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La baise hors du commun de Sonia et Cyril

Chapitre unique

Hétéro
Sonia et Cyril sont en couple depuis plus d’un an. Cyril est plus âgé qu’elle d’environ dix ans. Ils se sont rencontrés à la Fac de Médecine. Sonia est en première année. Cyril est un chirurgien renommé, mais il donne aussi des cours à des jeunes médecins en herbe. Le jour où elle l’a vu faire son entrée dans l’amphithéâtre, Sonia est immédiatement tombée sous le charme de ce beau et grand chirurgien.
Elle en est aujourd’hui très amoureuse. Il faut dire que Cyril dégage une grande confiance en lui, ce qui attire les femmes vers lui, comme des petites mouches. De plus, il dispose d’un corps parfait. Joliment musclé, il mesure dans les 1m90 et n’a pas un seul kilo en trop. C’est un sacré beau gosse qui dégage une force et une assurance hors du commun. Un homme riche, beau et intelligent, que demander de plus évidemment ?
Il est clair qu’avec un tel physique, Cyril peut avoir toutes les femmes qu’il désire à ses genoux. Son capital de séduction est immense et ses techniques de drague parfaitement rodées. Mais il y a encore un domaine où il se surpasse davantage, celui du sexe ! C’est un mâle dominant et un sacré baiseur. Nous pourrions même dire Le mâle dominant, celui qui sait soumettre les femmes au moindre de ses désirs.
D’habitude, Cyril n’éprouve pas de sentiment amoureux. Il est juste intéressé par la question sexuelle. Il est tout à fait volage et accumule les conquêtes d’un soir sans le moindre scrupule. Il n’a jamais eu envie de fonder une famille. Il mène sa vie en solitaire, entouré des ses amis médecins et de ses nombreuses connaissances féminines, qu’il appelle ses « plans cul ». Pourtant, il est tombé sous le charme de la petite étudiante de première année : Sonia. La belle et douce Sonia, arrivée il y a peu à la capitale est un peu craintive. Elle a bien besoin de se sentir protégée par ce bel étalon si sûr de lui.
Néanmoins, Sonia n’est pas une femme quelconque. Question charme, elle aussi de sérieux atouts à faire valoir. Elle est de taille moyenne, dans les 1m60, fine comme une guêpe, tout à fait bien proportionnée. Elle a aussi un très joli visage, laissant apparaître un sourire ravageur, et des jolis petits seins, comme des belles petites poires, pas très gros, mais pas trop petit non plus, juste ce qu’il faut pour plaire aux hommes. Ses cheveux sont bruns et sa peau toute bronzée est douce comme de la soie.
La plus belle partie de l’anatomie de Sonia ce sont ses belles petites fesses parfaitement bombées. Son arrière-train est une pure merveille. Quand elle marche dans la rue, elle voit très bien que tous les regards des hommes mais aussi des femmes, sont braqués sur ses fesses. « Oh putain, quel cul magnifique ! », se disent bien souvent les passants. Nombreux sont ceux qui aimeraient pouvoir venir poser leurs lèvres sur ce splendide fessier. Cela lui plaît énormément. Elle aime se sentir belle et désirable, bien que les regards pervers se posant sur son magnifique corps lui font parfois un peu peur. En compagnie de Cyril, elle se sent rassurée. Elle a ainsi développé une totale dépendance totale envers son cher et tendre. Elle voudrait qu’il soit toujours à ses côtés pour la protéger.
En somme, Sonia est totalement accro à Cyril. Quant à lui, il ne sait pas encore s’il l’aime. A vrai dire, il ne se pose même pas la question, mais ce qui est certain c’est qu’il adore lui faire l’amour. Cela lui procure un tel bien-être, que cela en est presque devenu une addiction. Lors de leurs folles étreintes, il se sent puissant. Il aime ressentir le fait d’être son professeur de médecine, mais aussi son prof en matière de sexe. Il sent qu’elle est prête à assouvir bon nombre de ses fantasmes, et cela l’excite terriblement.
Sonia et Cyril passent donc énormément de temps ensemble. Le plus souvent dans l’appartement de Cyril. Il s’agit d’un grand loft parisien, joliment décoré et meublé avec goût. Sonia est également tombée amoureuse de ce bel appartement. Elle y a trouvé un refuge et voudrait pouvoir y rester tout le temps. Son logement à elle n’est qu’un petit studio d’étudiante loué par ses parents.
Cela fait donc plus d’un an que Sonia et Cyril sont en couple. C’est pour tous les deux leur première relation sérieuse. Pourtant, ils habitent toujours chacun dans leurs appartements. Sonia a bien essayé de s’incruster petit à petit chez Cyril, mais ce dernier a jusqu’à présent réussi à freiner ses ardeurs et ses envies d’emménagement. Il a pour cela tout un tas de techniques de manière à inciter la belle étudiante à rentrer dormir chez elle au moins quelques nuits par semaine, puis à revenir chez lui quand lui seul l’aura décidé. Il sait ainsi l’art et la manière de se faire désirer mais aussi de conserver sa liberté. Le rêve de bon nombre des personnes vivant en couple.
