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Baise d'adieu

Chapitre 2

Premiers pas

Hétéro
Ma journée fut éreintante. Les rares moments libres, j’en profitais pour consulter mon téléphone. Aucun message. Je hais les promesses !Il est 18h00, je rentre à l’hôtel. Je commande à la réception mon dîner en chambre pour 20h et me dirige ensuite vers l’ascenseur. Je sens mon téléphone vibrer dans ma poche et j’entends la notification Skype d’un nouveau message. C’est lui, je le sais, car il est le seul avec lequel je converse sur Skype... J’attends d’être seule dans l’ascenseur pour lire le message.
— Bonsoir ma belle, j’ai pu me libérer. Je serai à ta porte à 19h précises. Fais honneur à ton Maître ! Sois ce soir une jolie chienne. Ne me déçois pas, j’ai refusé un dîner avec un client pour être avec toi ce soir. Je te veux docile, salope, pute, soumise. Tu seras ce soir toutes ces femmes pour me montrer que tu as compris à qui tu appartiens.
Mais pour qui se prend-il ? Pas de nouvelles et puis d’un coup, je dois être à sa merci ? Mon énervement est à son paroxysme ! Je m’observe dans le miroir de l’ascenseur et me lance à haute voix :
— Calme-toi ... Rappelle-toi ton but ultime : une belle baise avant de se dire adieu !
Tout en sortant de l’ascenseur, je lui réponds par un message bref.
— Heureuse que vous ayez pu vous libérer.
Je rentre dans ma chambre, dépose mes affaires sur le lit et me dirige vers la salle de bain. Je mets en route ma playlist favorite et dépose mon téléphone sur le bord du lavabo.Les premières notes de ’Your Song’ de Billy Paul m’entraînent et me déchaînent. J’enlève mes vêtements un à un sur le rythme de la chanson. Je les balance au fur et à mesure en dehors de la salle de bain, à travers la porte ouverte. Je me trémousse en me regardant dans le miroir et tout en chantant, je vais sous la douche. Mes mains remplies de savon se promènent sur mon corps. Je parcours mes bras, mon cou, je descends ensuite sur mes seins. Mes tétons durs appellent mes doigts à les pincer, mais le surplus de savon les fait plutôt glisser. Mes mains continuent de descendre et trouvent vite le chemin du plaisir. Je les retire, le temps de les savonner à nouveau et je les repositionne sur mon bouton enflé. Je me branle, de plus en plus vite, de plus en plus fort et je laisse exploser mon plaisir. Quand je reprends mes esprits, j’entends alors la chanson ’Brest’ de Moissec. Je calcule donc que je viens de passer le temps de 2 chansons sous la douche.
J’éteins l’eau et je passe l’essuie éponge épais sur tout le corps. Complètement sèche, je prends mon téléphone en main pour vérifier l’heure : il est 18h30. J’ai encore un peu de temps, je décide donc d’huiler mes jambes. Je veux qu’il les découvre douces à la caresse.
J’enfile le peignoir épais estampillé au nom de l’hôtel et me peigne les cheveux. Je glisse ma main dans ma trousse de toilette et en sors le collier noir. Je le passe autour du cou et je l’attache. Je le fais tourner pour que l’anneau se trouve juste en dessous de ma pomme d’Adam. Mes mains le caressent ; je prends l’anneau entre mon pouce et l’index et je le manipule ainsi quelques secondes en observant, dans le miroir, ce symbole noir encerclant mon cou.
Je me rends soudain compte que l’heure avance, et en toute hâte, je range un peu la chambre. J’ai à peine terminé que trois coups lents sont donnés à la porte. Il est 19h, ce n’est donc pas le room service. A la simple pensée qu’il se trouve de l’autre côté de la porte, je sens mes seins se gonfler. Alors que je pose ma main sur la clenche, je sens ma chatte s’émoustiller. Excitation, nervosité, envie de découverte, peur, tant d’émotions se bousculent alors que j’ouvre la porte.
