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Baiser sa classe de terminale

Chapitre 2

Tout ne se déroule pas comme prévu

Hétéro
La nuit fut paisible et reposante. Ce qui c’était passé la veille m’avait mis en confiance pour la suite. Pourtant cela semblait bien être un coup de chance, une envie de deux êtres de se faire du bien au même moment. Je ne connaissais Margaux que depuis 4 mois, soit depuis la rentrée. Mais je croyais dur comme fer en mon charisme de mâle alpha, qui, dès qu’il voulait, avait.
Je rejoignais comme tous les matins mes potes, sur le banc à côté de ce grand arbre, qui nous apporte l’ombre si précieuse en été. Mais en hiver, ce n’était pas un si grand avantage.— Il gèle là sérieux, tu ne veux pas aller à l’intérieur ? Lançai-je à Mathis.— Frileux que tu es, on est bien là. — C’est vrai qu’il fait froid quand même, rajouta Jules.— Bon allez on rentre bande de petits joueurs.On était un groupe de quatre, Mathis, Jules, Adam et moi. Je vais vous les présenter succinctement. Mathis c’était mon meilleur pote, bonnard, blagueur, bien fêtard ; on passait toujours du bon temps avec lui. Jules c’était l’intello de la bande, assez timide, il restait quand même très sympa avec nous. Puis Adam, presque jamais là, c’était le sportif qui ne pense qu’à son reflet, bien davantage que moi. Je ne leur avais pas parlé de mon plan machiavélique, si on peut l’appeler ainsi. Je préférais avancer seul. Même si c’étaient mes potes, on ne connaît pas vraiment les gens. Surtout quand il s’agissait des filles, l’égoïsme était de mise. Mathilde était là, en face de moi, à 50 mètres. Elle était vraiment belle, une fille qui avait beaucoup pour elle. Mais comme la grande majorité de ces filles-là, elle ne pensait qu’à son corps et aux mecs. Une chance pour mon plan ? Je ne le pensais pas. Elle choisissait un type de garçon très particulier, toujours très beau, très connu du bahut, qui connaissait tout le monde et qui avait la côte. J’avais bien remarqué qu’elle changeait très souvent de gars, je l’avais vu avec trois différents en quatre mois. Je savais à peu près à qui j’avais affaire. Je lui avais déjà parlé, assez rapidement, à la cantine par exemple, ou en sport. Mais cela restait toujours très bref et peu intéressant. Margaux vint me rejoindre. — Salut Lyam, ça va ?On se fit une petite bise classique, comme deux amis.— Très bien et toi ?— Ça va. J’ai un truc à te dire, rejoins-moi à midi devant le lycée, on sera au calme.Je ne savais pas du tout de quoi il s’agissait. Un rapport avec ce qui c’était passé la veille ? Cela me tracassait. Les 4h de cours passèrent, comme d’habitude, sans être bien intéressantes. J’avais seulement hâte de rejoindre Margaux. Je me dirigeai vers la sortie quand Charlotte m’interpella.— Salut Lyam.— Salut Charlotte.— On organise une soirée chez Mathilde le week-end prochain avec toutes les terminales, si ça t’intéresse de venir, dit le aussi à un max de personnes, me dit-elle. — Yep bien sûr. Elle repartit vers la cantine, et je continuai ma route. J’aperçus Margaux qui m’attendait sur un banc devant l’entrée du lycée. Je me dirigeai vers elle.— Qu’est-ce que t’avais à me dire ?— C’était à propos d’hier. Elle se leva, puis me demanda de la suivre.— J’ai réfléchi, je t’aime bien tu sais, je veux bien qu’on se mette ensemble finalement, poursuivit-elle.
