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Baisée devant son mari voyeur

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Cela fait six mois que j’ai emménagé à Paris, depuis que j’ai trouvé ce boulot dans une banque d’affaire après 5 années d’études en finance. Dans ce milieu il faut beaucoup travailler, pas question de compter ses heures, surtout en période d’essai, et se faire remarquer si on veut progresser et espérer se faire une place au soleil dans l’entreprise. Quand je suis arrivé, je ne connaissais personne, et je n’ai donc pas eu beaucoup de loisirs pour me faire des amis, exception de Paul et Trisha, un couple franco-britannique qui habite dans le même immeuble que moi dans le 15ème. Ils sont très sympa, il est chef d’entreprise et elle travaille dans une galerie d’art. Ils sont plus âgés que moi, la quarantaine passé sans doute, mais vraiment très sympa on a sympathisé quand j’ai emménagé, il faut dire que j’ai bloqué l’ascenseur alors je me suis fait remarquer… mais ils ne m’en ont pas voulu et depuis ils ont toujours un mot gentil quand je les vois. Mardi j’ai croisé Trisha nous avons bavardé et je lui ai dit que ma période d’essai se terminait, elle m’a dit qu’il fallait fêter ça et m’a invité à boire un pot samedi soir. J’ai trouvé ça drôle, nous n’étions pas si intimes, mais elle faisait ça de manière tellement simple sans s’embarrasser des convenances et des formalités que j’ai accepté.
Ce jour-là j’arrive donc avec un bouquet de fleur et une bouteille de vin que j’ai trouvé chez un caviste près du bureau. C’est Trisha qui m’accueille, elle est magnifique, et je me sens un peu honteux de n’être pas plus habillé. Heureusement Paul est en jean et chemise comme moi, cela me rassure parce qu’elle s’est vraiment mis sur son 31. Une robe noire, courte, échancrée très bas bien en dessous de ses petits seins dont on aperçoit le galbe de part et d’autre du décolleté. Elle est perchée sur des escarpins noirs qui la font presque aussi grande que moi, je fais pourtant 1m85, elle a des jambes fines et qui sembles interminablement longues ; quelques bijoux en or mettent en valeur ce qui lui reste du bronzage de l’été dernier, sa coupe de cheveux à la garçonne, ses yeux clairs et sa pointe d’accent anglais achève de la rendre adorable.Je n’étais jamais entré chez eux, ils ont un appartement en duplex somptueusement décoré, sans rapport avec mon deux pièces au dernier étage meublé chez Ikéa, le mélange d’objets design et de meuble de style donne à leur intérieur un coté à la fois luxueux et épuré du meilleur effet. Ils m’invitent à m’installer dans un canapé d’angle en cuir blanc et Paul débouche rapidement une bouteille de champagne.
— Alors Jean Marc ? Trisha m’a dit que nous avions quelque chose à fêter ? — Oui en effet, je viens de terminer ma période d’essai et j’ai maintenant un bon boulot, je suis content, ce n’est pas si facile de nos jours, surtout dans la finance, depuis la crise.— Et bien félicitations alors trinquons à cette réussite ! Paul lève son verre et trinque avec moi, Trisha arrive de la cuisine sans doute et dépose un plat de petits fours sur la table basse avant de s’assoir à mes côtés sur le canapé et de trinquer elle aussi avec moi.Nous discutons de chose et d’autre, le champagne est délicieux et sans que je m’en rende compte j’en suis à ma troisième coupe. Paul débouche une deuxième bouteille et Trisha qui ne se fait pas prier commence à avoir les yeux qui brillent sous l’effet de l’alcool.— Tu es notre voisin le plus sympa. Me dit-elle. Les autres ne sont que des vieux schnocks, ça me fait plaisir de voir un peu des jeunes dans l’immeuble. Tu as une petite fiancée ?— Non je suis célibataire, je viens d’arriver sur Paris et ne connais pas encore grand monde, avec mon boulot et tout… pas trop le temps de sortir non plus— Un beau gars comme toi, c’est dommage… Me répond-elle, en posant une main sur ma cuisse. Je la regarde, elle est assise près de moi, profondément enfoncée dans le canapé, les jambes croisées et je distingue la chair blanche de sa cuisse au-dessus de ses bas ; je me dis que cette femme est vraiment sexy. Elle me chuchote alors quelque chose dans l’oreille, et part dans un éclat de rire. Sur le coup je n’ai pas compris ce qu’elle m’a dit, et me suis retrouvé un peu bête, surtout que Paul s’est mis à rire lui aussi, alors j’ai fait comme on fait dans ces cas-là, j’ai ri également. Mes sens étaient un peu émoussé par l’effet du champagne mais je voyais bien que la situation évoluait, la main sur ma cuisse était remontée, Trisha ne pouvait plus ignorer que sa robe dévoilait largement le haut de ses cuisses et surtout Paul devait bien voir que sa femme m’allumait sur le canapé juste en face de lui. D’un coup je me suis senti un peu géné, je le regarde lui puis elle, elle me sourit et à nouveau se penche vers moi pour me glisser quelque chose dans l’oreille. Cette fois j’ai distinctement compris ce qu’elle disait et ça ne m’a pas fait rire du tout : « do you want to fuck me ? ». Je la regarde interloqué et je crois que j’ai bien du rougir un peu aussi, en tout cas j’ai senti la chaleur remonter sur mon visage alors que tous les deux repartaient dans un nouvel éclat de rire.