Il est là, devant moi. Je l’observe des pieds à la tête : mocassins, pantalon ocre qui ne dissimule aucunement son plaisir d’être là, chemise de lin blanche et une boîte en main. Un peu plus grande qu’une boîte à chaussures, elle ne semble pas très pesante. A contrario de l’atmosphère qui se dégage soudainement. Est-ce à cause de l’intrigue que me procure la présence de cette boîte ? Est-ce parce que nous sommes au moment que je suppute ultime de nos échanges ?
— Bonsoir ma belle. Tu me fais entrer ?
— Heu... Oui ... Bonsoir. Entrez, je vous en prie.
J’ouvre un peu plus la porte et m’écarte pour le laisser entrer. Je referme, et lorsque je me retourne, je me trouve face à lui. Il doit certainement s’apercevoir que cette boîte m’intrigue.
— J’ai amené de quoi jouer, car tu aimes le jeu, n’est-ce pas ? C’est du moins ce que nos échanges m’ont laissé supposer.— Oui, j’aime le jeu, lui dis-je en souriant malicieusement et me détendant doucement.— Très bien. Alors, enlève ce peignoir.
Il prend un coussin sur le lit et le lance à terre, près de la chaise et enlève ses chaussures.
— Installe-toi et je t’explique les règles de notre jeu.— Avant de commencer, je voudrais simplement vous avertir que j’ai commandé un room service car je ne pensais pas que vous viendriez. Je l’ai demandé pour 20h.— Bien, nous le partagerons. Je veillerai à ce que tu sois présentable à 20h, dit-il avec un brin d’amusement dans le regard.
Il claque des doigts. Le jeu commence. J’enlève donc mon peignoir et le pose sur le lit. Je suppose que je ne vais pas assez vite, car son regard se durcit et il claque une seconde fois des doigts. Je me dirige donc rapidement vers le coussin. Je suis nue, un collier autour du cou et je m’installe à genoux, écartés. Quant à lui, il s’installe habillé sur le fauteuil style Louis XVI qui trône dans la chambre.
— Je vais te faire découvrir le contenu de ma boîte. Ce sont des objets que tu connais. Tu en as virtuellement apprécié certains, d’autres moins, mais ce soir, je suis le Maître du jeu. J’en sors un à la fois. Nous profitons de l’objet et ensuite, nous en prenons un autre. Sache que je compte bien te faire profiter de tous. Peut-être changeras-tu d’avis sur certains et me les réclameras-tu à l’avenir ?
Il tient la boîte sur ses genoux. Lorsqu’il l’ouvre, il observe ma réaction. Mes yeux s’agrandissent. J’y aperçois une laisse, un jeu de cartes sur lesquelles sont dessinées des positions de Kamasutra, un bandeau pour les yeux, une bombe de crème fraîche, des petits chocolats, et un plug en métal orné d’ un bijou rouge. Dès que mes yeux le découvrent, une angoisse monte. Mais malgré celle-ci, mes tétons se mettent à pointer et à durcir.
— Pour commencer, je prends ceci, me dit-il en sortant le plug. Prends appui sur le lit avec tes coudes et cambre-toi bien ma belle.
Je lui obéis. Il ne peut en être autrement. L’excitation surplombe la peur de me faire déflorer la rosette. J’entends qu’il se lève de la chaise. Sa main gauche se pose sur mon clito et il commence à le chatouiller. Les gestes se font plus intenses, plus rapides. Je coule sur ses doigts agiles.
— Ouvre la bouche, dit-il juste avant de m’y insérer le bijou destiné à mon œillet. Ne t’inquiète pas, tu verras, tu es tellement excitée, mouillée qu’il entrera facilement.
