Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 9 J'aime
  • 3 Commentaires

Baise en bande organisée

Chapitre 1

Plus on est de fous, plus on rit !

Orgie / Partouze
L’amusement croît avec le nombre de convives disposés à se divertir. Plus le nombre de personnes joyeuses est important, plus la joie de chacun augmente. Et, plus de joie oblige, plus il y a de sexe… Voici l’histoire de mes amis et moi qui, très prompts au divertissement, n’avons pas lésiné dans la pratique de la baise de loisir organisée. Tout commence dans mon appartement, alors que je copule avec Angelica.
Avec un geste d’enculage, je prends possession d’elle, mais elle se libère de mon emprise et se lève pour embrasser ma joue. Je me branle devant elle après cela. L’air se réchauffe au fur et à mesure que je l’excite - son vagin est humide à présent - et plusieurs éclaboussures viennent, à mon éjaculation, joncher son corps. Des gouttes sont projetées à l’extérieur de mon urètre toutes les dix secondes environ à des intervalles aléatoires : certaines se vaporisent sur le sol à proximité tandis que d’autres s’échappent vers un horizon lointain…
Nous nous levons pour partir. Seulement, nous sommes arrêtés par un coup à notre porte. C’est Sophie (elle était partie déjeuner).
— Avez-vous de la nourriture? demande l’arrivante alors que nous sortons de notre appartement en nous tenant la main. - As-tu encore faim? s’enquiert Angelica.
Ce qui suit est un jeu sexuel très intense comprenant une pipe orale qui dure trente secondes où Sophie boit goulûment mon jus avant que Willow ne nous interrompe :
— Hey ! Arrête de manger ! dit-il doucement par-dessus l’épaule de Sophie.
Elle sourit brièvement puis se tourne vers Willow.
— Quoi ? répond-elle sévèrement, irritée.— Non... non rien, se ravise-t-il.— Ne t’arrête pas ! crié-je à Sophie que je supplie de poursuivre ma fellation, provoquant un vacarme des rires de Willow et Angelica.
Sophie continue, et, dans le même temps, tend la main derrière elle et ouvre la porte arrière, permettant à Willow de se précipiter chez nous. Levant lentement les yeux vers moi, désireuse de plaire, elle me dit "Jouis rapidement” avant de reprendre la succion à un rythme accéléré, jusqu’à ce que j’éjacule une dernière fois. Puis tout aussi soudainement, elle s’arrête de me sucer.
C’était sans compter la troupe de nos chers voisins coquins qui, attirés par le son et l’odeur, nous rejoignent et déballent leur engins. Ni une ni deux, les mâles enfoncent leurs bites dans nos anus. Leurs femelles nous regardent se faire enculer par leurs maris, sur le point de nous faire exploser de jouissance, tout en riant hystériquement.
Quelqu’un de l’assemblée, devant la mouille et le sperme qui commencent à couler de partout, s’approche et fait une suggestion :
— Pourquoi n’allez-vous pas chercher des serviettes ? Et partons.
Les femmes commencent à crier dès que les hommes s’éloignent de nos fesses pour aller s’essuyer, puis leur emboîtent le pas. Personne ne prend la peine de nous consulter mais nous sommes bien aises de cette décision.
S’approchant lentement de Sophie avec un verre, Willow s’assure de recueillir autant que possible du jus qui coule à travers sa fente. Nous apprécions cette brève intimité momentanée seuls sans nos voisins, même si nous avons déjà fait l’amour deux fois avec eux avant ce soir.
*

