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La baise à la marseillaise

Chapitre 1

Trash
Être étudiante en classe préparatoire scientifique, ça n’a qu’un avantage : une promo remplie à 85% de mecs. Équations différentielles, espaces vectoriels et oscillations amorties… Ça avait beau occuper la presque totalité de mes journées, ça ne m’empêchait pas de vouloir autre chose. Une bonne baise brutale par exemple.La chatte en feu, je me tortillai sur ma chaise et me forçai à garder la tête froide. En plein Travaux Pratiques de physique, ça n’était vraiment pas le moment de commencer à mouiller ! Mais c’était vraiment difficile pour moi puisque le prof m’avait mise en binôme avec le gars le plus sexy de ma classe. J’avais remarqué Liam le jour de la rentrée parce qu’il avait le physique que me faisait le plus fantasmer au monde : plus grand que moi, brun aux yeux sombres, un corps de rugbyman massif mais pas trop, mais surtout la peau hâlée et légèrement bronzée des gens du sud de la France. Parce que Liam était Marseillais, un beau mâle des plages qui faisait ses études ici à Clermont-Ferrand. Oui, il était exactement le genre de Marseillais à faire bander dur comme fer même les gars les plus hétéros, de mon avis du moins. En tout cas, je le laisserai bien me défoncer quand il veut !Du coup, j’attendais impatiemment toute la semaine le début d’après-midi du vendredi, là où on avait TP et où je pouvais mater en toute discrétion mais sans retenue le corps excitant comme un aphrodisiaque de mon partenaire. Je me mettais à mouiller comme une chienne en chaleur à chaque fois qu’il me frôlait ou que je trouvais le ton de sa voix particulièrement sexy. Pas moyen de se concentrer plus de cinq minutes ! Même lorsque le prof nous demandait de nous approcher pour nous expliquer des notions que nous ne comprenions pas, j’en profitais pour me coller à lui tout en feignant d’être très concentrée sur les explications de l’enseignant. J’étais même parfois si proche de lui que je sentais la chaleur de sa peau de sudiste à travers nos vêtements, et ça avait le don de me mettre dans des états d’excitation pas possibles ! Généralement, je me précipitais aux toilettes juste après ce cours et le début du suivant, et laissais échapper mon plaisir avec le moins de bruit possible. Les orgasmes se succédaient avec une rapidité folle quand je pensais à lui en me doigtant. Je rentrais trois doigts et me triturais le clito tout en imaginant que c’était la grosse queue qui devrait être la sienne qui me labourait le vagin... J’étais justement en train de l’observer porter la lourde bobine dont on avait besoin pour ce cours. Mes yeux glissèrent sur ses bras aux muscles bandés par l’effort et je me rendis compte que j’avais commencé à faire passer mes doigts sur ma fente palpitante à travers mon pantalon, excitée comme jamais rien qu’à la vue de ce spectacle pourtant anodin. Mon Dieu ! Je retirai immédiatement la main de mon entre-jambe et jetai un coup d’œil rapide aux autres paillasses. J’espérai que mon Marseillais et les autres qui bossaient autour de nous ne m’avaient pas vue...Pour eux j’étais juste une intello sympa mais timide, et c’était en partie vrai. Mais ils étaient loin d’imaginer à quel point je pouvais toujours être affamée de sexe ! J’adorais me faire bourriner comme la pire des salopes et ils n’en avaient même pas conscience. J’avais d’ailleurs un petit ami, qui ne me comblait déjà plus. Il avait une libido quasi-morte d’un vieux de quatre-vingt-cinq ans alors qu’il n’en avait que dix-neuf, et à chaque fois qu’on baisait, il mettait un temps fou à être prêt à l’action… pour un résultat finalement plus que décevant. Pourtant, j’étais plutôt bandante physiquement : blonde vénitienne, un corps élancé pour des formes avantageuses, avec mon cul rebondi et des seins plus gros et lourds que la