— Ne sois pas intimidé, Paul aime bien me regarder baiser avec un autre homme. Si je te plais, tu peux me faire l’amour maintenant, ça me ferais très plaisir… du moins je pense. Cette fois je ne savais plus ou me mettre, je regarde Paul et je vois dans son sourire et dans son regard une approbation, une incitation même. Il n’est pas du tout gêné lui, il m’offre sa femme qui s’offre à moi. Je n’ai pas su quoi répondre et à ce stade là je n’étais pas du tout excité, un foule de pensées se bousculaient dans ma tête et les champagne ingurgité ne m’aidait pas à avoir les idées claires. Elle voulait que je lui fasse l’amour, devant son mari qui allait regarder, est-ce que j’allais bander sous le regard d’un homme ? Est-ce que j’allais être à la hauteur ? Est-ce que j’allais lui donner du plaisir… ?Trisha ne s’embarrassa pas de ma gène et commença à déboutonner les premiers boutons de ma chemise pour me caresser le torse, elle s’approcha davantage de moi et m’embrassa d’abord avec les lèvres qu’elle posa délicatement sur les miennes, puis avec sa langue qui s’insinua dans ma bouche pour débusquer la mienne et que je lui rende son baiser. C’était très agréable, je passais une main dans ses cheveux courts et tenais sa tête en face de la mienne dans un long baiser qui se prolongeait, mais je n’arrivais toujours pas à commander à ma queue de bander et je redoutais plus que tout le ridicule de mon sexe mou exposé au regard de Trisha et de Paul.C’est alors qu’elle me pris la main et la descendit sur sa cuisse dans une invite explicite à la caresser, le contact des bas en nylon et de la peau blanche de la cuisse découverte juste au-dessus m’électrisa, je continuais à l’embrasser et m’enhardissait un peu en remontant ma main plus haut sur sa cuisse et trouvait une fesse ronde et ferme que j’agrippais pour attirer Trisha vers moi. Ma main caressait sa fesse, elle m’embrassait maintenant dans le cou et son bassin par de lent va et vient frottait son pubis contre ma jambe, c’est là qu’elle s’attaqua à ma ceinture puis aux boutons de mon jean dont elle vient facilement à bout. Le dernier rempart avec la queue flasque était rompu et sa main s’engouffrait maintenant dans mon caleçon à la recherche de mon sexe piteux et recroquevillé. Elle ne parut pas étonnée de le trouver dans un tel état et sa bouche abandonna mon cou pour engloutir entièrement ma bite qui il est vrai ne prenait pas beaucoup de place à ce moment-là. J’ai alors senti ma queue se réveiller sous les caresses buccales de Trisha, sa langue ne cessait de m’exciter et ma bite se mit à grossir, grossir jusqu’à ne plus pouvoir entrer totalement dans sa bouche. Elle poursuivit ses caresses à coup de langue, me léchant le gland comme on déguste un esquimau et je dois bien avouer que c’était délicieux ; elle s’arrêta contempla son œuvre et me regarda ensuite l’air satisfait.
