux, on est appelé à se revoir, c’est sûr.— OK mon papa, on les invite à déjeuner et à passer la journée ensemble ?— Si tu veux.— Tu ne vas pas à la pêche demain ?— Non.

Je me jette sur lui pour l’embrasser, je plaque mes seins sur son torse, mais je n’en ressens aucun frisson, c’est mon père. Nous déjeunons assez tard, juste après, j’enfile un tee-shirt et une jupe, plissée, rien de plus, et je sors pour aller rejoindre Naomi qui m’attend. Après une bise à Chantal et Gaëtan, elle m’attrape la main et nous montons directement dans sa chambre. Elle se jette sur moi pour me déshabiller, je me laisse faire, j’ai trop envie de sentir ses mains sur mon corps, il est en manque. Mais une fois nue, je m’occupe d’elle en lui faisant valser sa robe sous laquelle elle est nue elle aussi. Nous nous jetons sur son lit. Nos corps en attente se soudent, je me colle à elle en la serrant contre moi le plus possible.
— Tu m’as tellement manqué mon amour.— A moi aussi tu m’as manqué, il faut qu’on trouve une solution, je suis tellement mal quand je ne suis pas avec toi. — Ton père est au courant pour nous ?— Oui, on lui a dit le lundi soir, il est au courant pour nous deux et ça ne le dérange pas, je fais ma vie comme je veux. Ils doivent se douter de ce que l’on fait en ce moment.— Et si on leur demandait de dormir ensemble, une fois ici, une fois chez moi.
— Il faudrait que tes parents soient aussi d’accord.— Eh bien, on aura qu’à leur demander demain au déjeuner. — Comment ça au déjeuner.— Tu ne m’as pas laissé le temps de le dire à tes parents, mais vous êtes tous invités demain pour la journée. — Il faut leur dire tout de suite.

Elle se lève et ouvre la porte.
— Maman, viens voir !!

Chantal arrive, elle entre dans la chambre, nullement étonnée de nous voir nues.
— Qu’y a-t-il ma chérie ?— Nous sommes invités à déjeuner demain chez les parents Camille, c’est d’accord ?— Bien sûr ma chérie, mais je ne sais pas si papa va accepter de se baigner nu, tu sais qu’il est assez pudique.— Et bien tant pis pour lui, il n’a qu’à pas venir, moi, je veux y aller.— Ne t’en fais pas ma chérie, je m’occupe de lui.

Elle lui saute au cou pour l’embrasser sur les joues. Je vois les mains de Chantal s’attarder sur ses fesses, Naomi tourne la tête pour poser ses lèvres sur la bouche de sa mère. Elles échangent un court baiser en se câlinant, les mains de Naomi se baladant sur les courbes de sa mère. Elles se séparent, Chantal retourne au rez-de-chaussée, Naomi se jette sur moi.
— J’espère qu’on pourra s’aimer demain, j’ai trop besoin de sentir ton corps contre le mien.— On verra chérie, on verra.

Nous faisons l’amour, encore une fois, je jouis comme un bête, elle sait ce qu’il faut faire pour m’emmener au nirvana, et je le lui rends bien. Au bout d’une heure, nous décidons d’aller là où nous nous sommes connues. Elle enfile un tee-shirt et une jupe comme moi, et rien d’autre elle aussi. Arrivées dans la clairière, nous nous déshabillons et entrons dans le ruisseau. Je me serre contre elle, l’eau n’est pas très chaude, je dirais même très fraîche. Nous sortons de l’eau assez vite, nos corps sont hérissés par la chair de poule, nous nous allongeons sur nos serviettes. Evidemment nous faisons l’amour, mais surtout, après que nos corps aient exulté, nous nous enlaçons pour sentir l’être aimé contre son corps, sentir le corps froid de l’aimé se réchauffer lentement contre soi.
Nous restons un long moment dans les bras l’une de l’autre, sans bouger, juste sentir l’autre contre soi, appréhender le grain de sa peau, entendre sa respiration, sentir le cœur de l’autre battre pour soi. Le mien est mis à dure épreuve, je suis constamment au bord des larmes, je suis très émotive, mais là, je suis avec la personne qui va certainement partager ma vie, c’est évident. Celle qui me donne un bonheur que je ne pensais pas possible, celle qui a su m’apprivoiser, qui a su me donner confiance en moi, qui a su me faire partager son amour pour moi, qui a su voir en moi son avenir. Je l’aime, la vie fera ce qu’elle veut de nous, mais pour l’instant, c’est la personne la plus importante pour moi. Nous rentrons chez elle vers dix-huit heures, je suis très triste de devoir la quitter, même pour quelques heures, je sais qu’on se voit demain, mais mon cœur est blessé, la quitter me devient insupportable.
Je reste le plus longtemps possible chez elle, nous restons avec les parents à discuter, sa présence me suffit, je ne la quitte pratiquement pas des yeux. Chantal me regarde souvent, elle va dans sa chambre un instant, elle revient avec le sourire et va discuter avec Gaëtan dans un coin du salon. A dix-neuf heures, je m’adresse à Chantal et Gaëtan, je dois faire une drôle de gueule, ils me regardent étrangement.
— Je dois vous quitter, il faut que je rentre à la maison, mes parents vont m’attendre.