moyenne. En fait, j’étais le type de filles à être plus belles nues qu’habillées. Je ne me mettais pas vraiment en valeur et portait toujours les vêtements amples que j’affectionnais. C’était peut-être pour ça que j’avais toujours le même petit copain que je n’aimais pas, et dont les besoins sexuels muselaient clairement les miens. D’ailleurs, ça faisait une semaine au moins qu’aucune bite ne m’avait pénétrée et j’en avais des fourmis dans le vagin, tant il voulait qu’on s’occupe de lui ! En plus, avec ma semaine de partiels, je n’avais pas eu une seconde pour me soulager. C’était la première fois depuis des siècles que je passais autant de temps sans prendre de plaisir et ainsi, calmer un tant soit peu les instincts sexuels qui me tiraillaient au quotidien. C’est sûrement pour cette raison qu’aujourd’hui, j’étais si déconcentrée que Liam et moi n’avions pas fini notre TP à la sonnerie. Même si les autres élèves avaient déjà quitté la salle, le prof insista pour que l’on prenne cinq minutes sur le cours prochain pour le finir tout de suite. C’eût pour effet de mettre le Marseillais au sang chaud en colère :— Putain, Marina ! Tu sais que je suis nul en maths et on va arriver en retard à cause de toi ! Qu’est-ce qui t’arrives aujourd’hui, tu peux pas te concentrer cinq secondes ? — Désolée, j’ai l’esprit ailleurs…Sur ta belle bite que je devine sous ce jean Levis par exemple.— Bah, fais un effort. J’ai besoin de ce cours moi.Je m’obligeai à faire ce qu’il disait, parce que je n’avais vraiment aucune envie qu’il demande à changer de binôme au prochain TP. Un peu moins de dix minutes plus tard, nous rangions précipitamment nos affaires et quittons la salle au pas de course, moi derrière lui. En plus de se trouver dans un autre bâtiment, la salle du cours de maths était aussi au rez-de-chaussée, et nous étions au troisième étage. On se mit à courir dans les escaliers et Liam, plus sportif, disparut rapidement de mon champ de vision dans les étages inférieurs. Aussi, j’accélérai pour le rattraper. Mauvaise idée : je manquai une marche et dévalai en catastrophe celles restante jusqu’au prochain palier, dans un cri et un fracas épouvantable. — Marina, ça va ? je l’entendis appeler d’en bas d’une voix inquiète. La chute m’avait à moitié assommée et certaines parties de mon corps étaient endolories, mais dans l’ensemble, ça n’allait pas trop mal. — Attend, j’arrive ! cria-t-il depuis le bas en commençant à grimper les escaliers en courant. En attendant qu’il revienne, je me redressai lentement, la tête tournant un peu. Une fois sur pieds, je me rendis compte que j’avais mal à la cheville quand j’appuyais dessus. Merde, la chute n’avait pas été si inoffensive en fait. Quand il fut arrivé à mon niveau, Liam s’en rendit compte.— Merde, t’a dû te fouler un truc. Il faut aller à l’infirmerie. J’acquiesçai et fis un pas, mais le Marseillais fit non de la tête.— T’es folle ? Attend, je vais te porter. Tant pis pour les maths. Sans me laisser le temps de protester, il se baissa pour saisir mes cuisses et me souleva d’un coup pour faire passer mes jambes autour de sa taille. Doux Jésus ! Dans cette position, ma chatte était juste plaquée sur son sexe et il avait son visage dans mes gros seins ! Ma chatte s’embrasa immédiatement et ce fut encore pire quand Liam remua des hanches pour me caler correctement sur lui. Je serrai mes bras autour de son cou et baisait la tête pour qu’il ne me voit pas me mordre la lèvre et rougir. — Accroche-toi bien, me dit-il en commençant à redescendre les escaliers. Et au fur et à mesure que l’on descendait, mon excitation grandit. Chaque marche faisait que je sautais un peu sur lui, ce qui faisait frotter mon sexe sur le sien. Les tissus de nos deux pantalons s’échauffaient avec la friction et je sentais que j’avais chaud à l’entrejambe. Plus que d’habitude en tout cas.