Cela peut paraître surprenant, mais la technique dont il use le plus souvent, c’est le sexe. Il faut dire que le salaud sait y faire. Il lui fait tellement bien l’amour que Sonia en redemande toujours encore plus. Par un subtil petit jeu de manipulation, il parvient toujours à lui faire accomplir ce qu’il désire. Lorsque Sonia vient dormir chez lui, après une nuit torride quasiment sans sommeil, elle en est tant retournée et épuisée qu’elle a ensuite besoin de quelques jours de repos.
Ce soir-là, toute seule chez elle, s’endormant dans son petit lit douillé, elle repense à son homme dont elle était follement éprise. Il lui manque terriblement. Elle n’a qu’une envie, c’est de s’endormir dans ses bras, ou plutôt faire semblant de s’endormir. Car elle sait qu’il ne la laisserait pas dormir. Encore une fois, elle ne parvient pas à trouver le sommeil. Elle pense incessamment à leur dernière étreinte qui fut particulièrement troublante.
A chaque fois, c’est le même manège. Dans la soirée, Cyril se transforme en parfait gentleman le plus dévoué du monde. En plus d’être chirurgien, il est bon cuisinier. Après lui avoir préparé un succulent repas, Cyril propose à Sonia d’aller regarder un film dans sa chambre, un instant cocooning, lové tous les deux dans son grand lit.
Sonia étant une jeune femme de bonne famille très à cheval sur l’hygiène. Elle demande donc à Cyril de changer les draps. En le faisant, Cyril s’imagine déjà leurs futurs ébats dans ce même lit. Cela le fait déjà bander. Il a en tête une multitude de petits jeux salaces qu’il aimerait lui faire expérimenter, profitant une fois de plus de sa position dominante.

Pendant ce temps, Sonia file dans la salle de bain, prend une bonne douche chaude et sort revêtue d’une très belle petite nuisette blanche dont elle sait Cyril très friand. Satin et dentelles. Le charme absolu en somme. Souvent, elle enfile aussi en dessous un joli petit string et le tour est joué. Elle sait que Cyril est déjà très excité et qu’il aurait très envie de lui faire l’amour, là tout de suite, mais qu’il préférera attendre et la faire languir.
Histoire d’éveiller encore un peu plus le désir de son homme, elle entrouvre la porte de la salle de bain. Elle sait très bien qu’il viendra la mater. Elle se penche alors vers le miroir, une main délicatement posée sur le bord de l’évier, et se sert de l’autre main pour se maquiller légèrement. Juste ce qu’il faut pour séduire son homme, du rouge à lèvres pulpant et un très léger mascara autour de ses beaux yeux verts.
Cyril un peu surpris lui demande :
— Tu te maquilles avant d’aller dormir ma chérie ?
Sonia lui répond sans se retourner :
— Tu sais bien que je veux me faire belle pour toi, mon homme adoré… — Mais tu sais très bien que tu n’as pas besoin de ça pour être belle mon amour. Tu es déjà parfaite au naturel… — Oh merci mon chéri ! Tu es vraiment adorable.
Cela étant, ce n’est même pas de l’hypocrisie de sa part. Il est vrai que Sonia n’a jamais eu besoin de se maquiller pour paraître belle. La voyant ainsi entamer ce petit jeu de séduction, Cyril a déjà très envie de venir la prendre par derrière, mais il sait se tenir et faire monter la tension sexuelle.
Il se dirige à son tour vers la salle de bain et en ressort habillé d’un simple boxer noir, laissant apparaître une belle petite bosse. Sonia l’attend bien sagement sous la couette, faisant mine de s’intéresser au film. Quand Cyril l’a rejoint, elle se blottit gentiment contre lui. Il se sent durcir de plus en plus. Mais il saura attendre et faire monter la température. Il lui caresse alors le bras très tendrement. Sonia a une peau d’une douceur exquise. Cyril a mis du parfum. Il sait que cela attire Sonia comme un aimant :
— Humm, tu sens bon mon amour… — Merci ma chérie… et toi ma princesse, tu as la peau si douce… j’en suis totalement accro… je pourrais te caresser à l’infini… c’est une pure merveille de te caresser… — Humm… merci mon amour… tu es trop gentil… continue de me cajoler comme ça… ça me fait beaucoup de bien… je vais m’endormir dans tes bras…

Cinq minutes plus tard, Sonia commence à s’endormir dans le creux de l’épaule de son cher et tendre. Cyril éteint alors la télé, puis tamise la lumière. Enfin, il va pouvoir passer à l’action !
Il commence d’abord par lui caresser tendrement le dos, puis descend lentement vers ses fesses, joue avec la ficelle de son string, y glisse lentement un doigt, cherchant à atteindre la vulve de Sonia. Il adore faire ainsi des va-et-vient, du haut de sa nuque jusqu’à ses fesses, tout en posant délicatement de doux baisers dans son cou.
Puis, langoureusement, il se montre un peu plus ferme, lui saisit les fesses, les palpe tendrement et les tapote, jusqu’à lui asséner de douces petites claques. Ce petit jeu trouble fortement Sonia. Elle sent le désir monter en elle. Pourtant, elle tente de refreiner un peu les ardeurs de son beau partenaire :
— Humm… doucement mon chéri… — Pardon ma belle… tu sais, je te désire tellement… — Oui, je le sais bien mon amour… — J’ai très envie de toi ma chérie…
Sonia adore se sentir désirée. Radieuse, elle commence alors à respirer plus fort. Son cœur bat la chamade. Elle se met à gesticuler dans tous les sens, se tortille le cul afin de lui faire comprendre qu’elle en voudrait bien qu’il aille encore un peu plus loin. Cyril frotte alors vigoureusement son sexe dur entre ses deux petites fesses.