Gaëtan se lève et me regarde fixement.
— Il n’en est pas question, je t’interdis de quitter ta copine, elle est trop agréable quand tu es là. Tu restes ici pour la nuit, nous avons prévenu tes parents, ils sont d’accord.

Je ne peux m’empêcher de lui sauter au cou, je l’embrasse le plus fort possible, en le serrant contre moi.
— Merci Gaëtan, merci.

Quand je m’éloigne, Chantal me regarde.
— Et moi, pas de bisous, c’est moi qui ai téléphoné.

Je me jette sur elle, mais mes bises sont plus sensuelles, la commissure de nos lèvres se touche, elle me serre contre elle en passant ses mains sur mes fesses, les miennes traînent aussi un peu sur les siennes. Je suis au comble du bonheur, je saute de joie.
— Merci Chantal, merci.

Naomi se jette dans mes bras, mais cette fois, elle colle ses lèvres sur les miennes pour un long baiser. Nos mains ne restent pas inactives, nous sommes devant ses parents, mais je suis tellement heureuse que rien ne peut m’arrêter. Elle va même jusqu’à passer sa main sous mon tee-shirt pour envelopper un de mes seins, je n’ose pas lui faire pareil. Quand nous nous séparons, Gaëtan vient vers nous.
— Bon, vous avez été assez expressives les filles, maintenant c’est officiel, vous êtes amantes. C’est votre vie, vous pourrez avoir des élans de tendresse devant nous, mais pas jusqu’à faire l’amour, OK ?— Enfin papa, tu exagères un peu tout de même.— Et bien à un moment, j’ai bien cru que vous alliez vous coucher sur la moquette pour faire l’amour, votre baiser était plus qu’intense et vos mains assez baladeuses.

Elle me prend par la main et m’entraîne dans sa chambre. Là, nous faisons une nouvelle fois l’amour, mais tendrement, longuement, en prenant le temps d’apprécier chaque seconde passée ensemble. Cette nuit sera la première entre nous, nous allons dormir ensemble, collées l’une à l’autre, sentir la peau de l’être aimé contre sa peau, je crois vivre un rêve. Et je pense que les parents se sont mis d’accord pour les autres nuits, en tout cas, je l’espère. Chantal nous appelle pour dîner, pendant le repas, elle nous dit ce que les parents nous proposent. Naomi vient s’installer chez nous, la maison est beaucoup plus grande, et nous passons les week-ends chez eux. Ça ressemble à une garde d’enfants de parents séparés, j’en fais la remarque, tout le monde rigole.
Arrivées devant la chambre pour aller nous coucher, Naomi me prend dans ses bras et me fait franchir la porte.
— Nous voilà dans notre premier nid d’amour ma chérie, j’espère qu’il en sera de même pour toutes les autres nuits de notre vie.— Moi aussi ma chérie, moi aussi.