Comme rien qu’observer mon Marseillais suffisait à me faire mouiller à profusion, me tenir ainsi sur lui et l’entendre souffler dans mon cou à cause de l’effort, me fit carrément devenir femme fontaine en quelques secondes à peine. Je me mis même à redouter qu’il ne sente que mon pantalon était devenu humide, et qu’il croit de que je m’étais pissée dessus. Arrivés au premier étage, je me rendis soudain compte que la pression de ses mains qui me soutenaient s’était faite plus forte, que ses doigts crispés sur mes cuisses entraient dans mes chairs. Son visage aussi, était beaucoup plus enfoncé dans ma poitrine -qui pointait- qu’il ne devait l’être. Tiens, il avait changé de position sous moi ? Sa ceinture me rentrait carrément dans la chatte à présent. Je baissai discrètement les yeux et vis qu’il ne portait pas de ceinture. Ce n’était pas elle qui me frotouillait le clitoris depuis tout à l’heure, mais son sexe qui avait très rapidement pris un volume incroyable sous moi. Ne pouvant résister à la tentation de cette grosse bosse qui criait à l’attouchement, je passai mon bras entre mes cuisses et posai doucement ma main sur l’entre-jambe du Marseillais. Dieu, que c’était dur là-dessous ! Il laissa échapper un soupir rauque et je tournai la tête vers lui. Son regard, le plus fiévreux que je n’ai jamais vu, croisa le mien. Ses yeux sombres n’étaient plus que deux fentes, et me fixait à travers de longs cils, remplis de flammes de désir que je n’avais jamais surprises dans son regard auparavant. Il avait envie de moi ! J’excitais comme un dingue le gars sur lequel je fantasmais depuis le début de l’année ! Liam dû voir à quel point j’avais besoin de sa grosse queue, car il me posa à terre et -sans plus de préliminaires- se jeta sur mes lèvres comme un rapace. Il écrasa les siennes dessus, se mit à les dévorer comme s’il était dans le même état de manque que moi. Je lui rendis son baiser sans douceur et sa langue envahit ma bouche, possessive et dominatrice. Comme nous étions sur le palier entre le rez-de-chaussée et le premier étage, nous étions complètement exposé si quelqu’un arrivait –ce qui était plus qu’excitant- mais avions de la place. Aussi, mon Marseillais canon me bouscula contre le mur et m’arracha mon sac, qu’il jeta plus loin avec le sien. Etrangement, je n’avais plus mal à la cheville…Sa main vint se plaquer sur mon sexe, et il le griffa à travers le tissu humide. Surprise et submergée d’un désir un cran plus intense encore, je me laissai aller contre lui malgré moi et m’accrochai à son t-shirt tandis qu’il me malaxait la chatte et le clito à travers le vêtement. — Tu es déjà tout prête à accueillir ma grosse queue comme il se doit, à ce que je vois, susurra-t-il en intensifiant ses caresses et je gémis contre son torse. Son accent prononcé aussi m’excitait à mort. Le dos acculé contre le mur de la cage d’escalier, je passai une jambe entre les siennes et me mis à me frotter contre lui tandis qu’il attrapait ma fesse gauche d’une main et la maltraitait. De l’autre, il passa les doigts dans mes cheveux blonds et me tira la tête en arrière pour que je croise directement son regard. — Tu me regardes dans les yeux quand je te parle, salope. Et il cracha dans ma bouche avant de m’embrasser à nouveau. — Voilà, tu as mon goût maintenant, petite traînée…Oh… Ces paroles salasses et crues me donnèrent envie de jouir. J’adorais vraiment qu’on m’insulte de la sorte, et mon petit-ami ne le faisait jamais. Je n’eus d’ailleurs quasi aucune pensée pour ce con que j’allais tromper avec plaisir. D’un geste précis et rapide, il déboutonna mon pantalon et le tira sur mes chevilles en s’accroupissant. Les chaussures toujours aux pieds, je me dégageai du pantalon