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J'ai baisé une chienne, littéralement parlant

Chapitre 2

Jouissance.

Zoophilie
Peut-être vous souvenez-vous de Betsy. Peut-être aviez-vous lu mon épopée à l’époque et que vous l’aviez aimé ou trouvé délirante. Pour vous rafraîchir la mémoire ou faire découvrir qui est Betsy aux nouveaux lecteurs, c’est ma chienne. Un labrador. Enfin, une. Il y a quelques mois de cela, pratiquement une année et demie, je l’avais prise. Réellement. En levrette. Je l’avais doigtée avant de la pénétrer, jouissant rapidement dans son antre chaud. Mû par des dizaines de vidéos regardées sur ce sujet et un manque flagrant de sexe. Les mois s’étaient écoulés et j’essayais de ne pas repenser à cette période de ma vie. Je ne caressais plus l’autre petite chienne de la famille, je ne craquais plus sur l’envie de baiser Betsy et essayais de ne plus regarder de vidéos zoophiles.
Cependant, j’ai craqué. Plus l’envie est présente et plus, j’ai tendance à regarder et à vouloir envie de choses plus prenantes. Je n’arrivais plus à jouir, me branlant à longueur de journée quand mes parents étaient de sortie. Je pense que j’étais tellement focalisé sur le fait de jouir que je n’y arrivais pas et plus les semaines passaient, plus j’étais frustré de ne pas y arriver. C’est donc tout naturellement que j’avais, à nouveau, vagabondé sur les sites avec ces vidéos si spéciales. Et c’est tout aussi rapidement que j’eus envie de retenter l’expérience avec Betsy. La jeune chienne allait sur ses cinq ans.
Résolu, j’attendis que mes parents partent. L’excuse bidon de tout étudiant. Je ne pouvais pas les accompagner, j’avais trop de travail pour les cours. Ce n’était pas faux, mais ce n’était pas ma priorité. Dès que la voiture quitta l’allée, je montai dans ma chambre et allumai mon ordinateur. Je regardai une vidéo particulièrement explicite, tout en me branlant et excité, je descendis chercher le labrador.
Il y avait une règle à la maison. Les chiens ne pouvaient pas monter à l’étage. Elle fut donc étonnée lorsque je l’attirais en haut. Je lui présentais quelques biscuits en forme d’os et après une longue hésitation, elle gravit les escaliers. Je montai doucement pour arriver dans ma chambre. Malgré les années, elle était restée très joueuse. Je dis ça, mais elle était encore jeune, c’est vrai. Un de ses jeux favoris est d’essayer d’attraper la lumière du laser. J’avais donc pris le laser de son panier et faisais scintiller le point rouge sur mes draps. Elle le vit rapidement et après l’avoir encouragée, elle sauta sur le lit pour essayer d’attraper ce point rouge qui se dérobait à chaque fois.
Après quelques minutes de jeu, je la pris près de moi et la retournai sur le dos pour lui donner quelques gratouilles sur son ventre. Elle adorait que je la gratte à cet endroit. Durant tout ce temps d’abstinence animale, je l’avais gratté, également, plus bas et elle appréciait ce geste. Rien de plus ne s’était passé. Je me déshabillai. Elle restait allongée sur le dos, me regardant d’un air curieux. Une fois nu, je viens sur elle. Ma bouche glissa sur un de ses tétons et je l’aspirai doucement. Je sentais la chaleur de son bas-ventre tout près de moi. Je descendis. Sa vulve était sortie, signe de son excitation. Je la pris entre mes lèvres. Le souvenir de ce goût si particulier me revint en mémoire.
J’écartai ces lèvres de cet orifice étroit et la caressai. Elle se redressa rapidement pour venir lécher son sexe que j’avais titillé et qui était, déjà, humide. Je la calmai, la caressai sur le crâne avant de me pencher entre ses pattes et de venir la lécher, glissant la pointe de ma langue en elle. Sa tête était posée sur les couvertures. Elle avait les yeux fermés alors que sa respiration se faisait plus profonde. Je sentais son sexe se détendre sous l’assaut de ma langue et bientôt, je pus y rentrer plusieurs centimètres.
Je me redressai. Ma main vint cajoler l’animal qui s’était réveillé de sa torpeur, dans le but de le rassurer avant que je ne glisse mon gland contre sa vulve préparée. Lorsque je vis mon gland contre l’entrée de son sexe, je me suis demandé comment cela pourrait rentrer. Cela semblait être hors mesures. En des semaines de frustration, je ressentais enfin une réelle envie. Je la savais différente. Je frottais mon gland contre son sexe avant de le pousser en elle. Je me sentis aspiré dans son vagin. La première fois, je n’avais pas osé la pénétrer de toute ma longueur. Cette fois-ci, les mains tenant ses pattes arrière comme appui, je glissais en elle. Je la sentais étroite, mais étonnamment souple et je n’eus aucune difficulté à faire mes mouvements de va-et-vient. Je pris même le loisir d’accélérer la cadence. Dans la pièce, seul le brut moite de ces mouvements se faisait retentir et c’était très excitant.
Je pris plusieurs fois l’initiative de quitter cet antre chaud juste pour avoir le plaisir de me sentir à nouveau aspiré dedans. La chienne appréciait être baisée de la sorte, car, comme tout à l’heure, sa réaction était sans équivoque. Elle prenait son pied. Je ne voulais pas lui faire de mal. Je voulais prendre du plaisir tout en lui donnant. Ma main vint même caresser ses mamelles alors que mes hanches ne perdaient pas de rythme. Je m’allongeai sur elle, mes mouvements n’en gagnant qu’en profondeur. Elle me donna quelques coups de langue sur le visage, mais se laissa submergée par le plaisir. Je prenais tout autant de plaisir. Mon souffle se faisait court et mon rythme s’enhardit. À chaque coup de reins, j’entendais son vagin juter et ce bruit à lui seul était très excitant. Mes bourses tapaient contre son pelage alors que je me fondais entièrement en elle.
J’avais le souffle de plus en plus court, de plus en plus haché. Je m’étais relevé et allais et venais, dans un rythme effréné, me concentrant sur ses mouvements répétitifs. Je sentais la jouissance arriver. Je me cambrai et remplis son vagin de ma semence, avant de m’allonger sur les draps, épuisé.
Elle se remit sur ses pattes, huma les gouttes qui étaient tombées sur les couvertures avant de venir près de moi. Elle lécha mon sexe avec gourmandise. Sa langue râpeuse me fit lâcher un petit gémissement avant qu’elle ne se couche près de moi pour lécher son vagin meurtri duquel coulait mon liquide.
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