Elle me dépose à terre, nous nous déshabillons mutuellement, j’adore la déshabiller, et je crois qu’il en est de même pour elle. La nuit a été très douce, nous n’avons fait l’amour que deux fois, mais avec beaucoup de tendresse, le moment le plus important a été quand nous avons décidé de dormir, c’est la première fois que nous dormons avec quelqu’un, Naomi s’est allongée sur le dos, je me suis collée à elle sur le côté, mon bras sur ses seins, ma tête sur son bras contre son épaule. Le sommeil nous a emportées vers nos rêves très rapidement.
Le lendemain matin, je n’ai rien pour faire ma toilette, ce qui fait qu’on pense à prendre ce qu’il faut pour Naomi, elle reste à la maison ce soir pour la semaine. Nous ne pouvons pas cacher notre joie, je vois que Chantal et Gaëtan s’en amusent. Leur regard a changé, Gaëtan voit sa fille heureuse, il en semble particulièrement heureux lui aussi. Chantal la regarde autrement, plus comme une femme que comme sa fille, mais son regard est plein d’amour. Après le petit-déjeuner, nous allons chez moi vers dix heures trente, Gaëtan est au courant que nous vivons la majeure partie du temps nus, il sait que les maillots de bain sont interdits dans la piscine, mais il est quand même venu malgré sa pudeur un peu excessive d’après Chantal. Naomi m’a dit qu’elle ne l’avait jamais vu nu. C’est papa qui nous accueille, il est nu et tout mouillé. Je passe devant, tout le monde me suit. Maman arrive nue et mouillée elle aussi, à croire qu’ils le font exprès.
Chantal et Naomi ne semblent pas étonnées, mais Gaëtan a un petit mouvement de recul.
— Ne soyez pas choqués, chez nous c’est tout le temps comme ça, nous sommes naturistes, nous vivons toujours nus, ce n’est une obligation pour personne sauf dans la piscine.

Tout le monde est rentré, j’entraîne Naomi dans ma chambre, nous nous déshabillons pour redescendre aussitôt pour nous jeter dans la piscine. Je vois Chantal qui arrive nue, je ne vois pas Gaëtan. Chantal nous rejoint dans la piscine, nous jouons toutes les trois ensemble, maman nous rejoint, papa est resté avec Gaëtan. Au bout d’un quart d’heure, nous sortons de la piscine pour nous allonger sur les transats, je colle le mien à celui de Naomi. Nous voyons apparaître papa et Gaëtan, ils sont tous les deux nus. Je regarde ce colosse, il a des pectoraux d’enfer, un ventre en tablette de chocolat et surtout un sexe gigantesque avec un gland surdimensionné qui pend entre ses cuisses. Je n’imagine pas avoir ce truc entre mes cuisses, ça doit être fantastique pour les femmes hétéros, mais pas pour moi. Papa, qui a pourtant un sexe hors norme, j’ai pu le constater à Agde, parait un peu maigrelet à côté du colosse.
Ils plongent ensemble dans l’eau, à la seconde où Gaëtan est dans l’eau, on sent que c’est son élément, il est comme un poisson, l’eau est sa source de vie. Il enquille les longueurs sans sembler se fatiguer. Papa sort le premier, il sort quelques minutes plus tard. Il vient s’installer à côté de Chantal.
— Extraordinaire, je viens de rajeunir de vingt ans, j’avais oublié cette sensation de l’eau qui glisse sur le corps, surtout nu, c’est encore plus agréable. Merci pour cette invitation, c’est un bonheur pour moi. Surtout que je n’ai jamais vu de piscine privée aussi longue.— Ne t’en fais pas, il y aura d’autres invitations.— Pourquoi l’as-tu faite aussi longue ?— Parce que j’aime faire des longueurs de bassin, et tourner tous les dix mètres m’énervait chez les amis. En plus, le constructeur voulait s’en servir pour faire de la publicité, j’ai pu obtenir un prix, ça n’a pas grevé le budget total de la maison.

