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Baise en rêve, baise de rêve

Chapitre 2

Inceste
Je reste interdit en voyant le visage de ma sœur apparaître petit à petit. Ce n’est qu’après que je remarque sa nudité, ses seins pointus, ses cheveux semblables à de la paille. Je ne sais plus si c’est un rêve ou la réalité. Je flippe à mort. Et pourtant je la sens plus que jamais : ses jambes installées de part et d’autre de mon corps... ses mains qui commencent à parcourir mon torse... je reconnais même ses ongles, c’est bien elle ! En une seconde qui me semble être une éternité, son visage se forme complètement et ses lèvres entrent en action : — Alors frérot chéri, que fais-tu là ? — Ophé? C’est toi ? C’est quoi ce bordel ?! — Calme-toi... tu passais du bon temps avec ta copine, non ? Y a pas de raison que les prochains moments entre nous ne soient pas aussi bien... — Mais de quoi tu parles putain ???
L’entendre parler était très net dans ce nouveau lieu. Trop net. Chaque parole qui sort de la bouche de ma sœur me touche directement au corps, au cœur. Alors que dans les champs que j’ai quittés les mots étaient compris mais transformés en vibrations opaques, les mots d’Ophélie sont cassants, transperçants. Pour mon plus grand malheur. Je dis ça parce que je la vois approcher doucement ses mains de ma bite, en fait. J’ai débandé tout d’un coup lorsque je suis retombé, mais tout indique qu’elle va se charger de me remettre en forme. Mon Dieu, je suis foutu. — Ophélie, tu fous quoi ?? — Bah quoi ? T’avais bien envie de baiser y a deux minutes non ? N’oublie pas qu’ici, tu es mon en mon pouvoir. Et je compte bien en profiter, mon cochon de frère !
Ni ses mots, ni son ton ne me font penser à ma sœur, pas plus que son attitude de nympho. Mais sinon c’est bien elle. Et elle commence doucement à me masturber, ce qui m’effraye plus qu’autre chose, il faut bien le dire. Je cherche un moyen de dissuader ma sœur, mais je suis solidement emprisonné sur cet autel improvisé. Et malheureusement, tout dans cette pièce surréaliste inspire la peur.
Les mains d’Ophélie glissent sur mon membre, je la sens s’activer pour me remettre en forme. Je commence à avoir peur de mes instincts ; mes regards vers la raide poitrine de ma sœur se font de plus en plus marqués. D’ailleurs implorer ou essayer de s’échapper ne sert à rien ; elle reste sourde à mes appels, et je suis trop bien attaché par les sylvestres menottes. Doucement, je commence à avoir une nouvelle érection, d’autant plus que ma sœur ne se retient pas vraiment, elle lèche ma lance naissante et la frotte même contre sa chatte pour provoquer mon excitation...
La sensation est très différente du "monde d’en haut" où je me tapais tranquillement mon fantasme jusqu’à la catastrophe : quand je baisais Camélia, je pouvais être aussi violent que je voulais et ne ressentir malgré tout que de vagues bouffées de chaleur, des retours de vibrations qui me faisait sentir bien, quoi qu’il se passe. Ici, tout est beaucoup plus cru, je suis tiraillé entre mes liens et la pipe que me procure ma sœur, c’est comme boire un liquide glacé dans un verre brûlant... je suis réellement à vif. Aucune seconde de répit, pas de confort, juste de l’électricité qui parcourt mon corps à chaque instant. De plus en plus, car ma putain de sœur accélère sa fellation.
Pour un peu, je trouverais ça génial. Mais je suis littéralement enfermé dans ce caveau... ou quoi que ce soit. Il ne semble pas y avoir d’entre-deux dans ce nouveau terrain de jeu.