Mon cœur s’accéléra, je ne m’attendais pas à ça. On se dirigeai vers le parking des profs.— J’ai beaucoup aimé hier, j’ai pensé à toi toute la nuit.Elle s’approcha de ma bouche et m’embrassa. On était sur le parking, il n’y avait pas grand monde, seulement deux trois personnes quelques voitures plus loin.— Euh, je ne sais pas trop quoi te dire, pourquoi me dire ça ici ?— Je t’ai dit, j’ai beaucoup aimé hier, je veux te rendre la pareille. — Comment ça ?Elle me prit la main et m’emmena entre les deux voitures présentes juste à côté. Elle m’embrassa une nouvelle fois, puis détacha ma ceinture et déboutonna mon pantalon. Je commençai à bander sérieusement. J’enlevai mon pantalon et mon caleçon et s’occupa de le descendre jusqu’à mes pieds. Mon pénis était dur comme de la pierre, j’étais très excité par ce qu’elle entreprenait. Elle saisit avec sa main droite mon engin et commença de légers va-et-vient, puis accélérant le rythme, elle le toucha avec le bout de sa langue. Elle commença par le lécher, puis l’inséra dans sa bouche. Je voyais ses lèvres si belles se rapprocher de moi, puis repartir, englobant ce pénis si heureux d’être là. Le plaisir n’eut pas duré longtemps, j’éjaculai au bout d’une quinzaine de secondes, remplissant la gorge de Margaux de ma semence. Elle avala absolument tout, avec difficulté et probable dégoût, mais elle n’hésita pas à nettoyer ce qu’il restait sur ma verge. Elle se releva, m’embrassa, et partit en trottinant pour rejoindre son bus, sans un mot. Je ne savais plus quoi en penser. Je pouvais accepter et avoir ce que je voulais à la base, une copine. Mais d’un autre côté je voulais aussi la vengeance sur toutes ces années. L’après-midi passa rapidement. Pendant le cours, Margaux me lança souvent des regards et des clins d’œil, que je rendais avec excitation. C’est vrai qu’elle était belle quand même.
Je rentrai chez moi vers 18h30, mes parents et ma sœur était là. — Ta journée s’est bien passée ? Me lança ma mère. — Oui oui, répondis-je.— Ta sœur à besoin d’aide, elle n’arrive pas à faire marcher quelque chose sur son ordi, j’ai rien compris.— Je vais aller voir.Mon père regardait la télé sur le canapé, même canapé et même place où j’avais pris Margaux en levrette la veille. S’il savait.Ma sœur s’appelle Agathe, elle avait deux ans de plus que moi, soit 20 ans. C’était une jolie fille, qui on va se le dire, était très bien formée. Elle travaillait le week-end dans une grande surface, et la semaine elle était en cours pour faire sa licence de SVT.Je rentrai dans sa chambre, et me dirigeai vers elle, qui semblait énervée devant cet ordinateur. — Quel est le problème ?— Il n’y a rien qui marche, impossible d’imprimer. Je pris l’ordinateur, fit quelques petits réglages, et réussis à lancer l’impression. — Voilà c’est facile, dis-je sur un ton moqueur.— Pfff tu m’énerves, dit-elle en rigolant. Je ressortis et filai dans ma chambre.
Rien de particulier ne se passa au cours de la semaine. J’avais invité Jules et Mathis à la maison pour réviser, ou du moins c’était le but à la base. Mathis m’avait branché sur ma sœur, comme il faisait chaque fois. Mais rien de particulier ne s’était passé, jusqu’à la soirée chez Mathilde.