Puis soudainement, la prenant par surprise, il l’allonge sur le dos, la couvre de baisers langoureux. Avec sa bouche, il s’attarde absolument partout sur son corps, comme s’il voulait conquérir chaque partie de son anatomie. Il embrasse son ventre, puis ses hanches, remonte doucement vers ses seins, s’amuse à passer de l’un à l’autre, joue avec sa langue autour de ses deux tétons. Sonia commence alors à gémir de plaisir :
— Hummmm… mon chéri… j’adore comme tu m’excites… — Tu es si belle ma chérie… j’ai envie de dévorer chaque partie de ton corps…
Cyril adore aussi embrasser les jolis pieds de Sonia, ce qui l’a fait rire. Décorés d’un très beau verni à ongle rouge, ses orteils sont ravissants. Il remonte ensuite doucement, pose de doux petits bisous sur ses mollets, puis sur ses genoux, embrasse goulument ses cuisses, et se dirige enfin sur sa belle petite chatte, une fine toison parfaitement entretenue. La belle Sonia n’attendait que ça.
Tandis qu’il tire délicatement sur la ficelle de son string, il se met à lui lécher le bord des lèvres. Elle s’agrippe à ses épaules, lui caresse les cheveux, les tirent un peu plus fort pour lui indiquer le chemin vers sa vulve. Sonia se laisse alors aller à ses doux baisers, se mit à gémir :
— Aaaahhh… ouiii… mon chéri… comme tu es tendre… vas-yyy… continue… léche ma petite chatte… elle est toute ouverte pour toi… — Humm… oui ma belle… je vais te donner beaucoup de plaisir… — Ouiiii… vas-yyyy… si tu me fais jouir avec ta langue moi aussi je te ferais du bien mon amour… — Hummm… oui bien sûr que je vais te faire jouir… elle est tellement bonne cette petite chatte !
Voici donc le moment venu de lui administrer un merveilleux cunnilingus. Il commence par la lécher lentement, puis accélère progressivement, faisant varier les mouvements de sa langue experte. Avec un doigt, il écarte ses lèvres et introduit sa langue un peu plus en profondeur. Il s’arrête aussi parfois, souffle doucement sur la chatte de Sonia, y introduit un doigt et reprend de plus belle du bout de la langue. D’une main, Sonia lui maintient fermement la mâchoire. Elle écarte un peu plus les jambes, lui indique la direction de son clitoris. Avec sa langue, Cyril exerce des tas de petits mouvements circulaires tout autour de cette zone très érogène.
Sonia gémit de plus en plus en plus fort :
— Haannn… ouiiiii… mon chéri c’est trop bon… j’adore quand tu me lèches comme ça… tu fais ça trop bien… — Humm oui ma chérie… je vois bien que ça te plaît… ta petite chatte est toute mouillée… j’ai tellement envie de toi tu sais… tu veux que je te fasse l’amour ?
Cyril a pris l’habitude de toujours lui demander son consentement avant de la pénétrer. C’est son côté gentleman. Quand elle lui répond que c’était encore un peu tôt, qu’elle n’est pas tout à fait prête, il respecte son choix. Auparavant, il devait prendre le temps d’enfiler une capote, mais désormais Sonia prend la pilule.
Cyril déteste les préservatifs. C’est pour lui un véritable tue l’amour. Cela lui fait mal au sexe et le fait trop vite débander. L’usage de la capote lui apporta tout de même quelques beaux avantages. C’est grâce à cela qu’il réussit à convaincre Sonia de lui sucer la bite. Au début, elle ne voulait pas. Elle trouvait cela répugnant. En utilisant des préservatifs aromatisés à la fraise, la banane, ou encore la menthe… elle y a vite pris goût. A tel point que maintenant, elle adore le sucer, avec ou sans capote. Elle sait que cela procure à son homme un plaisir immense. Sonia aime tellement Cyril qu’elle est prête à tout pour qu’il se sente épanoui. Elle a bien conscience que c’est comme cela qu’elle parviendra à le garder toujours auprès d’elle.
Position du missionnaire pour commencer. Tel un bon soldat, Cyril lui fait l’amour avec tendresse, main dans la main. Il lui embrasse copieusement le cou, les joues, la bouche... Fort d’une grande expérience, Cyril sait parfaitement comment embrasser une femme afin de la faire vaciller. Les mouvements circulaires de leurs langues s’entremêlant l’une dans l’autre font doucement monter la température. Il l’enveloppe chaleureusement de toute sa tendresse de manière à la faire vibrer. Sonia se sent alors comme envoutée et emportée dans la spirale de cet océan de tendresse.
Tout à coup, Cyril cesse de l’embrasser. Il dirige sa bouche vers les seins de Sonia, lui suce un téton, puis l’autre. Il dirige la main de Sonia vers cette belle poitrine, lui pose sur son sein. Elle comprend aussitôt qu’il souhaite la voir se caresser. Elle s’exécute. Cela l’a fait rire. Elle joue avec ses deux nichons, les serre l’un contre l’autre, les tient fermement dans ses mains, tandis que Cyril les lèche avec passion.