Le plug dans la bouche, je sursaute à l’instant même où il me prend le sein droit, l’étire et le pince. Je voudrais ouvrir la bouche, gémir bien haut au tempo de ses doigts branlant mon clito et des étirements qu’il impose à mon téton droit, mais je ne peux laisser tomber ce jouet. La salive coule de mes lèvres autant que la cyprine dégouline sur ses doigts. Sa main droite quitte mon sein et vient me sortir le plug de la bouche. Son autre main quitte mon clito et de ma mouille récoltée, il lubrifie mon trou.
— Détends-toi, je suis certain que tu vas aimer.
C’est alors que de la pointe du plug, il chatouille l’entrée de mon œillet, puis doucement, il me l’insère. Sa main posée sur le bas de mon dos me pousse à me laisser aller contre le lit. Je me laisse faire, et je sens petit à petit l’intrusion du bijou.
— Voilà ! Que tu es belle ! Il te va à ravir. Dis-moi, est-ce que tu aimes ?
J’acquiesce d’un timide oui. Il se penche sur moi et sa bouche effleure mon oreille.
— Plus fort ma soumise. Est-ce que tu aimes ?— OUI !— Bien alors, maintenant que tu acceptes d’être mienne, nous allons attendre ensemble le dîner. Quand il s’annoncera, tu remettras ton peignoir et tu iras chercher le repas. — Avec ça dans le pet ?!? dis-je, médusée.— Mais bien sûr ma belle. En attendant, nous commencerons doucement ton éducation. Viens ici !
Alors qu’il reprend sa place sur le fauteuil, je me relève pour me diriger vers lui.
— Que fais-tu ? dit-il en claquant des doigts et en me montrant de son index le sol.
Je m’abaisse de suite à quatre pattes et je m’approche de lui. A chaque mouvement, je sens le plug en moi un peu plus. Je dois avouer que la sensation n’est finalement pas si désagréable, bien au contraire. Bien installé sur son siège, il reprend la boîte en main. Il l’ouvre et cherche l’objet suivant. A sa détermination, je comprends qu’il sait déjà lequel il va sortir.
— Dis-moi, comment te sens-tu ? — Bien, très bien même, merci. — Nous pouvons donc poursuivre ?— Oui, Monsieur.
C’est alors que de la boîte, il sort la laisse. Une chaîne terminée par un mousqueton. Oh non ! Pas la laisse ! Je ne l’aime pas et il le sait. Mais c’est d’ailleurs pour ça qu’il l’a prise. Son désir est de me faire sortir de ma zone de confort. Mon plaisir est d’y parvenir.
— Ça aussi tu vas t’y habituer, me lance-t-il avec un sourire narquois. Tends-moi ton cou ! Offre-toi à ton Maître !
Je me redresse sur mes genoux, telle une chienne faisant la belle devant son maître pour quémander une caresse, un biscuit. Le cliquetis du mousqueton me donne l’impression d’être de suite reliée à lui.
— Allons nous balader, me dit-il en se levant.
Il me promène ainsi dans la chambre et la salle de bain, me tenant parfois proche du cou, parfois laissant du mou. Devant le grand miroir de la salle de bain, il s’arrête. Il tient la laisse très courte et ensuite accroche son doigt à l’anneau pour me faire redresser la tête.
— Regarde comme tu es belle, ainsi offerte, me dit-il en me forçant à me regarder, à nous regarder. Dis-moi, comprends-tu ce que la laisse peut nous apporter ? Est-ce que tu comprends qu’elle est indispensable à ton éducation ?
Je n’ai d’autre choix qu’à me rendre à l’évidence qu’il a raison. Je nous trouve magnifiques, reliés par un lien de mailles métalliques. Lui, habillé, debout, moi, nue à quatre pattes à ses pieds.Nous entendons deux coups à la porte. Il est 20 heures. Le service d’étage est ponctuel.— Lève-toi. Va mettre ton peignoir et réceptionne le repas, dit-il en détachant la laisse. Nous continuerons ensuite ton apprentissage.
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