Ophélie a un comportement digne d’un gobelin dans les jeux de rôles à l’ancienne, mais d’une certaine manière sa technique marche. Je ne sais pas si son objectif est bien de me faire jouir, mais en tout cas une sorte d’excitation monte en moi, contre ma volonté. Des spasmes commencent à monter le long de mon gland, je dois reconnaître qu’elle me prend tellement bien le bout de mon dard... Peu à peu, je sors de mon état d’angoisse pour aller vers quelque chose d’autre, je commence à profiter, même si c’est plus que honteux... sucé par ma propre sœur !
Je ferme les yeux en sentant la langue d’Ophélie aspirer ma chair ; tellement chaud, tellement... vicieux... les sentiments contraires ne cessent de m’assaillir, mais malgré cela je suis bien raide, ma queue se love volontiers dans la bouche accueillante, et pourtant elle a atteint une belle taille ! Ophélie continue ses mouvements de plus belle, plus frénétiquement, ses cheveux châtains virevoltent dans tous les sens... si c’était une initiation, c’est plutôt réussi.
D’ailleurs ma tendre sœur ne me fait pas jouir tout de suite. Lentement elle s’écarte de mon pénis bien dressé, commence à frotter sa chatte sur mon corps. Elle fait ça bien comme il faut, en prenant son temps pour frotter sa toison pubienne sur chaque morceau de peau... ce qui semble difficile parce qu’elle est comme hystérique, elle ne parvient pas à rester en place. Qu’importe, je suis toujours attaché avec mon pénis au garde-à-vous, malgré l’étrangeté de la scène tout ceci est très excitant...
Je ressens toujours les vibrations électriques... à chaque fois qu’elle frotte sa foufoune contre ma peau, j’y ai droit, j’ai l’impression que ça ne fait que tendre de plus en plus mon pénis... si la chose est possible. J’ai depuis longtemps cessé de raisonner ma sœur, je sais que ça ne fera que renforcer son...état. D’autant plus que je n’ai pas vraiment envie d’arrêter... dans une sorte de révélation mystique, je sais que ce qui va suivre va être énorme. Bizarre, honteux oui mais superbement dingue. Et je veux tester ca. Ma baise sourde avec Camélia commencerait presque à devenir fade en comparaison des tiraillements que je subis à l’instant...
A l’instant même où je trouve un moment de confort relatif, Ophélie s’assoit sur mon pieu, sans crier gare, la chatte bien ouverte comme il faut. Je suffoque sous le coup, là encore c’est très différent de ce que je ressentais tout à l’heure... elle est rentrée sur moi directement, comme ça, sans passer par la case douceur. Un poids s’est comme abattu sur ma poitrine. Pourtant, ce n’est que ma sœur et son physique de gobelin qui se servent comme moi d’un gode humain.
Ophélie commence à carrément prendre son pied, elle use de ma bite comme s’il s’agissait d’un vulgaire jouet ! Ses yeux clignotent à chaque fois que je m’enfonce en elle... ou qu’elle s’enfonce en moi, plutôt. Elle râle bruyamment, et chacun de ses souffles m’est renvoyé par l’écho de la cavité exiguë dans laquelle elle me baise ; comment a-t-elle réussi à m’attirer dans cet endroit surréaliste, je l’ignore ; toujours est-il qu’elle obtient ce qu’elle veut, et que je ne suis pas insensible à son traitement...
J’ai honte de l’avouer mais voir du dessous les seins de ma sœur rebondir, pendant que mon pénis est soumis à forte contribution, tout cela a quelque chose de jouissif ; je n’ai plus à réfléchir, je ne peux plus être violent, encore moins bouger ; ma sœur fait ce qu’elle veut de moi. Chacun de ses mouvements me fait réagir, me fait vibrer, c’est trop bon, j’aimerais dire à ma sœur d’aller encore plus vite mais je n’articule plus le moindre mot depuis longtemps. Mon souffle est coupé depuis qu’elle a commencé à me baiser. Je me force, je ne peux plus me retenir...
Je hurle le nom d’Ophélie.
Je me réveille, en nage, dans ma chambre. Mon ordinateur à l’écran en veille, ma chambre est baignée des rayons d’un soleil tout juste naissant.
Quand je me redresse, ma sœur est là à me regarder.
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