S’il ne devient pas dur rapidement alors lâchez prise… voilà ce que Sophie apprit pendant sa vie sexuelle à nos côtés. Ainsi, quand elle branle Willow sur sa demande et qu’il demeure mou, elle stoppe la manœuvre sans se formaliser. Les voisins tardant à revenir, n’ayant pas l’éternité devant nous, nous partons tout de suite à l’hôtel comme c’était prévu, pour notre partouze dans une chambre ultra-spacieuse.
Nous arrivons dans notre chambre d’hôtel. Et... nous faisons l’amour ! Mon esprit vacille maintenant en pensant à quel point c’est merveilleux. Non seulement nous avons baisé avant (ce qui avait été beaucoup plus facile qu’en temps normal !) mais cette nuit, il n’y aura plus d’orgasmes dont nous passerions à travers. Personne ne s’endormira en tenant la bite de son partenaire entre ses mains, comme cela arrive dans certaines occasions ennuyeuses. Nous allons rester éveillés et vigoureux.
Willow enlève sa ceinture, son pantalon et son caleçon puis tient son pénis comme s’il s’agit d’une épée. Angelica, qui adore être pourfendue, s’embroche sur son arme. La pointe de celle-ci s’enfonce dans son gosier, provoquant des étincelles avant de se déposer entre ses dents.
— Je te l’ai dit, ta bite me met en feu, dit-elle à bout de souffle, en riant nerveusement d’elle-même. — Il ne restera plus rien, dit Willow, grave.
Angelica ne résiste pas à aspirer la charge de sperme sortant de l’arme de Willow, qui par une évolution bienvenue, passe de l’épée au fusil. Détendus ainsi, les corps de Sophie et Angelica deviennent trop étirés pour mon type d’engin, enfin, s’il s’agit que j’ai un orgasme. Je n’apprécie pas d’aller et venir dans des chattes trop serrées. Le seul moyen qui me reste pour continuer de jouir est anal. Elles n’ont aucune idée de l’ampleur réelle de cette situation... même si, espérons-le, nous jouirons bien plus fort que ce que nous avons réussi pour nos deux précédents orgasmes !
- Oh merde ! juré-je en réalisant ce qui n’allait pas.
Il y a un tel plaisir à ces femmes de m’aimer autant, qu’à chaque fois la détente vaginale arrive à quelques centimètres supplémentaires de largeur, pour frapper là où ça fait mal : dans mon confort d’homme pénétrateur avisé. Il ne devrait pas y avoir de telles dilatations. Mais, si quelque chose n’est pas baisé correctement pendant les rapports sexuels ou avant un orgasme... cela est pire et mon éthique ne le permettrait pas. C’est pourquoi je dois tout de même honorer Angelica et Sophie sans faire de manière, pour le plaisir général. J’ai plus que jamais besoin de chaque poussée de mon excitation ! Je me claque les joues pour me donner de l’énergie. Quelques secondes plus tard :
— Ça va mieux, acquiesse Angelica.
Cela devient un peu vrai après qu’une certaine pression s’est instaurée, qui retend les vagins et satisfait mon engin. Comme le montre la vitesse à laquelle tout s’effondre lorsque nos sexes se séparent (surtout notre moral et la stabilité de nos esprits tortueux), ni les uns ni les autre n’ont les connaissances préalables sur les orgasmes après coïts, qui permettraient d’éviter la situation pénible des vagins élastiques.
Cela redevient lentement difficile. Je glisse lentement vers le haut des petites lèvres pour faire de la place à mon membre, pas encore enfoui jusqu’au fond. Ma fine mèche glisse d’un côté à l’autre, provoquant la chair de poule de la pénétrée (Sophie en l’occurrence), tant le contact s’est établi entre nos corps. Juste avant de jouir enfin, il ne reste qu’une partie de nos esprits demeurée où nous étions. Nous nous sommes projetés majoritairement au Nirvana.
Pendant deux minutes, je dégouline sur son visage. Le Nirvana me remplit de cascades de lait pénien magique. Grâce à mon éjaculation abondante, l’orgasme de Sophie se construit encore... Il est maintenant évident à quel point nous avons de la chance en ce monde d’avoir des filles aussi talentueuses dans l’art du sexe de loisir en bande organisée. Alors, pourtant, nous n’avons pas eu le temps de nous nettoyer, depuis nos accouplements avec nos voisins.
Diffuse en direct !
Regarder son live