Ils se tutoient déjà, c’est bon signe, je vois que Naomi regarde son père, surtout son sexe, elle semble très impressionnée, c’est vrai que c’est la première fois qu’elle le voit nu. Nous retournons dans l’eau, papa et Gaëtan s’occupent de démarrer le barbecue, il est prévu deux énormes côtes de bœuf avec des légumes, le tout précédé par une salade de tomates que nous devons préparer avec Naomi. Juste avant de déjeuner, nous allons préparer la salade de tomates, ça ne nous prend que cinq minutes, en plus comme ça, elles seront fraîchement coupées et assaisonnées, c’est meilleur. Après le repas, j’ai envie d’être seule avec mon amour, nous montons dans ma chambre. Nous nous caressons, câlinons, faisons l’amour, maintenant, nous ne cherchons plus l’orgasme suprême, nous voulons simplement faire exulter nos corps, leur donner du plaisir, et surtout, ensemble, jouir de manière synchrone, ce qui nous arrive de plus en plus souvent.
Nous entendons un gémissement, nous nous précipitons à la fenêtre et regardons discrètement.
Le spectacle est ahurissant, les deux hommes sont couchés sur le dos et les femmes à cheval sur eux leur font l’amour. Mais ce qui est spécial, c’est que c’est maman qui se plante sur le gigantesque sexe de Gaëtan et Chantal sur celui de papa. Je savais que mes parents étaient échangistes, ils sortent pratiquement tous les soirs à Agde, et là-bas, ce n’est pas pour enfiler des perles. Mais je suis stupéfaite de voir Gaëtan et Chantal participer. Maman monte et descend sur ce sexe démesuré, je le vois s’enfoncer et sortir de son vagin. Il brille de sa cyprine. Il en est de même pour Chantal. Naomi est complètement scotchée, elle ne bouge pas comme si elle ne croyait pas à ce qu’elle voit. Je la prends dans mes bras et l’embrasse, elle se colle à moi, sa langue s’anime dans ma bouche, ma langue dans la sienne. Notre baiser dure longtemps, comme si elle voulait oublier ce qu’elle a vu.
Au bout d’un long moment, nous nous remettons à la fenêtre, cette fois, ce sont les femmes qui sont allongées sur les transats et les hommes qui les tringlent comme des fous. Je vois maman se tendre, je la connais bien, elle jouit sous les coups de boutoirs de Gaëtan. Chantal la suit de quelques secondes, les hommes jouissent aussi, Gaëtan se couche sur maman, papa sur Chantal. J’imagine ce que doit ressentir ma mère avec ce colosse sur elle, ça doit être génial, d’ailleurs, elle le caresse sans arrêt.
Ils finissent par se lever, maman et Chantal entrent dans la maison tandis que papa et Gaëtan plongent dans la piscine. Nous décidons de descendre, je pense que les parents ont été un peu égoïstes, nous ne pouvons faire l’amour toutes les deux alors qu’eux, ils s’envoient en l’air en public. Bien sûr, nous n’étions pas présentes, mais il est évident qu’on pouvait les voir de toute la maison. Je décide de contre-attaquer. J’allonge Naomi sur un transat et me mets tête-bêche sur elle. Nous commençons à nous titiller le clitoris. Maman et Chantal arrivent, elles sont mouillées, elles ont pris une douche, elles nous regardent, mais ne réagissent pas, elles doivent bien se douter qu’on les a vues. Papa et Gaëtan sortent de la piscine, eux non plus ne réagissent pas, ils nous laissent faire. Nous faisons en sorte de retarder le plus possible notre orgasme, nous voulons les faire réagir.
Mais ils s’installent sur les transats comme si de rien n’était, ils nous entourent, nous avons pris les deux du milieu. Je sens une main sur mes fesses, puis une seconde. Elles me caressent doucement, elles écartent mes fesses, une langue vient me lécher l’anus, je ne peux résister plus, je jouis en mordillant le clitoris de Naomi qui me suit assez vite. Je suis assez surprise par ce qui s’est passé, entre filles, d’accord, mais là, c’est avec les hommes. Quand je me redresse, je vois maman derrière moi, c’est elle qui m’a léché l’anus, je n’en reviens pas. Je me lève, elle vient vers moi, me prend dans ses bras et m’embrasse, mais pas comme une mère, comme une amante. Mon corps est parcouru par ses mains, je fais glisser les miennes sur le sien. Chantal fait lever Naomi, elle l’enlace aussi, mais ne l’embrasse pas. Elles se regardent, j’ai l’impression que Naomi n’a pas très bien accepté ce qu’elle a vu, j’en suis triste, car je suis sûre que ça va se reproduire souvent.
Je vais la prendre par la main et je l’entraîne dans ma chambre.
— Que se passe-t-il ma chérie ?— Juste que je suis triste que mes parents ne s’aiment plus.— Mais pourquoi tu dis ça ?— Tu as bien vu, ils ont baisé avec tes parents.— Et tu crois que mes parents ne s’aiment plus ?— Je ne les connais pas.— Je peux te dire qu’ils s’aiment encore énormément, je l’ai constaté plusieurs fois.— Alors, pourquoi ils font l’amour avec d’autres personnes ?— Ça fait tout bonnement partie de leur sexualité, mais ils le font toujours ensemble et avec d’autres couples comme eux. J’avoue que je ne comprends pas très bien, mais je peux te garantir qu’ils sont heureux ensemble et qu’ils s’aiment. Tes parents ont fait une expérience avec les miens, je ne sais pas s’ils recommenceront, mais ce que je peux t’affirmer, c’est qu’il n’y aura aucune conséquence sur leur couple. S’ils s’aimaient avant, ils s’aimeront toujours après.— Tu en es sûre ?— Absolument.