La belle Sonia perd pied. Elle désire à cet instant que leur étreinte monte en intensité :
— Mon chéri, tu es trop doux là… je veux que tu me prennes plus fort… vas-y fonce… vas jusqu’au bout… — Mais oui bien-sûr ma chérie… je vais bien te faire l’amour et te donner beaucoup de plaisir… mais la nuit est encore longue… je sens que je fatigue… reposons-nous un instant…

Sonia était pourtant à deux doigts d’avoir un orgasme et se sent à cet instant complétement frustrée.


En réalité, Cyril n’est pas du tout fatigué. Il contrôle juste la situation. C’est lui qui domine. Bien que tout à fait capable de se montrer farouche, il sait aussi très bien la faire languir et donner envie à Sonia de prendre les choses en main. Il manie à merveille l’art et la manière de susciter le désir des femmes. Certain de son capital de séduction, il est passé maître en matière de sexe.


Certes, il veut procurer du plaisir à sa partenaire, mais il veut aussi en recevoir sa part, que celle-ci lui fasse du bien. Subtilement, il amène Sonia à assouvir son désir, celui de tous les hommes : une bonne petite pipe. Grâce à son enseignement, Sonia est devenue très douée en matière de fellation. Il arrive à atteindre son but sans même avoir à lui demander. C’est lui désormais qui fait semblant de s’endormir.
A présent pour Sonia impossible de dormir. Elle se sent frustrée. Elle a très envie de l’exciter, de le réveiller, afin qu’il finisse ce qu’il a entrepris, qu’il la fasse jouir. Elle le caresse alors tendrement, palpe ses pectoraux. Du bout des doigts, elle joue avec la pointe de ses tétons, lui chatouille le bras du ventre, et descend doucement sa main vers le sexe de son homme. Elle lui caresse lentement la bite, puis la tient plus fermement, commence à le branler à travers son boxer. Elle sent qu’il frétille, mais Cyril reste de marbre. Il est pourtant bien en érection. Une belle érection donnant très envie à Sonia d’assouvir leur plaisir commun.
Ivre de désir, elle retire brusquement le boxer et dirige sa langue sur son gland. Elle commence à le sucer doucement. Cyril fait mine de ne pas vouloir. Il dit qu’il veut dormir. Sonia prend alors le dessus :
— Ah non mon chéri… pas question de dormir… tu vas voir, je vais tellement bien te sucer que tu vas vite avoir envie de me baiser…
Avec sa langue, elle lui lèche magnifiquement la bite, sur toute la longueur, de la base jusqu’au gland. Cyril commence à se laisser aller, profite pleinement de cette douce fellation :
— Oh ouiii, c’est trop bon comme ça… c’est vrai que tu me suces bien toi dis-donc… on dirait que tu adores ça…
Sonia aime se sentir valorisée, savoir qu’elle donne du plaisir à son homme. Elle le suce alors de plus belle, n’hésitant à y aller à pleine bouche. Elle avale goulument la bite de Cyril qui devient raide comme un piquet. Bien qu’ayant le sexe en bouche, elle continue d’exercer des petits mouvements circulaires avec sa langue tout autour son gland. Cyril n’a même pas besoin de lui indiquer le chemin, mais afin de renforcer son plaisir, il passe dans la main dans ses cheveux. Sonia lui aspire le sexe un plus en profondeur.
Puis, elle retire sa bouche afin de reprendre son souffle. Un flot de salive coule de sa bouche. Elle l’essuie rapidement, puis elle la replace sur la verge de Cyril, l’enfonçant bien au fond de sa gorge. Cyril exulte. Sa queue en est toute chaude. Et tandis qu’elle le suce, elle lui malaxe bien les couilles. Cyril se saisit de son engin et lui indique le mouvement à suivre. Il baise littéralement la bouche de Sonia qui semble apprécier cela, faisant des bruits de gorge et de déglutition.
Cette fellation leur procure à tous deux un immense plaisir et Cyril ne manque de lui exprimer :
— Ooohhh putain… mais tu suces divinement bien… j’adore ça ma chérie… — Moi aussi j’adore ça… elle est trop bonne ta bite… — Hummm… sacrée cochonne… — Ouiii… tu le sais que je suis une grosse cochonne… j’adore sucer ta grosse queue…
En entendant ces mots, il aurait bien envie de jouir là maintenant dans sa bouche, mais il se dit aussi que s’il décharge trop vite, il risque de s’endormir ensuite. Il arrête alors Sonia en plein dans son élan, se redresse et couche sa partenaire sur le ventre, puis commence à frotter sa grosse bite humide et dure sur ses deux petites fesses. Il se sert de sa queue pour lui administrer de bonnes petites tapettes sur le cul. Cela renforce en lui un sentiment de virilité exacerbé.
La belle Sonia comprend maintenant qu’il va la dérouiller, mais elle commence aussi à s’impatienter. Elle se tortille le cul, excitée comme jamais, se cambre le bassin et ordonne à Cyril :
— Vas-y maintenant… arrête tes simagrées… prend moi en levrette… je n’attends que ça… tu peux me baiser comme une bête… tu le sais bien… vas-y… j’ai trop envie putain !
Le beau male s’exécute, fait ce qu’elle attend de lui. Le langage cru et fleuri de Sonia l’excite au plus haut point :
— Hummm ma belle… j’adore quand tu me parles comme ça… continue… laisse-toi aller… fais sortir ton côté salope !