et lorsque mes jambes furent libres, le Marseillais les écarta. Il en fit passer une sur son épaule et se retrouva ainsi le nez sur mon intimité. Il inspira pleinement et mordit ma culotte. La douleur et le plaisir mélangés me firent crier. Alors, mon sudiste me pinça la cuisse et m‘ordonna :— Ferme-la sale pute d’intello coincée ou je te jure que tu vas prendre cher. — Oh oui…, je gémissais en m’asseyant un peu sur son visage et en essayant de frotter mon clito contre son nez. Maltraite-moi… S’il-te-plaît…Il se redressa et passa un bras autour de ma taille pour m’amener contre lui, et je me dis à nouveau qu’il était vraiment grand ! Voulant vérifier s’il en était de même sous la ceinture, je posai les doigts sur la taille de son jean, mais il me saisit les poignets. — On est pressée, hein ? Tout le monde ici pense que tu es une Sainte Nitouche mais en fait, t’es qu’une belle grosse salope mal baisée. — Oui, très mal baisée…, je gémis en me tortillant contre son torse. Démonte-moi avec ta belle queue et je le serai bien… Par pitié ! J’en avais tellement envie que j’aurai pu faire n’importe quoi pour qu’il accepte. Mais je n’en eu pas besoin : trop excité lui aussi pour faire durer les choses, il entreprit de dévoiler ma poitrine aux pointes durcies pendant que je lui retirais son jean. Il prit un gros mamelon bien gonflé et le fit sauter sur sa paume. Puis il prit les deux et les fit remuer comme des flancs. — Putain, qu’est-ce qu’ils me font bander ceux-là. Ils sont tellement beaux, tes seins, limite trop gros. — C’est jamais trop gros. Je baissai son caleçon et libérai son pénis qui s’échappa du slip en rebondissant, raide comme un ressort, et regrettai aussitôt d’avoir dit ça. Si, sa bite était vraiment trop énorme ! Ecarlate et aux veines palpitantes d’excitation. Du liquide perlait déjà en son bout et je ne pus m’empêcher de le recueillir avec ma langue, même si la taille de son machin m’impressionnait. — Ne sois pas si timide, me gronda-t-il en saisissant mes cheveux. Avale-tout ! Une salope ça ouvre grand et ça prend gorge profonde ! Sur ces mots, il l’enfonça et entier dans ma gorge et je fus incapable de respirer. Son sexe turgescent m’écartait même les joues… Qu’est-ce que ça allait être de ma chatte habituée à la mollesse de mon petit-copain !Liam retira sa queue énorme d’entre mes lèvres parce que j’avais viré au rouge, et me frappa le visage avec en me traitant de tous les noms. Il avait compris que ça me mettais dans tous mes états, dans le bon sens du terme. Je répondis docilement à toutes ses insultes, essayant de lécher son membre raide de Marseillais à chaque fois qu’il me tapait la joue avec. — Entre tes seins, entre tes seins gros seins de pute, haleta-t-il en plaçant sa queue sous mon cou. Aussitôt, je le prenais comme il le voulait en serrant mes mamelles ultrasensibles l’une contre l’autre et en coulissant sur lui. J’ouvrai la bouche en grand, pour qu’à chaque passage entre mes globes de chair, je puisse lécher son gland épais. Au bout de quelques allers-retours du Marseillais de mes fantasmes, qui me ravirent tous plus les uns que les autres, il replongea sa queue dans les profondeurs de ma gorge et… cracha de longs jets de sperme gluant dedans en un ultime coup de rein. Il poussa des cris rauques en jouissant et dirigea sa bite qui n’avait pas fini de se vider vers mon visage. Je fus recouverte de sa semence en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, et jubilai. Même s’il n’avait pas eu le temps de rentrer en moi avant de tout lâcher, j’étais très heureuse d’avoir pu le satisfaire comme ça. Je me relevai avec l’attention de me rhabiller mais Liam me saisit par le bras et me tira vers lui avec force.