Elle retrouve le sourire, nous redescendons rejoindre nos parents qui pataugent dans la piscine. Naomi se précipite dans l’eau et se jette sur sa mère pour l’embrasser. Je vais vers maman pour l’enlacer, je me plaque sur son dos, je sens ses fesses contre mon pubis, mes mains remontent pour s’emparer de ses seins. Je les titille un peu, je la sens réagir. Je vois que papa commence à bander, je libère maman, elle s’empare de sa bite, l’attire vers elle, s’adosse à la paroi de la piscine et se l’introduit dans le sexe. Il se plaque contre elle, elle relève les jambes pour le ceinturer, ouvrant son sexe en grand. Il lui donne de violents coups de reins.
— Oui mon chéri, baise-moi fort, j’ai envie de jouir avec toi dans notre piscine.

Je prends la main de Naomi, m’allonge sur le rebord immergé de la piscine et elle se couche sur moi tête-bêche. Nous nous aimons tendrement, je vois que Gaëtan et Chantal font l’amour dans la piscine eux aussi, elle se donne comme maman, elles aiment leurs maris, c’est évident. Nous arrivons à l’orgasme en même temps, je reste un long moment à m’abreuver de sa cyprine qui coule toujours, son corps recommence à réagir, comme le mien. Nous recommençons jusqu’à jouir de nouveau. Tout à coup, je vois entre les jambes de Naomi deux mains qui écartent ses fesses, la tête de Chantal descend entre elles, elle lui lèche l’anus comme elle m’avait fait. Naomi réagit tout de suite, son corps se tend, elle jouit sous nos langues, ce qui déclenche mon orgasme.
Quand nous sommes de nouveau lucides, je fais descendre Naomi et me redresse, je vais vers Chantal, l’amène sur le rebord et l’assois les jambes ouvertes. Naomi comprend ce que je veux faire et fait la même chose avec maman. Nos têtes plongent sur leur sexe en passant leurs jambes sur nos épaules. Elles se laissent faire, elles participent en avançant le plus possible leurs sexes complètement ouverts. Je me délecte de cette cyprine abondante, de ses lèvres souples et humides, de ce clitoris gonflé que je titille par intermittence. Je sens le corps de Chantal se tendre de plus en plus, elle pose ses mains sur ma tête, appuie un peu, juste pour mieux me sentir. Ma langue se déchaîne, je remonte sur son clitoris pour la sentir exploser dans un gigantesque orgasme. Ses jambes essayent de me couper la tête, son corps est raide, tendu, secoué de spasmes de plaisir, je sens maman jouir aussi sous la langue de Naomi.
Je la lèche tant que je ne sens pas son corps redevenu souple, elle prend ma tête pour l’amener vers sa bouche, nous échangeons un long baiser. Elle me regarde.
— Tu es une amante merveilleuse, j’aimerais que ma fille accepte que tu t’occupes de moi de temps en temps, j’aime trop ce que tu me fais.— Ça dépend de Naomi, c’est elle que j’aime, c’est elle qui décide.— Mais bien sûr que je suis d’accord ma petite maman chérie, je te promets de te la prêter de temps en temps.— Comme un objet, si je comprends bien, je suis donc au même niveau qu’un gode !!!

Tout le monde rigole, Naomi vient m’enlacer et m’embrasser.
— Le plus beau gode du monde mon amour, celui que j’aime.— Et moi, j’aurais aussi droit au plus beau gode du monde ?— Bien sûr Sandrine, je te prêterais mon gode avec plaisir.— Et j’espère qu’elle me prêtera son gode aussi.— Bien sûr, nous sommes à votre disposition mesdames.

Papa m’écarte, Chantal a toujours ses cuisses ouvertes, elle offre son sexe à la vue de tout le monde, comme maman. Il prend ses jambes et les met sur ses épaules, il s’enfonce en elle d’un seul coup.
— Oui, vas-y, défonce-moi.— Oui, oui, vas-y, fais-moi jouir.