Sonia a toujours très envie de lui faire plaisir :
— Oooh ouiii mon chéri… ça te plaît que je fasse ma salope… mais je ne suis pas n’importe quelle salope… je suis la tienne… exclusivement la tienne… je suis ta pute… ta petite pute privée !
A ces mots, Cyril se sent surpuissant. Il lui fait la totale, alterne les va-et-vient de son sexe dans le vagin de sa belle à un rythme endiablé. Il n’hésite pas à se montrer sauvage, retire les bretelles de la nuisette et lui attrape les seins, lui administre de magnifiques claques sur les fesses. Elle est essoufflée. Elle tire la langue. Elle gueule et rugit de plaisir :
— Haaa… ooohhhh putain, mais c’est trop bon ce que tu me fais…vas-y continue… je t’en supplie… ne t’arrête pas… ne jouit pas trop vite… — Aaah ouiii ma petite cochonne… ça te plaît hein ? Tu aimes que je te baise avec force !!! Dis-le-moi que tu aimes ça ! — Ohhh oui putain… j’aime ça… j’adore comme tu me défonces ! Continue putain ! Baise-moi bien comme une chienne ! Je le mérite ! Je suis ta salope ! J’ai envie que tu me démontes…
Cyril qui pourtant a beaucoup d’endurance, commence à fatiguer. Afin de pouvoir reprendre son souffle, il décide de ralentir un peu la cadence. Il continue à la baiser, mais plus délicatement, toujours en levrette. Le calme avant la tempête. Des flots de cyprine se déversent sur le plumard, et pourtant Sonia ne semble toujours pas rassasiée.
Cela fait pourtant plus de cinq bonnes minutes qu’ils liment. D’habitude, les femmes s’épuisent bien avant. Avec Sonia, il a trouvé son alter ego sexuel. Peut-être même qu’elle est capable de le surpasser, de lui faire repousser les limites et explorer des terrains de jeux encore inconnus. Il se penche alors sur elle, et lui susurre à l’oreille :
— Décidément tu es une sacrée cochonne toi alors… je n’aurais pas imaginé ça de toi… tu veux que j’aille encore un peu plus loin… jusqu’où es-tu prête à aller ?
Sonia semble intriguée par cette question. Elle ne pensait pas qu’il lui demanderait son avis. Mais Cyril sait se montrer gentleman et sait aussi lui faire croire qu’il se soucie de son consentement. Sonia ne se démonte et lui répond calmement :
— Apparemment tu as une idée derrière la tête… mais ne me le dis pas… j’aime être surprise… tu sais très bien que je suis ouverte à tout… sans le moindre tabou…
Vous l’aurez deviné. L’idée derrière la tête, c’est le fantasme de beaucoup d’hommes : la sodomie. Comme elle lui avait demandé de ne pas révéler le fond de sa pensée, il respecte sa demande et ne lui révèle pas que, là maintenant, sur le champ, il a la ferme intention de l’enculer. Mais il sait aussi que ce sera la première fois pour elle, et que son anus n’y est pas préparé. Il retire alors doucement sa bite de la petite chatte trempée de Sonia, qui se demande à peine ce qu’il est en train de trafiquer. Puis, il se branle furtivement afin d’humidifier un peu ses doigts, insère un doigt, puis deux, dans la chatte de Sonia. Avec son autre main, il va chercher celle de Sonia et la pose doucement sur sa fesse gauche et lui demande :
— Tu devines quelle est mon intention n’est-ce pas ? — Ah non… je ne suis pas sûre… hi hi…
Cyril s’énerve alors soudainement. Il devient plus sévère :
— Ça suffit maintenant ! Arrête de faire ta mijaurée… j’ai décidé de t’enculer ! Je vais te faire jouir par le cul et tu vas en redemander comme une bonne petite chienne soumise à son maître. Tu m’as bien compris ?
Sonia est un peu surprise par le langage employé. C’est la première fois qu’il lui parle sur ce ton. D’habitude c’est toujours avec beaucoup tendresse que Cyril s’adresse à elle. Mais là encore, elle ne se démonte et très amusée entre complétement dans ce petit jeu pervers :
— Mais oui mon maître… je vous ai dit que je suis prête à tout… vous pouvez m’enculer… allez-y, je n’attends que ça… mais par pitié ne tardez pas… je sens que je vais défaillir…
Le salopard manipulateur est tout à fait satisfait de cette réponse :
— Très bien ma salope… je n’en entendais pas moins… tu es une bonne petite soumise… écarte bien tes fesses… je vais te préparer le trou du cul… qu’il soit bien prêt à recevoir ma grosse queue…
Sonia n’en croit pas ses oreilles. Cyril a complétement changé de vocabulaire et il s’adresse à elle comme si elle était la pire des traînées. Elle n’imaginait même pas que ces mots et ces insultes pouvaient sortir de sa bouche. Cela commence presque à lui faire peur. On dirait que ce n’est plus le même homme. Mais en même temps cela décuple son excitation. Elle répond timidement :
— Oui… — OUI QUI ? — Oui mon maître… — Très bien, ma belle…
En fait, Cyril prend un malin plaisir à alterner entre les mots doux et les paroles extrêmement crues. Cela relève presque du sadisme. Il cherche à pousser Sonia dans ses retranchements et se dit qu’avec l’éducation bourgeoise qu’elle a reçue, elle va bien finir par lui faire part de ses limites. En effet, il y a des choses qu’une femme ne peut pas accepter. Le respect mutuel est fondamental dans le couple. C’est le fond de sa pensée. Mais actuellement, il n’en a absolument rien à foutre du respect. Il veut juste profiter pleinement de son pouvoir de domination.