On arriva vers 20h avec Mathis, Jules et Adam, qui quand il ne s’agissait pas de travailler était présent. La maison de Mathilde était immense, une sacrée villa. Jardin, grande piscine, grande maison, quel régal. Toutes les filles étaient bien habillées ce soir, et quelques-unes en bien provoquantes. C’était le cas de Mathilde qui avait mis un short si court qu’on voyait le bas de ses fesses, et un haut pour bien mettre en valeur sa poitrine. Même en hiver, rien ne l’arrêtait. On était à l’intérieur, donc il ne faisait pas froid du tout, et pour ceux qui le souhaitaient, il y avait la piscine chauffée à l’extérieur. Charlotte était là aussi, davantage habillée que Mathilde, mais elle mettait bien en valeur ses formes. Toutes les filles de la classe semblaient là, ou peut-être une ou deux qui manquaient à l’appel. Dont Margaux qui n’avait pas souhaité venir. La soirée débuta, musique, alcool, il y en avait pour tous les goûts. C’est le frère de Mathilde, Léo, qui faisait le plus de bruit. Un fêtard dans l’âme. Il était tatoué sur les deux bras, grand, musclé, dans le même style que sa sœur, mais en mec. On s’était posé avec Mathis, Jules et Adam, puis deux filles nous avaient rejoint, deux amies d’Adam, qui étaient aussi dans notre classe. Adam et moi ne buvions pas, je n’aimais pas trop ça, et lui faisait surtout attention à ses abdos. C’était aussi le cas de Mathilde, qui ne buvait pas. Elle dansait avec énergie, mais ne buvait pas d’alcool. Cela m’avait un peu étonné. On ne pouvait pas la louper, quand elle agitait son cul, secouait ses cheveux, qui pouvait résister ? Cela m’excitait sérieusement. Vers 23h, mon téléphone sonna, un appel de ma mère. Je me levai, puis essayai de trouver un endroit calme pour lui répondre. Dehors il y avait du monde dans la piscine, impossible de s’entendre, je me dirigeai donc vers les escaliers pour monter à l’étage. Il y avait aussi du monde en haut. J’ouvris la première porte qui se présentait à moi. Elle donnait sur un autre escalier qui menait au 2e étage. Je la refermai derrière moi, puis montai doucement. Il y avait de la lumière au-dessus. J’attendis un peu pour rappeler ma mère, curieux de voir comment c’était là-haut. En montant, je commençai à entendre des gémissements, et des bruits venant d’un lit. Il y avait des gens qui baisaient là-haut. Je m’approchai doucement vers ces bruits incessants, vers ces respirations et ces cris d’une fille qui était en train de se faire démonter comme il fallait. J’avais identifié la chambre d’où cela provenait, la seule chambre qui était allumée. La porte était entrouverte, et la stupeur fut. Mathilde allongée sur le ventre, entièrement nue, sur ce si grand lit, qui se prenait des coups de bite si puissant que je me questionnais sur la résistance de ce dernier. Comment ne pouvait-il pas céder ? Les vêtements, tous au sol. On y voyait son short si court, un caleçon, un string, étalés tout autour du lit. Mathilde qui se faisait foudroyer, rien d’étonnant, mais la stupeur ne fut pas là, c’est qu’au-dessus d’elle, il s’agissait de Léo, son frère ! Ses deux bras tatoués, et ses grandes mains posées sur le dos de sa sœur ; ce bassin si agité qui claquait ce cul si voluptueux, présentant un pénis qui paraissait bien grand, s’enfoncer dans un corps si proche du sien, le corps de sa sœur. Cette scène incestueuse ne pouvait pas m’exciter davantage ! Mathilde écartait comme elle pouvait ses fesses avec ses mains, pour permettre à son frère de la pénétrer encore plus loin et encore plus fort. Sa tête était enfoncée dans un coussin, pour étouffer les cris qu’elle ne pouvait retenir. Elle décala sa tête pour adresser un mot à son frère.— Dans le cul maintenant vas-y. Léo se retira, puis re rentra un peu plus haut, avec plus de lenteur mais sans s’arrêter. Mathilde cria dans son coussin, de douleur ou de jouissance, ou bien des deux, tandis que son frère reprenait le même rythme que précédemment, bestial et sans scrupule. C’était une scène mémorable, j’avais sorti mon téléphone pour filmer tout ce que je voyais, ou du moins pendant quelques dizaines de secondes. Je le rangeai ensuite pour saisir mon pénis gonflé par l’excitation, et me masturber devant cet inceste. Mathilde qui se faisait enculer par son frère c’était déjà incroyable, mais soudain Charlotte qui arriva, toute nue, en trottinant sur la pointe des pieds.