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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Baise chez les scouts

Chapitre 2

Hétéro
Le camp se poursuivait, je croisais une fois ou deux Laurence et Anne dans leur voiture mais nous ne nous étions plus adressé la parole depuis ce fameux soir. Une nuit, après la veillée autour du feu, nous étions réunis, les cinq membres du staff, afin de discuter de la journée du lendemain et de tirer les conclusions des activités du jours, les scouts dormaient dans leur tente, quand nous avons entendu le bruit d’un moteur se rapprocher du camp. C’était Anne, seule au volant, elle avait l’air paniquée... Nous nous sommes précipités, elle nous a alors raconté que des gars du villages étaient venu et les avaient menacé de détruire leur camp si elles ne se prêtaient pas à certains jeux plutôt pervers... Elle nous demandais de pouvoir passer la nuit dans notre camp car les jeunes filles dont elles étaient responsables étaient hébergées chez des habitants en attendant la fin des événements. Nous avions une tente vide, qui nous servait à ranger le matériel en cas de pluie et nous avons proposé à Anne d’amener le staff. Elle est aussitôt repartie chercher ses amies. Elles se sont installées et vers deux heures du matin, tout le monde dormait du sommeil du juste. Tout le monde... non, je ne parvenais pas à trouver le sommeil, l’image de Laurence me branlant la bite avec ses pieds, au soir tombant au milieu des vignes m’obsédait au point que je commençait à me tripoter en silence. N’y tenant plus, je sortait de la tente et me dirigeais machinalement vers celle qu’occupaient les filles. La lune état pleine et c’est sans peine que je reconnu la silhouette élancée de Anne, assise à quelques mètres de sa tente. Elle ne m’avait pas encore aperçu, à dix mètres, la nuit, elle était belle, superbe créature faite pour l’amour, de ses 19 ans rebelles, elle semblait sublimer cet instant de beauté. Je m’approchais plus et elle sursauta, je m’excusais et lui demandais pourquoi elle ne dormait pas. Elle m’expliqua qu’elle avait encore peur. Elle s’excusa aussi de nous avoir regardé, moi et Laurence l’autre soir. Je lui dis que cela n’avait fait que m’exciter plus, je me rappelait avoir jouis dans la bouche de Laurence en regardant Anne dans les yeux, comme si je violais son âme. Mon état ne faisait qu’empirer et j’aurais tout donner pour poser mes mains sur ses hanches et me frotter contre elle. Elle était simplement vêtue d’un short blanc moulant et d’un grand tee-shirt rose. Son short moulait ses formes et le tee-shirt semblait rebondir sur ses seins telle une cascade. Elle me regardait dans les yeux et puis se décida, elle m’avoua qu’elle avait envie de moi depuis le premier soir mais qu’elle n’avait fait l’amour qu’une fois et qu’elle avait peur de ne pas être à la hauteur. Je la pris par la main et je l’entraînais vers la petite rivière à quelques dizaine de mètre du camp. Le petit ru ruisselait entre les rocher, rafraîchissant cette nuit déjà trop chaude. Nous nous sommes embrassés doucement, j’ai senti ses mains glisser vers mon short puis rencontrer ma bite dressée. Un léger soupir de surprise s’est échappé de ses lèvres, puis ses doigts ont été plus loin, saisissant mon membre et commençant un mouvement de bas en haut. Je n’y tenait plus, pour l’encourager, je lui murmurais à l’oreille qu’elle devait être encore meilleure que Laurence, elle en frissonnât. Elle s’écarta de moi et se déshabilla complètent, gardant juste ses petits baskets délassés aux pieds. Elle posa son tee-shirt par terre et enleva le mien en m’embrassant sur le torse, jouant avec mes poils. Elle me demanda ensuite d’enlever mon short et mon slip, ce que je fit rapidement. Nous étions à présent nus tous les deux, mon membre dressé vers la lune, Anne s’agenouilla alors et le pris timidement en bouche, commençant par emprisonner le gland puis osant s’aventurer plus loin. Sa bouche était fraîche et ses dents déclenchaient de petites décharges électrique sur la pointe de mon sexe. Elle commença un mouvement de va et viens lent, accompagner de bruits de sucions exquis. Elle accéléra, je dû lutter de toutes mes forces pour ne pas jouir dans sa bouche. Elle se releva et continua à me branler tout en m’embrassant goulûment. Je n’y tenait plus, je pesait sur ses épaules et la couchait par terre, au bord de la rivière, elle écarta les cuisses en gémissant et sans plus attendre j’enfonçait ma bite dans sa chatte offerte. Elle au un nouveau petit cris de surprise puis commença à gémir doucement puis de plus en plus profondément. J’accélérais le rythme, elle eu rapidement un premier orgasme, elle noua alors ses jambes derrière mon dos, je sentais ses baskets glisser sur mes fesses. Je me relevais et l’entraînais vers la rivière, elle s’appuya contre un grosse pierre et je la pris par derrière, évitant de la sodomiser, je repris le chemin le plus doux avec délectation. Après quelques coups de reins, je senti la lave monter en moins et je me retirait vite pour éclabousser son dos de ma semence épaisse. Elle se retourna et s’accroupit dans l’eau afin de se laver, elle en profita pour reprendre mon membre dans sa bouche et le nettoyer de sa langue de plus en plus experte. Elle avait enlever ses baskets avant de rentrer dans l’eau, je lui demandais alors de s’asseoir sur la pierre de prendre ma bite entre ses pieds, comme Laurence l’avait divinement fait. Elle le fit et saisissant ses pieds, je me masturbais furieusement entre eux. Je sentais à nouveau la jouissance approcher, je lui dit, elle se remis alors à genoux dans l’eau et me suça jusqu’à ce que j’explose sur son visage et dans sa bouche. Nous sommes alors sortis de l’eau et nous sommes allonger sur l’herbe afin se sécher, c’est là que nous nous sommes endormis......
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