Il n’a pas oublié son projet de sodomie et commence à insérer délicatement un doigt, puis deux, dans l’anus de Sonia. La belle serre les dents. Bien-sûr que ça va lui faire mal, au début sûrement. Mais elle n’a pas envie d’arrêter, ou alors elle n’ose pas lui demander. De toute façon, elle n’en trouverait pas la force. C’est un mélange de sentiment. Elle est totalement troublée, ne sait plus vraiment de ce qu’elle veut.
Elle décide alors de lâcher prise, se disant qu’après tout ce pourrait être une expérience particulièrement excitante. La curiosité prend le dessus. Elle reprend alors son rôle de soumise, n’hésitant pas à employer des mots crus :
— Oh oui mon maître allez-y maintenant… enculez-moi bien comme il faut… j’ai été vraiment salope… je mérite de recevoir tout votre foutre dans mon gros cul de chiennasse…
Cette fois c’est Cyril qui n’en croyait pas ses oreilles. Sonia ne s’était jamais exprimée ainsi. Cela l’a presque décontenancé, lui le taureau viril, prêt à tous les excès, se retrouve face à une femme qui n’a visiblement pas froid aux yeux. Cela l’intrigue. Il le prend comme un défi. De toute sa vie, il n’a jamais été aussi excité, prêt à exploser, à décharger tout son sperme sur le cul de Sonia sans même l’avoir pénétré.
Il respire profondément, et se décide enfin à agir. Il enfile alors violement deux doigts dans la chatte trempée de Sonia et les apporte à la bouche de sa partenaire. Elle est décontenancée, ne s’attendant pas du tout à cela. Cyril lui ordonne :
— Vas-y lèches mes doigts petite salope… avale bien ta mouille… on va passer aux choses sérieuses maintenant…
Sonia marque un moment d’hésitation, mais accepte finalement. Elle lèche goulûment les deux doigts de Cyril tout juste sortis de sa chatte. Elle ressent un léger dégoût et se retient presque de vomir. Ses jambes sont tremblantes. Cyril le voit et cela décuple son sentiment de puissance. Il retire ses doigts de sa bouche, essuie sa main dans les draps et agrippe alors fermement les fesses de Sonia.
Il lui administre une énorme claque sur la fesse droite et enfourne sa pine raide comme jamais dans l’anus de Sonia. Malgré toute cette préparation, son petit trou cul est encore trop serré. Il ne parvient pas aisément à faire des vas-et-viens comme il le voudrait. Il ne s’attarde donc pas si longtemps et déclare afin de ne pas perdre la face :
— La sodomie est finie pour aujourd’hui ma belle… c’était juste une initiation… on reprendra ça une autre fois… quand tu seras mieux préparée… la prochaine fois tu enfileras un plug au préalable… ça dilatera bien ton anus et ça facilitera les choses… — Mais maître, vous n’allez pas me laisser comme ça… je n’ai pas eu d’orgasme… vous non plus d’ailleurs… pourquoi ne déchargez-vous pas tout votre foutre dans mon anus ? Vous n’avez plus envie de moi. C’est cela ?
Sonia en a les larmes aux yeux. Elle ne comprend plus rien à cette situation. Ce Cyril est vraiment un gros pervers. Pourquoi ne va-t-il jamais jusqu’au bout de ce qu’il a entrepris ?
Quoi que n’étant pas particulièrement ému par la soudaine émotion de Sonia, y prenant même un malin plaisir sadique, Cyril décide alors de modérer ses propos, de revenir lui-même et de la réconforter :
— Oh ma chérie, ne pleures pas je t’en prie… ce n’était qu’un jeu… il ne faut pas prendre ça trop au sérieux… tu sais bien que je ne veux pas te faire mal… je veux te préserver. — Mais alors tu n’es plus mon maître ? — Non, plus pour le moment… je le redeviendrais quand tu le voudras… mais là je crois que tu as eu ta dose… je redeviens ton chéri, celui qui t’aime à la folie et ne veut que ton bien-être.
Ce sont là des paroles de vil menteur, mais Sonia ne le sait pas. En réalité, Cyril est très amusé par ce petit jeu malsain. Il n’avait jamais pu aller aussi loin dans son rôle de dominateur. Il aimerait continuer encore à aller plus loin. Mais pas tout de suite. Il sait très bien qu’il doit manier avec délicatesse tendresse et brutalité. C’est tout à fait pervers, n’est-ce pas ?
Et le pire c’est que Sonia semble aimer ça. Tout à coup, le sourire lui revient. Elle a presque envie d’inverser les rôles, en quelque sorte de se venger. Elle lui déclare :
— Ah putain mais mon salaud c’est trop facile ça… ce ne sera pas toujours toi qui décide… et si moi j’ai envie de continuer à jouer ?
Cyril répond tout étonné :
— Tu n’es pas fatiguée ma chérie ? Tu ne veux pas que l’on dorme un peu ? — Pas avant que j’ai eu un orgasme espèce de connard ! Tu vas me prendre maintenant ! Par le cul ou par la chatte, je m’en fou ! Mais tu vas me faire jouir ! Tu as compris ? On arrêtera que lorsque j’aurais joui. Je l’ai bien mérité !