C’est maman qui réagit au sexe da Gaëtan qui vient de s’enfoncer en elle. Je vais vers maman pour la caresser, je lui titille les seins, les caresse, les lèche, Naomi fait la même chose à sa mère. Elles jouissent assez vite, il faut dire que les hommes y vont de bon cœur, je regarde Naomi, elle a l’air heureuse de voir sa mère jouir, même si ce n’est pas avec son père. Elles s’embrassent longuement, maman m’attire elle aussi sur sa bouche, nos langues se chamaillent, jouent, s’aiment. Papa se dégage de Chantal et l’aide à se lever, elle est un peu stone. Il la prend dans ses bras et m’amène sur un transat. Je m’attends à ce que Gaëtan fasse pareil, mais il continue de pistonner maman qui réagit de nouveau, il est reparti pour un tour, je sens son corps se tendre sous les coups de reins de Gaëtan. Des mains écartent ma tête pour prendre sa place, c’est Chantal qui pose ses lèvres sur celles de maman et qui lui caresse les seins en les pinçant un peu.
Très vite, maman se cabre et jouit sous les caresses de ses deux amants. Quand tout le monde est calme de nouveau, je vois le merveilleux sourire de maman sur son visage, comme celui de Chantal qui a toujours sa tête contre celle de maman.
— Ça va ma chérie, tu as bien joui ?— Oui chérie, oui grâce à toi, je crois que tu vas me devenir indispensable, méfie-toi.— Au contraire, je n’attends que ça.

Leurs bouches se soudent à nouveau. Elles se séparent, Chantal aide maman à sortir de la piscine, elles nous regardent et viennent vers nous.
— Ne vous en faites pas les filles, je crois que nous avons découvert un autre aspect de nos personnalités, mais nous resterons toujours avec vos pères, nous les aimons trop, simplement, nous avons besoin d’un petit complément.

Chaque mère enlace sa fille, je suis bien dans les bras de la mienne, je me penche pour embrasser ses seins que j’adore. Mes mains glissent sur son corps, ses mains s’attardent sur mes fesses.
— Tu as un cul d’enfer ma chérie.— Pas autant que celui de Naomi, c’est le plus beau du monde.— Tu as peut-être raison ma chérie, il est d’enfer de chez enfer.— Et tu pourras le caresser.— J’en suis très heureuse.

Nous rejoignons les hommes qui discutent pêche. Ils ont l’air de bien s’entendre, ça me soulage, en définitive cette journée aura été très instructive. Nous avons découvert d’autres horizons, nos parents se sont trouvé d’autres partenaires, nos mères s’entendent super bien, et nous nous aimons avec Naomi, je suis la plus heureuse des filles, je peux entrevoir le futur avec sérénité.
Le mois de juillet s’est très bien passé, nous sommes allés à Agde avec Naomi, Robin et Candice, les jumeaux, l’ont beaucoup aimé, mais ils sont encore restés entre eux. Ses parents sont venus passer une semaine pour voir comment ils réagissaient, ils ont adoré. Ses frères n’ont pas voulu venir, un peu de stress à être nus, ils ont passé leurs vacances avec des copains et des copines. Je n’ai fait leur connaissance qu’en septembre. Je suis tombée sur deux magnifiques garçons, très grands, comme leur père, mais assez distants, comme me l’avait dit Naomi, nous n’existions pas pour eux.
Ça fait quatre ans que j’ai fait la connaissance de Naomi, je suis toujours raide dingue d’elle, encore plus si c’est possible. Nous sommes à Agde en vacances, ce mois d’août est agréable au bord de l’eau. Evidemment, il y a ce foutu virus qui fait chier tout le monde, nous avons passé le confinement ensemble, elle est restée avec moi, ça n’a été qu’amour et tendresse pendant deux mois, même avec maman. Il faut dire que l’avantage d’un petit village, c’est qu’il est plus facile de se déplacer, tout le monde est voisin. J’ai fini ma quatrième année, j’ai eu la première haut la main grâce à elle, j’attaque ma cinquième année, elle a eu sa cinquième, elle entre en sixième année. Encore trois ans minimum pour moi et deux pour elle, mais nous sommes ensemble, le temps ne compte pas. Nos parents nous ont loué un petit appartement à Toulouse, rue Thomas Edison, à côté de la fac, fini les aller-retour tous les jours à sept heures du matin et dix-huit heures le soir.
Nous quittons l’appartement à huit heures quarante pour un cours à neuf heures. Pour l’instant, ma vie est un rêve, je suis extraordinairement heureuse, j’espère que ça va durer, je ferais tout pour.
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