— Où tu crois aller comme ça ? Tu viens peut-être d’avaler des kilomètres de bite, c’est pas pour autant que j’en ai fini avec toi ! Pour illustrer son propos, il me plaqua contre le mur et me fit tendre mon cul tout tremblant d’excitation vers lui. Je plaquai mes mains sur la paroi, et le regardai dans mon dos m’enlever ma culotte. Aussitôt qu’elle eut rejoint mon pantalon par terre, l’air ambiant caressa mes lèvres vaginales ultra-gonflées qui dépassaient de ma fente. Mon Marseillais à grosse queue passa les doigts dedans et lâcha une exclamation :— Mais tu es une petite pute vraiment mouillée, dis-moi ! C’est moi qui te fais cet effet ? Y’en a tellement que ça te coule sur les cuisses, j’adore ça ! Il passa ensuite son gland entre mes lèvres et je me cambrai. J’en avais tellement envie que son absence à l’intérieur de moi était devenu douloureux et que mon vagin convulsait. Oula… Il allait se faire plaisir en rentrant. Moi, je me demandais s’il n’était pas trop épais pour rentrer… Mais j’en avais trop besoin !— Aller, nique-moi ! je l’encourageai. Je ne peux plus attendre, c’est trop dur… J’ai vraiment besoin qu’une bite bien gonflée comme la tienne me démonte de l’intérieur ! Mais il continuait de torturer l’extérieur de mon sexe.— Quand on est la reine des salopes comme toi, on ne demande pas, on supplie, dit-il mesquinement. Fais-le ! Supplie-moi de te prendre comme une esclave ou tu n’auras rien. Je m’exécutai et il me griffait les fesses avant de les gifler. — Tu me regardes dans les yeux et tu répètes tout ce que tu viens de dire ! C’est trop facile sinon. Et appelle-moi maître, j’aime bien. Ça va te rendre encore plus pute. Encore une fois je lui obéis comme une bonne fille bien dressée et, d’un coup d’un seul, il m’empala sur son membre monstrueux. Je poussai un cri de douleur car il venait de m’écarteler les parois comme jamais d’une traite. On aurait dit que je venais de me faire déflorer une seconde fois mais en fait, il était juste beaucoup plus imposant que mon petit-ami de merde. — Pas si fort, maître ! je protestai en haletant.— C’est toi qui l’as voulu, sale salope, tu as la mémoire courte. Maintenant, tu assumes ! Et sans cas de conscience, il m’envoya des coups de butoir qui me firent rebondir contre le mur en criant la jouissance que ça lui procurait. C’est sûr que je devais être serrée pour lui ! Au bout d’un petit moment, je n’avais plus mal, je me mis même à apprécier plus que de raison son pilonnage furieux. Oh oui, il me labourait vraiment bien ! Mes cris se mêlèrent au siens, et ça nous excita encore plus tous les deux. Ni l’un, ni l’autre n’avions plus peur d’être surpris, après tout, ce bâtiment était presque vide et même si quelqu’un nous avait vus, nous n’aurions pas pu nous arrêter. Sans prévenir, j’atteignis le summum du plaisir et jouis autour du Marseillais. Même si j’étais devenue pantelante et presque incapable de tenir debout sous l’intensité de l’orgasme, il continua de me baiser comme un taré et se déversa en moi quelques secondes plus tard. Ses giclées de sperme brûlant remplirent tout mon intérieur et s’échappèrent de ma chatte quand il se retira. Il saisit ma mâchoire d’une main puissante et me serra les joues, avant de me coller un baiser dur sur le coin de la lèvre.— Je veux que tu m’avales tout ça, bouffeuse de sperme intello. Tu n’en laisses pas une goutte ou je te sodomise sur-le-champ, et là tu risques vraiment de jongler. Obéissante, je le laissai passer les doigts sur mon sexe trempé et sali pour recueillir sa semence, qu’il étala sur ma langue en m’enfonçant les doigts dans la bouche. — C’est bien, oui, avale comme ça. Avale ce qui m’appartient, tu l’as mérité.
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