Les deux amants reprennent alors la baise. Cyril décide de la reprendre en levrette. Mais Sonia en a assez de cette position. Elle a mal aux genoux. Elle se redresse alors, se retourne alors vers Cyril, lui jette un regard extrêmement troublant, un mélange de désir et de colère. Un grand sentiment de vengeance commence à l’envahir. Elle a envie de faire de lui sa chose, son jouet sexuel. Désormais c’est elle qui domine.
Elle le saisit par la mâchoire et lui ordonne sans dire un mot de s’allonger sur le lit. Sonia est debout sur le lit. Lui est allongé sur le dos, tout penaud, comme un petit chat apeuré. Il n’est plus du tout en position de supériorité. Sonia le regarde sévèrement et lui balance :
— Redresse-toi petite merde !
Elle est elle-même surprise du vocabulaire qu’elle emploie désormais. Elle en est heureuse, mais en même temps elle est un peu craintive de la suite des événements. Peut-être qu’il voudra se venger ou qu’il prendra peur d’elle et l’abandonnera. Milles questions lui traversent l’esprit à ce moment précis. Mais peu importe. L’heure n’est pas à la réflexion. L’heure est à la luxure.
Elle n’a toujours pas joui et compte bien y remédier. Elle veut alors introduire la queue de Cyril dans sa chatte toute humide, se met à califourchon sur lui, et s’empale sur sa bite. Mais le sexe du beau mâle n’est plus aussi ferme qu’auparavant. Le bonhomme a commencé à débander. Une demi-molle c’est nettement moins excitant. Sonia lui ordonne de reprendre les choses en main :
— Ah non mon salaud, tu ne vas pas débander maintenant… j’ai pas subi tout ça pour rien putain…
Elle se retire alors, s’assoit à côté de lui et lui dis :
— Tu n’as qu’à te branler pour la rendre dure… ce n’est pas à moi de le faire… j’en ai moi marre de m’occuper de toi… débrouilles-toi comme tu veux, mais je veux juste pouvoir jouir !
Cyril s’exécute. Il se branle devant elle, l’air un peu gêné. Il n’en revient pas de ce qu’elle parvient à lui faire accomplir. Il se sent humilié. Mais avouons-le, c’est bien fait pour sa gueule. Sonia est alors satisfaite de voir sa bite redevenir raide.
Elle se place devant lui, s’assoit sur le lit, les jambes écartées, lèche langoureusement son majeur et l’enfourne dans sa chatte toute trempée. Elle se masturbe à son tour tout en le regardant se branler et lui exprime :
— Alors mon petit branleur… t’aimes ça te masturber devant moi… qu’est-ce que ça te fait de me regarder en faire autant ? Tu aimes ça me voir insérer mes doigts dans ma chatte ? Avoue que ça te fait bien bander. — En effet ma chérie. J’adore te mater en train de te masturber. C’est super excitant. Je sens que je commence à bander bien fermement. — Aahhh… enfin une bonne nouvelle… on va pouvoir reprendre la baise… je te préviens… tu as intérêt à me faire jouir… je ne te lâcherai pas la queue tant que je n’ai pas eu d’orgasme…
Sonia se saisi alors fermement de sa bite, crache dans sa main, et l’humidifie bien comme il se doit. Puis, elle grimpe à nouveau sur lui et s’empale sur lui en poussant un grand cri de soulagement.
Ils liment ainsi pendant quelques minutes, mais cela lui fait un peu mal. Elle se retire à nouveau, s’allonge à côté de Cyril et lui ordonne :
— Pour finir, tu vas me reprendre en missionnaire, comme un bon petit soldat, tu vas éjaculer en moi et après on pourra dormir tranquillement… t’as compris ?— Oui ma chérie… — Arrête avec tes « ma chérie »… traite moi comme je suis… une pure salope assoiffée de sexe… n’oublie pas que je suis ta pute ! Montre toi viril putain !
Elle est maligne cette Sonia. Elle a bien compris le petit jeu de Cyril qui sait aussi manier l’art d’alterner entre propos violents et paroles tendres. Elle est capable d’en faire tout autant. Cyril lui obéit à nouveau. Il ne dit plus un mot. Le grand médecin dominant est devenu un petit être soumis. Il fait bien sagement tout ce que Sonia lui ordonne et la prend donc en missionnaire. La tigresse plante ses ongles dans son dos. Il hurle de douleur et se venge en lui assénant des violents coups de bite dans sa chatte littéralement explosée. Cela lui fait terriblement mal, mais elle n’a pas envie d’arrêter. Cela lui plait fortement. Elle se découvre un penchant sado-maso et s’y engouffre frénétiquement.
Pire que ça, elle se sent enragée, hurlant de douleur, mais une douleur qui lui procure aussi un énorme plaisir. Sonia se fait littéralement défoncée. Cyril reprend alors le dessus. Lui n’aime pas la position du missionnaire. Il se retire alors, retourne brusquement Sonia, la place en position levrette. Epuisée, Sonia s’écroule sur le lit, s’allonge sur le flan. Cela ne décourage pas Cyril qui trouve une autre position de manière à lui enfoncer sa queue bien au fond de son vagin.