— C’est mieux comme ça darling. Maintenant tu vas me baiser.Elle se releva, fit glisser les bretelles de sa robes sur ses épaules et se retrouva totalement nue devant moi à l’exception de ses bas noir qui enveloppaient ses longues jambes. Elle se pencha pour baisser mon jean et j’enlevai rapidement mes baskets pour qu’elle puisse me l’enlever complètement ; j’ôtais ma chemise pendant qu’elle retirai mes chaussettes et me voilà totalement nu moi aussi sur le canapé, la bite dressée prête à satisfaire la belle dame.Trisha ne m’a pas laissé le temps de faire quoi que ce soit, un préservatif sortis je ne sais d’où est sur mon sexe, elle s’est retourné et est venue s’assoir sur ma queue pour s’empaler dessus ; je sens mon sexe pénétrer lentement dans sa chatte, c’est elle qui contrôle, je ne fais pas un geste et la colonne de chair entre lentement dans son ventre au rythme qu’elle a décidé. La sensation est divine, millimètre par millimètre elle descend sur ma queue et arrive finalement au bout pour se mettre à remonter lentement. Je saisie ses hanches et la caresses, je la laisse monter et descendre comme elle le sent, mes mains partent à la découverte de son corps, son ventre, ses seins, ses épaules, elle a la peau douce et frémis de la caresse qu’elle s’inflige avec ma queue. Je remarque alors qu’elle se caresse le clito et que Paul assis en face de nous n’en perd pas une miette, je ne peux pas voir si elle le regarde, si elle a les yeux ouverts ou fermés, mais à voir son regard à lui j’ai l’impression que c’est comme si il lui faisait l’amour en ce moment. C’est pourtant bien ma bite qui est dans sa femme.Soudain le mouvement s’accélère, la main avec laquelle elle se branle descend plus bas et caresse maintenant aussi ma queue et mes couilles, ses fesses viennent cogner contre moi, elle tressaille, elle gémit et son corps se tend tout à coup et se fige immobile, ma bite tout au fond d’elle, je crois qu’elle a joui, quelques secondes passent elle se lève, se retourne et me chevauche à nouveau me faisant face cette fois. — Maintenant à toi. Me dit-elle. Si tu veux me prendre autrement, c’est comme tu aimes. Et elle reprend lentement le va et vient sur ma queue en me regardant à présent, mes mains sont sur ses hanches et ses fesses et je guide son mouvement qui se fait plus rapide, je ne crains plus pour la qualité de mon érection maintenant mais j’aimerais que ça dure encore et encore tant la sensation est agréable et cette femme en train de me baiser est belle. Elle me caresse, m’embrasse, ses mains et sa langues sont partout sur moi, et sa chatte continue de me baiser car c’est bien elle qui mène la danse et qui va finir par arriver à me faire jouir tant elle y met de l’application, son pubis cogne contre moi, de plus en plus fort, de plus en plus vite, je n’en peux plus, ma queue est en feu, encore quelques secondes, c’est bon, c’est fort, je vais jouir, je jouis…. Mon sperme se déverse en elle à coups de grands spasmes violents, je la tiens par les hanches pour arrêter son mouvement et me maintenir en elle quelques instants de plus le temps de retrouver mes esprits et d’atterrir. Quel pied, c’était divin, je rouvre les yeux et vois Paul l’air satisfait, une coupe de champagne à la main.
— Tu m’as bien baisée, c’était très bon. Me dit Trisha en se relevant, elle ramasse mes vêtements épars et me les tend pour que je me rhabille pendant qu’elle repasse sa robe et va s’assoir sur les genoux de son mari.— Je… Je ne sais pas quoi dire, c’était si inattendu… Merci— Tu as aimé j’espère ? Me dit Paul.— Oh oui, c’était… extraordinaire, Trisha est si…— Si bonne ? C’est comme ça que vous dites en France ? Elle est bonne ? Je suis content d’avoir été « bonne » tu es un bon coup toi aussi. Me dit-elle en souriant. Il faudra revenir nous voir à l’occasion.Je comprends que c’est le moment de prendre congé, je ne sais pas ce qu’ils ont fait après ça, j’imagine qu’ils ont refait l’amour ensemble, enfin j’espère, ils sont si sympa ça me fait plaisir d’imaginer qu’ils baisent aussi ensemble.
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