— Qu’est-ce que tu fais là ? Me lança-t-elle.— Euh rien rien. Je remontai mon caleçon, avec la honte au visage.— Ça t’excite hein ?— Mais c’est son frère ?— Oui oui, on fait ça souvent, dès qu’on peut, Léo nous baise toutes les deux. Je n’en revenais pas. Elle poursuivit. — Je suis allé passer un appel, sinon je suis sensé être avec elle, me dit-elle en ricanant. Je ne vais pas te laisser là comme ça, suis-moi. Elle me prit par le bras, et m’emmena dans la chambre d’à côté. — J’ai bien envie de m’en prendre une dans le cul là, ça te dit ?— Euh oui oui. Je ne savais plus ce que je disais, ni ce qui se passait. J’étais tellement excité que je pouvais faire presque tout ce qu’elle voulait.Après avoir fermé la porte à clé, elle se colla contre l’armoire qui était là, se cambrant légèrement pour me présenter son fessier. — J’adore faire ça debout, me dit-elle.Je ne pris pas le temps de me déshabiller, je baissai juste mon pantalon et mon caleçon, et m’empressai de diriger mon pénis devant le cul de Charlotte. Je le frottai entre ses deux fesses et commençai à l’enfoncer doucement. Puis d’un coup, elle se recula en arrière pour engloutir ma bite avec son cul. — Déchaîne toi maintenant, me lança-t-elle. Évidemment je m’exécutai. Je reculai puis avançai, chose non facile au début puisque c’était vraiment serré. Elle ne semblait pas avoir mal, au contraire, elle semblait prendre son pied. J’empoignai ses hanches et commençai à prendre du plaisir. Elle se mit sur la pointe des pieds pour s’élever davantage. Je la sodomisais avec entrain, essayant de me retenir de jouir, pour faire durer le plaisir un maximum. Je savais que je ne pourrais pas durer éternellement, je me mis donc à accélérer, le plus vite possible. Elle criait, jouissait, mais je n’entendais plus, je lui foudroyais l’anus, son ventre et son bassin se fracassaient sur l’armoire. Je rebondissais sur ses fesses si bombées, qui ne demandaient qu’à vivre ces moments-là. Je jouis assez rapidement, mais le plaisir fut si grand qu’il me sembla avoir vécu une éternité. Je sortis mon pénis de ses fesses, puis m’allongea sur le lit. Elle me rejoint et s’allongea à côté de moi, posant sa tête sur ma poitrine. — T’as aimé ? Me demanda-t-elle. — Incroyable, répondis-je. C’est vrai qu’elle avait un corps de rêve, comme Mathilde. De beaux cheveux bruns, des seins gonflées, des fesses bien en chair, mais elle restait mince de taille. — Tu ne dis rien par rapport à Mathilde et son frère hein, ça reste entre toi et moi. Puis pareil entre nous, je ne voulais pas te laisser sur ta faim. Ça m’excite les nouvelles expériences. J’hochai la tête sans dire un mot. Elle se leva, et quitta la chambre. Je pus admirer ses si belles jambes, et ses fesses si excitantes qui se dandinaient. Je remontai mon pantalon, et quittai la chambre à mon tour. Sur ma gauche, la chambre était toujours bruyante et toujours allumée. Cette fois Mathilde était sur le dos, et son frère au-dessus, lui donnant des coups de bassins bien réguliers. Mais je ne m’y intéressais même pas, tellement dans les vapes et tellement heureux de cette expérience. À ce moment-là je ne pensais plus à mon plan, mais j’avais couché avec deux filles sur les quinze de ma classe. Je pris mon téléphone et je remarquai deux nouveaux appels manqués, deux appels de ma mère, que je n’avais même entendu pendant que je m’occupais des fesses de Charlotte. Je redescendis et me rassis à côté de mes potes, qui n’avaient pas l’air d’avoir remarqué mon absence. Charlotte était à la table d’en face en train de rigoler avec ses copines. J’aperçus Mathilde quelques temps plus tard, qui dansait comme si de rien n’était avec un garçon que je ne connaissais pas, j’aperçus aussi Léo qui semblait draguer une fille plus jeune que lui. L’humain semblait rester un animal.
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