Sonia s’accroche d’une main aux barreaux du lit et utilise son autre main pour jouer avec son clitoris. Elle prend un plaisir extraordinaire. Cyril n’en a pourtant pas fini. Il se retire un instant pour reprendre son souffle. Mais ce n’est qu’une très courte pause. Puis, il lui décroche le bras du barreau, l’attrape par les hanches, la soulève et la repose violement sur le lit, allongée sur le ventre. Lui est debout hors du lit. Il tire sur les jambes de Sonia totalement à sa merci. Il se met accroupi sur le sol et enfourne sa bite dans sa petite chatte en feu. D’une main, il attrape ses cheveux. De l’autre il lui agrémente à nouveau de belles claques sur les fesses. Sonia en a le cul tout rouge.
En fait, Sonia découvre qu’elle adore se prendre de bonnes grosses fessées. A nouveau, elle éprouve une immense joie à se sentir soumise, et n’hésite pas l’exprimer :
— Aahhh… putain mon chéri mais tu es vraiment un sauvage… tu baises comme un Dieu bordel… allez-y vide toi bien les couilles… je sens que tu en meurs d’envie… vas-y maintenant putain… je vais bientôt jouir… ooooh ouiiiii… c’est trop bon… défonces-moi putain !!! — Aaaaahh… ouais… comme c’est bon de te baiser… j’adore te défoncer… t’es une sacrée salope ! — Ouiiiii… putain c’est bien ça… traites-moi comme je le mérite… je suis ta salope ! Défonce-moi vas-y… Fais-moi jouir putain !!!
Cyril est épuisé, mais il donne toutes ses dernières forces dans cette baise acharnée. Sonia sent alors qu’elle va atteindre l’orgasme et l’exprime ardemment :
— Ooooooohhhhh… ouiiiiiii… haaaaaannnn… ouiiiiiii… je jouiiiiiis… mon chéri… merciiii !!! Putain enfin… je jouiiiiis… OUIIIIII…. OUIIII… OUIIIIIII… PUTAIN, CA VIENT !!!
Jamais aucun homme ne lui avait procuré autant de satisfaction. Elle en voudrait bien encore plus. Elle songe déjà à d’autres fantasmes : se faire prendre par deux hommes, en double-pénétration, ou bien encore tester l’aventure avec une femme, pour lui lécher la chatte tout en se faisant prendre. Des idées de partouze en somme.
L’étreinte effrénée de Cyril et Sonia se termine dans une parfaite extase, celle de la jouissance, une éjaculation ultime dans le vagin de Sonia. Enfin ! Cyril retire sa queue toute baveuse et file directement vers la salle de bain. Il a tellement labouré Sonia qu’elle n’a même plus la force de se retourner. Très essoufflée, elle rampe péniblement jusqu’à l’oreiller, s’étale sur le lit, les bras en avant, les jambes écartées dégoulinant de sperme.
Elle s’endort ainsi, épuisée, soulagée et finalement épanouie. De retour Cyril lui nettoie gentiment les jambes avec un morceau de sopalin, la couvre avec le drap et s’allonge à côté d’elle. Sonia pousse alors de jolis petits soupirs et vient se blottir contre lui. Il l’embrasse tendrement sur le front et la serre très fort dans ses bras. Enfin un peu de tendresse. Les deux amants sont désormais tous les deux apaisés, terriblement satisfait.
Cette baise ressemblait presque à une lutte, à une quête de domination l’un sur l’autre. Qui a pris le dessus ? Qui a gagné ? Personne. Ou peut-être les deux. Grâce à ce rapport sexuel hors du commun, ils auront beaucoup appris sur leur couple, mais aussi sur eux-mêmes. Comme quoi la baise peut aussi servir de thérapie. C’est un merveilleux moyen de décharger ses pulsions tant que cela se fait dans un consentement éclairé, dans le respect de son partenaire.
Dehors, le jour se lève peu à peu. Mine de rien, leurs ébats auront duré presque toute la nuit. A peine deux heures après, ils doivent se lever et partir travailler :
— On remet ça la nuit prochaine ma belle ? — Oh mon cœur… je suis trop fatigué là… j’ai besoin de dormir… je sens que ça va être galère aujourd’hui en cours… la nuit prochaine je dors chez moi, c’est plus raisonnable.
Cyril fait alors mine d’être déçu. Sonia veut alors le rassurer :
— Ne t’inquiète pas mon amour… on se revoit bientôt… c’était tellement bon… je ne pourrais pas me passer de toi bien longtemps tu sais… merci mon cœur pour tout le plaisir que tu m’as donné… c’était magnifique. — D’accord ma chérie… c’est comme tu voudras.
Après sa journée de cours, la tête dans le brouillard, Sonia rentre dans son petit studio, se fait à manger, puis va se coucher de bonne heure afin de récupérer. Pendant ce temps, Cyril peut ainsi vaquer à ses occupations habituelles. Il profite de sa vie de célibataire retrouvée, sort avec ses potes, ne manque pas de leur parler de ses exploits au lit, omettant bien-sûr de raconter certains détails moins à son avantage. Ils imaginent déjà introduire d’autre jeux, voire d’autres partenaires, dans leurs folles étreintes.
Tous deux ont encore bien des choses à explorer dans leurs sexualités. Ils n’ont pas fini de se découvrir. Cela pourra faire l’objet d’autres récits encore plus pimentés.
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